Chaque été, les touristes s'abattent sur les lieux de villégiature et sur les sites mentionnés dans les guides touristiques. Le site Polemia en dresse un tableau peu flatteur qui fait sourire mais il est vrai que, de nos jours, on n'a plus à attendre les invasions des barbares de l'extérieur; les barbares, on les "fabrique" chez nous : incultes, sans gêne, manquant souvent de respect à l'égard des gens comme à l'égard des choses, bref un véritable fléau.
"C’est en général à l’été qu’ils arrivent. En avion, en train, en bateau, en auto ou encore à pied, chargés comme des baudets. Mais le printemps est aussi propice à leurs déplacements. Ils se répandent partout dans le monde comme des sauterelles. Il y en a des millions chaque année qui franchissent les frontières. On reconnaît facilement ces personnes déplacées à leurs tenues exotiques et bariolées et à leur idiome et leur comportement bizarres. Car partout où ils arrivent, les touristes se font remarquer..."
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Notre société est bouleversée et, face à ces bouleversements, nous sommes amenés à prendre position, et il est à supposer que nous le fassions loyalement, en toute honnêteté. Le fait que ces changements nous éloignent de plus en plus de ce que, a posteriori, nous qualifierions de « berges calmes » où nous nous sentions en sécurité pourrait nous conduire à « forcer » un peu nos positions. Ainsi pourrions-nous idéaliser à l’extrême des situations antérieures où cela ne se justifie pas ou rejeter des changements et des adaptations qui ne méritent pas tous d’être diabolisés.