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Ethique - Page 233

  • Les 14, 21, 28 janvier, le 4 février 2019 : l'UNIVERSITE de la VIE avec ALLIANCE VITA "La Vie à quel prix ?"

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    Solidaires des plus fragiles...

    Cette année, les quatre soirées de formation organisées par l’association en visioconférence auront pour thème : La vie, à quel prix ? Les participants se retrouveront les lundis 14, 21, 28 janvier et le 4 février 2019 dans plus de 140 villes en France et à l’étranger pour suivre en direct exposés, débats et tables rondes sur des sujets d’actualité.  

    A l’heure où le gouvernement s’apprête à déposer un nouveau projet de loi bioéthique, experts et grands témoins croiseront leurs regards pour aborder des questions cruciales, parmi lesquelles :

    Faut-il fabriquer la vie à n’importe quel prix ? Toute vie vaut-elle la peine d’être vécue ? Comment manifester la valeur de la vie fragile ? Peut-on protéger l’Humanité contre les excès du marché ?

    Présentant sur son affiche un enfant sur le plateau d’une balance, cette nouvelle session de l’Université de la vie abordera de façon inédite de multiples problématiques : désir d’enfant, procréation artificielle, gestation par autrui, marchandisation du corps, handicap, dépendance, vieillissement, fin de vie, etc.

    Parmi les personnalités attendues, outre Tugdual Derville, François-Xavier Pérès,Caroline RouxBlanche Streb et Olivier Trédan, d’Alliance VITA, interviendront :

    • Michael Lonsdale, comédien
    • Olivier Rey, philosophe,
    • Clotilde Noël, à l’initiative de la communauté « Tombée du nid« ,
    • Maître Adeline le Gouvello, avocate de « Juristes pour l’enfance« ,
    • Dr. Xavier Mirabel, cancérologue,
    • Benoît Clermont, auteur avec sa femme de « Gaspard, entre Terre et Ciel« ,
    • Bertrand et Gaëlle Lionel-Marie, responsables bioéthique nationaux des AFC,
    • Sophie et Cédric Barut, auteurs de « Je rentrerai avant la nuit« ,
    • Le Général Henri Marescaux, fondateur d’une association d’aide aux prostituées. 

    D’autres invités exceptionnels, témoins ou experts, interviendront au plan national ou local.

    Plus de 35 000 personnes au total ont déjà participé aux cinq précédentes éditions nationales de l’Université de la vie d’Alliance VITA en faisant le tout premier évènement bioéthique national.

    Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site :

     Université de la Vie Inscription en ligne
  • 67 recettes de bonheur ou l'écologie humaine en actions

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    Tugdual Derville propose 67 recettes de bonheur

    Rédigé par Adélaïde Pouchol (site de l'Homme Nouveau)

    Tugdual Derville propose 67 recettes de bonheur

    L’auteur du livre, lui-même, ne s’y méprend pas : il ne s’agit pas de 67 recettes infaillibles pour trouver le bonheur parfait. Qui, d’ailleurs, aurait cette prétention ? Non, il s’agit plutôt de cuisiner, jour après jour, 67 ingrédients qui participent assurément du bonheur ou, pour le dire autrement, qui nous rendent un peu plus humains. Ce sont 67 petits riens qui sont en fait beaucoup pour qui veut bien retrouver le goût de la simplicité. Réapprendre à voir et à écouter vraiment, déconnecter (au moins un peu !), écrire une lettre, réparer un objet cassé, apprendre par cœur un beau texte, préférer s’impliquer plutôt que s’intéresser... Basique ? Trop facile ? Évident ? Essayez un peu, pour voir ! Derrière son apparente légèreté, le livre de Tugdual Derville est plus sérieux qu’il n’y paraît, alors même que l’auteur n’est paré ni de l’autorité ni de l’expertise du psychologue ou du coach en développement personnel, mais riche d’une longue expérience humaine. Le livre est sérieux parce que chacun des ingrédients proposés porte en lui toute une vision de l’homme et de la société profondément réaliste et chrétienne, parce que ces 67 recettes disent en creux la beauté de la création, la nécessité de la charité, l’importance de l’enracinement et de la mémoire, parce qu’elles envisagent l’homme non plus comme un individu mais comme une personne faisant partie d’un ensemble de communautés, depuis sa famille jusqu’à son pays.

    Tugdual Derville, 67 recettes de bonheur, Éditions Emmanuel, 150 p., 15 €

  • Abus sexuels : oser voir ce que l'on voit

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    De Jean Bernard sur le site du mensuel La Nef :

    Abus sexuels dans l’Église : oser voir ce que l’on voit !

    Le synode a abordé la question des abus sexuels dans l’Église, mais sans s’y étendre. Sur cette difficile question existent des rapports, américains notamment, peu médiatisés et tout aussi peu évoqués par les responsables ecclésiastiques qui ne les intègrent pas dans leur réflexion. Or, ces rapports mettent en évidence un certain nombre de faits qu’il est essentiel de prendre en compte si l’on veut éradiquer un terrible fléau aux conséquences si dramatiques.

    Depuis les dernières révélations concernant les abus sexuels sur mineurs commis par les membres du clergé au Chili, en Pennsylvanie et maintenant en Allemagne, la thèse officielle de l’Église est désormais claire : ces abus sont imputables au « cléricalisme », c’est-à-dire à ce sentiment de toute-puissance que le statut clérical conférerait à ses titulaires et qui les autoriserait à commettre de véritables crimes, en particulier sur les enfants. C’est en ce sens que, dans sa Lettre au peuple de Dieu du 20 août 2018, le pape François a souligné que l’origine de cette tragédie était à rechercher dans « la manière déviante de concevoir l’autorité dans l’Église », autrement dit dans le cléricalisme qui, « favorisé par les prêtres eux-mêmes ou par les laïcs, engendre une scission dans le corps ecclésial qui encourage et aide à perpétuer beaucoup de maux que nous dénonçons aujourd’hui ». Et le pape, dans cette lettre, de conclure de manière on ne peut plus claire : « Dire non aux abus, c’est dire non, de façon catégorique, à toutes formes de cléricalisme. » Pourtant, d’autres voix, parmi lesquelles figurent des hauts prélats (tels que le cardinal Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi), refusent de s’inscrire dans ce schéma explicatif et font entendre une thèse alternative, il est vrai un peu provocatrice : selon eux, les abus sexuels dans l’Église seraient, dans une large part, la conséquence de la surreprésentation d’homosexuels dans le clergé, et l’Église aurait fait preuve d’une tolérance aveugle en laissant accéder à la prêtrise ou à l’état religieux des hommes faisant courir, en raison de leur orientation sexuelle, un risque élevé aux mineurs et aux jeunes majeurs.

    Pour tenter d’y voir plus clair dans le débat cléricalisme versus homosexualité, il convient plus que jamais d’avoir égard à la célèbre invitation de Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit. » Or, que voit-on justement sinon que la victime type d’un abus sexuel dans l’Église n’est pas à proprement parler un enfant, ce en quoi le terme de pédophilie souvent entendu est mal choisi, mais plutôt un adolescent, qui plus est de sexe masculin. Il suffit, pour s’en convaincre, de se référer à l’étude la plus précise jamais menée jusqu’alors sur les abus sexuels dans l’Église, celle du John Jay College of Criminal Justice de New York de 2004, portant sur les années 1950-2002. Or, cette étude a mis en évidence que, en ce qui concerne l’Église catholique aux États-Unis, les victimes étaient avant tout des mineurs pubères de 11 à 17 ans (81 %) et que, parmi cette dernière catégorie, la proportion selon le sexe s’établissait à 85 % de garçons et 15 % de filles. Ces chiffres, qui ont été peu ou prou confirmés par des études plus récentes conduites en Belgique (1) et en Allemagne (2), attirent d’autant plus l’attention qu’ils sont exactement l’inverse de ce qui est observé dans la société dans son ensemble, où les victimes sont, dans leur immense majorité, de sexe féminin (3).

     

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  • Mgr Aupetit sur les Gilets jaunes : « La violence engendre la vengeance et la haine »

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    Lu sur le site web "aleteia":

    gilets jaunes manifestation-yellow-vests-movement-paris-ciric_377342.jpg"Alors que la France est traversée par un profond mouvement social, Mgr Aupetit, archevêque de Paris, appelle « les protagonistes à un véritable dialogue où chacun accepte de sortir de ses certitudes pour établir un vrai diagnostic d’une situation délétère et trouver humblement les voies d’une reconstruction fraternelle de notre société ».

    Mgr Aupetit, archevêque de Paris depuis un an, vient de publier un texte intitulé « L’urgence de la fraternité ». Il revient sur le mouvement des Gilets jaunes et appelle à un vrai dialogue afin de « reconstruire une société fraternelle ». Découvrez ci-dessous le texte en intégralité :

    L’urgence de la fraternité

    Les événements récents montrent une souffrance importante d’une grande partie de nos concitoyens, qui génère la colère quand elle ne semble pas entendue et une frustration devant ce qui peut être pris pour de l’arrogance. Comme archevêque de Paris, je comprends la peine de ceux qui manifestent pacifiquement et luttent pour conserver une vie digne, je dénonce la violence scandaleuse de ceux qui en profitent pour saccager notre ville, je salue le courage des services de police et de gendarmerie et je m’unis au souci de nos gouvernants qui cherchent des réponses à la crise.

    Notre pays souffre d’une incompréhension généralisée. L’individualisme devient la valeur absolue au détriment du bien commun qui se construit sur l’attention aux autres et en particulier aux plus faibles. Les valeurs de la République que sont la liberté et l’égalité sont parfois détournées par des réseaux d’influence qui réclament des droits nouveaux sans égard pour les plus vulnérables.

    Où sont les véritables priorités ? Les urgences nationales, les « grandes causes » de notre pays ne peuvent légitimement être celles des revendications communautaristes ou catégorielles. Le devoir primordial de l’État est de garantir pour chacun les moyens d’entretenir sa famille et de vivre dans la paix sociale. Il nous faut reconstruire une société fraternelle. Or, pour être frères, encore faut-il une paternité commune. La conscience de Dieu le Père qui nous apprend à nous « aimer les uns les autres » a façonné l’âme de la France. L’oubli de Dieu nous laisse déboussolés et enfermés dans l’individualisme et le chacun pour soi.

    La violence engendre la vengeance et la haine. Apprenons ensemble à nous écouter vraiment et à nous parler sans à priori méprisant pour ceux qui ne pensent pas comme nous. J’appelle modestement les protagonistes à un véritable dialogue où chacun accepte de sortir de ses certitudes pour établir un vrai diagnostic d’une situation délétère et trouver humblement les voies d’une reconstruction fraternelle de notre société. Je demande enfin aux chrétiens de prier et d’être ce qu’ils sont appelés à être au nom du Christ : des artisans de paix.

    Je porterai notre pays dans la prière lors de la Messe de l’Immaculée Conception du vendredi 7 décembre prochain à 18h30 à Notre Dame de Paris. En ces temps troubles que nous vivons, nous pourrons confier à la sainte Patronne de la France la paix de notre nation qui ne peut naître que de la justice.

    + Michel Aupetit,
    archevêque de Paris "

    Ref. Mgr Aupetit sur les Gilets jaunes : « La violence engendre la vengeance et la haine »

    Une parole à la fois mesurée et courageuse d'un pasteur parfaitement dans son rôle.

    JPSC

  • Quand des évêques cessent d'être catholiques...

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    Lu sur le site "Riposte catholique" :

    Ces évêques qui ont perdu la foi

    Les éditions Golias publient “Les confessions de Mgr X”. Un évêque se confie sur des sujets qui concernent l’Église.

    “Certes, beaucoup de confrères se reconnaîtront dans mes mots, j’en suis sûr. Mais je ne veux pas les engager dans cette entreprise : nous sommes si divisés entre nous”.

    La division de l’épiscopat… Quand on n’a pas la même foi catholique, nous sommes évidemment divisés.

    Quelques morceaux choisis :

    “Notre Église a toujours accueilli les candidats homosexuels, nos structures leur permettent de s’épanouir presque naturellement. De même, c’est une erreur de parler de l’homosexualité comme “moralement désordonnée”. Du reste, nous poussons le bouchon car le Code de droit canonique prend un malin plaisir à presque décrire les “formes très variables à travers les siècles qu’elle revêt (can. 2357), preuve qu’il s’agit d’un sujet que nous maîtrisons. Sur ce sujet en particulier, nous n’avons aucun conseil à donner tant que n’aurons pas fait notre petit ménage.”

    “Dans dix ou vingt ans, quand on s’apercevra que la Manif pour tous nous a fait un tort considérable, on formulera nos discours autrement.”

    “De ce que je vois sur le terrain, ce sont les femmes qui portent nos communautés et je me dis parfois, en voyant certaines d’entre elles, que si je pouvais les ordonner, je n’hésiterai pas une seule seconde.”

    “Nous ne savons faire qu’une chose : des prêtres comme hier. Mais ces prêtres sont inutiles pour ces temps que nous vivons. Il faut être aveugle et sourd pour persister dans ces choix.”

    “Le catholique affiché et revendiqué, “décomplexé” comme on le dit aujourd’hui, fait peur, il apparaît comme un illuminé. Cela a toujours existé mais les manifs autour du Pacs, puis du mariage pour tous ont décuplé ce côté exalté, fondamentaliste même. Il y a un effet repoussoir et que nous ne voulons pas trop analyser car ce serait reconnaître que nous nous trompons depuis au moins deux décennies.”

    “Sur les divorcés remariés, je peux vous dire que finalement Amoris Laetitia entérine une pratique déjà bien ancrée en paroisses. J’avoue qu’il ne me viendrait pas à l’esprit de refuser la communion à qui que ce soit.”

    “Une chose pas très difficile que nous pourrions faire : enlever nos cols romains et nos soutanes, nous débarrasser de certains signes qui nous rendent certes visibles mais qui nous mettent à part, encore et toujours.”

    “Nous devons être capables d’appeler des gens mariés et célibataires. Nous ne sommes pas plus grands que Paul et Paul n’a jamais empêché une communauté de se choisir un homme marié pour présider l’eucharistie. Il était pourtant célibataire !’

    Avortement

    “Un embryon est-il une personne ? Officiellement, je dis oui mais là, je vais être honnête avec vous : c’est non ! Il n’y a pas de conscience dans un embryon. Un homme ou une femme n’est pas qu’un être naturel, entre en lui de la culture; il y a aussi des attributs pour le dire philosophiquement, des accidents qui permettent à l’homme et à la femme d’être une personne.”

    Humanae vitae

    “La Tradition qu’ils défendent n’est qu’un élément de tradition. En cela, les appeler “traditionalistes” est une erreur de langage car ils ne respectent pas la totalité de la Tradition vivante, toujours en mouvement. Le christianisme, à la différence du judaïsme ou de l’islam, ne fait pas de ses textes un élément fondateur ; à ce titre, le christianisme n’est pas une loi et ceux qui le pensent devraient sérieusement se poser la question sur la vérité de leur foi.

    “On le voit sur Humanae vitae et Monique (Baujard) a eu bien raison de rappeler comment cet épisode a été vécu et les égarements de l’Église à ce moment-là. C’est rare de voir une institution qui choisit délibérément de se couper d’une partie des siens pour des raisons idéologiques et philosophiques datées ! Car la vision de la femme qui est portée dans Humanae vitae n’avait déjà plus aucun sens à l’époque, alors aujourd’hui…”

  • Tous pour le pacte migratoire de l'ONU ?

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    Déclaration du Président de la COMECE rappelant le soutien de l’Église Catholique au Pacte mondial sur la migration

    “L’immigré qui réside avec vous sera parmi vous comme un israélite de souche, et tu l’aimeras comme toi-même, car vous-mêmes avez été immigrés au pays d’Égypte. Je suis le Seigneur votre Dieu” (Lévitique 19:34).

    Le pape François réaffirme que notre responsabilité commune, en tant qu’Église catholique en Europe, est d’accueillir, de protéger, de promouvoir et d’intégrer les migrants et les réfugiés dans nos sociétés. Ce ne sont pas de simples chiffres ou tendances, mais « avant tout des personnes avec un visage, un nom et une histoire personnelle » et qui méritent d’être traitées conformément à la dignité inhérente à leur personne et à leurs droits fondamentaux.

    À cet égard, les principes de la centralité de la personne humaine et de ses besoins réels et du bien commun doivent présider aux politiques internes et externes de l’UE et des États membres, y compris en matière de migration. Alors que le Pacte mondial des Nations Unies pour les migrations et les réfugiés est sur le point d’être adopté, nous encourageons également les autorités politiques nationales, pour reprendre les termes du pape François, « afin que la responsabilité de la gestion mondiale et partagée de la migration internationale trouve son point de force dans les valeurs de la justice, de la solidarité et de la compassion ». 

    Le 11 décembre, un pacte mondial des Nations Unies doit être signé à Marrakech. Fruit d'une vaste négociation, il reconnaît la responsabilité partagée des autorités et des sociétés des pays de départ, de transit et d'arrivée pour encadrer et réglementer les migrations dans l'intérêt de toutes les personnes et communautés concernées. Il vise à assurer la sécurité et la protection des personnes migrantes ainsi que des sociétés d’accueil en promouvant des voies de migration légales, empêchant ainsi le trafic d’êtres humains, les voyages meurtriers, les bouleversements familiaux et la violence.

    Rappelant les exhortations du Saint-Siège sur ce sujet, la COMECE encourage les États membres de l'Union européenne à faire de ce pacte mondial un accomplissement pour le bien commun d'une humanité partagée.

    + Jean-Claude Hollerich S.J.

    Archevêque de Luxembourg

    Président de la COMECE

    ... mais, pour Alexandre del Valle sur le site de Valeurs actuelles :

    Le Pacte mondial pour les migrations ou l’offensive onusienne va contre le principe de souveraineté nationale

    Le Pacte “Global Compact” vise à favoriser une immigration extra-européenne massive, tant légale qu’illégale. Alexandre del Valle souligne ici les postulats tiersmondistes et anti-souverainistes qui sous-tendent ce texte. 

    Le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » lancé en avril 2017 par l’Assemblée générale des Nations Unies et que les États du monde entier sont invités à ratifier avant le 11 décembre 2018, suscite depuis des semaines des débats houleux entre « immigrationnistes » et « populistes », mais pas seulement, car le Pacte, de son vrai nom « Global Compact », vise en fait à favoriser une immigration extra-européenne massive, tant légale qu’illégale (les deux étant confondues de façon perverse), que les pays d’accueils européens sont sommés d’accepter et d’organiser sous peine d’être qualifiés de « racistes » et « xénophobes ». Alexandre del Valle souligne ici les postulats tiersmondistes et anti-souverainistes qui sous-tendent le texte mais que les 193 États de l’Assemblée générale de l’ONU, à l’anti-occidentalisme revanchard, ont d’autant plus facilement adopté qu’ils ont intérêt à se débarrasser de populations excédentaires sans travail et que seuls les Etats européens en respecteront réellement les termes « non-contraignants » pour se donner bonne conscience. Sauf si les désistements en chaîne observés ces dernières semaines - Hongrie, Pologne, Slovaquie et République Tchèque en tête – et les demandes d’amendements formulés par nombre d’États occidentaux non-dupes se multiplient.

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  • François : pas d'homosexualité dans le clergé (extraits de "La force de la vocation")

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    Extrait de "La force de la vocation"

    Le pape François: non aux prêtres homosexuels

    Il est opportun de prendre en compte la maturité humaine et émotionnelle des candidats.

    Nous publions un extrait du livre "La force de la vocation". Le texte fait partie du chapitre intitulé "Bien gérer les limites" dans lequel la question de l'homosexualité est traitée. Dans le volume, François répond aux questions du religieux clarétain Fernando Prado.

    Y at-il des limites qui ne devraient pas être dépassées dans la formation ?

    C'est évident. Quand il y a des candidats avec des névroses et des déséquilibres graves, difficiles à canaliser, même avec une aide thérapeutique, il ne faut les accepter ni au sacerdoce ni à la vie consacrée. Nous devons les aider à suivre d’autres chemins, sans les abandonner. Nous devons les diriger, mais nous ne devons pas les admettre. Nous nous souvenons toujours qu'il s'agit de personnes qui vivront au service de l'Église, de la communauté chrétienne, du peuple de Dieu. N'oublions pas cette perspective. Nous devons veiller à ce qu'ils soient en bonne santé psychologique et émotionnelle.

    Ce n'est un secret pour personne que, dans la vie consacrée et dans le clergé, il y a aussi des personnes à tendance homosexuelle. Qu'en est-il?

    C'est quelque chose qui m'inquiète, car peut-être qu'à un moment donné, le problème n'a pas été bien traité. Toujours dans la ligne de ce que nous disions, je dirais que dans la formation, nous devons prendre grand soin de la maturité humaine et affective. Nous devons sérieusement discerner et écouter la voix de l'expérience vécue par l'Église. Lorsque le discernement n'est pas pris en compte dans tout cela, les problèmes grandissent. Comme je l'ai déjà dit, il se peut que pour le moment elles ne soient pas évidentes, mais elles se manifestent plus tard. L'homosexualité est une question très grave, qui doit être discernée correctement dès le début avec les candidats, si tel est le cas. Nous devons être exigeants. Dans nos sociétés, il semble même que l'homosexualité soit à la mode et cette mentalité, d'une certaine manière, affecte également la vie de l'Église.
    J'ai eu devant moi un évêque scandalisé, qui m'avait dit qu'il s'était rendu compte que, dans son diocèse, un très grand diocèse, il y avait plusieurs prêtres homosexuels, et qu'il devait faire face à tout cela en intervenant avant tout pendant leur formation afin de former un autre clergé différent. C'est une réalité que nous ne pouvons pas nier. Les cas ne manquent pas non plus dans la vie consacrée. Un religieux m'a dit que lors d'une visite canonique dans l'une des provinces de sa congrégation, il avait été surpris. Il a vu que de bons jeunes étudiants et même des religieux qui avaient déjà fait leurs voeux étaient homosexuels. Lui-même avait des doutes sur la chose et m'a demandé s'il y avait un problème avec ça. "En fin de compte - at-il dit - ce n’est pas si grave; ce n'est qu'une forme d'expression d'affection ". C'est une erreur. Ce n'est pas simplement une expression d'affection. Dans la vie consacrée et dans la vie sacerdotale, ce genre d'affection n'a pas sa place. Pour cette raison, l'Église recommande que les personnes ayant cette tendance enracinée ne soient pas acceptées dans le ministère ou dans la vie consacrée. Le ministère ou la vie consacrée ne sont pas leur place. Les prêtres, les religieux et les religieuses devraient être exhortés à vivre pleinement le célibat et, surtout, à être parfaitement responsables, en essayant de ne pas créer de scandale dans leurs communautés ou dans le saint peuple fidèle de Dieu en vivant une double vie. Il vaut mieux qu'ils quittent le ministère ou la vie consacrée plutôt que de vivre une double vie.

    S'agissant de la formation continue, la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique semble percevoir un certain intérêt pour les cas d'hommes et de femmes qui ont déjà déjà prononcé leurs engagements qui ont abandonné la vie consacrée ou le ministère ... Comment soutenir la formation continue? Comment aider à maintenir sa vocation en temps de crise et de difficulté?

    Je reviens aux quatre piliers susmentionnés: la prière, la vie en communauté, l’étude et l’apostolat. Ils doivent être soutenus dans ces quatre dimensions, mais toujours accompagnés. Le religieux ou les religieux doivent essayer de marcher avec le compagnon plus âgé ou avec un compagnon qui a plus d'expérience. La société est nécessaire. Il faut aussi demander la grâce de savoir accompagner et écouter. Dans la vie consacrée, à plusieurs reprises, l'un des plus gros problèmes d'un supérieur ou d'un supérieur provincial est de veiller à ce qu'un frère ou une sœur ne soit seul ou ne marche seul. Quoi de neuf ? Personne ne l'accompagne ? Après tout, on ne peut pas grandir dans la vie consacrée ni se former sans l’accompagnement de sa personne. Nous devons veiller à ce qu'aucun religieux ou religieux ne marche seul. Et ceci, évidemment, ne s'improvise pas. C'est une habitude qu'il faut prendre au noviciat. Il est bon de s’y habituer, car si on n’a pas une bonne compagnie, on peut en trouver une mauvaise. Les personnes seules ne peuvent pas marcher. Une personne consacrée doit rechercher une compagnie de ce type, l'accepter… une compagnie qui la contrariera, qu'elle pourra écouter. Il n’est peut-être pas facile de rencontrer la personne idéale, mais il y a toujours quelqu'un qui peut jouer un peu le rôle de "grand frère", avec qui vous pouvez parler et vous confier.

  • L'homosexualité à la mode au sein de l'Eglise ? C'est une crainte du pape...

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    Du site de la station radio Europe 1 :

    Le pape François inquiet qu'une "mode" de l'homosexualité gagne l'Église

    Dans un livre d'entretiens paru samedi, le pape François s'est dit "inquiet" du nombre de prêtres et de religieux gays.

    Le pape François s'est dit "inquiet" du nombre de prêtres et de religieux gays, estimant que l'Église catholique risquait d'être gagnée par la "mode" de l'homosexualité, dans un livre d'entretiens paru samedi en Italie.

    "L'homosexualité est une question très grave qui doit faire l'objet d'un discernement adéquat des candidats" à la prêtrise et à la vie religieuse, a déclaré le pontife argentin dans ce livre intitulé "La force d'une vocation", qui doit être publié dans dix langues. "Dans nos sociétés, il semble même que l'homosexualité soit à la mode et cette mentalité, d'une certaine manière, influe aussi sur la vie de l'Église", a-t-il ajouté. "C'est quelque chose qui m'inquiète".

    De nombreux évêques ferment les yeux. Dès son élection en 2013, le pape François a adopté un ton plus accueillant avec les homosexuels, lançant son désormais célèbre "qui suis-je pour juger ?" et en recevant des couples gays. Mais sa position sur l'homosexualité reste celle de l'Église. Un document officiel de 2005 interdit l'accès à la prêtrise à tout homme présentant des tendances homosexuelles, même si de nombreux évêques choisissent de fermer les yeux, en particulier en raison de la chute drastique des vocations dans une grande partie du monde occidental.

    Ne pas "créer de scandales" dans la communauté. Dans le livre d'entretiens, François demande cependant aux responsables des séminaires et des noviciats de garder les yeux ouverts et de détecter même les candidats susceptibles de développer "plus tard" ces tendances. "Dans la vie consacrée et la prêtrise, il n'y a pas de place pour ce type d'affection. C'est pourquoi l'Église recommande que les personnes ayant ce type de tendance profondément ancrée ne soient pas acceptées dans le ministère ou la vie religieuse", explique le pontife argentin. Les homosexuels qui sont déjà prêtres, religieux ou religieuses "doivent être incités à vivre intégralement le célibat, et surtout à être parfaitement responsables, en cherchant à ne jamais créer de scandale dans leur communauté ou parmi les fidèles en vivant une double vie", ajoute le pape. "Il vaut mieux qu'ils abandonnent le ministère ou la vie consacrée plutôt que de vivre une double vie", insiste-t-il.

    Scandale d'agressions sexuelles cet été aux États-Unis. Cet été, le Vatican a été fortement secoué par la démission du cardinal Theodore McCarrick, 88 ans, ex-archevêque de Washington, accusé d'agressions sexuelles sur un adolescent remontant aux années 1970. Le pape a ordonné une enquête approfondie dans les archives du Saint-Siège pour comprendre comment cet homme qui invitait régulièrement des séminaristes et des jeunes prêtres dans son lit avait pu faire une si prestigieuse carrière.

  • Abus sexuels : ce sont des crimes personnels, pas des crimes de l’Église

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    De Nicolas Senèze sur le site du journal La Croix :

    Pour le cardinal Filoni, les abus « ne concernent pas l’Église comme institution »

    Tout en condamnant les « crimes » que sont les abus sexuels, le préfet de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, estime que « la pédophilie ne regarde pas l’Église comme institution mais les personnes qui, à travers elle, ont commis ces actes ».

    Le cardinal Fernando Filoni, préfet de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, a affirmé vendredi 30 novembre que la question des abus sexuels « ne concerne pas l’Église comme institution ».

    Le préfet de la Congrégation pour l’évangélisation présentait les propositions de son dicastère en vue du Mois missionnaire extraordinaire voulu pour octobre 2019 par le pape François pour renforcer l’élan missionnaire de l’Église.

    Le pape François décrète un « mois missionnaire » pour octobre 2019

    Interrogé par La Croix sur la crédibilité du message d’une Église défigurée par les abus sexuels, le cardinal Filoni a rappelé que « dans la doctrine de l’Église, il n’y a rien en faveur des abus »« Je dirais même plus, a-t-il martelé, l’abus est la contradiction de ce message. »

    « L’Église ne peut être défigurée par cela »

    Estimant que « l’abuseur abuse de son statut pour commettre son crime », il s’est refusé dès lors à dire que l’Église puisse être touchée par ces actes.

    « L’Église ne peut être défigurée par cela car elle garde, fondamentalement, le visage du Christ : ce sont des crimes personnels, pas des crimes de l’Église », tout en reconnaissant que « malheureusement, l’abuseur implique l’institution à laquelle il appartient ».

    Au Congrès Mission, « pas d’évangélisation sans travail de vérité »

    « Il faut clarifier cela car nos fidèles ne comprennent pas que leur Église qui prêche jésus, le pardon, la miséricorde, le respect, l’amour, qui a des paroles si fortes contre celui scandalise, puisse faire cela. »

    « La question de la pédophilie ne regarde pas l’Église comme institution mais les personnes qui, à travers elle, ont commis ces actes », a-t-il conclu.

    Le pape dénonce une « culture de l’abus » et un « système de couverture »

    En mai dernier, dans une lettre aux catholiques chiliens, le pape François avait dénoncé une « culture de l’abus » au sein de l’Église ainsi qu’un « système de couverture qui lui permet de se perpétuer », appelant à « générer une culture de la protection qui imprègne nos manières d’être en relation, de prier, de penser, de vivre l’autorité, nos propres coutumes et nos langages ainsi que notre relation avec le pouvoir et l’argent ».

    Abus sexuels au Chili, le pape en appelle aux laïcs

    Un message réitéré pour l’Église universelle dans sa Lettre au Peuple de Dieu d’août dernier, dénonçant le « cléricalisme », « manière déviante de concevoir l’autorité dans l’Église » et qui « engendre une scission dans le corps ecclésial qui encourage et aide à perpétuer beaucoup des maux que nous dénonçons ».

  • Au Nouveau Mexique : le partenariat de l'horreur

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    Lu ICI :

    Le partenariat de l’horreur

    Au Nouveau-Mexique (Etats-Unis) un établissement pratiquant des avortements s’est associé à l’Université d’Etat locale afin de fournir les cadavres de certains fœtus à des fins de dissection et de recherche.

    Les Etats-Unis sont le pays de tous les contrastes : tandis que certains Etats, encouragés par l’administration du président Trump, interdisent l’avortement, d’autres le permettent, même en toute fin de grossesse.

    C’est le cas à Albuquerque de la Southwestern Women’s Options, clinique dirigée par Curtis Boyd, médecin réputé pour pratiquer des avortements de fœtus en fin de terme.

    Le praticien, qui aime les caméras, répète invariablement avec froideur : « Est-ce que je tue ? Oui, je tue. Je le sais. » On ne saurait être plus clair.

    Dans cette spirale de l’horreur, l’établissement où Curtis Boyd officie s’est associé à l’Université du Nouveau-Mexique qui « commande » et prélève des parties de corps de fœtus avortés à des fins de dissection et de « recherche » : cœur, cerveau, poumon, pieds, yeux, tête entière ou non. Tout se vend et s’achète. 

    L’appât du lucre 

    Et comme l’horreur a souvent le cynisme pour compagne, une ancienne secrétaire de direction « repentie » de Curtis Boyd, Nina Whitten, avoue avoir été formée par son supérieur au « contrat-avortement par téléphone », dont l’objectif était « de s’assurer que la femme ne se fasse pas avorter ailleurs, qu’elle ne fasse pas adopter l’enfant à naître, ou change d’avis. Nous faisions ça pour l’argent ».

    Depuis le mois de mars 2018, Curtis Boyd a été placé sous surveillance par le Conseil des médecins à la suite de la mort d’une femme étant passée par son établissement, Keisha Marie Atkins. 

    La mère de cette dernière a même décidé d’entamer des poursuites judiciaires contre Curtis Boyd en septembre dernier. En dépit de la barbarie de ses actes, celui-ci persiste et signe, déclarant : « ce que je fais est important ». Et grave. Ce criminel en blouse blanche a-t-il prêté le serment d’Hippocrate ?

  • France, 8 décembre : une chaîne de prière pour la vie

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    De Jean-Marie Dumont sur le site de l'hebdomadaire "Famille Chrétienne" :

    Avortement : une chaîne de prière pour la vie

    À l’occasion de la fête de l’Immaculée Conception, le 8 décembre, une grande chaîne nationale de prière et d’adoration pour la vie sera lancée. « Aujourd’hui, en France, expliquent les initiateurs de ce projet, un avortement a lieu toutes les deux minutes. Nous traversons une période où il est de plus en plus difficile de promouvoir la vie et de dénoncer l’IVG. Pour vaincre ce mal, nous pensons que l’arme la plus efficace est celle de la prière, en y associant le plus de chrétiens possible. »

    Concrètement, l’idée est de réserver des créneaux d’adoration ou de prière sur un site Internet (www.prionspourlavie.fr) ou sur l’application « Prions pour la vie ». Les priants sont invités, s’ils le peuvent, à se rendre dans une église et à prier devant le Saint-Sacrement. Sinon, ils peuvent sans se déplacer dire une prière mariale comme le chapelet. La chaîne de prière débutera le 8 décembre, mais il est d’ores et déjà possible de s’inscrire pour un créneau sur le site. « Dans l’Ancien Testament, peut-on lire sur un tract d’invitation, le peuple de Dieu ne pouvait vaincre Jéricho par ses propres forces. La muraille était infranchissable. Mais, par sa prière incessante en présence de l’Arche de l’Alliance, Dieu donna Lui-même la victoire : le rempart s’écroula sur place. »

  • Parlons enfin des soins palliatifs...

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    Du Bulletin d'Information de l'Institut Européen de Bioéthique :

    Parlons enfin des soins palliatifs !

    Les soins palliatifs à l’honneur : nouveaux critères d’identification du patient palliatif et campagnes de démystification

    Un nouvel arrêté royal fixant les critères d’identification du patient palliatif a été publié le 20 novembre 2018. Les critères sont, à quelques modifications près, ceux du 1er volet de l’outil « PICT » (Palliative Care Indicators Tool), élaborés en 2015 par Marianne Desmedt, chef de projet aux Cliniques universitaires Saint Luc. Ils permettent une identification précoce du patient palliatif, indépendamment de sa pathologie. (Voir infra*)

    Le même jour, la Ministre de la Santé Maggie De Block a libéré un budget de 6 millions d’euros pour encourager la planification anticipée des soins (ACP), un processus de concertation entre le patient et son médecin sur l’orientation commune des soins et des traitements à mettre ou non en œuvre. (Voir aussi Carte de fin de Vie de l'IEB) En pratique, un nouveau code INAMI donnera droit à des honoraires spécifiques pour le médecin qui, après avoir identifié un patient comme palliatif, aura pratiqué un ACP. Se basant sur « l’autonomie de chaque individu de pouvoir décider des soins qu’il souhaite recevoir », la Ministre veut encourager une « démarche proactive et anticipative, qui facilite les prises de décision dans les situations d’urgence ou lorsque le patient n’est plus en état d’exprimer clairement ses volontés. »

    La Fédération Belge des Soins Palliatifs (FBSP) se réjouit de cette disposition, mais juge préalablement indispensable de dénoncer les mythes effrayants liés aux soins palliatifs et de montrer leur vrai visage, conforme à la réalité du vécu des patients. Pour démystifier les soins palliatifs et y sensibiliser les citoyens, elle a mis sur pieds une exposition de photographies, qui a été organisée à 2 reprises à Bruxelles et à Liège. Cette vidéo offre un aperçu des témoignages et photos de l’exposition.

    La plateforme bruxelloise des soins palliatifsPalliabru, estime pour sa part qu'il faut avant tout mieux informer les prestataires de soins, et principalement les médecins sur la bienfaisance des soins palliatifs, pour qu'à leur tour, ils encouragent leurs patients et les familles à y faire appel.

    La FBSP prévoit une campagne sur le sujet de bien plus grande envergure fin 2019, destinée au public et aux professionnels de la santé.

    Source : www.deblock.belgium.be ; www.fbsp-bfpz.org ; Rapport d’étude SPF sur le PICT

    Comment les soignants vont-ils identifier un patient apte à recevoir le statut de "patient palliatif" ?