Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ethique - Page 329

  • France : Alliance Vita mobilise contre la censure gouvernementale

    IMPRIMER

    Du site d'Alliance Vita :

    IVG : non à la censure gouvernementale

    Le gouvernement s’est lancé dans une bataille pour museler et censurer les opposants à l’avortement en ciblant les sites qui informent les femmes sur les alternatives à l’IVG.

    Non content de les menacer d’un « délit d’entrave numérique à l’IVG », il se permet, par son propre « site officiel », de faire dire à un prétendu expert qu’il n’y a pas de séquelles psychologiques à long terme après un avortement. Pire, nous avons la preuve que les répondants officiels de ce service orientent des femmes enceintes vers un avortement illégal à l’étranger jusqu’à 22 semaines (alors que le délai français est de 12 semaines !).

    Nous demandons à Madame la Ministre Laurence Rossignol :

    ♦ le retrait immédiat de la menace du « délit d’entrave numérique » qui pèse sur les associations qui proposent des solutions alternatives à l’IVG

    ♦ l’arrêt de toute propagande mensongère sur le site internet officiel du gouvernement et de toute complicité gouvernementale avec des filières d’avortement à l’étranger

    ♦ la diffusion des informations sur les aides financières et sociales aux femmes enceintes consultant en vue d’un avortement pour que l’avortement ne soit pas une fatalité et leur permettre de conduire leur grossesse jusqu’à son terme.

    Il est irresponsable de cacher la réalité d’un acte qui n’a rien d’anodin dans la mesure où c’est toujours le destin de vies humaines qui est en jeu.

    Ensemble, faisons reculer la fatalité de l’avortement.

    Je signe la pétition

     
  • Vient de paraître : Magazine « Vérité et Espérance-Pâque Nouvelle » : n° 100, automne 2016

    IMPRIMER

    Le magazine trimestriel « Vérité & Espérance – Pâque Nouvelle » édité par l’association « Sursum Corda » (responsable de l'église du Saint-Sacrement à Liège) a publié sa livraison d'été. Tiré à 4.000 exemplaires, ce magazine abondamment illustré parcourt pour vous l’actualité religieuse et vous livre quelques sujets de méditation (les articles mentionnés ci-dessous en bleu sont disponibles en ligne sur le blog de l’église du Saint-Sacrement: cliquez sur le titre de l’article).

    mag_100_sept2016_corr02-page-001.jpg

    Au sommaire de ce numéro n° 100 (automne 2016) : 

    contrat Delta ingenieur stabilité339.jpg

    Brève histoire du sacrement de pénitence (II)

    Anima Christi

    Notes de lecture :

    Les racines juives de la messe – le Testament du Roc

    contrat Delta ingenieur stabilité340.jpg 

    Rome et le monde : 

    France : deux attentats islamistes endeuillent les vacances

    Le sacrifice du matin

    Aux JMJ de Cracovie : le pape appelle les « jeunes divans » à la fraternité multiculturelle

    Benoît XVI : Dernières Conversations

     

    Belgique:

    Fraternité des Saints Apôtres : la décision qui fâche

    15 juillet : le nouvel archevêque de Malines-Bruxelles décrète la dissolution de la Fraternité des Saints Apôtres

    Quelques réactions dans la « cathosphère »

    La dissolution de la Fraternité des Saints Apôtres et l’obéissance à l’Eglise

     

    Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain Lahaye

    Editeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. ,

    Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE.

    La revue est disponible gratuitement sur simple demande :

    Tél. 04.344.10.89  e-mail : sursumcorda@skynet.be 

    Les dons de soutien à la revue sont reçus  avec gratitude au compte IBAN:

     BE58 0016 3718 3679   BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, B-4000 Liège

    JPSC

     

  • Les propos du pape sur la théorie du genre sont encourageants

    IMPRIMER

    Lu sur le site de l'hebdomadaire Famille Chrétienne (Hugues Lefèvre):

    Ludovine de La Rochère : « Les propos du pape sur le gender sont un encouragement »

    De retour de son voyage en Géorgie et en Azerbaïdjan, le pape François a dénoncé avec virulence la « colonisation idéologique » de la « théorie du genre », citant l'exemple d'un « papa français » qui s'est « rendu compte que dans les livres du collège, on enseignait la théorie du genre ». Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour tous1, revient sur ces déclarations.

    Comment réagissez-vous aux propos du pape François sur le gender ?

    C'est un encouragement très fort qui vient récompenser le combat que nous menons depuis des années. Nous savons bien qu'en France, nous sommes confrontés à une politisation et une idéologisation des programmes scolaires, en particulier sur la question du genre. Elles sont manifestes et ont pris une ampleur stupéfiante. Dans les manuels de Première, il y a un chapitre intitulé « Devenir homme ou femme », mis en place par Luc Chatel. Les éditeurs ont traité le sujet non pas du point de vue de l'étude de l'aspect social – le genre – et de l'aspect biologique de l'identité sexuelle, mais en installant une confusion très grande entre les deux.

    On connaît tous l'insistance de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation nationale, sur l'égalité homme-femme qui est en fait confondue avec l'idéologie du genre. Cette idéologie explique qu'hommes et femmes ne sont pas différents. Sous prétexte d'égalité, on efface les différences. Or nous sommes égaux mais différents.

    Selon vous, le livre dont parle le pape François est celui de Première ?

    Je pense que c'est plus large. Il a aussi été mis en place l'ABCD de l'égalité, auquel a succédé le Plan égalité. Sur le site internet vigi-gender.fr, vous avez un très grand nombre de photos de manuels, de recommandations diverses et variées de certains enseignants à l'attention de leurs élèves qui sont surprenantes. Par exemple, en éducation morale et civique, on trouve dans les ouvrages recommandés pour les enfants, une très forte remise en cause qui consiste schématiquement à dire aux enfants : « Es-tu sûr que tu es un garçon ou une fille ? Ce n'est pas parce que tu as un zizi que tu es un garçon ». Nous nous battons contre ça. Au lieu d'aider l'enfant à se construire, on remet en doute ce qu'il est.

    Par ailleurs, on voit une obsession à parler aux enfants des comportements sexuels. Cela fait partie des objectifs officiels des associations LGBT. Je vous donne cette revendication sidérante que l'on peut trouver sur leur site internet : « Mettre en place une éducation à la sexualité prenant en compte la question du genre et de l'homosexualité féminine, masculine, ainsi que de la bisexualité et une éducation à la vie affective dès l'école primaire, adaptée à l'âge des élèves, et prenant en compte les multiples champs de cette question : affective, sociale, culturelle, éthique… ». Vous voyez bien qu'on est là dans une hypersexualisation de la société, avec un objectif d'imprégnation des enfants.

    Sur France Inter, Najat Vallaud-Belkacem a dénoncé les « intégristes » qui ont « embarqué le pape dans leur folie mensongère ». Que lui répondez-vous ?

    C'est l'éternel et unique argument de Najat Vallaud-Belkacem. C'est une défense qui emploie les méthodes d'extrême gauche. Madame Vallaud-Belkacem, au lieu de répondre sur le fond du débat, est dans le déni absolu de l'idéologie du genre. L'autre technique utilisée consiste à jeter l'anathème, traiter les autres de radicaux, de violents, d'extrémistes. C'est le refus du débat, l'absence d'arguments. Elle a toujours refusé de débattre avec moi. Elle ne peut pas assumer d'ouvrir un manuel et commencer une analyse.

    Le pape François a parlé samedi de « guerre mondiale » contre le mariage. Vous partagez ses propos ?

    Oui ! Il y a une guerre contre le mariage et nous la vivons quotidiennement. Ce n'est pas une guerre où on assassine mais une guerre des idées. C'est un combat où les victimes sont des enfants mis en doute dans leur identité et qui ne peuvent qu'en être troublés. Au lieu d'être sereins sur ce qu'ils sont et avancer à la découverte du monde, ils risquent d'être centrés sur des questions existentielles et infiniment difficiles.

    Le pape François rappelle également que la question du genre et ce qu'elle implique – des mariages et des procréations déconnectés de la sexualité – est un combat qui concerne beaucoup de pays. Je pense que depuis quatre ans, la France a un rôle important, celui d'encourager les autres pays pour se défendre, comme on le voit avec le Mexique ces dernières semaines.

    1. La Manif pour tous organise une grande manifestation nationale le 16 octobre à Paris.

  • Théorie du genre, trans, homos : les propos du pape dans l'avion au retour de son voyage en Azerbaïdjan

    IMPRIMER

    De Jean-Marie Guénois sur le figaro.fr :

    Le Pape dénonce un manuel français de collège qui promeut la théorie du genre

    Au retour de son voyage en Géorgie et en Azerbaïdjan, le pape François s'est attaqué, devant la presse, à la «colonisation idéologique» de la «théorie du genre» quand elle devient «une doctrine». Mais il a aussi parlé des «transsexuels» et des «homosexuels».

    Au retour d'Azerbaïdjan, le pape François a précisé devant les journalistes qui l'accompagnait ce qu'il avait voulu dire, samedi, en parlant de «guerre mondiale contre le mariage» à propos de la diffusion de la «théorie du genre». Une occasion pour lui de raconter une histoire où il a cité le témoignage d'un père de famille «français» qui a constaté que son enfant de dix ans voulait devenir une «fille»: «Ce que j'ai critiqué [samedi, ndlr] a dit François, est la mal qu'il y a dans le fait d'ériger la théorie du genre en doctrine. Un papa français m'a raconté qu'un soir, en famille (…). Il demande à son fils de 10 ans: ‘que veux-tu faire quand tu seras grand?». «Etre une fille!» lui répond l'enfant. Le papa s'était alors rendu compte que dans les livres du collège, on enseignait la théorie du genre. Ceci est contre les choses naturelles! Pour une personne, une chose est d'avoir cette tendance, cette option, et même de changer de sexe, autre chose est de faire l'enseignement dans les écoles sur cette ligne, pour changer la mentalité. C'est cela que j'appelle la colonisation idéologique.»

    François avait commencé sa réponse par ce rappel: «L'image de Dieu n'est pas l'homme, mais l'homme et la femme, ensemble. Ils sont une seule chair quand ils s'unissent. Voilà la vérité! Quand on détruit cela, on salit l'image de Dieu.» Il avait conclu par cette remarque: «Il y a une guerre mondiale contre le mariage et nous devons être attentifs à ne pas laisser ces idées entrer en nous.»

    «Jésus ne se retire pas et ne dit pas ‘va-t-en' parce que tu es homosexuel»

    A propos des transsexuels, le pape a raconté cette expérience: «J'ai reçu l'année dernière une lettre d'un espagnol qui racontait son enfance. C'était une fille mais il se sentait garçon. Quand il a eu une vingtaine d'années il a confié à sa maman qu'il désirerait faire une opération chirurgicale pour changer de sexe. Sa mère lui a demandé de ne pas le faire tant qu'elle serait vivante. Elle est morte ensuite. Sa fille a fait l'intervention (…). L'évêque l'a accompagné. C'était un bon évêque qui ‘perdait' du temps pour accompagner cet homme. «Il» a changé son identité civile. «Il» s'est marié. Et m'a demandé - «lui» qui était «elle» - de pouvoir venir me voir avec son épouse. Je les ai reçus. Ils étaient contents. Dans le quartier où ils habitaient, vivait un vieux prêtre de plus de 80 ans mais quand le nouveau prêtre voyait ce couple, il leur criait, «vous irez en enfer». Quand ils rencontraient le vieux prêtre, lui leurs disait ‘pourquoi tu ne confesses pas? Viens et tu pourras communier».

    Et François de conclure «Vous comprenez? La vie est la vie. Et les choses doivent se prendre comme elles viennent. Le péché est le péché. Les tendances ou les déséquilibres hormonaux créent tant de problèmes et nous devons être attentifs. Il ne s'agit pas de dire, ‘faisons de même', ‘non, non!' Mais il faut accompagner chaque cas, discerner et intégrer. C'est ce que ferait Jésus aujourd'hui. Mais, s'il vous plait, n'écrivez pas ‘le pape va sanctifier les trans'! S'il vous plait, non! C'est un problème de morale, c'est un problème humain et il faut le résoudre comme l'on peut, toujours avec la miséricorde de Dieu, avec la vérité et avec toujours le cœur ouvert.»

    A propos des homosexuels cette fois, le pape a précisé: «J'ai accompagné dans ma vie de prêtre, d'évêque, mais aussi de pape, des personnes avec des tendances homosexuelles et aussi avec des pratiques homosexuelles. On s'est approché du Seigneur mais certains ne le pouvaient pas. Je ne les ai jamais abandonnés. Les personnes doivent être accompagnées comme Jésus les accompagnait. Quand une personne est dans cette condition et qu'elle arrive devant Jésus, Jésus ne se retire pas et ne dit pas ‘vas-t-en' parce que tu es homosexuel.»

    Il expliqué, pour finir, pourquoi il avait autorisé que le début du procès de béatification du Père Hamel n'attende pas le délai de cinq années requis par le droit canon: «L'intention est de faire les recherches nécessaires et de voir si les raisons de le faire (la béatification, ndlr.) sont réunies. Nous devons chercher les témoignages pour ouvrir le procès. Il ne faut pas les perdre. C'est très important parce que les témoignages sont tout frais, c'est ce que les gens ont vécus. Avec le temps, l'un meurt, l'autre ne se souvient plus».

  • L'archevêque de Paris dénonce la dictature d'une vision totalitaire sur l'avortement

    IMPRIMER

    De Clémence Houdaille sur le site du journal La Croix :

    Le cardinal Vingt-Trois dénonce « la dictature d’une vision totalitaire sur l’avortement »

    L’archevêque de Paris s’exprimait, vendredi 30 septembre, sur l’amendement au projet de loi égalité et citoyenneté, destiné à étendre le délit d’entrave aux sites Internet se rendant coupables d’« allégations » ou de « présentations faussées » sur l’avortement.

    Dans son entretien hebdomadaire sur les ondes de Radio Notre-Dame, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, s’est exprimé vendredi 30 septembre sur l’amendement au projet de loi égalité et citoyenneté, destiné à étendre le délit d’entrave aux sites Internet se rendant coupables d’« allégations » ou de « présentations faussées » sur l’avortement (rejeté jeudi 29 septembre par la commission spéciale du Sénat chargée du projet de loi).

    Le cardinal Vingt-Trois appelle à une « prise de conscience que l’avortement n’est pas un progrès » mais « un échec social », puisque « la société ne permet pas à des femmes de mener à bien leur grossesse », et « un échec personnel, parce que des femmes sont dans des situations de détresse d’où elles ne pensent pas pouvoir sortir autrement que par l’avortement ».

    « Essayer de faire croire que l’avortement est une intervention banale sous prétexte qu’elle peut être conduite sans grand risque physiologique, c’est une plaisanterie, a poursuivi l’archevêque de Paris. Parce que toutes les personnes qui ont subi un avortement savent que ce n’est pas un acte banal, que c’est un acte traumatisant non pas premièrement physiologiquement mais humainement et psychologiquement et que c’est un acte grave qu’on ne peut pas prendre à la légère. » « En ayant supprimé le temps de réflexion qui était prévu par la loi originelle, on a déjà fait sauter un verrou de prise de conscience, a encore déclaré le cardinal Vingt-Trois. Si on arrive à interdire de s’exprimer sur les conséquences de l’avortement, on entrera complètement dans la police des idées et dans la dictature d’une vision totalitaire sur l’avortement. »

    Interrogé sur le fait que ce sujet n’est pas abordé par les candidats aux prochaines élections, l’archevêque de Paris a estimé que c’était « une question trop difficile et trop délicate, trop nuancée pour en faire un thème de campagne ».

    « Porter atteinte à la vie d’autrui n’est pas un droit, a-t-il encore affirmé. Ça peut être une contrainte, une situation sans issue, mais on ne peut pas en faire un droit ni surtout un signe de progrès. »

    Mercredi 28 septembre, c’est le porte-parole de la Conférence des évêques de France qui s’était exprimé sur le sujet sur le réseau social Twitter. « A-t-on encore le droit de dire qu’il existe des alternatives à l’avortement et que ce dernier n’est pas sans conséquences pour les femmes ? » s’était-il interrogé.

  • La Belgique a perdu un de ses meilleurs connaisseurs du monde des entreprises, un chrétien et un grand humaniste

    IMPRIMER

    De Christian Laporte sur le site de lalibre.be :

    Philippe de Woot, pionnier de la responsabilité sociétale des entreprises, est décédé

    Avec le décès jeudi du Pr Philippe de Woot, la Belgique perd un de ses meilleurs connaisseurs du monde des entreprises. Pionnier de la Responsabilité sociétale de l’Entreprise, ce grand humaniste, chrétien engagé, n’a cessé de plaider pour mettre l’humain au cœur de sa réflexion et de ses décisions. Docteur en droit et en sciences économiques, co-créateur et doyen de l’Institut d’Administration et de Gestion (aujourd’hui Louvain School of Management) de l’UCL, Philippe de Woot y a formé plusieurs générations d’étudiants à la stratégie et au management des entreprises, en intégrant la réflexion économique dans la perspective plus vaste des enjeux sociétaux. Penseur éclairé au rayonnement international, il a enseigné entre autres à Louvain, à l’INSEAD, était Harvard Faculty Associate et Docteur honoris causa de l’Université de Bologne.

    Conseiller de la Commission européenne

    Etant un Européen convaincu, il a œuvré au dynamisme de l’Union comme conseiller de la Commission pour les programmes Esprit et Fast et comme membre de l’Académie européenne des Sciences et des Arts. Le thème majeur de sa pensée et de son action est celui du sens, des valeurs et de la finalité de l’entreprise. Ses nombreux travaux ont mis en évidence les liens entre le système de valeurs et les performances à long terme. "L’entreprise" disait-il "doit être une organisation humaine génératice d’innovation et de progrès, un lieu d’exercice de la responsa bilité individuelle et collective face aux enjeux éthiques et sociétaux". S’il reconnaissait l’efficacité de l’économie de marché, il s’éleva contre la croyance en la vertu de "la main invisible", s’opposant à Milton Friedman qui réduisait la finalité de l’entreprise à l’enrichissement de l’actionnaire.

    Lire la suite

  • Une chaire d’enseignement et de recherche en soins palliatifs à l'UCL

    IMPRIMER

    Du bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (29 septembre)

    Belgique : création d’une chaire en soins palliatifs

    Dans notre pays, de plus en plus de patients sont susceptibles de relever de la médecine palliative, et pourtant, des études européennes ont pointé du doigt les carences dans la formation des médecins en ce domaine. C’est dans ce contexte que l’Université Catholique de Louvain vient de signer une convention en vue de créer une Chaire d’enseignement et de recherche en soins palliatifs.

    Créée sous l’égide de la Fondation Louvain, avec l’Ordre de Malte-Œuvre du Calvaire, cette Chaire se donne trois missions. La première est l’enseignement ; notamment par un programme de cours en soins palliatifs qui sera proposé dès cette année aux étudiants de la faculté de médecine, mais aussi des cours pour candidats spécialistes en gériatrie et oncologie ainsi que des formations continues.

    Sa seconde mission portera sur la recherche, notamment en définissant les compétences à acquérir, nécessaires pour gérer les situations de fin de vie, ainsi que leurs méthodes d’enseignement et d’apprentissage. Sa troisième mission visera à la transmission des connaissances par le biais de conférences, séminaires et au moyen de publications.

    Cette Chaire, qui sera inaugurée au cours de cette année académique 2016-2017 sera attribuée pour une période de 5 ans. Elle sera portée par l’équipe de la professeure Marianne Desmedt, rejointe par le professeur Laurent Knoops, titulaire de la Chaire.

    Source : UCLouvain

  • Avortement : le témoignage pathétique d'une star de la télé-réalité

    IMPRIMER

    Via Famille Chrétienne :

    Voir aussi : un homme raconte son expérience de l'avortement

  • La naissance du premier bébé à trois parents

    IMPRIMER

    NAISSANCE DU PREMIER "BÉBÉ À TROIS PARENTS" : UN PRÉCÉDENT DANGEREUX ET IRRESPONSABLE

     de genethique.org

    Le New Scientist a révélé hier la naissance du « premier enfant avec trois parents », une information confirmée par l’American Society for Reproductive Medicine (ASRM). L’enfant, Abrahim Hassan, est né le 6 avril au Mexique : « L’équipe médicale dit ouvertement être allée au Mexique ‘où il n’existe aucune réglementation’ pour échapper aux législations existantes aux Etats-Unis ».

    L’équipe de médecins internationaux était menée par le Dr John Zhang du centre New Hope Fertility, « spécialiste libéral bien connu dans le marché de la PMA et connecté dans de nombreux pays ». Les médecins ont transféré l’ADN nucléaire de la mère dans cinq ovocytes d’une donneuse dont les noyaux avaient été retirés. Ces ovocytes génétiquement modifiés ont été fécondés par le sperme du père. Sur les cinq embryons créés, « quatre étaient viables, et parmi eux un était normal et a été réimplanté ». Cette technique est « destinée à prévenir la naissance d’enfants atteints de maladies mitochondriales », transmises par la mère. Ici, « cette procréation expérimentale visait dans une famille jordanienne à prévenir le risque de transmission du syndrome de Leigh », dont deux de leurs précédents enfants sont morts. Par ailleurs, les chercheurs « ont fait en sorte que l’enfant soit un garçon », pour que le changement génétique ne se transmette pas à la génération suivante.

    Le couple avait auparavant refusé une technique autorisée en Grande Bretagne, au prétexte que« cette approche aurait détruit deux embryons ». Dans ce pays, les « premiers bébés à trois parents naitront cet automne ».

    Cette annonce est controversée. Nombre de chercheurs regrettent le « manque de recul sur une question aux enjeux aussi lourds » : « plusieurs données expérimentales incitent à la plus grande prudence, le risque principal résidant dans des altérations progressives des fonctions mitochondriales et une apparition retardée des symptômes de la maladie ». D’autres estiment que « l’équipe aurait dû soumettre préalablement une étude clinique compète avec toutes les données pour être examinées par des experts », car cette technique est « risquée avec des conséquences imprévisibles sur la santé de l’enfant et des futures générations ». Cette action « irresponsable et non éthique créé un précédent dangereux », a déclaré Marcy Darnovsky, directrice du Center for Genetics and Society, une ONG basée à Berkeley, en Californie.

    L’équipe médicale en cause répondra aux interrogations lors de la conférence annuelle de l’ASRM au mois d’octobre.

    Sources:  AFP (27/09/2016); Huffington Post, Grégory Rozières (27/09/2016); Jean-Yves Nau (27/09/2016)

    Lire aussi : Naissance d’un bébé par la technique de la FIV-3 parents - « Une transgression sans précédent »

  • Pologne : vers une plus grande protection de la vie

    IMPRIMER

    De genethique.org :

    VERS UNE PLUS GRANDE PROTECTION DE LA VIE HUMAINE EN POLOGNE 

    En avril 2016, la Pologne s’émeut de l’avortement raté d’un bébé trisomique, né vivant à 24 semaines de grossesse. Il pleure une heure, abandonné, avant de mourir.

    L’évènement a eu un fort retentissement et a suscité les réactions des mouvements pro-vie et pro-avortement. Ils se sont mobilisés pour saisir le gouvernement par le biais de la démocratie participative, qui autorise, par l’intermédiaire d’au moins 100 000 citoyens, à proposer une réforme législative.

    Dans ce cadre, le comité citoyen « Let’s help Women » a recueilli 220 000 signatures pour demander la légalisation de l’avortement jusqu’à la douzième semaine de grossesse, puis sa limitation pour la suite de la grossesse aux trois exceptions en vigueur actuellement.

    Le comité citoyen pro-vie « Stop Abortion » a, quant à lui, recueilli presque 500 000 signatures de citoyens demandant une complète protection de la vie humaine en supprimant les exceptions. Sa proposition vise à instaurer un régime de sanction, sauf en danger pour la mère, qui peuvent aller jusqu’à 5 ans de prison une femme ayant avorté et les médecins concernés.

    Ce projet de sanction divise les mouvements pro-vie : la Fédération polonaise des mouvements pro-vie, qui partage la volonté du comité citoyen « Stop Abortion » de protection totale de la vie humaine, a cependant déposé devant le comité parlementaire des pétitions, une version miroir n’intégrant pas la pénalisation des femmes. Les évêques polonais, qui condamnent l’avortement, considèrent qu’il serait immoral de réprimer les femmes « deuxièmes victimes de l’IVG ».

    Aujourd’hui, la loi, appelée « Status Quo », en vigueur depuis 1993 et modifiée en 1997, autorise l’avortement dans trois cas : l’avortement autorisé en cas danger pour la mère, de viol ou d’affection médicale sérieuse du fœtus. Les statistiques montrent qu’en Pologne, le nombre d’avortements liés aux deux premières raisons (risque pour la mère et viol) a toujours été très bas. « Il n’en est pas de même pour l’exception eugéniste qui est chaque année responsable d’un nombre croissant d’avortements légaux : plus de 90% des avortements. Ainsi en 2015, sur 1040 avortements légaux, 996 étaient eugénistes », précise Jakub Baltroszewicz, Président de One of Us Pologne. Cette dernière option autorise l’avortement jusqu’à la veille de la naissance.

    Vendredi 23 septembre, les parlementaires ont écarté la proposition pro-avortement et ont transmis la proposition pro-vie à la commission parlementaire Justice et droits de l’homme, où la proposition va être retravaillée et débattue. Si le statu quo semble désormais impossible, il est difficile de savoir quels seront la durée du débat et le contenu de la proposition qui reviendra devant le Parlement. Mais il parait assez probable qu’elle sera orientée vers une plus grande protection des vies humaines.

  • Le Patriarche russe Kirill a signé un texte appelant à l'interdiction de l'avortement

    IMPRIMER

    De RT.com :

    Le Patriarche russe part en guerre contre l'avortement

    Le Patriarche russe Kirill a signé un texte appelant à l'interdiction de l'avortement, soutenu par le Grand mufti musulman. Le texte relance le débat sur la question, alors que la Russie reste un des pays ayant le plus recours à l'IVG dans le monde.

    Le texte, qui a été approuvé par la Commission Patriarcale pour la famille, la maternité et la protection de la petite enfance, appelle notamment à ce que le statut d'un enfant «conçu naturellement soit protégé par la loi en tant qu'individu ayant le droit à la vie, à la santé et au bien-être».

    Le document propose par ailleurs d'interdire l'avortement chirurgical et médical, les contraceptifs à action abortive (pilule du lendemain), ainsi que la procréation médicalement assistée, considérée comme «une humiliation de la dignité humaine et un encouragement au meurtre d'enfants, dans les premiers stades du développement embryonnaire.»

    La proposition approuvée par le patriarche suggère également de fournir une aide financière du budget fédéral aux femmes enceintes et aux familles nombreuses à hauteur «au moins» du minimum vital.

    Le leader musulman en renfort

    La démarche du Patriarche Kirill a été approuvée et soutenue par le leader spirituel de la communauté musulmane de Russie, le Grand Mufti et chef de l'administration spirituelle centrale des musulmans (TsDUM) Talgat Tajuddin qui a déclaré être prêt à signer le document, comme l'a indiqué l'agence RIA Novosti.

    «Pour nous aussi Musulmans, [l'IVG] est un acte d'assassinat d'enfants. Je l'ai d'ailleurs rappelé lors des festivités de l'Aïd al-Adha», a déclaré le leader musulman.

    A la question de savoir s'il serait prêt à signer le document, Talgat Tajuddin a répondu : «Oui, sans aucun doute, comme tout croyant devrait le faire [...] notre pays n'est pas si immense par rapport au reste du monde, nous ne sommes que 145 millions d'habitants.»

    Le Grand mufti a par ailleurs rappelé que dans l'Islam, l'IVG n'était autorisée qu'en cas de problèmes médicaux graves pouvant porter atteinte à la vie de la mère et était proscrit dans tous les autres cas de figure qui constituent un meurtre d'enfant.

    Le porte-parole du patriarche clarifie la question

    Alors que la position du chef religieux et spirituel du pays a immédiatement suscité une controverse en Russie, premier pays au monde à avoir légalisé l'avortement dès 1920, le porte-parole du patriarcat, le prêtre Alexandre Volkov a tenu a préciser que le Patriarche Kirill entendait soutenir uniquement «l'interdiction du remboursement de la procédure d'IVG par la sécurité sociale du pays» qui prend en charge intégralement les procédures d'avortement.

    Cela encourage selon lui une banalisation de l'IVG sans réflexion au préalable. Ainsi, rendre la procédure payante, favoriserait une remise en question chez les couples ou femmes seules attendant un enfant, avant de mettre un terme à une grossesse non désirée. Cependant, le Patriarche ne rejette pas selon sa parole le concept même de l'avortement, notamment en cas de danger pour la vie d'une femme attendant un enfant.

    Alexandre Volkov a ajouté qu'à l'heure actuelle, le texte avait reçu l'approbation de 500 000 citoyens. S'il atteint un million de signatures, il pourra être soumis à un vote à la Douma, le Parlement russe.

    La Russie, déjà leader mondial en matière d'avortement

    En Russie, l'avortement est une procédure médicale légale entièrement prise en charge par l'Etat jusqu'à 12 semaines de grossesse en cas de grossesse non désirée. Ce délai peut-être étendu jusqu'à 22 semaine à la demande de la femme si la grossesse est le résultat d'un viol, avec preuves à l'appui. En cas d'urgence médicale pouvant porter atteinte à la vie de la mère, l'IVG peut-être appliquée à tout moment de la grossesse.

    La Russie (à l'époque, la «République socialiste fédérative de Russie») est devenu le premier pays au monde à légaliser l'avortement en 1920. A titre de comparaison, en Grande-Bretagne l'avortement a été légalisé en 1967, aux Etats-Unis en 1973, en France en 1975 et en Allemagne de l'Ouest en 1976. De 1936 à 1955, l'IVG a été interdite par la constitution de l'Union soviétique sauf en cas de danger pour la vie de la mère.

    Au niveau mondial, la Russie reste un des pays ayant le plus recours à l'IVG derrière la Chine et les Etats-Unis. Chaque année, plus d'un million de femmes ont recours à l'IVG sur le territoire de la Fédération de Russie, contre plus de 9 millions en Chine, en raison de la politique de l'enfant unique pour endiguer la sur-population.

  • Les évêques du Canada vent debout contre l'euthanasie et le suicide assisté

    IMPRIMER

    D'après le journal La Croix (Clémence Houdaille), "les évêques canadiens refusent les funérailles religieuses à ceux qui ont choisi l’euthanasie. Les évêques des diocèses canadiens d’Alberta et des Territoires-du-Nord-Ouest ont publié des directives à propos du suicide assisté et de l’euthanasie dans un document publié le 14 septembre 2016." Selon ce texte, lorsque des personnes malades font connaître publiquement leur volonté de mettre fin à leurs jours par euthanasie ou par suicide assisté, « il ne sera pas possible de célébrer des funérailles chrétiennes » au lendemain de leur décès, énoncent les six évêques catholiques de l’Alberta et des Territoires-du-Nord-Ouest dans cette série de directives remises aux prêtres de leurs diocèses.

    « Une telle demande doit être gentiment mais fermement refusée »

    Si la famille du défunt n’a pas encouragé le recours à l’aide médicale à mourir et« à condition que cela ne provoque pas de scandale public, les rites des funérailles peuvent alors être célébrés », précisent toutefois les évêques, appelant à être attentif à ne pas transformer les funérailles en une « occasion de célébrer la décision de la personne aimée de mourir par suicide assisté ou par euthanasie ».« Cela serait véritablement scandaleux », puisque la cérémonie religieuse serait interprétée « comme un encouragement pour d’autres à recourir à ce mal », poursuivent-ils, prévenant qu’« une telle demande doit être gentiment mais fermement refusée ».

    L’Église accorde pourtant des funérailles chrétiennes aux personnes qui, apprend-on après leur décès, se sont suicidées, reconnaissent les signataires de ces directives, d’après la radio chrétienne Radio VM. Dans ces cas, « nous ne pouvons pas juger les raisons qui ont mené un individu à prendre cette décision, pas plus que nous ne connaissons les dispositions de son cœur », écrivent-ils. Par contre, dans le cas de l’aide médicale à mourir, le consentement de la personne est préalable à son décès. La personne doit être consciente que son geste « est contraire à la foi chrétienne ».

    « Reconnaître une décision qui l’a entraînée à poser un geste contraire à la foi chrétienne »

    En refusant la tenue de funérailles religieuses, le but de l’Église n’est pas de punir la personne décédée mais bien « de reconnaître sa décision, une décision qui l’a entraînée à poser un geste contraire à la foi chrétienne », expliquent encore les évêques des diocèses d’Edmonton, Calgary, Grouard-McLennan, Saint-Paul et Mackenzie-Fort Smith.

    Ce texte s’intéresse aussi au sacrement des malades. Dans le cas des personnes mourantes qui demandent l’euthanasie, les prêtres doivent « implorer avec délicatesse et fermeté la personne malade » de renoncer à ce recours. « Si elle maintient sa décision, l’onction ne peut être offerte », écrivent les évêques.

    Avant l’adoption du projet de loi, l’archevêque canadien d’Ottawa, Mgr Terrence Prendergast, avait déjà souligné que ceux qui demandaient à mourir ainsi n’étaient pas en mesure de recevoir les derniers sacrements. « Demander à être tué est gravement désordonné et constitue un rejet de l’espoir que le rite (de l’onction des malades, NDLR) demande et essaie d’apporter », avait assuré l’archevêque d’Ottawa, Mgr Terrence Prendergast, dans une interview à l’agenceCanadian Catholic News reprise par la presse spécialisée le 27 février 2016.

    Par ailleurs (source), l'Assemblée plénière 2016 de la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) a débuté hier et se poursuivra jusqu'au 30 septembre au Centre Nav Canada, à Cornwall, en Ontario. La réunion est présidée par Mgr Douglas Crosby, O.M.I., évêque de Hamilton et président de la CECC, qui a présenté son rapport annuel pendant la séance d'ouverture. En cette première journée de réunion, les évêques ont principalement réfléchi aux conséquences de la loi C-14, qui a légalisé le suicide assisté et l'euthanasie au Canada. Son Éminence le cardinal Willem Eijk, archevêque d'Utrecht, aux Pays-Bas, a donné une conférence sur les répercussions sociales et culturelles de la légalisation du suicide assisté et de l'euthanasie aux Pays-Bas et ailleurs. La journée a commencé par la célébration de l'Eucharistie, présidée par Mgr Crosby avec la participation de l'école secondaire catholique Holy Trinity.

    À titre de théologien moraliste, éthicien médical et médecin, le cardinal Eijk a donné un aperçu de l'expérience vécue dans son pays. Il a dit qu'au début, des arguments en faveur de l'euthanasie et du suicide assisté ont été exprimés en 1969 ; ensuite, l'euthanasie médicale a été fréquemment pratiquée dans les années 1970, puis la première loi réglementant provisoirement l'euthanasie a été adoptée en 1993. Depuis ce temps, dit-il, le sentiment populaire permet l'euthanasie et le suicide assisté par un médecin pour les personnes souffrant de troubles affectifs et de maladies psychiatriques, y compris la dépression, ainsi que le fait d'enlever la vie aux nouveau-nés ayant des handicaps. En même temps, les médecins qui pratiquaient fréquemment l'euthanasie reçoivent maintenant moins de demandes en raison de l'accessibilité croissante des soins palliatifs et du fait que le public en est mieux informé.

    « Qu'est-ce que l'expérience des Pays-Bas peut apprendre aux politiciens, aux décideurs et aux travailleurs des soins de santé des autres pays? » a-t-il demandé. Il a répondu que tout d'abord, on n'a aucun besoin d'une « nouvelle éthique médicale » en plus de celle qui est offerte par les soins palliatifs : « ramener à un degré supportable les souffrances des gens ayant des maladies incurables, et aider ceux-ci à redécouvrir la dignité de leur vie en leur prodiguant avec amour des soins professionnels : des soins humains, médicaux, socio-psychologiques et pastoraux; bref, des soins qui s'adressent à toute la personne ». Deuxièmement, l'expérience des Pays-Bas offre la preuve empirique qu'une fois qu'on ouvre un petit peu la porte, elle s'ouvre davantage très facilement. « Une fois qu'on permet de mettre fin à la vie pour un certain genre de souffrances, pourquoi ne le permettrait-on pas pour des souffrances un tout petit peu moins grandes? » La troisième leçon à apprendre, a-t-il dit, est que les soins palliatifs respecte la capacité des gens qui souffrent grandement, soit d'une maladie, soit de handicaps, de retrouver la dignité de leur vie et de continuer de vivre malgré leur situation.

    Dans son rapport annuel, Mgr Crosby a souligné plusieurs initiatives auxquelles la Conférence a participé, notamment pour promouvoir les soins palliatifs et les soins à domicile et pour mobiliser les appuis locaux en faveur de tels soins, en plus de presser les politiciens fédéraux et provinciaux de respecter la liberté de conscience et de religion des fournisseurs de soins de santé ainsi que des établissements.

    En Suisse également, l'épiscopat a pris fermement position : http://www.eveques.ch/documents/communiques/etude-sur-le-suicide-assiste-des-aines