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Famille - Page 43

  • En Grèce : première célébration de la journée de l'enfant à naître

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    En Grèce, ce dimanche : la journée de l’enfant à naître

    Grèce Le gouvernement lance ce dimanche la première "Journée de l’enfant non né" (sans doute en lien avec la fête des Saints Innocents). Pour la première fois de son histoire le pays va fêter ce dimanche la "journée de l’enfant non né", promulguée quelques heures après l’arrivée au pouvoir du conservateur Kiriakos Mitsotakis.

    Cela faisait des années que les organisations de défense des familles nombreuses militaient en faveur de son instauration. Les conservateurs ont mis à l’honneur la "journée de l’enfant non né" qui va être célébrée dimanche dans tous les sermons dominicaux. Des tracts d’information seront même distribués à la sortie des églises. Pour l’évêque de Néa Ionia, Mgr Gabriel "il ne s’agit pas de politique électorale mais de baisse de la natalité. La Grèce, dit-il, a un très grand problème, la dénatalité. D’après les chiffres que nous avons, les décès dépassent de plusieurs milliers les naissances, et ce, depuis plusieurs années. Si on continue sur cette lancée en 2030 et 2050 nous aurons une baisse de la population d’environ 20 à 25 %. On doit réagir." La Grèce a 40 000 avortements déclarés chaque année mais on estime le chiffre réel à 300 000.

    D'après le très tendancieux article (« Athènes face au business de l’avortement ») d’Angélique Kourounis sur la Libre d’aujourd’hui ( 28 décembre)

     

  • A 7 mois, il est le plus jeune maire des USA et il est contre l'avortement

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    Du site 7sur7.be :

    Le plus jeune maire des États-Unis a 7 mois et il est contre l'avortement

    "Le petit-déjeuner du maire est prêt", chantonne Chad McMillan dans le coquet salon de son ranch texan. Sur le comptoir de la cuisine, un biberon de lait chaud et un petit pot. Son fils Charlie McMillan n'est pas un édile comme les autres: à sept mois, il pourrait devenir un symbole de la lutte chrétienne anti-avortement.

    Clin d'oeil au président Donald Trump, qui promet lui de rendre sa grandeur au pays, le programme de Charlie inclut notamment le patriotisme, la "vie" et l'adoption.

    "Au contraire de certains hommes politiques, (Charlie) connaît très bien ce pour quoi il fait campagne", ironise sa mère, Nancy Jane McMillan.

    Adopté à la naissance auprès d'une femme qui voulait initialement mettre un terme à une grossesse non désirée, "Mayor Charlie" et ses parents comptent peser dans le débat sur l'avortement, une question qui ne cesse de déchirer les Américains.
     

    Cette femme "a fait le choix courageux de la vie", estime Nancy Jane McMillan. Dans son ranch à une heure de Houston, elle raconte à l'AFP que ce titre de maire honorifique, acquis aux enchères en octobre lors de la levée de fonds annuelle des pompiers de Whitehall, au Texas, était au départ "une plaisanterie".

    Le village étant rattaché à la commune voisine, il n'a aucune organisation politique propre. Le nourrisson n'aura donc pas à remplir de réelle fonction municipale.

    La mère adoptive, agent immobilier de 43 ans, a ensuite réalisé l'influence qu'avait eu cette "élection" sur les habitants de Whitehall.

    "Un peu de gentillesse peut nous apporter tellement. En ces temps divisés politiquement et culturellement aux Etats-Unis, c'est génial de voir comment un bébé de sept mois avec une campagne promettant le retour de la gentillesse en Amérique peut changer les choses", sourit-elle.

    Ni démocrate, ni républicain 

    L'investiture du nouveau maire a pris le 15 décembre la forme d'une grande célébration. Hot-dogs, concert de musique country et même un serment que le petit Charlie a prêté "en hochant la tête", s'amuse Frank Pokluda, gérant de la supérette du village.

    "Certains de nos hommes politiques voudraient qu'on puisse avorter jusqu'au terme d'une grossesse et c'est terrible. Regardez la joie que cet enfant nous apporte (...), il y a des gens qui veulent de ces enfants!", témoigne le papa du jeune maire, Chad McMillan.

    "Nous espérons que Charlie, qui n'est ni un républicain, ni un démocrate, ni un indépendant, et qui aime les gens, permette à tout le monde de souffler un coup", insiste-t-il dans son salon rustique décoré aux couleurs de Noël.

    Avec "Mayor Charlie", ce pasteur et missionnaire baptiste de 51 ans, qui a voté pour Donald Trump en 2016, explique avoir voulu alléger l'ambiance tendue aux Etats-Unis par la procédure en destitution visant le président.

    Très croyant, le couple chrétien baptiste fait partie depuis plusieurs années du Houston Pregnancy Help Center, une organisation religieuse qui accompagne les femmes enceintes dans une démarche anti-avortement.

    La Cour suprême des Etats-Unis a légalisé en 1973 le droit des femmes à avorter, mais il existe toujours une forte opposition à l'IVG dans tout un pan de la société américaine, notamment dans le sud et le centre, très religieux, du pays.

    Donald Trump, qui avait promis pendant sa campagne de nommer à la Cour suprême uniquement des juges opposés à l'avortement, y a fait entrer deux magistrats conservateurs depuis son élection.

  • Une crèche vivante mise à mal par des "antifascistes" incultes

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    Par Anne-Sophie Chazaud sur le site du Figaro Vox :
    16 décembre 2019

    L’esprit de Noël au temps des «antifascistes incultes»

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Des militants «anticapitalistes» ont interrompu samedi une crèche vivante à Toulouse. Pour Anne-Sophie Chazaud, cette attaque doit être analysée au prisme d’une violence de plus en plus présente dans l’espace public.


    Anne-Sophie Chazaud est philosophe, haut fonctionnaire et auteur d’un livre à paraître aux éditions l’Artilleur consacré à la liberté d’expression.


    S’il est une chose qu’il est difficile d’entrapercevoir dans le climat chaotique ambiant, c’est bien le fameux «esprit de Noël», traditionnellement empreint de concorde, de joie, de festivité sereine.

    Une population excédée et inquiète de tous côtés, un conflit social majeur sur fond de réforme bricolée à la va-comme-je-te-pousse et portée par un héraut à la moralité douteuse ne sachant pas même compter le nombre des fonctions qu’il occupait en contradiction avec la loi, ce qui rajoute encore au trouble et à la confusion, de très nombreuses manifestations systématiquement gangrenées par les groupes d’ultragauche dont on ne se lasse pas de se demander par l’effet de quelle mystérieuse mansuétude ils sont encore laissés libres de perpétrer leurs violences néfastes.

    Et c’est en l’occurrence de nouveau une bande d’échappés d’extrême gauche et de militants d’on ne sait quoi qui s’était dans un premier temps greffée sur un rassemblement de gilets jaunes toulousains afin d’y produire son habituelle basse besogne qui, fuyant la police, est arrivée jusqu’à la place Saint-Georges où se tenait, comme il est de coutume, une crèche vivante.

    Cet épisode aussi pathétique que scandaleux révèle diverses questions préoccupantes.

    Une crèche vivante joyeuse, paisible, festive, de type provençal, traditionnelle, à l’instigation de l’association «Noël autrement», et avec la touche bucolique et pastorale de quelques moutons acheminés par le camion d’une ferme solidaire dont l’une des activités consiste à réinsérer des personnes sans emploi. Des enfants fiers et joyeux de figurer dans la crèche, de nombreux chœurs aussi, rassemblés pour célébrer musicalement ce moment, l’ensemble vocal Melina, un trio interprétant Bach, Vivaldi, Donizetti, l’ensemble choral des Dominicains, un groupe de gospel Only Voices, un chœur de jeunes Éclats de voix…

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  • Mort au Mali : Clément Frison-Roche, un soldat et un chrétien

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    A découvrir ici : https://www.parismatch.com/Actu/International/Marie-Frison-Roche-Mon-mari-etait-pret-a-donner-sa-vie-pour-la-France-son-pays-qu-il-aimait-tant-1662947

    Et, de Gérard Leclerc sur France Catholique :

    Mourir pour la patrie

    Hommage national aux treize soldats tués (le 25 novembre) au Mali dans la cour des Invalides, 2 décembre.
    Capture d’écran YouTube Élysée
    « Oh tendre France, douce gardienne de mon baptême,
    Prenez ici ma vie, je vous en fais le don,
    Veillez sur ma famille et tous les gens que j’aime,
    Et rendez je vous prie mon sacrifice fécond…  »

    C’est le capitaine Clément Frison-Roche, l’un des treize militaires décédés au Mali dans le cadre de l’opération Barkhane, qui en écrivant ce poème, nous livre la leçon de son sacrifice et nous implore de la méditer. Âgé de 28 ans, marié et père d’un enfant, n’est-il pas un bel exemple de don total à une cause supérieure ? En l’espèce, celle de la France, celle aussi de sa mission dans le monde au service de la paix. La paix dans une Afrique sahélienne gravement menacée par le terrorisme islamique. Il est vrai, par ailleurs, qu’un certain climat moral ne se prête guère à l’estime du don de soi, alors qu’il n’est question que de développement personnel et plus généralement de culture de l’individualisme. Le pacifisme intégral demeure une tentation, à l’instar de la mentalité des Grünen dans l’Allemagne des années 80 qui proclamaient : «  Plutôt rouges que morts.  »

    Mystique du soldat

    Mais l’histoire a tôt fait de nous rattraper avec son tragique, dont Raymond Aron rappelait qu’il est inhérent à la condition humaine. N’avertissait-il pas ses contemporains : «  Si la morale des Occidentaux est maintenant la morale du plaisir, du bonheur des individus et non pas la vertu du citoyen, alors la survie est en question.  » Cependant, le soldat est plus qu’un citoyen, puisque son existence est radicalement vouée à la survie de la patrie et que la perspective du sacrifice suprême est liée à son engagement au métier des armes. Il n’est pas exagéré d’affirmer qu’il y a un aspect mystique à un tel engagement, au sens de Charles Péguy :

    « Heureux ceux qui sont morts dans les grandes batailles,
    Couchés dessus le sol à la face de Dieu, (…)
    Heureux ceux qui sont morts pour des cités charnelles,
    car elles sont le corps de la cité de Dieu.  »

    Lorsque le capitaine Frison-Roche définit la France comme la douce gardienne de son baptême, il consone tout à fait avec le Péguy qui offrait sa vie à la face de Dieu. Nous avons gardé le souvenir du colonel Beltrame participant de la même geste héroïque associée à la mystique chrétienne du don de soi. À l’image de celui qui a montré l’exemple absolu : «  Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime  » (Jn 15,13).

  • URGENT ET IMPORTANT ! Signez pour vous opposer à la proposition de loi avortement

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    LA PROPOSITION DE LOI : 5 POINTS CLÉS

    • Augmentation du délai légal d'avortement

    La proposition de loi rend possible l’avortement jusque la moitié de la grossesse, c’est à dire 20 semaines d’aménorrhée (18 semaines de grossesse)

    • Diminution du délai de réflexion

    La proposition de loi divise par trois le délai de réflexion minimum, de 6 jours à 48h. Ce qui augmentera nécessairement les situations de regrets.

    • Suppression du devoir d’information

    La proposition de loi supprime l’obligation d’informations sur les aides psychologiques et matérielles disponibles pour poursuivre la grossesse.

    • L'IVG comme "acte médical"

    La proposition de loi définit l’IVG comme “un acte médical à part entière”, selon le projet de loi “il n’y a aucune raison de maintenir des sanctions pénales spécifiques à l’encontre des médecins qui agiront pour ces actes médicaux avec la même conscience professionnelle que lorsqu’ils accomplissent tout autre acte médical”

    • Remise en cause de la liberté des institutions

    La proposition de loi  remet en cause la liberté des institutions en inscrivant : « aucun médecin ne peut être empêché de pratiquer une interruption volontaire de grossesse en vertu d’une convention. Le cas échéant, une telle clause d’interdiction est réputée non écrite »

    SIGNER

    LA CARTE BLANCHE PUBLIEE DANS LALIBRE ET DEMORGEN

  • Arrêtez de vous inquiéter, faites des bébés!

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    Du site "Pour une école libre au Québec" :

    Peter Taalas, responsable du climat à l’ONU : «Arrêtez de vous inquiéter, faites des bébés.»

    Texte de Ben Johnson traduit par Benoît Perrin.

    Le changement climatique est peut-être un problème, mais il ne détruira pas le monde. C’est ce qu’affirme le chef de l’agence des Nations unies consacrée au climat. Il ajoute que les jeunes gens ne doivent pas arrêter d’avoir des enfants.. Selon lui, la rhétorique alarmiste des « catastrophistes et extrémistes » selon laquelle les bébés vont détruire la planète « ressemble à l’extrémisme religieux » et « fera peser un poids supplémentaire » sur les jeunes femmes en « provoquant de l’anxiété ».

    Petteri Taalas n’est pas un « négationniste climatique ». Il est secrétaire général de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), l’agence spéciale de l’ONU sur la météo et le climat, qui compte 193 états membres. Le dernier rapport de l’OMM sur le climat mondial affirme qu’il existe des preuves de l’existence de facteurs anthropiques à l’origine des émissions de carbone. Cependant, il ne met pas en lumière de « lien causal » avec les catastrophes naturelles. L’avant-propos de Taalas a été suivi de déclarations du secrétaire général de l’ONU et du président de l’Assemblée générale de l’ONU. Et Taalas a récemment appelé à une « action urgente pour le climat ».

    Cela rend ses paroles apaisantes d’autant plus significatives.

    Le changement climatique causé par l’homme, dit Taalas, « ne sera pas la fin du monde. Le monde devient de plus en plus difficile. Dans certaines parties du globe, les conditions de vie se détériorent, mais les gens ont survécu dans des conditions difficiles. »

    La véritable menace aujourd’hui, dit-il, vient de l’extrémisme environnemental malavisé, qui exige que les hommes apportent des changements radicaux à leur vie économique — et personnelle —, sous peine de devenir complices d’un génocide.

    « Alors que le scepticisme climatique est devenu moins problématique, nous sommes maintenant contestés de l’autre côté », dit Taalas. « Ce sont des rabat-joie et des extrémistes. Ils profèrent des menaces. »

    À titre d’exemple de propositions extrêmes, Taalas dit que ces militants « exigent zéro émission [de carbone] d’ici 2025 ».

    Et leur foi rivalise avec celle du fanatique religieux le plus convaincu, affirme Taalas au journal financier finlandais Talouselämä (qui se traduit par « vie économique ») le 6 septembre (traduction anglaise ici).

    « Les rapports du GIEC [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat] ont été lus de la même manière que la Bible. Vous essayez de trouver certains éléments ou sections à partir desquels vous essayez de justifier vos opinions extrêmes. Cela ressemble à l’extrémisme religieux », dit Taalas.

    Cet environnement polarisé a un impact négatif sur la santé mentale des jeunes, en particulier les femmes qui veulent avoir des enfants.

    « L’atmosphère créée par les médias a provoqué de l’anxiété. L’idée la plus récente est que les enfants sont une chose négative. Je m’inquiète pour les jeunes mères, qui sont déjà sous pression. Cela ajoute un poids supplémentaire sur leurs épaules. »

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  • Bruges : un cas d'euthanasie infantile pratiqué sans l'accord des parents?

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    Ce cas dramatique est rapporté par la Nuova Bussola Quotidiana alors que nous n'en trouvons aucune trace dans les médias belges :

    Euthanasie infantile forcée, le scénario se répète en Belgique

    18-11-2019

    Après Charlie, Isaiah et Alfie, le scénario se répète en Belgique avec Maciej, 6 ans, souffrant de cardiomyopathie et de lésions cérébrales. Les médecins refusent d'autoriser l'obtention de nouveaux conseils médicaux et les dossiers médicaux sont inaccessibles. A présent, on assiste à la décision de retirer le ventilateur et au combat des parents qui s'y opposent. Une campagne débute qui touche aussi l'Italie.

    Jeudi, les médecins de l'hôpital Sint-Jan à Bruges, en Belgique, retireront le masque respiratoire du petit Maciej, malgré les signes évidents d'une conscience minimale qui permet à l'enfant de serrer la main, d'ouvrir les yeux et de réagir au contact de ses parents.

    Après Charlie Gard, Isaiah Haastrup et Alfie Evans, les cas d'abandon thérapeutique et de déni obstiné du droit au traitement, même dans des conditions stables qui ne sont pas liées à la phase terminale d'une maladie, continuent de se multiplier dans de nombreux pays d'Europe du Nord où la culture euthanasique a submergé les lois et les rouages ​​du système de santé.

    Maciej est un garçon de 6 ans qui a développé une forte fièvre 6 mois après sa naissance, ce qui lui a causé des lésions cérébrales. Lors de ce premier épisode grave, les médecins ont dit aux parents qu'il ne restait plus rien à faire. Cependant les organes de Maciej ont continué de fonctionner parfaitement après le débranchement des supports essentiels.

    Après un prompt rétablissement, la famille a pu ramener l'enfant à la maison. Maciej a toutefois été classé comme personne handicapée à la suite d'un diagnostic de cardiomyopathie. La famille s'est toujours efforcée de fournir les meilleurs soins possibles à son enfant, mais malheureusement, tout a changé le 3 novembre. Maciej a de nouveau été hospitalisé à l'AZ Sin-Jan à Bruges ce matin-là. Tout s'est passé comme la fois précédente avec Maciej qui avait une forte fièvre.

    Lorsque la famille est arrivée aux urgences, le même médecin, qui leur avait dit de prendre congé de leur fils quelques années plus tôt, a annoncé qu'on ne l'emmènerait pas en unité de soin, car il n'y avait aucun espoir et qu'on ne pourrait pas l'aider. Quand le père lui a demandé de notifier sa décision par écrit, les parents racontent que le médecin a changé d'avis et a décidé d'emmener Maciej dans l'unité de soin.

    Au cours de ces semaines, l'enfant a passé des tests de sevrage en respirant sans respirateur, mais les médecins insistent sur le fait qu'il n'y a plus d'espoir et qu'il doit être retiré du système de survie, même sans le consentement de ses parents. De plus, les médecins n'autorisent pas les parents à demander un deuxième avis médical. Ceux-ci n'ont toujours pas reçu de copie du dossier médical mais les médecins font pression pour que le ventilateur soit retiré le jeudi 21.

    La course contre la montre n’exclut pas de possibles interventions de la Pologne et d’autres acteurs de la communauté internationale. L'Italie est également impliquée d'une certaine manière, étant donné que la famille a donné à SteadfastOnlus mandat pour agir dans les sphères médicale, juridique, des médias et des collectes de fonds.

  • Participer à l'Université de la Vie 2020

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    PARTICIPEZ À L’UNIVERSITÉ DE LA VIE 2020 !

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    Face à toutes ces questions de bioéthique ...

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    13, 20, 27 janvier et 3 février 2020

  • "Eclats de vie" : le témoignage poignant de Blanche Streb

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    Eclats de vie - Témoignage - Grand Format

    Blanche Streb 

    Blanche Streb - Eclats de vie - Témoignage.

    Feuilleter

    D'une plume juste et sensible, Blanche Streb nous livre le récit haletant des cinq années qui ont bouleversé sa vie et celle de son mari. 

    Au fil de ces pages éclatantes d'humanité et d'espérance, le lecteur pénètre dans le cœur d'une femme confrontée à l'épreuve : de l'erreur médicale aux deuils, en passant par les angoisses de la stérilité. Alors que tout semble voler en éclats, elle trouve la force de continuer à rire, à vivre et à y croire. 

    Un véritable hymne à la vie.  
    Biographie de Blanche Streb

    Docteur en pharmacie, Blanche Streb est l'auteur de Bébés sur mesure. Le monde des meilleurs (Artège, 2018 - Prix éthique et société).

  • Ecclesia in Europa : l’autre face de l’Eglise

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    JPSC

  • "Joker" ou l'image de l'enfant sans père

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    De Charles Vaugirard sur Aleteia.org :

    Cinéma : « Joker », l’image de l’enfant sans père

    Joker, le film sur les origines de l’ennemi juré de Batman est une œuvre terrifiante et immense à la fois. La réalisation de Todd Philipps doublée de la performance de Joaquin Phoenix dans le rôle-titre est une œuvre troublante, aux multiples messages sur la réalité de notre société. C’est en particulier, de manière surprenante, un film sur la paternité.

    L’enfant rejeté par son père

    Arthur Fleck, alias le Joker, est l’archétype de l’enfant sans père, blessé par tout ce qui aurait pu remplacer le père absent. Dès le début du film, on voit un homme fragile, cassé par la maladie, vivant chez sa mère, vieille et fragile. La relation avec sa mère est ambiguë : il la baigne, il s’allonge à côté d’elle, sur son lit, pour regarder la télévision… Presque comme un mari, ce qui donne une relation œdipienne : le père est absent, le fils le remplace… Mais Arthur possède tout de même une figure masculine, un père rêvé : le présentateur vedette de la télévision, Murray Franklin (Robert de Niro). On le voit même s’imaginer siéger dans le public, être remarqué par son héros qui l’invite sur scène et le prend dans ses bras en lui disant : « J’aimerais tellement avoir un fils comme toi. » Murray est sa seule image paternelle.

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  • La littérature pour la jeunesse revue et corrigée par le politiquement et culturellement correct

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