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Eglise - Page 1322

  • Un témoin du Christ, mort à 24 ans à Mauthausen

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    Fêté aujourdhui : le bienheureux Marcel Callo

    Marcel Callo, un jeune ouvrier de Rennes, avait 24 ans quand il est mort en camp de concentration à Mauthausen. Sa vie de foi, son amour du Seigneur, sa passion pour la vie et la dignité de ses frères, l'ont conduit au martyre.

    Source : Rubrique Prière inXL6

    Marcel Callo, un jeune ouvrier de Rennes, avait 24 ans quand il est mort en camp de concentration à Mauthausen.

    Sa vie de foi, son amour du Seigneur, sa passion pour la vie et la dignité de ses frères, l'ont conduit au martyre. Jugé « trop catholique », il sera arrêté par la Gestapo et déporté.
    Au milieu des combats de son temps, et de ses combats personnels, il s'est laissé façonner par la grâce, jusqu'à l'ultime témoignage.
    Avec lui, nous pouvons apprendre à faire de notre humanité, de nos énergies propres un lieu offert au Seigneur, jusqu'au bout, une vie offerte aux frères et exposée à l'amour.

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  • « Forum chrétien de la vie sociale » le 1er mai 2013 à Louvain-la-Neuve

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    « Forum chrétien de la vie sociale »

    pour la première fois en Belgique 
    le 1er mai 2013 à Louvain-la-Neuve

    Ma foi, ça change tout...

    bracelet_news.jpgLe 1er mai 2013 prochain, la Communauté de l'Emmanuel organisera un « Forum chrétien de la vie sociale », à Louvain-la-Neuve. Cela fait plus de 20 ans que de tels forums sont organisés à Paray-le-Monial, en France, mais c'est la première fois que ce forum sera aussi organisé en Belgique.

    A l'occasion de l'année de la foi, que nous célébrons cette année, ainsi que du cinquantième anniversaire du Concile Vatican II, ce premier forum belge aura pour thème : « Ma foi, ça change tout... ». Nous vivons dans une société, ou une époque de l'histoire, qui se décrit souvent elle-même comme en transition, porteuse d'espoirs comme de désillusions. Un monde en perte de repères ou de sens, autant qu'en recherche de nouvelles voies d'avenir. Dans ce contexte, quelle est la place de la foi religieuse ? Doit-elle aussi être rangée au nombre des croyances et illusions déçues ? Ou, au contraire, dans un paysage où les idéologies s'éteignent, apparaît-elle plus que jamais comme une lumière toujours nouvelle, alors même que sa flamme semble parfois si fragile ?

    La foi, ça change la vie !

    Le « Forum du 1er mai » sera tout d'abord une occasion de redécouvrir comment la foi peut réellement être une lumière intérieure pour nos vies personnelles. L'avenir n'est pas fermé. Il ne nous condamne pas à nous replier sur nous-mêmes ou à fuir les angoisses du monde présent dans la surconsommation ou la recherche excessive de plaisir.

    La foi, ça change le travail !

    Mais il y a plus : si nous avons la chance d'être croyant, la foi peut aussi transformer notre regard sur le monde du travail et nous aider à ouvrir des perspectives renouvelées d'humanisation de ce lieu important de nos vies, même au coeur des difficultés que nous ne manquons pas de rencontrer.

    La foi, ça change la société !

    Mais n'y a-t-il pas encore plus ? La foi ne nous pousse-t-elle pas aussi à oser continuer à croire qu'un autre monde est possible ? Et que nous pouvons participer à sa construction. Mais comment faire ? Dans quelle direction aller ? Ici encore, la foi peut nous donner une lumière aussi précieuse que largement méconnue : celle de la doctrine sociale de l'Eglise.

    Mais que nous dit exactement la doctrine sociale chrétienne ? En quoi peut-elle être un guide pour notre temps ? Comment donc la foi peut-elle transformer nos vies personnelles, professionnelles et sociales ?

    Tel est le faisceau de questions que ce premier « Forum chrétien de la vie sociale » nous donnera l'occasion d'approfondir.

    Etes-vous, vous aussi, intéressés par ces réflexions ? Rendez-vous alors sur notre site pour en savoir plus et obtenir tous les renseignements utiles sur le Forum !

    D'ici le 1er mai, vous y découvrirez, notamment, une série de brèves vidéos qui seront publiées régulièrement et dans lesquelles plusieurs témoins, diversement engagés dans la vie, témoigneront de la façon dont la foi peut changer la vie, le travail ou la société.

    Dès maintenant, vous pouvez donc découvrir une première vidéo, en allant sur la partie "Blog" du site, ou en cliquant sur une des images suivantes :

     jacques_galloy.jpgsophia_kuby.JPG

     

     

     
     
  • Le pontificat de François bientôt confié à Notre-Dame de Fatima

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    Le pape François a adressé au cardinal portugais José Policarpo une requête spéciale. Le pape a demandé au patriarche de Lisbonne de consacrer son pontificat à Notre-Dame de Fatima.

    Durant ce mois d'avril, les évêques Portugais ont tenu leur réunion annuelle; ilsont tous accepté de procèder ensemble à la cérémonie de consécration.
     
    Cette célébration aura lieu le 13 mai (date anniversaire de la première apparition de la Vierge à Fatima); elle sera présidée par le Cardinal Policarpo, qui est également le Président de la Conférence épiscopale du Portugal. Les évêques ont également invité les pèlerins à prendre part à la cérémonie en l'honneur du « service pastoral du pape ».

  • Le recentrage de l'épiscopat français : un "effet-conclave" ?

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    Sur le site de “La Vie”, Jean Mercier  s’interroge comme nous l’avions fait ici: Mgr Pontier, nouveau président de la Conférence des Evêques de France: encore un effet “Paco” ?

    “(…) C'est un pasteur de terrain, à la fibre résolument sociale, qui a été choisi pour reprendre les rênes de la Conférence des évêques de France (CEF), lors de l'Assemblée plénière de l'épiscopat qui s'est tenue à Paris, le 17 avril. Mgr Georges Pontier, 69 ans, archevêque de Marseille depuis 2006, succède au cardinal archevêque de Paris, André Vingt-Trois, titulaire du poste depuis 2007.

    Peut-on penser ici à un « effet Conclave » ? Alors que l'on évoquait volontiers les favoris qu'étaient les deux vice-présidents de Mgr Vingt Trois, Hippolyte Simon (archevêque de Clermont) et surtout Laurent Ulrich (archevêque de Lille), c'est un outsider qui s'est imposé. Autre clin d'oeil : de même que Bergoglio s'était retrouvé en second en 2005 face à Ratzinger, Georges Pontier était le challenger d'André Vingt Trois en 2007 pour la présidence de la CEF...

    Pontier est-il un Bergoglio français ? Le profil du nouveau patron de la Conférence, avec sa prédilection pour les pauvres et sa simplicité relationnelle, son appétence pour le dialogue évoque en effet le pape François. La comparaison s'arrête là. Si Jorge Mario Bergoglio assume des idées radicales sur le mariage gay, la fierté d'être catholique, le combat spirituel contre le démon, Georges Pontier incarne une figure consensuelle, au barycentre de l'épiscopat.

    Le choix des évêques de confier la double vice-présidence à Mgr Pierre-Marie Carré, archevêque de Montpellier, et Mgr Pascal Delannoy, évêque de Saint-Denis renforce cette impression de modération, alors que, dans la période actuelle, à l'occasion de la mobilisation autour du mariage gay, on constate un phénomène de radicalisation au sein des catholiques sur des thèmes anthropologiques, voire à une politisation à droite.

    L'autre confirmation que les évêques, pris globalement, souhaitent corriger l'image d'une Eglise politisée ou radicale est la publication, le même jour que l'annonce de l'élection de Mgr Pontier, d'une note signée de l'évêque du Havre, Jean-Luc Brunin, le président du conseil famille et société de la Conférence épiscopale, et intitulée « Restructurations d'entreprises, choisir le dialogue social », texte qui appelle à la justice sociale et au dialogue (…).

    Tout l’article ici: Le recentrage de l'épiscopat : un "effet-conclave" ?

    Comme le note un observateur canadien sur le Forum Catholique, “il semble que le style du Pape François réveille, dans l’épiscopat, les vieux fantasmes d'une Église uniquement tournée vers les pauvres, d'un Pape qui déroge au protocole et qui vivrait comme un pauvre aux pieds nus, et d'une réforme continuelle de la curie (…) ». Ce retour aux utopies des années 1970 va-t-il caractériser les « années François » ?  Soulignant la « liesse médiatique » suscitée par ce nouveau pontificat, signe d’une « attente » des gens, le cardinal Vingt-Trois, président sortant de la conférence épiscopale française. avait mis celle-ci en garde contre un “engouement » qui  “risquerait” d’être éphémère s’il ne « s’attachait qu’aux signes les plus superficiels », tout en précisant avec humour que la « bienveillance ne faisait jamais de mal ». Des propos qui ont suscité de petits rires parmi les évêques réunis dans l’auditorium de la CEF…

    Les images -toutes les images- ont un côté irréel, mais aussi des effets bien réels...

  • Horion-Hozémont, 12 mai : procession paroissiale

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    Affiche Procession 2013.JPG

  • Un projet de législation qui bouleverserait le système des fabriques d'église

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    Nous lisons sur le site du Diocèse de Liège :

    "Après avoir informé la presse de ses projets en vue de l’élaboration d’un nouveau décret concernant le temporel du culte, le ministre Furlan vient enfin de transmettre aux évêques wallons un projet de circulaire instituant une opération "pilote" et demandant leur réaction. (accessible en PDF)

    Au travers de cette opération, c’est un bouleversement complet du système jusqu’à présent mis en place pour les fabriques d’église ; ce qui est actuellement obligatoire deviendrait conventionnel et donc négociable.

    La nature même des fabriques d’église est mise en cause en ce que ces dispositions en font des établissements totalement dépendants du bon vouloir communal. Le caractère mixte de la matière de temporel du culte (civil et religieux) ne serait plus respecté, la tutelle de l’évêque serait considérablement réduite. L’autorité communale pourrait intervenir tant dans la gestion des biens des fabriques que dans l’utilisation des lieux de culte.

    Si certains points nous semblent acceptables, il n’en est pas moins important de bien comprendre vers où veut aller le Ministre afin de pouvoir réagir en toute connaissance de cause avec des arguments juridiquement forts."

    Lire la note de réaction du Service des Fabriques d'église

  • Banneux, 1er mai : les diocèses de Liège et de Hasselt consacrés à Marie

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    Renouvellement de la consécration des diocèses de Liège et de Hasselt à Marie

    Le mercredi 1er mai, ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux, les évêques de Liège et de Hasselt renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres

    Chaque année, le 1er mai marque l’ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux. Et pour cause : le mois de mai est celui de Marie et les pèlerins affluent en grand nombre. Cela n’empêche évidemment pas que le Sanctuaire de la Vierge des Pauvres reste accessible toute l’année, 365 jours sur 365. Car, la « belle dame » est là, chaque fois que nous nous rendons à la petite chapelle ou à la source.

    En 2013, le 1er mai est le jour où les évêques de Liège et de Hasselt nous donnent rendez-vous pour un moment intense et solennel : ensemble, ils renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres.
    Au moment des apparitions, en 1933, le diocèse de Liège recouvre encore les provinces de Liège et de Hasselt. C’est d’ailleurs un Limbourgeois qui est le bon pasteur de ce troupeau où l’on parle les trois langues nationales, le flamand, le français et l’allemand. Après la reconnaissance officielle des huit apparitions, l’évêque a voulu consacrer son diocèse solennellement à Marie. Ce qui fut fait le 15 août 1953.

    Quel peut être le sens d’une telle consécration ?
    J’y vois d’abord l’expression d’une profonde gratitude : Marie a visité ce coin de terre à une époque d’énormes bouleversements politiques et sociaux. De grandes épreuves se dessinent –malheureusement– à l’horizon. Je viens soulager la souffrance promet-elle. Ceux qui se sont confiés à elle avec leur vie telle qu’elle est, ont pu faire l’expérience du secours maternel de Marie.


    La seconde guerre mondiale est passée par là et, après 1945, l’immense défi de la reconstruction et de la réconciliation a dû être relevé. Lorsque Mgr Kerkhofs décide de consacrer son diocèse à la Vierge des Pauvres, il sait que la dimension spirituelle ne peut pas être absente d’une telle aventure. Marie n’avait-elle pas affirmé que la source, réservée pour elle, était pour toutes les nations ?


    Après vingt ans, Banneux a fait ses preuves et l’évêque a bien compris que le ciel lui a fait un immense cadeau : il le reconnaît par cette consécration. Mais il souhaite surtout que toute l’Église qui est à Liège accueille joyeusement ce cadeau et trouve son secours auprès de Marie.


    Depuis le 31 mai 1967, le Limbourg est devenu un diocèse à part, réforme institutionnelle oblige, même à l’intérieur de l’Église de Belgique. Mais les habitants du Limbourg sont encore bien « chez eux » quand ils viennent à Banneux. C’est ainsi que les anciens mineurs de cette province ont gardé un merveilleux attachement à Notre-Dame : dans les heures tellement sombres de la fermeture de leurs mines, la Vierge des Pauvres a été un réel soutien pour eux. D’ailleurs quand le diocèse de Hasselt a fêté ses 40 ans d’existence, c’est à Banneux que l’évêque a donné rendez-vous à ses diocésains.


    Heureuse celle qui a cru ! est-il dit de Marie dans les évangiles. L’Année de la Foi voulue par le pape émérite Benoît XVI pour 2013 ne se prête-t-elle pas parfaitement à un renouvellement solennel de la consécration des deux diocèses à la Vierge des Pauvres ?

    Rendez-vous donc le 1er mai 2013 pour ce temps fort, tant pour les Limbourgeois que pour les Liégeois !


    Abbé Leo Palm, 
    Recteur du Sanctuaire de Banneux

    source : liege.diocese.be

  • Chrétienté, réveille-toi !

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    couvchretienteweb.jpgLe Père Aidan Nichols, dominicain, est l'un des plus brillants théologiens britanniques actuels. Il est l'auteur prolifique d'une quarantaine de livres sur des sujets très variés, dont la pensée de Joseph Ratzinger. La publication deChristendom Awake a fait grand bruit dans le monde anglo-saxon, car ce livre programme invite l'Eglise à redynamiser toute la culture contemporaine, de l'architecture à la famille, de la philosophie à la spiritualité, ou de l'art à la politique. La sortie de son édition française était attendue. Les titres des chapitres sont autant d'appels à retrouver sa capacité de transformation et de renouvellement de toutes les activités humaines : réassocier foi et culture, réenchanter la liturgie, reconstituer une société de foyers, resacraliser la culture matérielle, repenser le féminisme, reconcevoir l'oecuménisme, reconquérir la Bible, recréer la vie religieuse, sauver les Saints Innocents, réimaginer l'Etat de chrétienté etc. C'est dans un dialogue permanent avec la culture contemporaine (y compris dans de ce qu'elle peut avoir de contestable) que le Père Aidan Nichols repense à frais nouveaux une nouvelle évangélisation intégrale (mais non intégriste). La « chrétienté » qu'il appelle de ses voeux n'est pas un rêve nostalgique d'un état historique disparu, mais une société qui prend au sérieux la Résurrection du Christ. (via "Chrétiens dans la Cité")

     

    Chrétienté, réveille-toi !

    Redynamiser l’Église dans la culture

    Aidan Nichols o.p.

    Ed. de L'HHomme Nouveau, 320 p., 28 €

    www.hommenouveau.fr

  • Comment agir en chrétiens ?

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    Face à la détermination du gouvernement français à imposer "le mariage pour tous", les prêtres du "Padreblog" déterminent les exigences auxquelles doit obéir un engagement chrétien non violent mais résolu :

    AGIR EN CHRÉTIEN

    Vous êtes nombreux à nous demander des critères de discernement pour prendre part à la mobilisation contre le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de même sexe. Le climat s’est encore alourdi. Sentant l’opinion publique se retourner, le gouvernement accélère et choisit en effet de passer en force.

    Cette accélération est une nouvelle erreur que dénonce sévèrement le Cardinal Vingt-Trois : « que tous les moyens aient été mis en œuvre pour éviter le débat public, y compris dans le processus parlementaire, peut difficilement masquer l’embarras des promoteurs du projet de loi. Passer en force peut simplifier la vie un moment. Cela ne résout aucun des problèmes réels qu’il faudra affronter de toute façon » (discours aux évêques de France du 16 avril 2013 à Paris).

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  • Le mystère du Pain de Vie

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    Homélie du jour (homelies.fr - archive 2004)

    Jésus se présente comme la nourriture essentielle, le pain qui donne la vie. Le lieu par excellence où se partage le pain est la table familiale : le père rompt le pain, fruit de la terre et de son travail, il rend grâce à Dieu de lui permettre de subvenir aux besoins des siens, puis il le distribue à ses enfants pour qu’ils s’en rassasient. Dans ce partage du même pain, ce ne sont pas seulement les corps qui se nourrissent, mais c’est aussi l’unité familiale qui se construit. La commensalité est au service de la convivialité, de l’épanouissement intégral de la vie, qui inclut la relation aux autres et ultimement à Dieu.

    « Moi je suis le Pain de la vie », le pain qui nourrit chacun de nous selon ses besoins personnels et en même temps nous établit dans l’unité d’une même famille : « la famille de Dieu » (Eph 2, 19). C’est le Père lui-même qui « rompt le Pain », qui nous le livre pour qu’en lui nous ayons la vie en plénitude : celui qui, s’approchant de la table, « vient à Jésus », « n’aura plus jamais faim », car dans la foi, il pourra se rassasier sans cesse de sa présence.

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  • La tragédie de Boston

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    Boston : le pape invoque la paix de Dieu pour les morts

    Source: radio vatican

    Surprise et consternation aux Etats-Unis après des attentats à la bombe qui ont fait trois morts et 141 blessés dont dix graves à Boston, alors que la ville était pleine de touristes à l’occasion du marathon international. 26000 coureurs participaient au marathon. Le symbole est fort puisque l’attentat est aussi intervenu le jour des patriotes aux Etats-Unis.

    Le pape profondément blessé par la nouvelle

    Dans un télégramme adressé au cardinal Sean O’Malley, archevêque de Boston, le pape se dit profondément blessé par la nouvelle : ces actes de violence perpétrés lundi soir dans la ville américaine et qui ont causé la perte de vie humaine et de nombreux blessés. « Le Pape François souhaite que je vous transmette sa sympathie et sa proximité en prière », écrit le cardinal Bertone, le secrétaire d’Etat du Saint-Siège et signataire de ce message.

    Après cette « tragédie insensée » le pape François invoque « la paix de Dieu pour les morts, sa consolation pour les personnes en souffrance et sa force pour ceux qui sont engagés dans la poursuite des travaux de secours et d'intervention ».

    « En ce moment de deuil, poursuit le télégramme, le saint Père prie pour que tous les habitants de Boston soient unis dans la volonté de ne pas se laisser surmonter par le mal mais de combattre le mal par le bien, travaillant ensemble pour construire une société toujours plus juste, libre et sûre pour les générations à venir. »

    Réactions des évêques américains

    L’Eglise catholique américaine a réagi suite à ces violences. Le cardinal Timothy Dolan, président de la conférence épiscopale américaine a rappelé dans une déclaration que le « diable existe et que la vie reste fragile ». L’archevêque de New York prie pour les victimes et pour la restauration de la paix. « La croissance de la culture de la violence - a déclaré le prélat - doit être affrontée par des mesures de sécurité. Nous devons nous demander comment faire pour promouvoir la paix et le respect de chacun dans notre monde ». Le Cardinal Sean O’Malley, archevêque de Boston, a exprimé toute sa douleur après cet acte de violence « insensé ». Ses prières sont dirigées vers les victimes et les blessés.