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Eglise - Page 1324

  • Des chrétiens, pas des idéologues...

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    Disciples du Christ et non de l’idéologie

    2013-10-18 L’Osservatore Romano

    « Quand un chrétien devient disciple de l’idéologie, il a perdu la foi et n’est plus disciple de Jésus ». Et l’unique antidote contre ce danger est la prière. Tel est le message que le Pape François a tiré de la liturgie de la Parole de la Messe célébrée ce jeudi 17 octobre, à Sainte-Marthe.

    Le Pape a centré son homélie sur le passage évangélique de Luc (11, 47-54) qui rapporte l’admonition de Jésus aux docteurs de la loi – « Malheureux êtes-vous, docteurs de la Loi, parce que vous avez enlevé la clé de la connaissance ; vous-mêmes n’êtes pas entrés, et ceux qui essayaient d’entrer, vous les en avez empêchés » – y associant l’image d’« une Eglise fermée » dans laquelle « les gens qui passent devant ne peuvent pas entrer » et où « le Seigneur qui est à l’intérieur  ne peut pas sortir ». D’où l’avertissement à ces « chrétiens qui ont la clé à la main et l’emportent, n’ouvrent pas la porte » ; où pire, « s’arrêtent à la porte » et « ne laissent pas entrer ».

    Mais quelle est la cause de tout cela ? Le Saint-Père  l’a identifiée dans le « manque de témoignage chrétien », qui apparaît encore plus grave si le chrétien en question « est un prêtre, un évêque, un Pape ». Du reste, Jésus est très clair quand il dit : « Allez, partez jusqu’aux extrémités du monde. Enseignez ce que j’ai enseigné. Baptisez, allez aux carrefours des routes et faites les tous entrer, les bons et les méchants. Ainsi dit Jésus. Tous à l’intérieur ! ».

    Chez le chrétien qui prend « cette attitude de ‘clé dans la poche et de porte fermée’ », il existe, selon le Pape, « tout un processus spirituel et mental » qui conduit à faire passer la foi « pour un alambic », en la transformant en « idéologie ». Mais « l’idéologie – a-t-il averti – n’appelle pas. Jésus ne se trouve pas dans les idéologies. Jésus est tendresse, amour, douceur, et les idéologies, de toute orientation, sont toujours rigides ». Au point qu’elles risquent de rendre le chrétien « disciple de cette attitude de pensée » plutôt que « disciple de Jésus ».

    Il faut alors se demander ce qui provoque « dans le cœur de ce chrétien, de ce prêtre, de cet évêque ou de ce Pape » une attitude du genre. Pour le Pape François la réponse est simple : « Ce chrétien ne prie pas. Et si la prière est absente », la porte se ferme.

    Donc, « la clé qui ouvre la porte à la foi est la prière ». Car « quand un chrétien ne prie pas, son témoignage et orgueil ». Et lui-même est « un vaniteux, un orgueilleux, c’est quelqu’un plein d’assurance, il n’est pas humble. Il recherche sa promotion. En revanche, quand un chrétien prie il ne s’éloigne pas de la foi : il parle avec Jésus ».

    En conclusion, le Pape a invité à demander au Seigneur la grâce de ne jamais cesser « de prier  pour ne pas perdre la foi » et de « rester humble » de manière à ne pas devenir des personnes fermées « qui bloquent la route au Seigneur ».

  • La nouvelle version du Notre Père, la victoire d'un camp ?

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    Le Notre Père nouvelle version n’est pas la victoire d’un camp !

    Le "boulevard Voltaire" propose un entretien au sujet de cette nouvelle version avec le Père Louis-Marie Guitton (responsable de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon)

    • Le pape propose une « nouvelle version » du Notre Père. Pourquoi maintenant ?

    Le bon Dieu a de l’humour… La popularité du pape François est telle et son invitation souvent répétée à nous « laisser surprendre » qu’on lui attribue maintenant cette nouvelle traduction du Notre Père. C’est en fait un travail de longue haleine, commencé en 1996, qui est en train d’aboutir, avec la reconnaissance donnée par Rome cet été, puis la publication de la traduction officielle au mois de novembre prochain. Cette traduction de la Bible pour la liturgie francophone, qui n’arrivera que dans quelques mois à la messe, lorsque les nouveaux lectionnaires auront été édités, prépare une autre traduction, qui suscitera sans doute beaucoup d’autres débats dans le monde francophone : celle du missel romain.

    • Peut-on y voir une invitation à l’unité pour les chrétiens ?

    La nouvelle traduction en français du Pater avait été annoncée le 29 décembre 1965, puis confirmée le 4 janvier 1966, dans un communiqué commun avec les représentants des chrétiens orthodoxes et réformés : on y précisait qu’elle serait commune aux trois confessions chrétiennes, dans un esprit d’unité. Les protestants ont déclaré, par la voix du pasteur Jean Tartier, que la nouvelle traduction est « de toute façon meilleure que l’ancienne ». De même Antoine Arjakovsky, orthodoxe, s’est réjoui car « l’ancienne formule de 1966 laissait sous-entendre que Dieu était à l’origine du mal ». Il est probable que l’on sera attentif à cette dimension œcuménique lors de la promulgation du missel, pour que l’on utilise la même formule dans les églises et dans les temples et que l’on puisse continuer à réciter ensemble cette prière.

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  • Urgence Egypte : un appel de l'Aide à l'Eglise en Détresse

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    Préhome1.jpg"Prions ensemble pour la paix, pour le dialogue et la réconciliation sur cette Terre bien-aimée, l'Égypte."
    Pape François 
     

    Chers amis,

    « Nous avons toujours peur de ce qui va se passer par la suite. Les Frères musulmans et d'autres extrémistes ont menacé d'attaquer des églises et des maisons chrétiennes. Nous ne savons jamais où ils frapperont la prochaine fois. » C'est en ces termes que le Père Rafik Greiche exprime l'inquiétude des chrétiens d'Égypte.

    La situation est dramatique : nombre d'églises, de monastères, d'hôpitaux et d'écoles chrétiennes ont été violemment attaqués à la suite de la chute de l'ex-président Morsi. Une trentaine d'églises ont même été totalement rasées. Cette violence a également affecté de nombreuses familles coptes, dont les maisons et magasins ont été incendiés. Dans de telles conditions, comment nourrir sa famille ?

    Très attaché à son pays, un père de famille nous confie "Je prie Dieu qu'il aide ma famille et nous donne la possibilité de vivre ici en Egypte"Sœur Amal, une religieuse égyptienne, nous demande de "dire la vérité sur ce que vivent les chrétiens d'Egypte, contrairement aux médias européens"Cette vérité est la peur du lendemain, la violence, la misère.

    C'est pourquoi le Patriarche d'Alexandrie nous a fait une demande d'aide d'urgence, pour venir au secours des familles coptes les plus touchées : nous avons besoin de vous pour réunir 30 000 €.

    Je compte sur vous, chers amis, pour ne pas les oublier et prier ardemment le Seigneur de les aider à surmonter la persécution qu'ils subissent dans leur pays.

    Fraternellement en Christ,

    Signature
    Marc Fromager
    Directeur de l'AED


    PS
     : Pour en savoir plus, je vous invite à voir cette vidéo.

  • Ambiguités anglicanes

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    welby_papa_francisco.jpg« Le nouveau primat de l’Église d’Angleterre, de la communion anglicane et archevêque de Cantorbéry, est une personnalité complexe… Loin d’être un “anglo catholique”, il serait plutôt à classer dans le courant “évangélique charismatique” dans la communauté anglicane, Mgr Justin Welby ne voit aucun inconvénient à l’ordination des femmes, mais il invite ses fidèles à se confesser à la manière des catholiques, ce qui n’est guère dans les habitudes de ce courant. Plus curieux encore, Mgr Welby a un directeur spirituel – il préfère dire “accompagnateur spirituel” – qui est catholique : le Père Nicolas Buttet, un ancien politicien suisse converti, qui fut ermite durant de longues années et a été ordonné prêtre catholique par Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus Toulon… »

     Ici , sur riposte catholique Communion anglicane : son primat a un directeur spirituel… catholique

     JPSC

  • Prosélyte, non; missionnaire, oui !

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    Certains ont relevé les propos assez durs que le pape a tenus à l'égard du prosélytisme en l'accusant de manière plus ou moins directe de renoncer à convertir les non-chrétiens. Sandro Magister remet les pendules à l'heure dans un billet publié sur chiesa.espresso, intitulé Non au prosélytisme. Oui à la mission :

    Le premier est "une solennelle sottise", a dit le pape François. Mais la seconde est la priorité de son pontificat. Cela après des décennies de déclin de l'expansion missionnaire de l'Église, racontées aujourd'hui par un témoin exceptionnel qui en révèle des aspects jusqu'ici ignorés 

    À l’occasion de l'audience générale de mercredi dernier, sur une place Saint-Pierre qui était archicomble comme à l’accoutumée, le pape François a insisté une nouvelle fois sur l’un des points essentiels de son pontificat : le devoir qu’a l’Église de se faire "missionnaire", autrement dit de "continuer sur le chemin de l’histoire la mission même que Jésus a confiée à ses apôtres : Allez donc et faites de tous les peuples des disciples, en les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et en leur apprenant à observer tout ce que je vous ai commandé".

    Le dimanche 20 octobre sera la journée mondiale des missions, marquée par le message pontifical relatif à cette question, dans lequel on peut en particulier lire ceci :

    "Le caractère missionnaire de l’Église n’est pas un prosélytisme mais un témoignage de vie qui illumine le chemin, qui porte espérance et amour. L’Église n’est pas une organisation d’assistance, une entreprise, une ONG mais une communauté de personnes animées par l’action de l’Esprit Saint, qui ont vécu et vivent l’étonnement de la rencontre avec Jésus-Christ et désirent partager cette expérience de joie profonde, partager le Message de salut que le Seigneur nous a apporté".

    Le pape Jorge Mario Bergoglio a déjà insisté à de nombreuses reprises sur le fait que l’Église "n’est pas une ONG d’assistance". Et qu’elle ne fait pas non plus de "prosélytisme" : une pratique qu’il a condamnée, au cours du célèbre entretien qu’il a eu avec Eugenio Scalfari, comme étant "une solennelle sottise", qui "n’a pas de sens".

    Mais, d’après le pape François, cela ne veut pas dire que l’Église doive se renfermer sur elle-même et renoncer à convertir. C’est tout le contraire. Depuis le moment où il a été élu successeur de Pierre, le pape Bergoglio n’a pas arrêté d’inciter l’Église à "s’ouvrir", à atteindre les hommes jusque dans leurs plus lointaines "périphéries existentielles".

    En effet, le ralentissement de l’élan missionnaire est l’un des points les plus critiques pour l’Église catholique des dernières décennies.

    Lire la suite sur chiesa.espresso

     

  • L’abbaye de Wisques (Saint-Omer) : rediviva

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    Octobre 2013 : une deuxième vie pour l’abbaye de Wisques, dans le Pas-de-Calais, grâce à un essaimage des Bénédictins de Fontgombault (congrégation de Solesmes). Premières images:

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    JPSC

  • Dies Academicus à la Communauté Saint-Martin

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    C’est maintenant la rentrée dans cette communauté destinée à fournir des prêtres aux diocèses en manque de vocations. Lesquelles ne lui font pas défaut : 31 séminaristes ont rejoint la communauté cet automne, en première année…

     dies ac 5.jpgLe Dies academicus, c’est un peu la pré-rentrée pour les séminaristes. Il permet d’aiguiser leur curiosité intellectuelle avant le début des cours. A cette occasion, plusieurs prêtres membres ou amis de la communauté les ont rejoint pour une journée de formation, à Candé. Le thème choisi cette année était celui de « la théologie du corps selon Jean-Paul II ». Le professeur Yves Semen, auteur d’ouvrages à succès sur ce sujet* était l’invité d’honneur du séminaire. Il a brillamment analysé en quoi l’enseignement du pape polonais sur le mariage, la sexualité et la vie conjugale constitue une heureuse « bombe à retardement pour le troisième millénaire », selon l’expression de son biographe George Weigel.

    La vocation d’époux : cœur de la vie chrétienne

    Qu’il soit prêtre, religieux ou laïc, tout chrétien est appelé à vivre de l’amour que le Christ-Epoux donne à l’Eglise son épouse. Les noces que Dieu veut célébrer avec l’humanité sont d’ailleurs le thème central de la Bible, depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse, en passant par Cana et le Cantique des cantiques. 

     Le couple : lieu de sanctification

    Si le Salut est accordé à chacun de manière individuelle, les époux ont une responsabilité dans la sanctification de leur conjoint. Ils ont également charge d’âmes envers leurs enfants dont ils sont les premiers éducateurs dans la foi. Le couple et la famille sont donc le lieu privilégié de la sainteté.

     Don Francois-Régis, directeur de l'Ecole de Théologie de la Communauté

     * Nous conseillons particulièrement son dernier ouvrage : La préparation au mariage selon Jean-Paul II et la Théologie du corps, Ed. Presses de la Renaissance, 2013, 446 pages.

     Ref. Dies Academicus

    JPSC

  • Mgr Fellay, un nouveau donatiste ?

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    Notre ami, le chanoine Eric de Beukelaer commente sur son blog les propos du supérieur de la Fraternité Saint Pie X :

    Le donatisme nouveau

    Ainsi, l’évêque Bernard Fellay, supérieur de la Fraternité Saint-Pie X déclare que le pape François est un authentique moderniste et qu’avec lui « la situation de l’Eglise est un vrai désastre, et ce pape est en train de la rendre 10.000 fois pire ».« Si le pape actuel continue comme il a commencé, il va diviser l’Eglise. Il fait tout exploser. Les gens vont finir par dire: c’est impossible qu’il soit le pape, nous ne voulons pas de lui. […] Il provoque la colère. Bien des gens seront découragés parce que certains membres de l’Eglise seront tentés de la rejeter en bloc ».

    J’y pensais en rentrant ce soir de la première soirée Nightfever au cœur de la ville de Liège. Organisée par le chemin neuf, l’emmanuel, les jésuites, salésiens, dominicains, paroisses… elle rassembla de nombreux jeunes. Au programme: témoignage et exhortation du nouvel évêque, louange, adoration eucharistique, confessions,… D’où ma question: « Mgr Fellay, où est le fléau qui fera exploser l’Eglise? » Vous me faites vraiment penser aux donatistes – ces rigoristes africains qui, au IVe siècle, refusaient de reconnaître la validité des sacrements délivrés par les évêques qui avaient failli lors de la persécution de Dioclétien. Ils se présentaient comme les seuls « vrais, purs et durs »… Ils ont fini nécrosés. J’en appelle à votre responsabilité d’évêque: « Qui est source de division? Où donc conduisez-vous votre troupeau? »

    Je ne me réjouis pas de vous voir ainsi vous embourber dans le schisme. Me reviennent les paroles de saint Augustin face aux donatistes (sermon sur le Psaume 32): « Les donatistes qui disent : « Vous n’êtes pas nos frères » nous traitent donc de païens (remplacer « païens » par « modernistes »). C’est pourquoi ils veulent nous rebaptiser (dans ce cas-ci: nous imposer comme seule valide, la liturgie pré-Vatican II), car ils affirment que nous n’avons pas ce qu’ils nous donnent. De là découle leur erreur, de nier que nous ne soyons leurs frères. Mais pourquoi le Prophète nous a-t-il dit : Vous leur répondrez : « Vous êtes nos frères » sinon parce que nous reconnaissons en eux le baptême que nous ne réitérons pas. Eux donc, en ne reconnaissant pas notre baptême, nient que nous soyons leurs frères ; nous, en ne réitérant pas sur eux, mais en reconnaissant le nôtre, nous leur disons : « Vous êtes nos frères ! »

  • Les raisons de croire

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    « Prétendre que le monothéisme haïsse l’intelligence suggère une ignorance surprenant des œuvres de génie produites à travers les siècles par les croyants juifs, chrétiens et musulmans. Étienne Gilson relève même une innovation du christianisme à cet égard, qui va au-delà des réalisations individuelles peut-être indépendantes de la foi de leur sauteurs : « C’est seulement dans la théologie spéculative judéo-chrétienne que se produisit enfin la rencontre et qu’une alliance durable fut scellée entre l’être de la philosophie et le dieu de la religion. Les choses se firent d’ailleurs avec une remarquable lenteur, mais un événement important rendait la chose finalement inévitable. On en trouve la description chez Lactance, homme sans génie philosophique mais observateur d’une remarquable perspicacité. Il annonçait simplement, comme un événement dont les suites devaient être considérables, la jonction de la fonction sacerdotale et de la fonction philosophique. Jusqu’à l’avènement du christianisme, jamais prêtre d’aucune religion n’avait été ce qu’on nomme aujourd’hui un philosophe, jamais un philosophe de quelque renom n’avait été un prêtre, or Lactance voyait au contraire s’ouvrir avec le christianisme une ère nouvelle dans laquelle les prêtres seraient aussi les philosophes et inversement » (Constantes philosophiques de l’être, Paris, Vrin, 1983, p. 10). Fr. Ch. Morerod, O. P., « Quelques athées contemporains (Comte-Sponville, Dawkins, Le Poidevin, Onfrray) à la lumière de S. Thomas d’Aquin », Nova et Vetera 77 (2007), p. 159-160. »

    Ici , sur le blog de Dominique Le Tourneau: Arrêt sur christianisme

    On connaît le mot de Pascal : « prenez de l’eau bénite et abêtissez-vous », une manière d’humilier l’orgueil de l’intelligence. Soit, mais la foi s’adresse à toutes les facultés de l’homme. JPSC

  • La religion la plus persécutée au monde

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    De Christophe Lamfalussy (La Libre) 

    Un rapport britannique parle de "la religion la plus persécutée au monde".

    La montée en puissance des groupes islamistes radicaux met en danger la liberté religieuse et la survie à long terme du christianisme au Moyen-Orient, estime l’organisation Aid to the Church in Need dans un rapport impressionnant, publié ce jeudi, qui répertorie les persécutions contre les chrétiens dans le monde depuis 2011.

    " Les objectifs de ces groupes islamistes incluent l’éradication - ou au moins la soumission - de la chrétienté ", souligne le rapport "Persecuted and Forgotten ?" qui a été présenté à la presse hier au Royaume-Uni. "Bien financés, bien connectés politiquement et disposant d’un entraînement et d’un équipement militaire high tech, ces groupes radicaux ont porté des coups sévères aux communautés chrétiennes, en semant la mort et en détruisant des églises."

    Lire la suite sur la Libre : Sale temps pour les chrétiens

  • La provocation d'un acolyte indélicat

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    Il faut décidément se montrer très vigilant par les temps qui courent comme le montre cette malheureuse affaire montée en épingle sur SudInfo.be  : http://www.sudinfo.be/