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Eglise - Page 1376

  • François : dans la peau d'un Européen ?

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    Lu sur EuropeInfos (COMECE) :


    L’évêque de Rome dans la peau d’un Européen

     

    Un pape non-européen qui sera confronté à des défis européens


    Le pape François venait à peine d’apparaître au balcon de la basilique Saint-Pierre le mercredi 13 mars qu’il a délibérément commencé par prendre la parole "urbi" plutôt que "orbi". En s’identifiant comme Evêque de Rome, le nouveau pape a souligné le lien essentiel existant entre lui-même et la ville dont il devenait évêque. Il s’est certainement rendu compte qu’en tant que nouveau pasteur de Rome, il devenait de droit le premier citoyen de Rome, ce qui faisait de lui également un citoyen européen.

     

    Le nouveau pape est natif d’Argentine et il a vécu et travaillé essentiellement dans son pays natal, que ce soit comme prêtre ou comme évêque. Mais ses liens avec l’Europe sont forts. Fils d’émigrants du Piémont, il a étudié en Allemagne pendant sa formation de prêtre jésuite, puis, après un mandat de provincial de son Ordre, il s’est rendu à Dublin en juin 1979 pour améliorer son anglais. Le registre de l’économe de Milltown Park, l’institut jésuite de théologie de Dublin, indique qu’un jeune jésuite en formation a reçu £14 pour accompagner le Père Bergoglio lors d’une journée de visite.

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  • Sur KTO : où en sont les Frères de Saint-Jean

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    KTO reçoit le frère Thomas Joachim, prieur général de la Communauté des frères de Saint-Jean. Les "Petits Gris" viennent de vivre un chapitre général important, à une étape également importante de la croissance de leur jeune communauté (fondée en 1975), sept ans après la mort de leur fondateur, le père Marie-Dominique Philippe. Au cours de ce chapitre, des zones d'ombre dans la vie du fondateur ont été révélées aux frères, pour être ensuite divulguées publiquement. Quelles sont ces "zones d'ombre"? Pourquoi les avoir révélées ? Où en sont les frères de Saint-Jean aujourd'hui ? Quelles sont leurs forces et leurs faiblesses ? Quelle est leur place dans l'Église en France? Quel est leur charisme ? Quelles voies pour l'avenir ?

    http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/editions-speciales-ou-en-sont-les-freres-de-saint-jean-/00077235

  • Quand le pape, il y a près de 75 ans, remettait les journalistes à leur place...

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    Un savant ami, très familiarisé avec les écrits des papes, nous communique un texte déjà ancien et qui n'a rien perdu de son actualité :

    Je "tombe" sur ce texte qui a été écrit, bien sûr, dans le contexte du fascisme mais Jean XXIII, comme on va le lire, estime, en 1959, qu'il est intéressant "pour tous les temps". Et en effet, le texte peut fustiger bien des comportements journalistiques d'aujourd'hui. A mon avis.

    Le 10 février 1939, Pie XI devait prononcer un discours devant les évêques d’Italie. Pie XI ne le prononça pas car la mort le saisit  alors qu’ « il était encore en train d’écrire les mots de son discours par lesquels il prenait congé de ses évêques d’Italie »[1]. Toutefois, le 26 janvier 1959, Jean XXIII révéla, quelques extraits de ce message. Notamment ces « lignes pleines d’enseignements utiles pour tous les temps » :

                « Ce que Nous estimons devoir dire à vous et de vous, Nous devons le dire d’abord à Nous-même et de Nous-même.

                Vous savez, très chers et vénérables Frères, comment souvent on traite la parole du pape. On s’occupe de Nous et non seulement en Italie, de Nos allocutions, de Nos audiences, le plus souvent pour en altérer le sens et même en inventant du commencement à la fin, pour Nous faire dire des sottises et des absurdités. Il y a une presse qui peut tout dire contre Nous et Nos affaires, même en rappelant et en interprétant faussement et perversement l’histoire proche et lointaine de l’Eglise, jusqu’à nier opiniâtrement toute persécution en Allemagne, négation qu’accompagne l’accumulation fausse et calomnieuse de politique, comme la ;persécution de Néron s’accompagnait de l’accusation de l’incendie de Rome. Et on laisse dire, puisque’ notre presse ne peut même pas contredire ou rectifier.

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  • Que révèle l'étrange langage du pape François ?

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    De «Frères et sœurs, bonne soirée» à «soyez des mères, pas des vieilles filles; que révèle le langage du pape François? 

    Une interview réalisé par Martino Cervo auprès de Giovanni Gobber, professeur de linguistique générale et de linguistique germanique à l'Université de Milan, publiée dans Tempi et traduite par nos soins, tente de répondre à cette question

    "La chance de Bergoglio? Il a échappé à 68 parce qu'il n'était pas en Europe ".

    Le Professeur Giovanni Gobber, professeur de linguistique générale à l'Université catholique de Milan, se livre (dans l'Ordine) à une réflexion sur la révolution que constitue (aussi) le langage du nouveau Pape qui a commencé dans la fraîcheur du soir du 13 mars, par un «Frères et sœurs, bonsoir!» de la part d'un pontife qu'on était allé chercher "au bout du monde"; langage constitué de mots simples, souvent taillé à la hache, de métaphores bien senties, et aussi de périphrases impitoyables: la sortie contre les «chrétiens de salon», la dénonciation « des trop nombreuses faces de piment sous des apparences d'huile », la recommandation faite aux religieuses d'être « des mères et pas des vieilles filles », la nécessité d'ouvrir grands les "cœurs chiffonnés", l'insistance sur le fait de "sortir", sur les "periphéries existentielles", le tout amplifié par son choix d'abandonner presque intégralement le latin au profit de l'italien au cours des célébrations et des prières publiques.

    Une approche qui, réunion après réunion et sermon après sermon, en a surpris beaucoup, y compris Gobber, au-delà de la nouveauté que constitue en soi le premier jésuite et le premier non-Européen à monter sur le trône de Pierre: «Quand j'ai vu Bergoglio pour la première fois sur le balcon, j'ai pensé, oh mon Dieu, nous allons revenir à il y a 40 ans, comme s'il n'y avait pas eu Wojtyla. Mais au contraire ... ".

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  • Pays-Bas : quand un cardinal qui est aussi médecin s'interroge sur le droit à l'euthanasie à tout-va

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    Sur le blog de Jeanne Smits :

    La clinique de fin de vie créée en 2012 aux Pays-Bas pour répondre aux demandes d'euthanasie qui ne sont pas honorées par les médecins traitants, soit que ceux-ci fassent partie des 15 % d'objecteurs de conscience, soit qu'ils estiment qu'une demande donnée ne répond pas aux critères de l'euthanasie légale, connaît un franc succès avec le doublement des « escadrons de la mort » en un an, et une cinquantaine d'euthanasies effectivement à son actif.

    Le cardinal Willem Eijk, archevêque d'Utrecht, médecin de formation et spécialiste de la bioéthique, a réagi à cette information sur une radio catholique néerlandaise en se demandant d'emblée si la demande publique est bien ce qui est explique le succès de la clinique de fin de vie. En notant que c'est bien souvent l'offre qui crée la demande.

    Il a souligné par rapport à ces médecins qui sont prêts à pratiquer des euthanasies alors que le médecin traitant du demandeur ne le veut pas, que « la question est de savoir comment ces médecins considèrent les critères existants, qui exigent une souffrance sans perspective d’amélioration et aussi insupportable. »

    De fait la KNMG, l'association professionnelle des médecins, a publié des directives en 2011 annonçant que ces critères étaient appliqués de manière trop restrictive. Loin de s’en tenir aux critères dans le cadre d’une maladie physique ou psychique déterminée, souligne le cardinal Eijk :

    « La KNMG est d’avis au contraire qu’il faut tenir compte d’un ensemble complexe de facteurs et d’affections liés à la vieillesse. (…) On constate une tendance ces dernières années à vouloir étendre le champ de la souffrance sans perspective et insupportable, une tendance que l’on constatait dès le début des discussions dans les années 1980. Au départ il était question d’agir pour mettre un terme à la vie à la demande personnelle du patient et dans une phase de maladie vraiment terminale – quelques semaines tout au plus avant la fin de vie attendue – et c’est après que de tout autres indications se sont ajoutées, visant les affections psychiatriques par exemple. Aujourd’hui on voit qu’on n’exige même plus d’un diagnostic médicalement répertorié. 

    Les critères s’étendent de plus en plus, comme il est naturel lorsque vous avez entrouvert la porte : elle va d’elle-même s’ouvrir de plus en plus. Si vous portez atteinte au principe fondamental selon lequel les hommes ne disposent pas du droit sur la vie et la mort, si dans certains cas, des “exceptions”, vous permettez d’y déroger, en affirmant que dans certains cas il n’y a plus de perspectives ou que la souffrance est insupportable, alors si le cas est tout petit peu moins sans perspectives ou juste un peu moins insupportable, pourquoi ne pourrait-on pas accepter l’euthanasie ou l’aide à mourir dans ces cas ? »

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  • Pourquoi le christianisme scandalise

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    Le scandale de l’Incarnation

    source : Osservatore Romano

    Le scandale d’un Dieu qui s’est fait homme et est mort sur la croix à été au cœur de l’homélie tenue par le Pape le matin du samedi 1er juin, lors de la messe qu’il a concélébrée dans la chapelle de la Domus sanctae Marthae.

    Le souvenir du martyr Justin, dont on célèbrait la mémoire liturgique, a offert au Pontife l’occasion de réfléchir sur la cohérence de la vie et sur le noyau fondamental de la foi de chaque chrétien: la croix. « Nous pouvons faire toutes les œuvres sociales que nous voulons, – a t-il affirmé – et ils diront: mais qu’elle est bonne l’Eglise, qu’elles sont bonnes les œuvres sociales que fait l’Eglise! Mais si nous nous disons que nous faisons cela parce-que ces personnes sont la chair du Christ, alors vient le scandale ».

    Sans l’incarnation du Verbe le fondement de notre foi vient à manquer, a souligné le Pape: « Ceci est la vérité, ceci est la révélation de Jésus. Cette présence de Jésus incarné. Tel est le point ». Si on oublie cela, « la séduction » pour les disciples du Christ « de faire des choses bonnes sans le scandale du verbe incarné, sans le scandale de la croix » sera toujours forte.

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  • Ce à quoi nous invite la Fête-Dieu d'après le pape

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    La fête du Corpus Christi nous demande de nous convertir à la foi en la Providence, à partager le peu que nous sommes et le peu que nous avons, et de ne pas nous fermer à jamais. Demandons à Marie, notre Mère qu'elle nous aide à cette conversion, pour que nous suivions toujours plus ce Jésus que nous adorons dans l'Eucharistie.


    Benoît, lors de l'Angelus de ce dimanche de la Fête-Dieu

    Testo proveniente dalla pagina http://it.radiovaticana.va/news/2013/06/02/langelus_di_papa_francesco_-_testo_integrale/it1-697693 del sito Radio Vaticana 

    Son homélie pour la Fête-Dieu (jeudi 30 mai) : http://www.zenit.org/fr/articles/l-eucharistie-de-l-anonymat-a-la-communion

  • De quel bois se chauffe le nouvel évêque de Liège ?

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    Il n’y a pas beaucoup d’évêques ni de prêtres, en Belgique, pour s’aventurer à célébrer la liturgie de l’avant-concile. Il se fait que le nouvel évêque désigné pour succéder à Mgr Jousten sur la cathèdre de saint Lambert l’a fait ce samedi au Saint-Sacrement, devant une église comble, et cela au lendemain même du jour où sa nomination a été rendue publique.

    Il faut bien dire que cette prestation était prévue depuis longtemps dans le cadre de la célébration de la Fête-Dieu organisée dans cette église. Mais on ajoutera que Jean-Pierre Delville est un « récidiviste » puisqu’il l’avait déjà fait, dans la même église, il y a quelques semaines, à l’occasion de « plain-chant sur Liège ».

    De là à l’étiqueter « évêque  Summorum Pontificum » (1), il n’y a qu’un pas que certains s’empressent de franchir allègrement. Pour ma part, je préfèrerais de loin qu’on lui reconnaisse ce souci que Paul recommandait aux premiers chrétiens « d’être tout à tous » plutôt que de vouloir le classer selon une optique partisane.

    L’Esprit-Saint ne doit pas manquer d’humour et il doit sans doute sourire de l’embarras où se trouvent certains observateurs qui ne savent plus très bien à quel saint se vouer. Ainsi, que faut-il penser du pape ? Est-il « tradi » ou plutôt « progressiste » ? Et le nouvel évêque de Liège ? Certains journalistes voient d'ailleurs en lui un émule de François. Alors, on cherche des indices : son appartenance à Sant’Egidio, sa préférence (jusqu’ici) pour le port de la cravate plutôt que du col romain, ses prises de position sur ceci ou sur cela, et sa complaisance à officier selon l’ancien rite… Déroutant, non ?

    Pas facile d’y voir clair ! Ne s’ingénierait-il pas à brouiller les pistes ? Pour notre part, nous nous garderons bien de tenter de le classer selon des catégories qui, dans le contexte de l’évolution actuelle de l’Eglise - particulièrement depuis l’avènement du pape François -, risquent bien de se révéler assez caduques ; et d’ailleurs nous nous réjouissons de découvrir quelles nouvelles surprises nous réserve l’Esprit Saint, sans oublier de prier pour le nouvel élu.

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    (1) Ce qui est le fait d'individus isolés, tel un dénommé "Jean de Jupille", qui n'hésitent pas à associer indûment l'ASBL "Sursum Corda" (en charge du Saint-Sacrement) ou l'Académie de Chant Grégorien à des prises de position partisanes (http://fr.gloria.tv/?user=135985) auxquelles elles n'adhèrent en aucune façon.


    Voir également : http://www.lalibre.be/actu/gazette-de-liege/article/819313/habemus-episcopum-jean-pierre.html 

    et ici Liège: Mgr Delville a célébré la solennité de la Fête-Dieu à l'église du Saint-Sacrement

  • MPT : la réponse de l'abbé Grosjean à Thierry Peltier

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    Sur Mediapart, l'abbé Grosjean répond à la lettre de Thierry Peltier que nous avons répercutée sur belgicatho pour y susciter un débat franc et ouvert sur la question (voir ICI, , et encore ICI, et encoresans oublier cette note, ni celle-ci) :

    En Actes et en Vérité

    Thierry est un catholique belge, qui a publié sur médiapart une « Lettre ouverte à l’Abbé Grosjean et à ceux qui le suivent », me reprochant la façon dont j’ai pu prendre part, avec de nombreux autres prêtres, et à la suite de nos évêques, au débat autour de la loi Taubira. Nous avons prévu de nous voir bientôt, pour un dialogue franc. En attendant, voici ma réponse. 

    Cher Thierry,

    J’ai bien lu votre longue lettre. Je vous remercie de votre franchise et je voudrais vous répondre avec la même franchise. Non pas seulement pour moi dans l’échange personnel que je vous ai proposé, ou pour ceux qui partagent vos questions, mais aussi pour tous ceux qui ont pu se sentir blessés ou incompris par la publication de votre message.

    Tous vos arguments ne révèlent au fond qu’une seule chose : c’est que la caricature permanente qu’on a tenté de faire peser sur le débat du mariage pour tous, depuis le début, a fini par susciter de vraies incompréhensions. Même entre nous, entre frères chrétiens. Je ne vous demande pas d’être d’accord avec moi dans ce débat ; mais je vous demande juste, en frère, de faire l’effort de dépasser les mensonges les plus absurdes et d’essayer de me comprendre…

    Pour mieux éviter de répondre à nos questions, une majorité politique mal à l’aise a tout fait pour nous diaboliser. Je le déplore, mais c’est ainsi. En revanche, qu’un catho cède à cette diabolisation, c’est bien le comble. Et pour tout vous dire, cela me blesse profondément. Comment pouvez-vous me faire tenir des propos que je n’ai jamais eus ? Me prêter des intentions qui sont si loin de ce dont j’ai témoigné ? Jamais je n’ai traité les homosexuels en bouc émissaire ; au contraire, je n’ai cessé de rappeler que chaque personne devait être aimée et respectée. Où avez-vous lu ces mots que je n’ai jamais dits ? Vous évoquez le procès du Christ : à sa suite, nous avons été jugés par un pouvoir sans justice, qui ne voulait pas entendre. Ne vous faites pas procureur à votre tour sans répondre à sa question ! « Si j’ai mal parlé, montre où est le mal... Mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? »

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  • BXL, 7 juin : veillée de prière au Sacré-Coeur de Lindthout "Les Saints au coeur de l'Europe"

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  • Paris : mobilisation pour la libération des deux évêques enlevés en Syrie

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    Nous lisons sur France 24, sous la plume d'Amara Makhoul-Yatim :

    Evêques enlevés à Alep : la communauté orthodoxe d’Orient se mobilise à Paris

    Sans nouvelles des deux évêques orthodoxes enlevés près d'Alep le 22 avril dernier, la communauté orthodoxe d'Orient organise un rassemblement à Paris, dimanche 2 juin. Objectif ? est alerter l'opinion pour aider à leur libération.

    L’inquiétude grandit sur le sort des deux évêques orthodoxes enlevés le 22 avril dernier près d’Alep, en Syrie. Plus d’un mois après le rapt, on est toujours sans nouvelles de l’évêque grec-orthodoxe d’Alep, Boulos Yazigi et de Youhanna Ibrahim, le métropolite syriaque orthodoxe de la même ville. Selon plusieurs sources concordantes, les deux prélats ont été kidnappés dans le village de Kafr Dael, alors qu’ils tentaient de mener un médiation pour libérer deux prêtres kidnappés par des groupes rebelles plusieurs mois auparavant.

    Si, dans les jours suivant leur enlèvement, des réactions indignées ont afflué du monde entier, l’affaire n'est plus relayée par les médias. Un silence qui fait craindre aux orthodoxes que les deux évêques tombent dans l’oubli.

    Alerter la communauté internationale

    Lors d’une homélie prononcée à Damas le 20 mai, le patriarche orthodoxe Jean X d’Antioche, a ainsi lancé : "Je profite de cette occasion pour adresser, en votre nom, vous qui êtes dans la patrie ou en diaspora, un appel à la communauté internationale pour l’inciter à déployer tout ce qui est possible pour faire libérer les [évêques] enlevés […]".

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