Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 1375

  • Benoît XVI se porte bien

    IMPRIMER

    Sous la plume d’Angela Ambrogetti, sur le site « Benoît et moi » :

    "Je vais bien, je vis comme un moine", dit le Pape émérite Benoît XVI. C'est ce que rapporte l'écrivain Manfred Lütz, qui lui a récemment rendu visite au monastère Mater Ecclesiae.

    Dans une interview accordée à l'hebdomadaire Bild, Lütz raconte qu'il s'est entretenu avec Benoît pendant une demi-heure: "Il était spirituel, présent, intéressé et plein d'humour, comme toujours", dit l'écrivain: "Je vis comme un moine, je prie et je lis. Je vais bien", a dit le Pape émérite à son ami. Manfred Lütz a étudié la médecine et la théologie, et connaît Joseph Ratzinger depuis trente ans, quand il est arrivé à Rome. Dans la visite à Benoît, Lütz a parlé du changement de style de son successeur, mais pour Ratzinger il n'y a aucun problème. "Le Pape, a dit l'écrivain, a conservé sa sérénité et sa joie chrétienne grâce à la certitude de sa foi. Même si je l'ai trouvé plus faible physiquement, et plus voûté que lors de notre dernière rencontre".
    L'écrivain vient de publier un livre avec le cardinal Paul Josef Cordes, président émérite de Cor Unum: L'héritage de Benoît et la mission de François: démondanisation, un écrit polémique (Paul Josef Cordes und Manfred Lütz: Benedikts Vermächtnis und Franziskus' Auftrag: Entweltlichung, Eine Streitschrift). Le texte explique la parfaite continuité entre le discours de Benoît XVI à l'Eglise allemande de septembre 2011, et les premiers discours de François sur la pauvreté de l'Eglise. "Du point de vue théologique, nous sommes parfaitement d'accord" aurait dit Ratzinger à ce propos . » 

    Ici :  Je vais bien, je vis comme un moine"

  • Benoît XVI fait des émules

    IMPRIMER

    De Jean Mercier sur son blog “paposcopie” :

    “Mgr Brunner, évêque de Sion (Suisse), tire sa révérence. Un événement qui évoque la renonciation récente de Mgr Lacrampe, et celle de Benoît XVI…

    Il aurait encore dû travailler à la vigne du Seigneur pendant quatre années. Mais Mgr Norbert Brunner a dit “Stop”. A presque 71 ans, l’évêque de Sion, en Suisse, a décidé de remettre sa charge, arrivé à “ la conviction qu’il n’avait plus les forces nécessaires pour accomplir les tâches inhérentes au ministère épiscopal d’aujourd’hui et pour relever les défis qui en découlent” selon le communiqué du diocèse.

    Un tel événement n’est pas nouveau. Il fait écho à la démission présentée le 25 avril dernier par Mgr Lacrampe, lui aussi à 71 ans, cette fois pour raison de santé défaillante “ inconciliable avec les besoins de la mission et l’exercice de la responsabilité épiscopale”. L’archevêque de Besançon soulignait ce qui pesait sur ses épaules : la conduite d’un vaste diocèse, le pilotage d’une province apostolique de 6 diocèses + 2 diocèses concordataires, sans oublier ses responsabilités au niveau national. L’évêque évoquait l’exigence “de longs et fréquents déplacements” et le défi “d’une nouvelle évangélisation qui appelle une présence démultipliée de l’évêque”. Incompatible avec un corps fragile ou souffrant.

    Lire la suite

  • Mgr Harpigny sur KTO

    IMPRIMER

    Sur KTO ("La Vie des Diocèses")

    Depuis septembre dernier, l'Eglise à Tournai en Belgique a ouvert son synode diocésain. Mgr Guy Harpigny vient faire un point d'étape sur cette aventure missionnaire, dans l'émission La Vie des Diocèses. Il lance une nouvelle fois aux fidèles une invitation à prier et à réfléchir sur le thème de la sacramentalité de l'Église. Dans un contexte de crise profonde de la foi en Belgique, l'évêque de Tournai entend mettre l'accent sur une mobilisation constante pour l'évangélisation. Car il s'agit pour lui d'attirer dans le coeur de l'Eglise les personnes qui se trouvent en sa périphérie. L'évêque de Tournai insiste par ailleurs sur l'importance de la conversion personnelle et de l'attachement au Corps de l'Eglise, qui est, comme le rappelle saint Paul, le Corps du Christ.

    http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/la-vie-des-dioceses-mgr-guy-harpigny-diocese-de-tournai-belgique-/00076079

  • Lettre à l'abbé Grosjean : une catholique lambda anonyme répond à Thierry Peltier

    IMPRIMER

    A propos de cette lettre à l'abbé Grosjean, voir : http://www.belgicatho.be/archive/2013/05/30/mariage-pour-tous-osons-debattre-quand-un-catholique-belge-i.html

    Peut-on être chrétien sans ouvrir les yeux sur le monde ?

    Etre chrétien , c’est aimer Dieu et aimer nos frères.

    Lorsque la pauvreté me scandalise, je m’émerveille devant le courage des bénévoles du Secours Catholique qui vont au-devant de nos frères. Lorsque des cataclysmes s’abattent sur le monde, je m’émerveille devant les élans chrétiens de solidarité.

    Lorsqu’une femme pense à avorter faute d’appuis autour d’elle, je suis heureuse de savoir que des chrétiens seront à ses côtés pour l’accueillir et l’entourer.

    Lorsque la loi ne protège plus le plus faible et le plus vulnérable, celui qui est sans voix, c’est-à-dire l’enfant, je me réjouis que des chrétiens, comme l’abbé Grosjean, se lèvent pour le dire et l’expliquer.

    Lorsque la loi veut imposer à tous un mensonge, celui de nous dire que l’union d’un homme et d’une femme apporte absolument autant et de la même manière à la société que la réalité d’un couple homosexuel, je salue l’engagement des chrétiens et de tous les autres qui se lèvent pour dire stop.

    Que n’a-t-on dit après-guerre contre le silence du Pape pendant des années noires! Et maintenant, on reproche aux chrétiens de parler ! La vérité, c’est qu’un véritable totalitarisme de la pensée se met en place.

    En Belgique, où vous habitez tout comme moi en premier lieu. Nul ici n’a plus le droit de dire qu’il y a une différence, une complémentarité entre l’homme et la femme. Nul n’a plus le droit de dire qu’entre les 14 enfants qui ont été adoptés par des couples homosexuels en Flandre l’an dernier et les 16 qui ont été adoptés par des couples hétérosexuels (dans le cadre d’une procédure nationale), il y a une réelle injustice de fait. Les adoptants ont tous passé les tests dont vous parlez. Et au final, croyez-vous vraiment que les chances sont les mêmes pour les enfants adoptés qui ne pourront pas tous grandir entre un papa et une maman parce que la loi belge, tolérante et pleine de progrès, en a décidé ainsi ?

    En Belgique, personne n’ose plus parler et s’indigner, c’est ce qui vous fait croire que tout va bien. Et quand monseigneur Léonard répond en 3 mots à une question insistante des journalistes sur l’homosexualité, il se fait ensuite agresser par des femmes toutes poitrines hurlantes. Vous trouvez ça normal ? Le signe d’une société apaisée et qui va bien ? Regardez-donc les programmes des enfants de primaire sur la famille, à 10km de Bruxelles : la confusion la plus totale règne. Regardez donc ce qui se passe dans les cliniques (ex. centre hospitalo-universitaire Saint Pierre) où la PMA est tolérée, pour peu qu’on arrive avec une proche de la famille. On en vient à penser que le droit de la filiation est un obstacle au développement des techniques GPA PMA !

    Comment un chrétien ne vivrait-il pas douloureusement cet état de fait ? Peut-il seulement se dire : qu’ils fassent comme ils le souhaitent, moi je vais à la messe et j’enseigne le catéchisme ? Jusqu’à quand pourrez-vous vous taire ? Quand les enfants achetés en Inde par deux hommes ou deux femmes iront pleurer leur tristesse de n’avoir pas été protégés par quiconque?

    N’ayons pas peur de dire au monde que l’amour ce n’est pas seulement de désirer très fort mais plutôt de vouloir le bien pour celui qu’on aime. N’ayons pas peur de parler avec douceur et dans la tendresse, avec les yeux de celui qui aime le monde et non de celui qui juge ses contemporains. Dans la Paix et la Vérité, avec l’amour de Jésus ancré dans son cœur, l’engagement du chrétien va de pair avec l’amour de l’Eglise et du monde.

  • La liturgie traditionnelle n’est pas une alternative à la liturgie réformée

    IMPRIMER

    negri_paglia.jpgC’est ce que le nouvel archevêque de Ferrare, Mgr Negri, vient de rappeler aux fidèles « traditionalistes » dans une homélie lors du pèlerinage de pentecôte au sanctuaire de Notre-Dame du Poggetto. Extrait du document publié dans « La Lettre Liturgique“ n° 390 du 4 Juin 2013:

    «  (…) La grâce de l’Église, vous la vivez à la source de la Foi qu’est l’Eucharistie, la célébration liturgique. Par la prudente et grande miséricorde de Benoît XVI, vous la puisez auprès d’un des deux grands trésors de la liturgie de l’Église, la liturgie traditionnelle. Celle-ci n’est pas une alternative à la liturgie réformée par le concile Vatican II mais exprime tout son caractère aux côtés de la liturgie réformée, en toute dignité, en toute liberté et en pleine responsabilité.

    Benoît XVI l’a énoncé avec une clarté admirable dans le Motu Proprio. Il a voulu accroître la possibilité de vivre des richesses de la liturgie de l’Église et a demandé pour cela à toute l’Église, à commencer par les évêques, de se montrer respectueux de son intention d’augmenter les trésors de l’Église, en favorisant l’accès à ce bien antique à ceux qui en ressentent légitimement le désir et souhaitent le vivre pleinement pour la vérité de la Foi et de la mission d’aujourd’hui. Incontestablement, le Pape a ainsi dépassé la fausse et inacceptable opposition entre l’ancien et le nouveau, rompant avec cette herméneutique de la discontinuité entre ce qui existait avant le Concile et ce que le Concile a annoncé, et ce que la mise en œuvre du Concile a douloureusement produit pour notre époque. Il y a une unique Église du Seigneur, à laquelle l’Esprit a donné de traverser des moments différents : le concile Vatican II a été un moment d’extraordinaire importance, même s’il a représenté un grand défi pour le développement de l’Église.

    Vous utilisez donc cette liturgie, et je suis heureux que vous le fassiez dans ce diocèse dont je suis depuis peu l’archevêque. Vous ne le faites pas contre quelqu’un ou pour affirmer des opinions mais pour vivre le mystère de l’Église selon la profondeur et la vérité que vous retenez avoir le devoir et le droit de pratiquer. Et l’Église permet aussi cela. Benoît XVI, et je ne suis pas habitué à parler en l’air, a manifesté une vraie miséricorde pastorale en mettant cette possibilité au service de la Foi de chaque chrétien et de petits groupes qui n’ont même pas besoin d’être quantifiés numériquement : les groupes stables sont composés de tous les fidèles qui ont le droit et le devoir de bénéficier de cette liturgie. Vous l’avez à portée de main et l’Église vous permet de la pratiquer en toute liberté. (…)

    Comme ceux de la liturgie réformée, pratiquez l’ancienne liturgie pour vous. Pour la vérité de votre Foi. Pour la vérité de votre Charité. Pour donner une impulsion à votre mission. Ce sont deux trésors pour un même peuple. Et ce peuple unique et mature se nourrit de la Foi précisément s’il sait vivre la liberté que l’Église lui accorde. Or cette liberté liturgique, non seulement l’Église la concède mais elle la garantit aussi.

    N’ayez pas des opinions à défendre ou à opposer aux autres. L’archevêque de Ferrare et Comacchio n’est ni le gardien ni le propagateur d’aucune opinion que ce soit. Il n’a qu’une opinion : la vérité du Seigneur, l’Évangile, la Tradition de l’Église, le Magistère du Saint-Père et, en union avec celui-ci, son propre magistère.

    Voici le cadre dans lequel Benoît XVI a promulgué le Motu Proprio. Je fais partie des évêques, à dire la vérité pas si nombreux que cela, qui en ont retiré un approfondissement de leur propre identité au regard de l’expérience de Dieu. C’est une grandeur non seulement pour ceux qui le pratiquent mais aussi pour toute l’Église.

    De ce fait, et je conclus, vous devez toujours rechercher la majeure participation à la vie de la communauté ecclésiale. Cette pratique ne vous soustrait pas à la vie de la communauté et encore moins à la difficile mais belle réalisation de la communion ecclésiale  (…).

    Extrait du Commentaire de « La Lettre Liturgique » :

    Mgr Negri, très proche du mouvement Communion et Libération, est un grand ami du cardinal Biffi, ancien archevêque de Bologne, du cardinal Scola, archevêque de Milan, du cardinal Caffarra, archevêque de Bologne, qu’il est lié à Mgr Moraglia, patriarche de Venise, au cardinal Piacenza, Préfet de la Congrégation du Clergé, en un mot qu’il fait partie des prélats italiens dits « de restauration », parmi lesquels il est peut-être le plus décidé dans ses propos. Sa liberté de parole est semblable à celle de Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon (…).

    Référence : Notre lettre 390 publiée le 4 juin 2013

  • Quand le pape pourfend la culture du gaspillage

    IMPRIMER

    Source : Radio Vatican

    "La nourriture que nous jetons, c'est comme si nous l'avions volée de la table du pauvre"

    Plus de 80 000 personnes mercredi matin sur la Place Saint-Pierre pour l’audience générale. Et le Pape François en grande forme s’est offert un long tour en jeep dans les divers secteurs de la Place, serrant des mains, embrassant des enfants, et a rejoint ensuite à pied le haut du parvis pour entamer l’audience. Parmi les nombreux groupes venus du monde entier, celui insolite de 1 800 chauffeurs de taxi de la ville de Rome. Et pour la communauté francophone, des fidèles venus des Antilles, de l’Ile Maurice et de Côte d’Ivoire. Ainsi qu’un groupe d’imams de France engagés dans le dialogue interreligieux. 

    Le Pape François, par l’intermédiaire d’un speaker de langue française leur a demandé « de prendre soin de la création, de prendre soin de la personne humaine, de sorte que personne autour de nous ne soit privé du nécessaire. » Car pour sa catéchèse, le Pape nous a parlé de la Création, que « Dieu a confié à l’homme et à la femme pour qu’ils la gardent et la cultivent. »
    « Cultiver veut dire prendre soin, avec attention, avec passion et dévouement », a déclaré le Pape. « Parfois nous perdons notre capacité de contempler, de nous émerveiller devant la création, car nous vivons dans un monde horizontal, qui s’éloigne de Dieu. Or la création est un don qui nous est fait, que nous devons respecter, et non pas manipuler pour en tirer profit. »

    « Mais, garder et cultiver concernent aussi les relations entre les hommes. La personne humaine est aujourd’hui sacrifiée aux idoles du profit et de la consommation. Elle est trop souvent rejetée comme si elle était un déchet dont personne ne se préoccupe, dès lors qu’elle est considérée comme coûteuse ou inutile. Alors que beaucoup d’hommes ne mangent pas à leur faim, la culture de consommation nous entraîne à gaspiller de la nourriture dont nous n’estimons même plus la valeur. Mais rappelons-nous que la nourriture que l’on jette c’est comme si elle avait été volée à la table du pauvre. Ecologie de l’environnement et écologie humaine vont ensemble. C’est en combattant la culture du rejet et du gaspillage qu’il est possible de devenir attentif à chacun, et de venir en aide aux besoins des plus pauvres. »

    Le Pape François devait ainsi avec des termes durs dénoncer la tyrannie du gaspillage en déclarant : « Aujourd’hui c’est l’argent qui commande, et si une personne meurt cela ne fait pas la Une, si tant d’enfants dans le monde n’ont pas à manger, cela non plus ne fait pas la Une, comme si c’était désormais quelque chose de normal, alors que cela ne peut l’être. Non, nous ne pouvons nous habituer au superflu et au gaspillage de la nourriture ».

  • Aller sans crainte à la rencontre de l'Islam, si...

    IMPRIMER

    Grégoire III souhaite que les chrétiens d’Europe « s’enracinent dans la foi pour aller vers l’islam »

    Source : "L'Oeuvre d'Orient" / 04/06/2013

    Lors de sa dernière journée dans la cité phocéenne, le Patriarche Grégoire III a lancé un appel pour que l’Europe s’enracine aussi dans sa foi car dit-il « si l’Europe est chrétienne elle pourra rencontrer sans crainte l’Islam". 

    Sa Béatitude GREGOIRE III, patriarche d’Antioche et de tout l’Orient, d’Alexandrie et de Jérusalem a achevé sa visite pastorale à Marseille en ouvrant la série des conférences et des entretiens du Parvis du Coeur organisé par l’Institut Catholique de la Méditerranée dans le cadre des manifestations de l’année « Marseille capitale de la Culture ». Cette dernière journée aura été aussi consacrée d’une part à la mairie de Marseille, où le sénateur-maire, Jean-Claude Gaudin a reçu Gregorios III avec son conseil municipal et ses principaux adjoints. Visite qui a permis au patriarche de prendre toute la mesure des particularismes de Marseille-Porte de l’Orient. Et de l’autre à un déjeuner avec Monsieur Farid Salem, directeur délégué de la CMA-CGM qui avait réuni autour de Sa Béatitude, au siège de la CMA-CGM, ses principaux collaborateurs.

    Face à une assistance nombreuse et tout particulièrement attentive, Gregorios III a évoqué le quotidien des Chrétiens d’Orient « fils et fille de la Résurrection en marche vers la Résurrection » en déclarant « tant qu’il y aura un Christ ressuscité n’ayons pas peur ! »

    Evoquant le nécessaire enracinement dans « notre foi de Chrétien », dans « notre identité de Chrétien », le Patriarche a lancé un appel pour que l’Europe s’enracine aussi dans sa foi car dit-il « si l’Europe est chrétienne elle pourra rencontrer sans crainte l’Islam. Si elle n’est pas une Europe chrétienne fière de sa foi elle ne pourra faire face et la nature a horreur du vide. Elle rencontrera alors la face la plus hideuse de l’Islam ».

    Gregorios III a alors rappelé que l’Orient chrétien vit depuis plus de 1.400 ans avec l’Islam. Que de cette expérience, des liens tissés par la centaine d’instituts de formation, d’éducation ou de santé dépendant de l’Eglise grecque-melkite catholique des liens réels pour un dialogue de terrain réel et durable ont été tissés. Dialogue à la base du savoir vivre ensemble.

    http://www.oeuvre-orient.fr/2013/06/04/gregoire-iii-souhaite-que-les-chretiens-deurope-senracinent-dans-la-foi-pour-alelr-vers-lislam/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=gregoire-iii-souhaite-que-les-chretiens-deurope-senracinent-dans-la-foi-pour-alelr-vers-lislam

  • Le monastère d'Opgrimbie sous la menace

    IMPRIMER

    Chers amis,

     Voulez-vous vous unir à notre prière ? 

    Dans sa Bonté le Seigneur a donné à notre pays, à notre Eglise, dans le Limbourg à Opgrimbie un monastère de moniales contemplatives, car

    « Le Père cherche des adorateurs en esprit et en vérité ».

    Cependant la construction du monastère et l'arrivée des moniales de Bethléem ont suscité de nombreux remous. Le permis de construire leur a été accordé deux fois par le ministre du gouvernement flamand compétent, mais chaque fois annulé sur base d’une requête ultérieure.

    Entretemps, la législation concernant l’aménagement du territoire et la préservation de la nature devient toujours plus sévère. Et aujourd’hui, en ce qui concerne l’habitat, la zone est qualifiée de naturelle protégée ou vulnérable avec pour conséquence qu’une solution définitive acceptable pour tous se fait attendre … 

    Voir : annexe-bijlage 1.pdf et bijlage-annexe 2.pdf

    Formons une immense chaîne de prière

    pour que jamais ne s’accomplisse à Opgrimbie la sévère parole de Jésus:

    « Et si un endroit ne vous reçoit pas et qu’ils ne vous écoutent pas, sortez-en et secouez la poussière de sous vos pieds, en témoignage vis-à-vis d’eux » Mc 6,11

    Dieu de Bonté,

     De tes mains nous avons reçu le monastère d’Opgrimbie.

    Un lieu que Tu as choisi et que Tu nous as donné.

    Plus que nous ne comprenons, ce lieu est Ta demeure parmi nous.

    La terre que Tu nous donnes; paix, joie et amour.

    L’adoration perpétuelle des sœurs fait de ce lieu une terre sainte.

    Nous Te louons et nous Te rendons grâce pour ce monastère.

    Mais en même temps, aujourd’hui nous sommes inquiets.

    Nous te prions Seigneur, si telle est Ta volonté,

    maintiens en ce lieu ce qui est bon et

    que tous puissent comprendre que Toi

    Tu es le cœur de la nature, Tu es la Vie même.

    Garde à Opgrimbie cette sagesse de vie monastique contemplative,

    source de grâce et de paix pour ce pays et pour le monde.

    Car sans Toi nous ne pouvons rien. Nous sommes sûrs de Toi.

    Sous ta miséricorde, nous trouvons refuge,

    Mère de Dieu,

    Ne dédaigne pas les prières que nous t’adressons au milieu de nos peines,

    mais délivre-nous de tout danger,

    ô Vierge Pure entre toutes bénie.

    Nous te confions l’avenir de ton monastère à Opgrimbie

    afin que la Sainte Trinité puisse toujours y être célébrée et adorée,

    dans l’amour, la paix, la solitude et le silence,

    selon la sagesse monastique de Saint Bruno.

    Que l’offrande de ces vies consacrées à Dieu dans la prière

    soit source de grâce et de paix pour les hommes

    et les femmes de notre temps.

    Soutiens par ta prière la fidélité des moniales à monter une garde sainte et persévérante

    dans l’attente du Retour du Christ, jusqu’à ce qu’Il vienne.

    Maranatha, viens Seigneur Jésus !

  • Bravo aux Amis de Dominique Savio pour leur nouveau site !

    IMPRIMER

    Après de gros travaux de 'rafraichissement', le nouveau site du mouvement de jeunesse est maintenant en ligne : http://www.lads.be/

    Sans titre.png

  • Guerre civile espagnole : reconnaissance de nouveaux martyrs tués en haine de la foi

    IMPRIMER

    Le Pape François a autorisé la promulgation de plusieurs décrets de la Congrégation pour les causes des saints qui concernent surtout des martyrs de la foi durant la guerre civile espagnole: notamment la reconnaissance du martyr du serviteur de Dieu Abel Angel Palazuelos Maruri (Dom Mauro, OSB) et ses 17 compagnons bénédictins espagnols, tués en haine de la foi en 1936. Du serviteur de Dieu Joan Vilaregut Ferrer (Frère Juan de Jesús, OFM.Carm), de ses 3 compagnons carmes espagnols et de Pau Segalá Solé, prêtre diocésain, tués en haine de la foi en 1936. Des serviteurs de Dieu Crisanto, Aquilino, Cipriano, José et leurs 63 compagnons maristes espagnols, et de deux laïcs, tués en haine de la foi entre 1936 et 1939.

    De la servante de Dieu Clementina Arambarri Fuente (Soeur Aurelia) et de ses 3 consoeurs religieuses espagnoles de l'ordre des Servantes de Marie ministres des infirmes, tuées en haine de la foi en 1936.

    Source

  • Nous n'avons pas à tenir un langage politiquement correct

    IMPRIMER

    Lu ICI

    Les chrétiens doivent avoir le courage de la « vérité contre l’hypocrisie et le langage socialement éduqué, car l’hypocrisie est le langage de la corruption ». Le chrétien doit se faire porte-parole de la « vérité de l’Evangile avec la même transparence que celle des enfants ». C’est ce qu’a demandé le Pape François mardi matin durant la messe célébrée dans la chapelle de la Maison Sainte Marthe au Vatican, en présence de la présidente de la Radio Télévision Italienne, Anna Maria Tarantola, et de son directeur général Luigi Gubitosi, leurs familles, ainsi que des employés de la Bibliothèque du Vatican.

    « Quand Jésus parle à ses disciples, il dit : « Que votre manière de parler soit Oui, oui ! Non, non ! », tenait à souligner le Pape, pour qui « l’hypocrisie n’est pas un langage de vérité ». « Ceux-ci ( en se référant à ceux qui utilisent un langage politiquement correct) veulent une vérité soumise à leurs propres intérêts ». « Ils sont eux-mêmes victimes, expliquait-il, « de l’idolâtrie narcissique qui les porte à trahir les autres, et les porte à commettre des abus de pouvoir à l’encontre de ceux qui ont confiance en eux ». Et le Pape d’encourager à repousser la vanité, cette faiblesse qui fait que l’on aime les compliments, qui ne sont que « langage persuasif qui porte au contraire à l’erreur, au mensonge ».

    L’homélie de ce mardi, dans la continuité de celle de lundi matin sur la corruption, partait du texte de l’Evangile qui nous raconte les questionnements des pharisiens à Jésus au sujet du tribut à verser à César.

  • Le pape face à la pédophilie : tolérance zéro

    IMPRIMER

    2013-04-05 Radio Vatican 

    Le pape François a demandé vendredi d'agir avec détermination contre les abus sexuels commis par des membres du clergé. Le nouveau pontife recevait le préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Un communiqué du dicastère indique que le Saint-Père a demandé en particulier que la Congrégation, poursuivant la ligne établie par Benoît XVI, agisse avec détermination en ce qui concerne les cas d'abus sexuels. 

    Le Pape souhaite avant tout que soit promues les mesures de protection des mineurs et que l’on vienne en aide à ceux qui, dans le passé, ont subi de telles violences. Il demande également l’application des procédures prévues à l’encontre des coupables. Les conférences épiscopales doivent quant à elles s’engager à formuler et mettre en oeuvre les directives nécessaires dans un domaine qui revêt la plus grande importance pour le témoignage de l’Église et sa crédibilité. 

    Le Pape prie pour les victimes

    Le Saint-Père a assuré que les victimes des abus étaient présentes de manière particulière dans ses prières et l’attention qu’il porte à ceux qui souffrent. Plusieurs autres dossiers traités par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi ont également été abordés au cours de cette audience.