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Foi - Page 734

  • Refuser le baptême ?

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    Voici l'avis de l'évêque de Liège sur la question, avis qui nuance l'invitation un peu expéditive du pape dans son message aux nouveaux prêtres de Rome en avril dernier lorsqu'il affirmait : "ne refusez jamais le baptême" :

    Un prêtre peut-il refuser le baptême ?

    La question du refus du baptême s’est posée d’une manière particulière ces jours-ci à Fléron, où officie l’abbé Olivier Windels, qui par ailleurs est vicaire épiscopal du vicariat « Annoncer l’évangile » dans le diocèse de Liège.

    Une famille demandait le baptême pour son enfant, mais affirmait ne pas être croyante. Le prêtre a alors proposé de faire une célébration d’accueil de l’enfant, mais pas le baptême, qui suppose la foi des parents et leur engagement à veiller, avec l’aide de la communauté chrétienne, à l’éveil à la foi de leur enfant.

    Ceci a suscité suite à un article paru dans le groupe SudPresse,  un vif débat sur les antennes  de la radio Vivacité, ce mardi 2 juin à 10h 30 dans l’émission « C’est vous qui le dites », animée par Benjamin Maréchal.

     

    J’invite chacun à écouter ce débat, qui donne les arguments dans les différents sens. Cela nous permet de faire le point sur la pratique actuelle et de valoriser une démarche en grand développement, le baptême des enfants en âge de scolarité (7 ans environ), des grands jeunes et des adultes (catéchuménat).

     

    Il vaut mieux en effet, si l’enfant n’est pas soutenu par la foi des parents, qu’il soit baptisé plus tard par exemple, lorsqu’on souhaite faire sa première communion en tout cas dans le cadre d’une démarche personnelle et que l’on bénéficie d’une préparation adaptée et dynamique.

     

    On se souviendra que le baptême est une réponse à l’appel de Dieu et qu’il atteint dès lors sa pleine signification lorsque le choix de répondre « oui » est volontaire et libre, même si parfois différée dans le temps.

     

    J’espère que personne ne se sentira lésé dans cette situation et dans ce débat, mais qu’au contraire, ceci permettra d’évoluer vers plus d’authenticité dans la démarche religieuse.

    Jean-Pierre Delville, évêque de Liège

    lire également : existe-t-il-un-droit-aux-sacrements ?

  • Les intentions de prière du pape pour le mois de juin

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    L'intention de prière générale du Saint-Père pour juin est:

    "Pour que les migrants et les réfugiés trouvent bon accueil dans les pays où ils arrivent, et qu'ils y soient traités avec respect".

    Son intention missionnaire est:

    "Pour que la rencontre personnelle avec Jésus suscite chez nombre de jeunes le désir de lui offrir leur existence dans le sacerdoce ou la vie consacrée".

  • Koter chez les Frères de Saint-Jean à Bruxelles

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    2015_05_26_556477ff5737f.JPGLa Communauté Saint-Jean propose à Bruxelles (dans un quartier tranquille de Jette, très bien desservi par les transports en commun) un foyer d’etudiants (dit "Kot à thème") si tu désires une ambiance chrétienne. Soirée hebdomadaire avec des frères, soirée mensuelle de louange, possibilité de participer à la vie de prière des frères. Chambre avec douche individuelle. Lieux communs : refectoire et cuisine, salon, buanderie. Internet et photocopieuse.

    +32 485 04 51 44

  • Plain-chant sur Liège le samedi 30 mai 2015

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    la Schola Resupina de Vienne 

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    L'académie de chant grégorien à Liège

    LE PROGRAMME

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  • Les chantiers d'un évêque

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    Sur KTO, cette video (de juin 2014 mais toujours actuelle) présentant Mgr Lemmens, évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles :

    Mgr Léon Lemmens - Vicariat du Brabant flamand et Malines

    Dans le diocèse de Malines-Bruxelles, la partie néerlandophone recouvre les territoires les plus favorisés d'un point de vue économique. Mais elle n'est pas épargnée par la précarité. A Malines, le centre catholique Koraalhuis accueille des hommes et des femmes de la rue, et des familles en difficulté. C'est une manière concrète pour l'Eglise de manifester son attention aux plus pauvres. Autre coup de projecteur : le sanctuaire Notre-Dame de Montaigu reçoit chaque année entre 800.000 et 1 million de pèlerins, catholiques mais aussi non-croyants en recherche. Trop vite enterrée, la piété populaire semble revivre mais doit être ré-évangélisée, indique le recteur du sanctuaire. Sur le plateau de KTO, Mgr Léon Lemmens, évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles, évoque les défis missionnaires dans le Brabant flamand, en Belgique.
    La Vie des Diocèses du 27/06/2014.

  • Vatican II a signalé et accéléré une déchristianisation évidente

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    De l'abbé Guillaume de Tanoüarn sur Metablog :

    Pierre Nora, Alzheimer et Vatican II

    Pierre Nora est une figure parmi les intellectuels français. Il a beaucoup réfléchi sur le passage de l'histoire à la mémoire, avec son étude les "Lieux de mémoire". Il est aussi le fondateur de la revue Le Débat, revue consensuelle au noble sens du terme, au sens de l'humanisme, de la culture et de son droit d'examen sur toutes les réalités politiques, sans tabou. Il a donné un entretien à Vincent Trémollet de Villers dans le Figaro. Evoquant les nouveaux programmes d'histoire, il n'y va pas avec le dos de la cuiller : "Nous sommes face au péché de moralisme et d'anachronisme où Marc Bloch voyait la pire dérive du métier d'historien". Et ailleurs "Si vous perdez la mémoire, vous savez ce qui arrive. L'Alzheimer historique ne vaut pas mieux que l'Alzheimer cérébral".

    Est-ce à dire que nous sommes collectivement frappé d'Alzheimer ? "Ma discipline, l'histoire, qui, il y a trente ans, était la curiosité du monde entier, est devenue la cinquième roue de la charrette internationale". La thèse de Pierre Nora n'est pas que l'on se désintéresse du passé mais plutôt que l'on se désintéresse d'avoir un rapport objectif avec le passé. Le passé est mythifié plus que jamais, il consiste en un ensemble de "lieux de mémoire", et, à ces occasions, autour de chaque lieu, il devient le champ clos d'affrontements géopolitiques, qui ne se manifestent vraiment que dans l'enclos symbolique de nos mémoires : mémoire de l'esclavage ou mémoire de la grandeur nationale, conflit des monothéismes, émergence de l'esprit des Lumières, les occasions d'affrontement ne manquent pas. Ces occasions renvoient avant tout au présent, qui semble devoir dicter la représentation que l'on se fait du passé, sans plus de souci d'une histoire sérieuse ou de l'histoire comme discipline scientifique.

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  • A l’Université de Liège, le mardi 26 mai 2015 : Regards croisés des religions monothéistes sur la famille

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    Judaïsme, Christianisme et Islam : quel regard les trois grandes religions monothéistes portent-elles sur la famille ? ce mardi 26 mai, une centaine d’invités ont pris part au lunch-débat organisé sur ce thème à l’université de Liège par le groupe Ethique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques.

    Copie de IMG_7335.JPGTrois orateurs ont successivement pris la parole : Albert Guigui, grand rabbin de la communauté israélite de Bruxelles, Renée Toussaint, professeur de philosophie au séminaire de Namur et Radouanne Attiya, assistant à l’université de Liège (service de langue arabe, des études islamiques et de l’histoire de l’art musulman). Les échanges étaient modérés, avec intelligence et diplomatie, par le chanoine Armand Beauduin, ancien secrétaire général de l’enseignement catholique.

    Premier orateur, le grand rabbin de Bruxelles Albert Guigui a fait  observer que11220072_925969127446618_8529644565881435913_n.jpg l’étymologie du texte hébraïque de la Genèse présente la femme à la fois comme aide et opposée à l’homme.

    Pluralité et unité sont donc présentes à la racine du couple : elles postulent une connaissance mutuelle  non pas du même mais de l’autre. Cette harmonie recherchée des contraires doit s’inscrire dans la logique du don et de la gratuité, seule capable de fonder un lien matrimonial durable.

    Ce qui caractérise la crise actuelle du couple, c’est l’absence d’une réelle connaissance de l’autre, qui débouche sur l’incompréhension, le conflit, l’échec, le divorce. Le  mariage ne peut se réduire à un contrat, un donnant-donnant qui induit d’incessantes revendications. Il puise sa force dans la capacité de donner sans attendre de retour, pour permettre une adaptation à l’autre, comme le symbolise l’eau qui épouse les formes  du puits auprès duquel nombre d’unions bibliques se sont nouées.

    Le rôle de la femme est déterminant dans la tradition familiale juive puisque la transmission de la judaïté se fait par elle : son avenir dépendant donc des femmes.  Et ce sont elles qui allument les lumières du Shabbat autant que la morale et les valeurs du judaïsme.

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  • Pourquoi il faut sauvegarder nos processions et pèlerinages

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    NDJdos (1).JPGDu blog de l'abbé Benoît Lobet, curé-doyen d'Enghien (25 mai):

    Notre-Dame des Joyaux 

    J'ai présidé ce matin, dans mes fonctions de "doyen principal", le pèlerinage annuel à "Notre-Dame des Joyaux", à Montroeul-au-Bois (Frasnes). Un monde fou - des centaines de personnes - dans ce petit village, pour venir "servir" cette Madone sept fois centenaire que l'on prie pour être guéri des "maladies des glandes" (et avec le temps, c'est devenu surtout les cancers.) 

    Frappé par la gentillesse dans l'accueil de Xavier, le Doyen, et des confrères présents - simplicité, humour, chaleur : une vraie complicité fraternelle.

    Emerveillé aussi par ce caractère populaire que la foi chrétienne, catholique, garde ici dans les campagnes : les processions et les pèlerinages en sont un témoignage annuellement recommencé (aujourd'hui, lundi de Pentecôte, c'était aussi la procession de Petit-Enghien, chez nous, et j'en ai déjà vu des photos qui me disent combien elle a été suivie.) La foi n'est pas d'abord une affaire intellectuelle, ce n'est pas d'abord quelque chose que nous avons découvert dans les livres. J'étais frappé, samedi soir et dimanche, en lisant l'Evangile de la Pentecôte - un magnifique passage de saint Jean - par ce que dit Jésus aux siens : "L'Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître." Derrière le mot "connaître", il faut entendre le substrat sémitique (yada'), qui indique l'intimité charnelle ("Adam connut Eve et Eve conçut", dit la Genèse : ce n'était pas qu'une contemplation intellectuelle!) Non, la connaissance chrétienne que donne l'Esprit n'est pas érudite - les études peuvent venir, ensuite, c'est entendu, mais cela n'est pas premier. Elle est une connaissance du cœur, par le cœur, par la chaleur du cœur, par l'intime du cœur, par sa respiration.

    Les centaines de personnes présentes ce matin à Montroeul-au-Bois n'étaient vraisemblablement pas docteurs en théologie, et ce n'est pas cela qu'on demande dans la foi chrétienne, mais c'étaient, ce sont, d'authentiques chrétiens, capables de déposer leur misère, leur peur, leur attente, leur angoisse, bref leur vie tout entière, entre les mains de plus grand qu'eux. Acte d'humilité, d'agenouillement. Oui, d'agenouillement - ce geste dont l'intrépide Etty Hillesum disait, au creux de la barbarie nazie, qu'il demeurait "le seul geste véritablement noble", à condition, bien sûr, qu'il fût volontaire et délibéré. S'abandonner, c'est aussi se grandir, en reconnaissant toutes les limites de son corps, de son esprit, de son âme. C'est se donner la chance d'être reçu et relevé.

    En ce sens, nos processions et nos pèlerinages ne sont pas seulement de la parade et du folklore. Ce sont, au sens étymologique du mot, des actes de piété, d'ajustement de l'être humain à soi-même, une manière de prier avec ses pieds qui nous reconduit à la vérité de ce que nous sommes.

    Et même les tumeurs, alors, deviennent des joyaux...

  • Rixensart, jeudi 28 mai : une conférence sur les Chrétiens d'Orient par Mgr Gemayel

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    de info.catho.be :

    Conférence : Mgr Gemayel à Rixensart

    Maroun Nasser GEMAYEL

    Évêque des Maronites de France, Mgr Maroun Nasser Gemayel sera à Rixensart le jeudi 28 mai pour y donner une conférence sur les Chrétiens d’Orient. 

    « Les Chrétiens d’Orient: histoire et actualité – Origines, témoignage et défis », voilà le thème de la très intéressante conférence que l’unité pastorale Sainte-Croix – Saint-Etienne propose le 28 mai. Et pour en parler, l’UP a invité Mgr Gemayel qui est non seulement évêque des maronites en France mais aussi visiteur apostolique des maronites en Europe.  A ce titre, Mgr Gemayel parcourt de nombreux diocèses en Europe, pour y rencontrer les membres de sa communauté maronite mais également pour permettre à un plus grand public de mieux connaître ces chrétiens d’Orient qui sont plus, que jamais, au centre de l’actualité dramatique du Moyen Orient. Ce lieu de rencontre des trois grandes civilisations monothéistes est en effet devenu aujourd’hui un théâtre de luttes et de tensions qui voit la disparition graduelle des chrétiens. Et selon Mgr Gemayel, ce phénomène a des répercussions « dans tous les domaines », tant les chrétiens d’Orient sont des experts du dialogue islamo-chrétien et « passeurs de culture et de civilisation ».
    Pour l’évêque libanais, l’Europe est concernée par ce qui se passe au Moyen et au Proche Orient et on ne peut se résoudre à voir ses frères d’Orient « immigrés », « abandonnés » et encore moins « réfugiés  dans des réserves ». Bref, une conférence utile.

    Jeudi 28 mai 2015 à 20h15
    Eglise Saint-Etienne de Froidmont, Chemin du Meunier, à Rixensart - PAF 5 €

  • Réunion secrète d’évêques : un enterrement pour l’enseignement de saint Jean-Paul II

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    Nous avions annoncé ici : « Synode sur la famille : les langues de feu de la Pentecôte dans la jésuitière », la rencontre organisée à la Grégorienne, l’université jésuite de Rome, par un lobby d’évêques et « d’experts » européens désireux d’infléchir la morale catholique du mariage et de la famille. Le « Forum catholique » revient sur ces échanges auxquels participaient notamment les présidents des conférences épiscopales d'Allemagne, de France et de Suisse: 

    conf_COP21_viénot_lasida_brunin_baujard-770x375 (1).jpg« Nous en savons un peu plus sur la réunion secrète d’évêques de France, d’Allemagne et de Suisse, hier lundi 25 mai à Rome (évoquée ici). 

    La conférence des évêques allemands a publié un communiqué afin de calmer les discussions autour de la révélation de cette très discrète réunion. Voici ce communiqué :

    « Le lundi 25 mai dernier, à l’invitation des trois présidents des conférences épiscopales de Suisse, France et Allemagne, des évêques des trois conférences – dont plusieurs pères du synode –, des professeurs de théologie, des collaborateurs de la curie romaine et des journalistes se sont rencontrés pour une journée d’études, à l’université pontificale grégorienne, à Rome. Cette initiative est dans le prolongement de la rencontre annuelle des trois présidences de conférence, qui en 2015, a eu lieu, à Marseille, en janvier.

    Les 50 participants ont débattu sur les thèmes du synode d’octobre prochain: «Vocation et mission de la famille en Eglise et dans le monde contemporain». Le souhait des trois présidents était d’enrichir la réflexion sur les fondements bibliques et théologiques de ces thèmes, et de préciser les problématiques au cœur des débats actuels sur le mariage et la famille.

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  • Mgr Morerod : Quand l’Église catholique se calque trop sur la société dans laquelle elle se trouve, ça la décrédibilise.

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    Lu dans  « Famille chrétienne » à propos des Unions homosexuelles :

    47839304.jpgMgr Charles Morerod, évêque de Lausanne, Genève, Fribourg, réagit à la décision prise le 16 mai par les délégués de l’Église protestante unie de France, qui ont décidé d’ouvrir aux pasteurs la possibilité de bénir les personnes homosexuelles mariées. Nouvelle en France, cette pratique est déjà en usage en Suisse dans certaines Églises réformées.

    Comment réagissez-vous à cette décision qui ne fait pas l’unanimité en France, y compris dans la sphère protestante ? Le 18 mai, le Conseil national des évangéliques de France l’a en effet jugée « consternante » et « contestable ».

    Je peux comprendre qu’on cherche à apaiser la souffrance des personnes, mais je ne crois pas qu’on y arrivera, nous, chrétiens, en nous écartant du message biblique qui rejette les relations homosexuelles, tout en invitant à accueillir toute personne. Ce que nous avons à dire aux personnes homosexuelles n’est pas simple à recevoir – « vivez la chasteté ! » –, mais nous devons essayer de suivre la Bible, et non l’esprit du monde, car c’est ce que l’Église doit faire. On touche là une certaine ironie de l’histoire : la Réforme nous a beaucoup reproché de ne pas suivre la Parole. Maintenant que nous le faisons, la Réforme, elle, le fait peut-être moins…

    Est-ce un pas supplémentaire vers l’alignement des églises de la Réforme sur les valeurs de la société actuelle ?

    J’en ai peur ! Sociologiquement parlant – et cela a été étudié spécifiquement aux États-Unis – quand une Église entreprend de suivre le mouvement général de la société, elle y est certes mieux acceptée et y fait moins l’objet de critiques. Mais cela l’amène aussi à s’éroder, voire à mourir. Certaines églises américaines l’ont même accepté explicitement pour elles-mêmes. Pourquoi irait-on à l’église, si c’est pour se retrouver soi-même ? On y va pour trouver Dieu. Grandir. Se convertir. Sinon, pourquoi irait-on ? Autant rester chez soi ! Alors on n’y va plus.

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  • Les réponses du Père Joseph-Marie Verlinde proposées sur une chaîne Youtube

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    De la Famille Saint-Joseph :

    Une fois par mois, le père Joseph-Marie répond à nos questions sur la foi. La parole est libre : catéchisme, vie de l’Église, engagement social, doctrine spirituelle, lectures bibliques, tout ce que vous avez dans la tête et sur le cœur peut être abordé. Cest le cycle Bêta.
    Ceux d’entre vous qui viennent à Saint-Joseph de Mont-Rouge en témoignent : ces partages sont appréciés. Nous avons alors entrepris de publier les enregistrements de ces échanges sur la chaîne Youtube de la Famille de Saint Joseph
    . Peut-être aimerez-vous participer de cette manière à ces rencontres ? Si c’est le cas, faites-le savoir en cliquant sur le bouton rouge « S’abonner ». C’est gratuit, c’est facile, cela permet de ne manquer aucune question. Cela nous encouragera à continuer les publications et nous aidera à déterminer leur fréquence : du nombre d’abonnés dépendront les prochaines publications ! À vos souris ! 

    unnamed.jpgRécemment publié :
    Les religions non-chrétiennes sont-elles dans l'erreur ? 

    Pourquoi Dieu préfère-t-il Abel à son frère Caïn ?

    Quel chemin de retour pour les divorcés-remariés ?