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International - Page 362

  • Syrie : l'archevêché gréco-catholique d'Alep mis à sac

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    Le siège de l'Archevêque métropolitain gréco-catholique d'Alep, S.Exc. Mgr Jean-Clément Jeanbart, a été mis à sac au cours d'affrontements entre des miliciens et les troupes loyalistes. L'Archevêque, son Vicaire et un certain nombre de prêtres se sont enfuis quelques heures seulement avant l'épisode qui a eu lieu jeudi dernier pour se réfugier au couvent des Franciscains d'Alep. Selon des sources de Fides au sein de la communauté catholique locale, les responsables de l'exaction « sont des groupes non identifiés qui entendent alimenter une guerre confessionnelle et impliquer la population syrienne dans des conflits sectaires ». Ainsi que le confirme à Fides le Père George Abu Khazen, OFM, Pro Vicaire apostolique de la communauté catholique latine, qui a accueilli ses confrères gréco-catholiques, « S.Exc. Mgr Jeanbart a fait part de sa vive préoccupation et de sa consternation suite à cet épisode et a répété, secoué par les événements, un seul mort : pourquoi ? ». Il est ensuite parti pour le Liban, où il se trouve encore à l'heure actuelle. Au cours des jours suivants, lorsque les militaires ont repris le contrôle de la situation, le Vicaire de Mgr Jeanbart a pu revenir à l'Archevêché, constatant que les portes en avaient été forcées et que différents objets (dont des ordinateurs et un projecteur) avaient été volés.

    Le Père Abu Khazen, OFM, explique que, ces derniers jours, une bataille a eu lieu dans la vieille ville d'Alep et que les combats sont arrivés jusqu'à la Place Fahrat, zone dans laquelle se trouvent tous les Archevêchés. Outre l'Archevêché gréco-catholique (melkite), s'y trouve en effet également l'Archevêché catholique maronite qui a lui aussi été endommagé. Des miliciens ont également fait irruption dans le musée chrétien byzantin Maarrat Nahman, endommageant des pièces des collections et un certain nombre d'icônes. Selon le Père Abu Khazen, OFM, une solution au conflit « n'est pas encore en vue parce qu'aucun des acteurs, nationaux et internationaux, ne fait pression pour parvenir à l'instauration d'un véritable dialogue ».

    En parlant à Fides, un autre représentant de la hiérarchie locale, qui a demandé à conserver l'anonymat pour raisons de sécurité, lance l'alarme : « Du fait de l'intervention désormais établie de groupes djihadistes, est en cours une tentative visant à fomenter la haine et des conflits sectaires. On enregistre la présence d'un nombre croissant de milices islamistes wahhabites et salafistes provenant de Tchétchénie, du Pakistan, du Liban, d'Afghanistan, de Tunisie, d'Arabie Saoudite et de Libye. Ces groupes ont pour seul but de faire régner le chaos, la destruction, les atrocités et de paralyser la vie sociale. La population civile syrienne en est la victime. Mais elle ne tombera pas dans ce piège ». (PA) (Agence Fides 27/08/2012) (les "gras" sont de Belgicatho)

  • Une adolescente chrétienne violée et mise à mort au Pendjab (Pakistan)

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    Une adolescente chrétienne, Muqadas Kainat, a été violée par cinq hommes et brutalement tuée près de la ville de Sahiwal au Pendjab. C'est encore un autre fait de violence qui attire l'attention sur la longue série de mauvais traitements subis par les enfants et les jeunes chrétiens au Pakistan (voir Fides 24/08/2012).

    L'incident s'est produit le 14 août dernier, mais il a été indiqué à Fides per des sources locales seulement maintenant, à la veille de l'audience devant le tribunal concernant une autre affaire, celle de Rimsha Masih, une chrétienne de onze ans arrêtée pour blasphème.

    Muqadas Kainat, 15 ans, était la fille de Rafik Masih, un petit ouvrier chrétien, employé dans un des fours pour la fabrication de briques en terre cuite, dans les plaines du Pendjab. Dans l'usine, appartenant à la société "Al-Ghani Société Bricks", située dans le Sahiwal, Rafik Masih travaillait avec sa femme et ses sept enfants, dont la plus jeune, Muqadas. La famille vit à proximité.

    Le 14 août, elle a quitté la maison et n'y est plus rentrée. Malgré les recherches effectuées par les membres de la famille, on ne l'a pas retrouvée. Le 15 août, un ouvrier d'usine a dit qu'il avait reçu un appel téléphonique anonyme indiquant que la jeune fille était dans un champ voisin. On a alerté la police et la recherche a mené à la découverte du cadavre de Muqadas Kainat. Une autopsie a révélé que la jeune fille a été violée plusieurs fois par au moins cinq hommes, puis elle a été étranglée.

    Une plainte a été déposée contre inconnu (First Information Report) mais "aucun coupable n'a encore été arrêté", ont déclaré à Fides le pasteur et avocat Mushtaq Gill,président de l'ONGLEAD ("Legal Development Association évangélique"), qui fournit une assistance juridique à la famille. La communauté chrétienne locale est choquée par ce qui s'est passé, et sa crainte c'est que le crime ne reste pas impuni. (PA) (Agence Fides 27/08/2012)

  • RDC : fillettes, adolescentes et femmes paient le prix fort

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    L'information paraît sur La Libre d'aujourd'hui :

    A Bukavu, une section de l’hôpital Panzi accueille les femmes victimes des viols collectifs de la guerre. Le Dr Mukwege se bat pour leur redonner un espoir. Prix Roi Baudouin en 2011, le médecin congolais a reçu jeudi Didier Reynders dans son hopital de Bukavu, où près de 40 000 femmes et jeunes filles ont déjà été soignées.

    Fatigué de voir les délégations ministérielles défiler dans son établissement sans que rien ne change, désespéré de voir que la situation empire à l’est du Congo, il a parlé, devant le ministre belge, d’injustice et de lâcheté, de courage qui faisait défaut.

    "La Libre" l’a interviewé peu après.

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  • Lobby international de l'IVG et orientation sexuelle au menu du Friday Fax (24/8/2012)

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    Stefano Gennarini vous rapporte le plaidoyer ému d’un sénateur philippin contre le projet de loi sur la santé reproductive soutenu par l'UNFPA. Cette loi rendrait obligatoire l’enseignement d’un programme d’éducation sexuelle dangereux et autoriserait l’IVG dans ce pays pro-vie.


    L'article d'Austin Ruse traite des discussions diplomatiques en cours sur l’orientation et de l'identité sexuelle qui ont lieu dans l’anticipation de la prochaine session de l'Assemblée générale en septembre. Le débat onusien sur l’orientation sexuelle ne traite pas de la peine de mort en raison de l’orientation homosexuelle. Il regarde le mariage, la famille, et l'adoption et les autres désirs que le lobby homosexuel tente d’imposer au le reste du monde.

  • Syrie : la Russie a-t-elle tout faux ?

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    Un article, mis en ligne par le Nouvel Economiqte, défend la position de la Russie sur le dossier syrien :

    Et si Poutine avait raison

    Pour Moscou, derrière la chute d’Assad se profilerait la création d’un grand espace sunnite-islamiste anti-occidental. La crise syrienne n’en finit pas. D’une révolution, dans le droit fil de ce qui a été observé en Tunisie ou en Egypte, elle a mué en une véritable guerre civile avec son cortège d’horreurs et d’exactions. Bachar al-Assad a clairement une grande responsabilité dans la dégradation de la situation. Au lieu d’écouter, et de répondre, aux aspirations légitimes à plus de démocratie du peuple syrien, il s’est enfermé dans une logique clanique de repli sur soi et de recours à la force armée.

    Si le dirigeant syrien tient encore, c’est en raison du soutien que lui accordent l’Iran, la Russie et la Chine, ces derniers pour l’essentiel sur le plan diplomatique. Cela est indubitable ; il est clair aussi que la solution au problème syrien passe en grande partie par Moscou.

    Sans l’accord de la Russie, en effet, point de mandat de l’ONU pour une solution politique pleinement acceptée, encore moins pour une intervention militaire. La réticence de Moscou à lâcher Assad tient bien sûr au maintien de ses intérêts dans cette région du monde. La Syrie est un de ses gros clients, notamment en matière d’armements. La côte syrienne offre aussi à ses navires de guerre sa seule base permanente en Méditerranée, à Tartous. Elle tient aussi à certains principes, notamment à celui de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat. A cet égard, il est clair que le précédent libyen, où le mandat onusien a allégrement été transgressé par les Occidentaux pour éliminer physiquement Kadhafi, pèse significativement dans le blocage russe.

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  • L'enfer pakistanais

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    ... est à découvrir sur Fides.org :

  • Le pape au Liban : une visite à haut risque ?

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    292370_482149421812588_1916311288_n-500x500.jpgC'est ce qu'il semble, d'après cet article paru sur Libnanews :

    "Le Père Paolo Dall’Oglio, jésuite responsable du monastère Mar Moussa Al-Habachi au Nabak en Syrie, s’est déclaré inquiet quant à la prochaine visite du Pape Benoit XVI au Liban qui se tiendra du 14 au 16 septembre, qu’il a qualifiée de « très dangereuse », selon une dépêche de l’AFP.

    Le Père Dall’Oglio, récemment expulsé de la Syrie où il avait contribué à la restauration de l’antique monastère antique de Mar Moussa au Nabak et à la fondation d’une communauté religieuse privilégiant le dialogue islamo-chrétiens, a appelé le Pape à demander l’aide de services secrets internationaux pour la garantie de sa sécurité. Il a estimé que les services de sécurité libanais ne sont pas suffisants parce que le gouvernement actuel au Liban est lié d’une certaine manière au régime syrien, ce qui engendre un problème sécuritaire immense.

    Interrogé par le site canadien La Presse, le Père Dall’Oglio a déclaré l’éventualité qu’une bombe pourrait être mise dans un stade où se trouverait le Saint Père, par des extrémistes sunnites envoyés par les services secrets syriens afin que les révolutionnaires soient accusés de l’attaque criminelle.

    Le père jésuite a formulé son souhait de voir le Pape exprimer sa solidarité avec les peuples souffrants, et adresser un message aux populations proche-orientales dans lequel il prouve que les Chrétiens ont opté pour le respect des droits de l’homme et contre toute forme de corruption politique et de régime totalitaire.

    Par ailleurs, le cheikh salafiste fondamentaliste Omar Bakri avait appelé le Pape à présenter ses excuses aux Musulmans du monde pour les propos qu’il avait tenu contre l’Islam lors d’une conférence en Allemagne en 2006. Des religieux chrétiens ont répondu à ces provocations que le Saint-Père n’a besoin d’aucune permission pour aller à la rencontre de ses fils."

  • Obama, pourfendeur de la liberté religieuse

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    Nous lisons, sur France Catholique :

    OBAMA EN LUTTE CONTRE LA LIBERTE RELIGIEUSE

    Le sénateur Barack Obama, lors de la campagne présidentielle de 2008, avait donné l’impression qu’il rejetait la position des Anciens du Parti Démocrate selon laquelle les principes moraux devaient demeurer à l’extérieur de la chose publique. En 2004, il avait même déclaré que « les laïques qui demandent aux croyants de laisser à la porte leur religion en entrant dans la sphère publique ont tort…Il est absurde de penser que les hommes et les femmes puissent faire fi de leur « morale personnelle » dans les débats de société. Notre droit est une codification de la morale, en grande partie fondée sur la tradition judéo-chrétienne. »

    Quatre ans plus tard, nous réalisons qu’Obama non seulement nous a trompés mais était bien déterminé à laïciser tous les secteurs de la vie américaine et à lutter contre la liberté religieuse.

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  • Le triste sort des chrétiens pakistanais

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    Sur Fides.org :

    ASIE/PAKISTAN - Eglise, gouvernement et imams mobilisés pour sauver Rimsha, fillette chrétienne accusée de blasphème

    Islamabad (Agence Fides) - Un effort commun mené par l'Eglise, le gouvernement, des responsables religieux et des ONG est en cours afin de sauver Rimsha Masih, fillette protestante de 11 ans affectée par le syndrome de Down, inculpée de blasphème à Rawalpindi. Au cours de ces derniers jours, la fillette, accusée d'avoir brûlé des pages du coran, a vu une plainte être déposée contre elle sur la base de l'article 295b du Code pénal - l'article qui, avec le 295c, constitue ce qu'il est convenu d'appeler la loi sur le blasphème - et incarcérée. A propos de cette affaire, qui a secoué l'opinion publique mondiale, on enregistre « la mobilisation des institutions et des responsables religieux afin d'obtenir sa remise en liberté » déclare à l'Agence Fides le catholique Paul Bhatti, Conseiller spécial du Premier Ministre pour l'Harmonie nationale

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  • Les droits des chrétiens cypriotes sont bafoués

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    Chypre : Chrysostome II demande justice pour les chrétiens

    Source : ZENIT.org - Antonio Gaspari - Traduction d’Anne Kurian

    Chrysostome II, primat de l’Eglise orthodoxe de Chypre demande justice pour les chrétiens de Chypre, soulignant que « le christianisme a le don d’éclairer toute l’humanité » et que s’il s’éteint, « la lumière de tout l’univers s’éteint ».

    Sa Béatitude Chrysostome II, archevêque de Nouvelle Justinienne et de tout Chypre, est intervenu au cours de la rencontre internationale d’Amitié entre les peuples, à Rimini, en Italie, le 20 août 2012. Au cours de son intervention, qui avait pour thème « liberté religieuse: le principe et ses conséquences », l’archevêque a rapporté les restrictions et violences subies par les chrétiens cypriotes, après 30 ans d’occupation de 38% de l’île par la Turquie. Quelque 520 églises chrétiennes ont été transformées en magasins, musées et mosquées. Le patrimoine artistique a été dérobé et vendu. 180.000 milles cypriotes ont été chassés et substitués par 300.000 colons d’Anatolie et 30.000 soldats turcs, a dénoncé Chrysostome II. Même pour visiter des lieux sacrés comme la tombe de l’apôtre Barnabé, les chrétiens doivent acheter un ticket aux occupants. Selon le primat orthodoxe, l’Etat Turc tente d’effacer les marques de la religion chrétienne dans la partie de Chypre qui est sous leur contrôle.

    « Tout ceci provoque souffrance et douleur », car même en étant membre de l’Union européenne et des Nations-Unies, Chypre n’obtient pas justice, a-t-il souligné. Pour l’archevêque cypriote, la liberté religieuse ne se limite pas seulement à un instrument de tolérance politique, parce qu’elle est fruit d’un approfondissement des valeurs morales et éthiques inhérentes au cœur de l’homme. « Le christianisme a le don d’éclairer l’ensemble de l’humanité », a affirmé Chrysostome II et « pour cette raison, quand le cœur du christianisme s’éteint, alors la lumière de tout l’univers s’éteint ».

    Lors des débats qui ont suivi, Franco Frattini, ex-ministre des affaires étrangères italien et président de la Fondation Alcide de Gasperi, a rappelé que « la liberté religieuse ne consiste pas seulement dans la possibilité d’une relation personnelle avec l’éternel, mais doit être professée publiquement ». Pour Salman Shaik, directeur du Centre Brooking Doha et membre du Centre Saban pour la politique du Moyen Orient, musulman marié à une chrétienne, la liberté religieuse est le point focal duquel repartir après les révoltes du printemps arabe : il plaide à ce titre pour l’inclusion des minorités dans la création des nouveaux gouvernements. Gianni Alemanno, maire de Rome, a déploré quant à lui l’indifférence des autorités européennes et des média européens à l’égard des violations des droits de l’homme, spécialement contre les chrétiens.

  • Douze mille chrétiens syriens pris au piège à Rableh

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    Rableh (Agence Fides) - Plus de 12.000 fidèles gréco-catholiques se trouvent pris au piège dans le village de Rableh, à l'ouest de Qusayr, dans la région d'Homs. Les vivres commencent à faire défaut et les fidèles sont « au pain et à l'eau ». Les médicaments nécessaires pour soigner les malades et les blessés manquent eux aussi. Telle est l'alarme lancée par des sources locales de Fides qui, invoquant le respect du droit humanitaire, confirment ce que la presse internationale rapporte à propos de la situation à Rableh.

    Depuis plus de dix jours, le village de Rableh fait l'objet d'un blocus rigoureux de la part de groupes armés de l'opposition qui l'encerclent de toutes parts. L'un des responsables d'une Paroisse locale, B.K., qui demande à conserver l'anonymat pour raisons de sécurité, a indiqué à Fides qu'au cours de ces derniers jours, trois jeunes du village ont été tués par des tireurs embusqués. Il s'agit de George Azar, 20 ans, d'un autre jeune de 21 ans dont l'identité n'est pas mentionnée et d'Elias Tahch Semaan, 35 ans, marié et père de quatre enfants.

    Certains représentants de l'initiative populaire de réconciliation Mussalaha sont parvenus à acheminer un petit chargement d'aides humanitaires jusqu'au village. Un représentant de Mussalaha a rassuré les fidèles, en affirmant que « tout sera fait afin de permettre la remise d'aides humanitaires ».

    Un appel a été lancé à tous les hommes de bonne volonté par S.B. le Patriarche Grégoire III Laham, visiblement ému, afin que « Rableh soit sauvé ainsi que tous les autres villages touchés en Syrie et que la paix arrive finalement dans notre bien-aimé pays ». Le Nonce apostolique en Syrie, S.Exc. Mgr Mario Zenari, a également invité toutes les parties impliquées « à respecter rigoureusement le droit international humanitaire », rappelant que la résolution de la crise en Syrie dépend d'abord et avant tout de ses citoyens.

    L'Agence Fides a appris en outre que le monastère gréco-catholique de Saint Jacques le Mutilé sis à Qara, qui abrite actuellement une communauté de 25 personnes provenant de neuf pays ainsi qu'une vingtaine de réfugiés, a été bombardé ces derniers jours par un hélicoptère d'attaque qui entendait toucher un certain nombre de groupes rebelles. Aucune victime n'est à déplorer mais différentes parties du monastère remontant au VI° siècle après Jésus Christ ont été endommagées. La Supérieure du monastère, Mère Agnès-Mariam de la Croix, a joint sa voix à celle de la hiérarchie locale, demandant la fin des violences et « l'adoption de la logique du dialogue et de la réconciliation ». Des autorités chrétiennes locales demandent aux parties au conflit d'épargner les zones où vivent les civils et de sauvegarder le patrimoine culturel et religieux du pays. (PA) (Agence Fides 22/08/2012)

  • Une jeune trisomique accusée de blasphème au Pakistan

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    Nous lisons ICI :

    Pakistan : une petite trisomique accusée de blasphème

    Pour la première fois un mineur a été arrêté pour « blasphème » au Pakistan. Qui plus est il s’agit d’une fillette trisomique, Rimsha Masih. Elle a 11 ans et on l’accuse d’avoir brûlé dix pages d’une brochure utilisée pour apprendre l’arabe (donc le Coran), et avoir jeté le reste aux ordures.

    La police a mis la fillette en prison sous pression des islamistes qui menaçaient de faire justice eux-mêmes, c’est-à-dire de la tuer, et sa mère avec.

    Quelque 300 familles chrétiennes du même bidonville d’Islamabad ont fui, les islamistes ayant annoncé qu’ils allaient incendier les habitations des chrétiens.

    Voir également : rtbf.be