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Médias - Page 146

  • 4 et 5 octobre, sur KTO : le pape François à Assise

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    Vendredi 4 et samedi 5 octobre
    Le Pape François à Assise - Programmation spéciale - KTO en direct d'Assise

    Rediffusions

    Dans la soirée de vendredi, KTO vous propose de revivre les plus grands moments de la journée, avec l'homélie du Pape à 22h15 et les grands moments de la journée à partir de 22h45. Et bien sûr tous les rendez-vous sont a voir ou revoir sur www.ktotv.com.

    Flashs
    Jeudi à 20h35 : Avant Assise.

    Vendredi :

    - 9h25 : Le matin à Assise (rediffusion 10h55).
    - 19h30 : Le soir à Assise (rediffusion 22h10).

    Edition spéciale Que veut le Pape François ?

    Le Pape François, par sa personnalité, les signes qu'il donne et son mode d'expression suscite l'enthousiasme, très au-delà des sphères catholiques. Parmi ces derniers, certains retrouvent en lui le « printemps de l'Eglise » de Vatican II. D'autres, la mise en œuvre de la Nouvelle Evangélisation. Quelle ligne dessine-t-il derrière les phrases-choc et les gestes symboliques ? « Une Eglise pauvre pour les pauvres », est-ce une Eglise de gauche ? Une Eglise de l'hémisphère Sud ? Une « Eglise pour tous » ? A quoi ressemble une Eglise « qui sort d'elle-même » ? La « miséricorde avant la doctrine », est-ce une libération, un retour aux sources, ou une technique évangélique ? François veut-il une réforme de la Curie ou une révolution dans l'Eglise ? Est-il évêque de Rome ou curé du monde ? Est-il l'héritier ou le contraire de ses prédécesseurs ? Est-il un missionnaire ou un communicant ? A quel « exercice spirituel » nous invite ce Pape jésuite ? Questions profondes, simples ou simplistes qui alimentent les éditoriaux et la blogosphère, les discussions de famille et de comptoir, les parvis et les sacristies... 

    Samedi soir, KTO reçoit le cardinal André Vingt-Trois : à partir des propos du Pape à Assise et de témoignages sur les attentes qu'il suscite, nous essaierons de mieux comprendre ce que dit le pape François au monde, et ce qu'il veut pour l'Église d'aujourd'hui.

    Édition spéciale à voir sur KTO samedi 5 octobre à partir de 20h40, et à revoir ensuite sur cette page.

  • Les tueries des chrétiens en terre d'islam : l'Occident ferme délibérément les yeux

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    De Franz-Olivier Giesbert, éditorialiste, sur le site du Point (3 octobre) :

    ... C'est bien un choc des civilisations qui se déroule sous nos yeux en Syrie, où s'affrontent, au nom de l'islam, les chiites soutenus par les Iraniens et les sunnites armés par l'Arabie saoudite et le Qatar. Même chose au Pakistan, où, comme en Égypte ou au Nigeria, les chrétiens sont devenus la chair à pâté des intégristes islamistes.

    C'est une des grandes nouvelles de l'année : si l'Occident défend encore, ici ou là, quelques minorités ethniques persécutées de par le monde, il semble avoir décidé de faire passer par profits et pertes les tueries de chrétiens en terre d'islam. Par fatigue ou honte de soi, ou les deux, nous fermons les yeux.

    Deux poids, deux mesures. La semaine dernière, alors que le monde entier se focalisait sur l'attaque d'un centre commercial de Nairobi, au Kenya, qui a fait 69 morts, un attentat-suicide faisait plus de 80 morts devant une église de Peshawar, au Pakistan. C'est peu de dire que le massacre pakistanais est passé inaperçu : il a été zappé. Il y a là quelque chose d'hallucinant qui relève de la psychanalyse.

    La vie des chrétiens d'Orient, d'Afrique ou d'Asie compte-t-elle pour quantité négligeable ? C'est une question que l'on est en droit de se poser quand on voit la place que nos chers médias accordent aux tueries et aux discriminations dont les catholiques ou les protestants sont l'objet sur la planète : rien ou presque, à quelques heureuses exceptions près.

    Entre chrétiens et musulmans, l'incompréhension est séculaire. Sans doute parce qu'ils ont pas mal de points communs. Bien sûr, d'un point de vue historique, chaque camp a sa part de responsabilité : avant le djihad, il y a eu des croisades qui n'étaient pas des promenades de santé. Mais est-ce une raison pour que les puissances occidentales abandonnent à leur triste sort les 2 % de chrétiens du Pakistan, les 11 % de l'Égypte ou les 49 % du Nigeria, considérés par les intégristes islamistes comme du gibier d'attentats ?

    Cachez ces crimes qu'on ne saurait voir : c'est notre tartuferie qui nourrit le choc des civilisations. Puisque leurs forfaits ne sont ni punis ni même dénoncés, les djihadistes et les salafistes se croient autorisés à continuer. Ce n'est pas faire de l'islamophobie que de dire cela. Il y a aujourd'hui, notamment en France, une tendance à accepter ce qu'on refuse, depuis belle lurette, Dieu merci, aux catholiques. Pis encore, il y a aussi une forme de résignation devant les crimes et les folies des intégristes musulmans au Pakistan et ailleurs. A croire que l'islam n'est pas une religion comme les autres et qu'il porterait le mal en lui, alors que les islamistes le défigurent.

    C'est là le syndrome d'un impensé raciste.

  • Le pape François se sent libre de communiquer

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    Lu sur le site de Radio Notre-Dame, ce 2 octobre :

    Pour le directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège, le Pape François "se sent libre de communiquer".

    Le père Federico Lombardi a dû répondre aux questions des journalistes réunis en conférence de presse au Vatican. Les questions portaient principalement sur deux récents évènements qui ont suscité beaucoup de nombreux commentaires dans les médias : les réunions du Conseil des Cardinaux et la longue interview du Pape François publiée dans le quotidien italien La Repubblica.

    La réforme de la Curie romaine, "un travail de long terme"

    Le groupe de huit cardinaux (ci-contre) chargés de conseiller le Pape François dans ses futures réformes se réunit au Vatican du 1er au 3 octobre. Les premières rencontres ont donc déjà eu lieu, alors quel en est le résultat concret ? D'après le père Lombardi, inutile de s'attendre à "des documents ou des décisions du Conseil : sa modalité est de conseiller le Pape pour qu'il gouverne bien l’Église. Nous pouvons nous attendre à ce que le Pape prenne des bonnes décisions.", assure-t-il.

    Le Conseil des Cardinaux devra réfléchir à la réforme de la Curie, même si le projet sera "poursuivi par le Pape, et non par le Conseil des Cardinaux". Le directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège est clair : c'est "un travail de long terme, nous ne devons pas nous attendre à des conclusions à courte échéance".

    Vu le nombre de points à aborder, les cardinaux auront en effet besoin de temps. Le père Lombardi a expliqué que "la réforme de la Curie dans ses différents aspects, comme le rapport entre les dicastères et le Saint-Père, la coordination des dicastères et la fonction du Secrétaire d’État sont des thèmes larges et structurés, il y a une infinité de suggestions et d'opportunités".

    Le Pape en a-t-il trop dit ?

    Dans l'entretien publié le 1er octobre dans le journal italien La Repubblica, le Pape aborde de nombreux sujets avec un franc-parler qui, même s'il fait partie du "style Bergoglio", n'en continue pas moins de surprendre. C'est Eugenio Scalfari, fondateur de La Reppublica (ci-contre), qui s'est entretenu avec le Pape François.

    Pour le père Lombardi, il s'agit d' "un dialogue sans préjudice et sans diaphragmes [...]. Il suffit de penser aux personnes qu'il rencontre pendant les audiences ou les différentes rencontres". Le porte-parole du Saint-Siège explique que "le Pape se sent libre de communiquer avec différents genres d'expressions, c'est à nous d'en comprendre la valeur [...]".

    Concernant la dernière interview, mieux vaut rester prudent : le Père Lombardi précise que ce "n'est pas un document écrit du Pape, ni revu par lui". Toutefois, "le sens de ce qui a été exprimé est fiable", car "celui qui a publié le contenu de l'entretien, autorisé par le Pape, est une personne faisant autorité et responsable".

    Source : Agenzia Sir

    Voir ici : Conseil des Cardinaux, interview du Pape : les explications du Père Lombardi

    mais aussi : http://2.andreatornielli.it/?p=6766

  • Ce que le pape François a vraiment dit à Scalfari : texte intégral

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    Repubblica.it: il quotidiano online con tutte le notizie in tempo reale.

    Enfin la traduction complète de l’interview telle que l’a  rapportée Eugenio Scalfari lui-même ! L’accès aux sources est tout de même plus éclairant que les « compendiums » et autres « raccourcis » qui circulent, fussent-ils d’origine vaticane. JPSC

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  • Bulletin de l'IEB - 2 octobre 2013 - Euthanasie - sondages/Nathan/BBC

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    header_fr.jpgSommaire

  • Aujourd’hui dans la « Repubblica » : le pape François persiste et signe

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    Selon Radio-Vatican relayé sur internet par News.va, toute l’attention des médias se porte sur les trois jours de rencontres prévus à partir de ce mardi entre le Pape François et le Conseil des huit cardinaux qu’il a institué pour l’épauler dans la gouvernance de l’Eglise et entamer une réforme de la Curie. Et cela n’a pas échappé au Saint-Père qui, dans un long entretien publié ce mardi matin par le quotidien italien La Repubblica (le grand journal italien de centre-gauche) aborde sans tabou ces questions avec le fondateur du quotidien Eugenio Scalfari.

    « Le Pape estime d’emblée que s’ouvrir à la modernité est un devoir, et qu’en repartant du Concile Vatican II, il faut ouvrir l’Eglise à la culture moderne. Le Concile Vatican II, remarque-t-il, « a décidé de regarder l'avenir avec un esprit moderne. Les pères conciliaires savaient qu'ouvrir à la culture moderne signifiait oecuménisme religieux et dialogue avec les non croyants. Depuis, bien peu a été accompli dans cette direction. J'ai l'humilité et l'ambition de vouloir le faire ». Pour François, le prosélytisme est « une bêtise magistrale », car l’essentiel est de « se connaître et de s’écouter, et de faire connaître le monde qui nous entoure ».

    A deux reprises, François cite le cardinal jésuite italien Carlo Maria Martini, chef de file des réformistes dans l'Eglise, mort en 2012. Interrogé sur sa pensée et ses saints préférés, il admet qu'il n'est pas très mystique et dit sa prédilection pour Saint-Augustin: "ce saint a traversé beaucoup de réalités et a changé plusieurs fois de position doctrinaire [sic, ndb]". Quant à François d'Assise, "il est très grand parce qu'il est tout à fois: un homme qui veut faire, construire, fonde un ordre et ses règles, est un missionnaire itinérant, poète, prophète, qui a constaté le mal en lui et en est sorti. »

    L'Eglise catholique est trop "vaticano-centrique"

    Quand j’ai face à moi quelqu’un de clérical, je deviens automatiquement anticlérical. Le cléricalisme ne devrait avoir rien à faire avec le christianisme », tient à souligner François qui n’est pas très tendre non plus avec le « narcissisme » : « cela comporte un amour démesuré envers soi-même et cela n’est pas une bonne chose. Cela peut produire de graves dommages non seulement à l’âme de celui qui en souffre, mais également dans le rapport avec les autres, avec la société dans laquelle il vit. » « Le vrai problème, ajoute le Pape, c’est que ceux qui sont les plus atteints par ce qui est en réalité un problème mental sont des personnes qui ont beaucoup de pouvoir. Souvent les chefs sont narcissiques. Et même les chefs dans l’Eglise l’ont été ».

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  • Supprimer toutes les fêtes chrétiennes ?

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    Telle est la position du richissime homme d'affaire et sponsor du Parti Socialiste français, Pierre Bergé :

    Sur RTL.fr : Pierre Bergé favorable à la suppression de toutes les fêtes chrétiennes

    Pierre Bergé s'est dit, jeudi (26 septembre), favorable à la suppression des fêtes chrétiennes en France, au nom de la séparation de l'Église et de l'État.

    Nouveau polémiste de l'émission On refait le monde, sur RTL, Pierre Bergé a d'emblée lancé la polémique en réagissant à la proposition de l'anthropologue spécialiste des faits religieux, Dounia Bouzar. Nommée dimanche à l'observatoire de la laïcité, elle s'est dite favorable à la suppression de deux jours fériés chrétiens pour être remplacés par l'Aïd et Kippour. 

    Nous ne sommes pas que des chrétiens en France. Pourquoi ne pas en tenir compte ?

    Pierre Bergé est allé encore plus loin. "Je suis pour la suppression intégrale de toutes les fêtes chrétiennes", a-t-il dit jeudi. "Nous vivons sous le régime de la séparation de l'Église et de l'État. Nous ne sommes pas que des chrétiens en France. Il y a une grande partie de musulmans. Il y a beaucoup d'autres religions. Pourquoi ne pas en tenir compte ? Je préférerais qu'on soit laïcs jusqu'au bout et qu'à l'exception de Noël, qui est devenu une fête chrétienne et qui était une fête païenne, on supprime toutes les autres", a ajouté l'homme d'affaires. 

    Allons jusqu’au bout de la séparation de l'Église et de l'État

    "La France n'a pas beaucoup de courage. Allons jusqu’au bout de la séparation (de l'Église et de l'État). Les religions existent, les églises existent. Je trouve normal qu'elles existent, ainsi que les mosquées. Mais c'est incroyable que l'on soit dans un régime où il y a des fêtes chrétiennes tous les 15 jours", a conclu Pierre Bergé. 

  • Waterzooi publicitaire: visitez Gand, sa cathédrale, son évêque et son agneau mystique

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    Le triomphe du bon goût...

  • Quand Benoît XVI mouche un philosophe athée

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    Nous en avons parlé ici  Une lettre de Benoît XVI paraît à son tour sur la RepubblicaIl est peut-être intéressant d’y revenir avec ce commentaire d'un prêtre, écrivain et théologien italien, don Agostino Clerici, qui tient un blog intitulé "L'essentiel est visible". Cette  recension (http://agostinoclerici.it/) a été traduite et publiée sur l’excellent site « Benoît et moi ». :

    « Ceux qui avaient donné le pape émérite pour disparu, doivent revoir leur copie. Benoît XVI, le théologien Joseph Ratzinger, est bel et bien vivant. Et surtout, lucide et combatif, capable d'être à la fois délicat et piquant. En donne la preuve la lettre avec laquelle il a répondu au mathématicien Piergiorgio Odifreddi (personnage célèbre pour sa critique radicale de la foi chrétienne et de l'Eglise, avec des thèses souvent appuyées sur une logique bien loin d'être ... géométrique). Le quotidien La Repubblica en a publié des extraits.

    Après avoir remercié le mathématicien d'avoir pris en considération son livre - son Introduction au christianisme - le pape Benoît XVI extrait son jugement sur le livre d'Odifreddi - Caro papa, ti scrivo - en notant avec regret «une certaine agressivité, et la témérité de l'argumentation», tout en avouant avoir tiré «plaisir et profit» à certains passages. Et là, première estocade: si la théologie est de la science-fiction (thèse soutenue par Odifreddi) comment le mathématicien a-t-il pu juger un texte de... science-fiction comme celui de Benoît XVI si digne d'une approche.. scientifique? Humour à part, c'est l'objection la plus forte que l'on puisse adresser à un athée: Si Dieu n'existe pas, si Jésus-Christ est une invention, si tout ce qui le concerne (de la part de ceux qui croient qu'il existe) est pure fantaisie et non-sens, pourquoi t'échauffes-tu tellement à le réfuter? Bien sûr, l'importance historique et culturelle du christianisme est immense, et même un athée le sait et est obligé de compter avec les conséquences mesurables de ce qui n'existe pas ... De toute évidence, le Dieu incarné est plus gênant que le Dieu qui est sur un nuage!

    Joseph Ratzinger ne se dément pas et écrit avant tout comme un véritable homme de foi et, par conséquent, comme un ardent défenseur de la raison: «Dans toutes les disciplines spécifiques, la scientificité a à chaque fois sa forme propre, selon la particularité de son objet. L'essentiel est qu'elle applique une méthode vérifiable, qui exclut l'arbitraire et garantit la rationalité dans les différentes modalités respectives». Comme pour dire: la méthode scientifique est une méthode qui sied aussi aux disciplines théologiques, et qui pourrait manquer dans des disciplines prétendument scientifiques, parce que - seconde estocade du Pape émérite - «la science-fiction existe, du reste, dans le contexte d'un grand nombre sciences». Et le pape émérite cite les auteurs chers à Odifreddi: Heisenberg, Schrödinger, Richard Dawkins et Jacques Monod, et quelques-unes de leurs thèses farfelues. De la science-fiction, en fait.

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  • BXL, 29/9 - 6/10 : "Ville à vivre"

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    Carte-de-Visite-Ville-à-Vivre-640.jpgCommuniqué de presse

    29 septembre 2013 - 6 octobre 2013

     

    Tous les mois depuis trois ans, le site Ville à vivre propose aux internautes de découvrir un nouveau visage de Bruxelles. Pas de grands discours ni de leçons de morale : l’internaute découvre des personnes issues du quotidien : des jeunes, des adultes, des aînés de toutes origines. Derrière ces regards, des histoires simples, ancrées dans la ville. Des témoignages d’engagement, des partages de foi aussi.


    Ces différents portraits nous invitent à considérer Bruxelles comme une ville à construire ensemble, une ville solidaire où il fait bon vivre, une ville qui a le souci de mettre les uns en relation avec les autres. Une ville qui prend sur elle d’épauler, d’accompagner, de soutenir les personnes en marge, une ville enfin, qui cultive la chaleur humaine.


    C’est de cette Eglise à taille humaine que Ville à vivre veut être le reflet : une Eglise aux portes toujours ouvertes, pour qui s’adresse à elle.

     


    Cette nouvelle campagne vous propose une série de vidéos sur le deuil, ainsi que deux vidéos consacrées au monde de l’enseignement.

     

    25 interviews sont disponibles sur www.villeavivre.be, et sont axées sur :

    - les ‘sacrements’

    - la ‘foi et la vie quotidienne’,

    - les ‘jeunes’

    - les actes ‘solidaires’

    - ‘traverser le deuil’, en lien avec le blog http://deuiletesperance.blogspot.be

    - l’‘enseignement’

    Des outils sont également à votre disposition pour l’animation : des pistes pédagogiques à télécharger, un DVD qui permet d’utiliser ces vidéos offline, des cartes promotionnelles, etc.


    Chaque mois, un nouveau portrait, un nouveau témoignage sur 
    www.villeavivre.be


    Retrouvez Thérèse, Sébastien, Monica, Bernadette, France, Monique, Marie, Philippe et Francine, Dédée,

    Marie-Thérèse, André, René et Renée, Lucien, Ines…, et bien d’autres !


    Ville à vivre

    Responsable de projet : Marie-Françoise Boveroulle

    Rue de la Linière, 14 - 1060 Bruxellesmf.boveroulle@skynet.be

    Disponible pour interviews - prendre contact au 02/533.29.60 ou 0475/547.881

    www.villeavivre.be

  • De la télé et du pouvoir : quand Michel Drucker se confie

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    Quand le plus célèbre des présentateurs français de télévision se révèle et bat sa coulpe. Cela pourrait aider beaucoup de gens à ouvrir les yeux sur le fonctionnement des médias et du pouvoir, et sur l'endoctrinement qui en résulte. C'est sur le Figaro et cela vaut le détour :

    Dans son dernier livre, De la lumière à l'oubli à paraître le 7 octobre chez Robert Laffont, Michel Drucker affiche un surprenant langage de vérité. Il y évoque des souvenirs mais aussi des témoignages sur la notoriété offerte par la télévision et les relations que le pouvoir entretient avec elle. Extraits choisis.

    La cour et les favoris

    «Si Sevran a très bien évolué à la télévision dans les années Mitterrand, il n'a probablement rien eu à demander. C'est la cour, souvent, qui s'empresse de faire plaisir à un favori. Tous les patrons sont aux petits soins avec ceux qui ont l'oreille du roi - pas seulement à la télévision... Aux yeux du landerneau des décideurs, savoir que vous dînez régulièrement avec «Dieu» suffit pour que pas mal de choses aillent de soi. Vous êtes en cour, vous êtes quelqu'un. Vos projets ne sont pas des ordres, mais pas loin.»

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  • Indifférence quasi-générale pour ces chrétiens que l'on massacre

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    Lu sur Boulevard Voltaire : Des chrétiens massacrés dans l’indifférence quasi-générale

    (Fabrice Le Quintrec, Journaliste à Radio France, spécialiste en revue de presse, ancien attaché culturel au Japon.)

    Les filiales et les émules de Al-Qaida dans le monde se sont, le week-end dernier, rappelés à notre bon souvenir. Du fait des élections générales en Allemagne et de l’attaque sanglante d’un centre commercial au Kenya (qui présentaient l’avantage de pouvoir être suivies à la télé), le carnage perpétré à Peshawar, à la sortie d’un office religieux chrétien, a été relégué au troisième, quatrième ou cinquième plan de l’actualité, quand il n’a pas été purement et simplement occulté par les médias.

    Au Proche et au Moyen-Orient, on peut massacrer des chrétiens en toute impunité et dans l’indifférence quasi-générale. Quel homme politique français, quelle grande conscience pétitionnaire a-t-on entendu à la suite de cette tuerie qui en rappelle, hélas, tant d’autres survenues en Égypte, en Syrie, ou en Irak, sans même parler d’une autre région du monde bien placée, elle aussi, dans ce triste palmarès : le Nigeria ?

    Décidément, le combat pour les droits de l’homme et le prix de la vie humaine sont à géométrie variable… Peut-être l’effet de ce que les journalistes appellent parfois la « loi de proximité » : on attache, paraît-il, plus d’importance à ce qui se passe près de chez nous ou à ce qui nous concerne de manière directe, intime. Donc, le sort des deux ou trois millions de chrétiens pakistanais, ce ne serait pas notre problème !

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