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Médias - Page 149

  • La popularité du pape François

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    Sandro Magister, vaticaniste bien connu, propose, sur son site, une réflexion consacrée à la popularité du pape François :

    Le voyage symbolique à Lampedusa. La grande popularité. La réforme de la curie. Le silence calculé en ce qui concerne les questions d'éthique. Mais également la première erreur à propos d’une nomination à l'IOR. Le défi du pape François quant au changement dans l'Église se heurte à des obstacles et à des ennemis. Y compris au Vatican 

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  • De Rome sur KTO : la solennité des saints Pierre et Paul

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    Samedi 29 juin à 17h
    Résumé de la Messe et de la remise
    du Pallium aux Métropolitains

    La solennité des 
    Saint Pierre et Saint Paul

      Place Saint-Pierre
    Cette fête est la plus ancienne fête inscrite dans le Sanctoral romain, bien avant Noël. Au IVe siècle déjà, on célébrait trois messes, l'une à Saint-Pierre-du-Vatican, l'autre à Saint-Paul-hors-les-murs, la troisième aux catacombes où les corps des deux apôtres furent cachés pendant un certain temps. 

    La célébration s'étant déroulée dans la matinée en même temps que les ordinations sacerdotales, elle ne sera exceptionnellement pas diffusée en direct, mais à 17h. Comme le veut la tradition, le samedi 29 juin, dans la basilique Saint-Pierre, à l'occasion de cette fête des saints Pierre et Paul, le Pape François célèbrera la messe, au cours de laquelle des archevêques métropolitains nommés dans l'année recevront le pallium des mains du Pontife.


    Un résumé de 45 minutes à voir sur KTO samedi 29 juin à partir de 17h, et à revoir ensuite en suivant ce lien.
  • 14 juillet : la consécration du nouvel évêque de Liège en direct sur RCF

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    Le 31 mai dernier, le pape François a choisi l’abbé Jean-Pierre Delville comme 92ème évêque de Liège. Il succède ainsi à Monseigneur Aloys Jousten. Le 14 juillet prochain à 15 heures, Jean-Pierre Delville sera ordonné évêque à la Cathédrale Saint-Paul de Liège. RCF ne manquera pas cet événement important pour tout le diocèse de Liège et vous fera vivre cette célébration en direct dès 14h30. Les commentaires seront assurés par le frère Philippe Cochinaux o.p. et l’abbé Ralph Schmeder.

    L’ordination de l’abbé Jean-Pierre Delville à la cathédrale de Liège, c’est le dimanche 14 juillet à partir de 14h30 en direct sur 93.8FM à Liège et dans sa région et partout ailleurs sur www.rcfliege.be

  • Disney assaisonne les petits à la sauce homo

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Disney : lesbiennes pour tout-petits

    La communauté LGBT aux Etats-Unis en est toute émue : la dernière saison de Good Luck Charlie, une sitcom pour enfants diffusée par le Disney Channel, comportera une petite famille avec deux mamans. Elle apparaîtra au cours d'un des épisodes où Charlie (une jeune fille) se lie d'amitié avec une petite fille tandis que les parents de l'héroïne tentent de se lier d'amitié avec ses « deux mamans » lesbiennes.

    Un hic : alors que la paire lesbienne est jeune, moderne, rigolote, les « parents hétérosexuels » de Charlie sont aussi ringards qu'ennuyeux. Surtout le père. CQFD…

    L'épisode a été élaboré sous l'étroite surveillance d'experts du développement enfantin et de travailleurs sociaux, assure un responsable de Disney Channel. « Comme tous les programmes de Disney Channel, il a été conçu en vue de correspondre aux intérêts des enfants et des familles dans le monde entier et pour  promouvoir les thèmes de la diversité et de l'inclusion. »

    La chaîne câblée annonce 1 million de spectateurs aux Etats-Unis dans le segment des 2-11 ans ; 300.000 d'entre eux ont moins de six ans.

  • Les 100 jours de François et l'énigme du trône vide

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    Sandro Magister (Chiesa Espresso) fait le point après tous les bilans qui ont été faits par de nombreux observateurs après les cent premier jours du pontificat :

    Les cent jours de François et l'énigme du fauteuil vide

    Son refus imprévu d'écouter la Neuvième Symphonie de Beethoven qui lui était offerte dans le cadre de l'Année de la foi caractérise un début de pontificat difficile à déchiffrer. Le succès médiatique dont il bénéficie a un motif et un prix: son silence en ce qui concerne les questions politiques cruciales que sont l'avortement, l'euthanasie, le mariage homosexuel 

    ROME, le 24 juin 2013 – Les cent premiers jours de pontificat du pape François ont conduit beaucoup d’observateurs à tenter d’en faire un bilan.

    Or, l'immense et durable popularité dont jouit Jorge Mario Bergoglio depuis le jour où il a été élu pape constitue déjà en soi un élément d’évaluation. Des foules énormes se pressent à chacune de ses apparitions publiques. Dans tous les sondages d'opinion, ce pape recueille des niveaux d’approbation très élevés, ce qui se traduit également par une augmentation de la confiance qu’inspire l’Église catholique. Et ce qui est encore plus étonnant, c’est la bienveillance que lui témoigne l'opinion publique laïque, qui a été particulièrement agressive envers l’Église et envers le pape pendant le pontificat de Benoît XVI.

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  • S'éclater et puis mourir

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    Alors qu'en Belgique le débat sur l'euthanasie risque de déboucher rapidement sur un élargissement de la loi autorisant notamment le "suicide assisté" des mineurs, les Pays-Bas ne se privent pas de célébrer cette culture de mort comme on peut le lire ICI :

    Lundi soir de nombreux Néerlandais seront vissés à leurs écrans de télévision pour voir un documentaire de 55 minutes sur la « mort choisie » de Priscilla Brouwer, euthanasiée à 26 ans pour ne pas subir la lente dégradation associée à la maladie héréditaire dont était morte sa propre mère alors qu'elle était encore enfant.
     
    Le film sera diffusé par une chaîne d'Etat, Nederland 2, sous le titre Nachtvlinder, « Papillon de nuit », le surnom de la jeune fille qui dès le diagnostic de sa maladie, à l'âge de 16 ans, a décidé de profiter de chaque instant, jour et nuit. Devenue une figure de la vie nocturne à Amsterdam, elle a tôt décidé qu'elle partirait lorsqu'elle estimerait « souffrir sans perspective » selon la terminologie officielle de la loi autorisant l'euthanasie, issue qu'elle avait envisagée et étudiée dès la maladie et la mort de sa propre mère.
     
    Le documentaire, goulûment filmé pour montrer la jeune Priscilla et tous ceux qui l'ont soutenue en exemple, la suit pendant ses derniers jours. Derniers jours décrétés inéluctables par la jeune femme lors de son 25e anniversaire : c'est là qu'elle estime souffrir davantage qu'elle ne tire de jouissance et de choses positives de la vie. Deux amies proches l'accompagnent dès lors dans ses démarches : aller voir le médecin de famille, par exemple, pour réclamer la mise à mort prochaine.
     
    Sans être en pleine forme, Priscilla n'en est pas pour autant en phase terminale. Mais elle dit préférer partir à 26 ans que d'attendre les quelques années de vie supplémentaire qu'elle pense pouvoir espérer dans un état diminué.
     
    Alors, elle s'offre ses derniers plaisirs. Un tour en taxi dans Amsterdam, pour saluer une dernière fois sa ville. Boire. « Cueillir le jour ». Pour ses 26 ans, elle va s'offrir une fête à tout casser, avant de partir définitivement le lendemain, entourée de ses amies.
     
  • Quand un journaliste ose dire la vérité...

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    D'un ami :

    Commentant l'incarcération très discutable d'un jeune opposé au mariage gay et l'expulsion également suspecte de Frigide Barjot de son logement, l'excellent présentateur de TF1 Jean-Pierre Pernault constate une évidence: « Décidément, il ne fait pas bon être opposé au mariage homosexuel ». C'est un peu comme s'il avait dit: « Décidément, aujourd'hui il ne fait pas bon être chrétien en Syrie ». Rien de plus limpide! Seulement voilà, immédiatement, la machine infernale du médiatiquement correct se met en route et l'hystérie anti-catholique du gouvernement socialiste bat son plein! Que se passe-t-il en France depuis l'avènement du sinistre Hollande? Les français qui ne se reconnaissent pas dans les lois adoptées sous l'influence de la franc-maçonnerie, du lobby gay et de leurs suppôts sont-ils en train de devenir des citoyens de seconde zone? La liberté d'expression n'existe-t-elle plus qu'à sens unique? Voilà de quoi encourager ceux qui, un peu partout dans l'hexagone, dégradent les églises au nom d'une laïcité haineuse qui, tout en fermant les yeux sur l'islamisme, n'a de cesse de vouloir en finir avec notre civilisation judeo-chrétienne.

    Jean-Pierre Snyers

  • A propos du "Chemin de Croix de Benoît XVI" sur Arte

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    L'excellent site Benoît-et-moi décrypte cette émission :

    Complot J'ai regardé le double documentaire d'Arte consacré à Benoît XVI et au Pape (19/6/2013, mise à jour)

    Complot (2) Précisions et réactions, à propos du documentaire d'Arte "Le Chemin de Croix de Benoît XVI" (20/6/2013)

    Complot (3) et la lettre de Jeannine (20/6/2013)

  • L’étrange regard d’un philosophe, ou l’arroseur arrosé

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    Nous avons déjà fait écho ici :  « Il faut purifier la sphère du débat public » à la chronique du professeur Haarscher (ULB) récemment publiée par « La Libre » : http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/821501/les-mots-ne-veulent-vraiment-plus-rien-dire.html ) . Dans les lignes qui suivent, M. Mutien-Omer Houziaux, un ami lecteur assidu de ce quotidien,  nous fait part  de sa réaction circonstanciée :

    « Dans une récente chronique (LLB, 12 juin 2013), le professeur Guy Haarscher s’emploie à dénoncer ce qu’il considère comme de dangereux détournements lexicaux. À le lire, les « adversaires » de sa libre-pensée useraient, dans leur apologie du passé, d’un langage en quelque sorte volé aux courants « progressistes ».

    Les mots ne veulent vraiment plus rien dire : que ce titre ait été choisi par l’auteur de l’article ou par le quotidien qui accueille sa prose, on n’en pourrait trouver de meilleur pour couler le frêle esquif dans lequel M. Haarscher s’est témérairement embarqué. Le philosophe brandit l’étendard du « mariage pour tous ». Jusqu’il y a seulement une dizaine d’années, et depuis des temps immémoriaux, et sous toutes les latitudes, le mariage n’a jamais été « pour tous », et le Robert comme le Larousse, qui se contentent d’enregistrer l’usage[1] (et de faire fonctionner la caisse enregistreuse), ne changeront rien au fait que le slogan cité devrait, pour proclamer non l’égalité mais l’identité des sexes, en engendrer bien d’autres : pourquoi pas « un utérus pour tous » ou « un hermaphrodisme pour tous » ? Si l’on en croit le même penseur, une « loi au pedigree démocratique » devrait débarrasser « la rue » de tout mouvement protestataire. La démocratie serait-elle  infaillible ! Aurait-il échappé à l’éminent penseur que, de tout temps, pour de mauvaises mais aussi de bonnes raisons, les citoyens ont manifesté contre des lois dûment votées ? La gauche (forcément « progressiste ») dans la rue, oui ; la droite (forcément bêtement réac), non : logique grégaire pour discours racoleur.

    M. Haarscher subordonne les droits DE l’enfant à un droit À l’enfant, en totale contradiction avec la Convention relative aux droits de l’enfant (ONU, 1989), laquelle souligne notamment « le droit [de l’enfant] de connaître ses parents et d’être élevés par eux » ; ce n’est tout de même pas un hasard si tant de personnes ballottées par les guerres, les exodes ou d’autres aléas de l’existence déploient des efforts considérables pour retrouver et connaître leurs racines, quelques excellents soins supplétifs dont elles aient pu bénéficier. Au lieu de rabaisser la famille nucléaire à un « image d’Épinal », et de dénoncer assez stupidement « la misère affective que cache souvent l’honorable façade bourgeoise »,  les (p)artisans du « mariage pour tous » seraient bien avisés de s’interroger sur la légitimité de se livrer à d’invraisemblables contorsions sémantiques. En la matière, il semble bien que le pivot où s’articulent les néologismes cache-misère du politiquement correct, soit le concept de parentalité. Celui-ci est voué aux pires tortures sémantiques, à la faveur d’une prétendue (et envahissante) théorie du genre (angl. gender) : ni papa, ni maman, mais parent 1 et parent 2. Du coup, une pseudo-légitimité est accordée à des créations lexicales farfelues, étymologiquement monstrueuses, comme homoparentalité, monoparentalité.

    Comme je l’ai souligné dans un essai intitulé À contretemps. Regards Politiquement incorrects (Mols, 2010), la bioéthique offre un champ d’étude particulièrement fertile à qui se proposerait d’écrire un Petit précis contemporain de cancérologie lexicale.

    Un dernier exemple. Pour la plupart des Belges, la mort par euthanasie est une mort provoquée, donc non naturelle. Pas aux yeux de la Loibelge de 2002 sur l’euthanasie ! En son art. 15, ladite loi contraint le médecin qui euthanasie à faire état d’une mort naturelle, donc à mentir, et ceci afin de ne pas compromettre « l’exécution des contrats auxquels elle [la personne euthanasiée] était partie, en particulier des contrats d’assurance ». C’est sans doute une des observations (Revue générale, janvier 2013) qui m’auront valu d’un Prix Nobel une violente réplique rédigée quelques jours avant son décès-manifeste (Revue générale, mars 2013).

    En conclusion,  M. Haarscher a raison, mais, apparemment, sans savoir vraiment pourquoi ! Quoi qu’en soit, on est bien d’accord, lui et moi : « Les mots ne veulent vraiment plus rien dire. »

    Mutien-Omer Houziaux.


    [1] Ces deux dictionnaires ont déjà adopté une nouvelle définition du mot mariage...

  • Dimanche 16 juin : célébration de l'Evangile de la Vie en direct de Rome sur KTO

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    Dimanche 16 juin 10h30
    Direct de Rome

    L'Evangelium Vitae

    Dans le cadre de l'Année de la foi, le dimanche 16 juin sera consacré au témoignage de l'Évangile de la vie, pour la promotion de la vie humaine et la défense de la dignité de la personne, de sa conception à sa mort naturelle.

    Le Pape François présidera la messe du dimanche 16 juin à 10h30, à voir en direct sur KTO, avec le "peuple de la vie", et délivrera un message aux personnes malades.

    Un direct à voir sur KTO dimanche 16 juin à partir de 10h30, et à revoir ensuite sur notre site Internet, en cliquant ici.
  • Le chemin de croix de Benoît XVI

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    mardi prochain sur (cliquez ici:) Arte  à 20h55…

    Lu sur le « Forum catholique » qui reproduit le commentaire figurant sous la bande d'annonce d'Arte:

    « Le pape aurait-il menti ? Pour justifier sa démission intervenue le 28 février dernier, Benoît XVI a mis en avant une vieillesse de plus en plus incapacitante. Nombre de connaisseurs du Saint-Siège assurent que le successeur de Jean-Paul II aurait surtout cédé à des pressions liées aux différents scandales qui ont écorné la réputation du Vatican ces dernières années : pédophilie, corruption, etc. Mais l’un des coups les plus rudes pour l’institution ces derniers mois fut la sortie en 2012 de "Sa Sainteté", la nouvelle enquête du journaliste italien Gianluigi Nuzzi. Surnommé "Vatileaks" grâce aux documents internes qu’il révélait, le livre détaillait les rivalités féroces et les luttes pour le pouvoir au sein de la Curie romaine. »

    Ici :  Le chemin de croix de Benoît XVI par Thierry

    Une émission à suivre d’un œil circonspect, d’autant plus que si Benoît XVI avait réellement subi des pressions, sa renonciation serait canoniquement nulle. L’abdication d’un pape n’est pas courante, bien que possible selon le droit de l’Eglise. Or, ce pape l’avait souligné à plusieurs reprises, et encore dans son livre Lumière du monde en 2010, "un pape qui ne peut plus gouverner à le droit et le devoir de ne plus le faire". En toute liberté.

  • Maîtriser sa langue

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    Dans sa livraison quotidienne d’informations, l’agence Zenit a noté ceci,  qui vaut naturellement pour chacun d’entre nous :

    ROME, 13 juin 2013 (Zenit.org) - Dans son homélie du matin, le pape François invite à « maîtriser sa langue », « tailler un peu les commentaires que l’on fait sur les autres », car celui qui « entre dans la vie chrétienne a des exigences supérieures à celles de tous les autres » (...)

    "Si quelqu’un « n’est pas capable de maîtriser sa langue, il se perd », a expliqué le pape en citant Jacques 3,4-5 : « Voyez aussi les navires : quelles que soient leur taille et la force des vents qui les poussent, ils sont dirigés par un tout petit gouvernail au gré de celui qui tient la barre. De même notre langue, qui est une si petite partie de notre corps : elle peut se vanter de faire de grandes choses.»

    Il est « beaucoup plus facile de résoudre une situation par une insulte, une calomnie, une diffamation, que de la résoudre d’une bonne façon, comme le dit Jésus », a ajouté le pape : « l’agressivité naturelle qu’avait Caïn à l‘égard d’Abel se répète le long de l’histoire », non pas que l’homme soit « mauvais » mais il est « faible et pécheur ».  

    En conclusion, le pape a invité à « être un peu plus attentif à sa langue », « une petite pénitence », qui « donne de bons fruits » sur le long terme : il s’agit de « conformer sa vie à cette nouvelle loi, qui est la loi de la douceur, la loi de l’amour, la loi de la paix », en commençant par « tailler un peu sa langue, tailler un peu les commentaires que l’on fait sur les autres ou les explosions qui portent à l'insulte, à la colère facile".