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Médias - Page 143

  • La haine

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    Ce matin, une nouvelle agression antichrétienne s'est produite à Paris, dans l'église de la Madeleine, relayant celle qui a eu lieu la veille à Rome, sur la place Saint-Pierre. Les slogans : "Noël est annulé", "Jésus est avorté". Ces actes n'auraient sans doute aucun retentissement s'ils ne bénéficiaient pas d'une amplification complaisante de la part des agences de presse promptes à les relayer. Hier, à Rome, la militante féministe a été neutralisée et emmenée avant que personne n'ait compris de quoi il s'agissait et ce n'est que grâce à la caisse d'amplification médiatique que l'évènement a été "créé". Aujourd'hui, à Paris, cette provocation-profanation serait sans doute passée également inaperçue si les médias n'étaient pas là pour en assurer la publicité. Toute la stratégie des femen est d'ailleurs basée là-dessus. En plus de la complaisance des relais médiatiques, il faut signaler l'indulgence des pouvoirs publics bien plus efficaces pour arrêter quelques "veilleurs" que pour assurer le respect des lieux de culte.Sans titre.png

  • A propos de la nouvelle interview du pape François dans la presse : une pensée qui se précise ?

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    Lu sur le site « Chiesa », cette réflexion de Sandro Magister  (extraits)

    « ROME, le 18 décembre 2013 – Dans l'interview qu’il a accordée à son ami vaticaniste Andrea Tornielli et qui a été publiée dans "La Stampa" il y a trois jours, le pape François est revenu sur deux points d’"Evangelii gaudium" qui avaient provoqué de vifs commentaires pour ou contre.

    Le premier point est la distribution de la communion aux divorcés remariés. Le pape a voulu préciser que ce n’était pas à cette question qu’il avait pensé lorsque, dans son exhortation apostolique, il avait parlé de la communion "en tant qu’aliment spirituel, qui doit être considéré comme un remède et non pas comme une récompense".

    En apportant cette précision, François a voulu se distinguer de ceux qui avaient interprété ces propos comme une énième "ouverture" et qui s’étaient exprimés publiquement en faveur de la distribution de la communion. Parmi lesquels, en dernier lieu, le nouveau secrétaire général du synode des évêques, Lorenzo Baldisseri, et le cardinal Walter Kasper.

    La seconde mise au point a concerné son refus de la théorie économique du "derrame" – expression traduite en italien par "ricaduta favorevole" et en anglais par "trickle down" – selon laquelle "toute croissance économique, favorisée par l’économie de marché, parvient à produire par elle-même davantage d’équité et d’intégration sociale".

    Le pape Jorge Mario Bergoglio a réaffirmé – "pas en tant que technicien" – qu’il ne croyait pas au bien-fondé de cette théorie.(…)

    La première de ces deux précisions concerne l’un des points cruciaux d’"Evangelii gaudium", celui où François promet davantage de collégialité dans le gouvernement de l’Église, par l’attribution de pouvoirs plus importants aux conférences des évêques.

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  • Femmes, divorcés, marxisme, oecuménisme, curie romaine...; le pape se livre dans un nouvel entretien où il évoque des sujets d'actualité

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    Le Pape François se livre dans un nouvel entretien

    2013-12-15 Radio Vatican

    Le Pape François nous a offert ce dimanche un nouvel entretien surprise avec un journaliste, Andrea Tornielli, dans les colonnes du quotidien italien La Stampa. Le Pape y aborde tour à tour le sens de la fête de Noel, le futur voyage en Terre Sainte, les enfants malades et la faim dans le monde, le marxisme, l’unité des chrétiens, la réforme de la papauté et la Curie, le cardinalat des femmes, la transparence financière du Vatican, mais aussi les divorcés remariés.

    « Nous ne pouvons penser à Noel sans penser à la Terre Sainte » , déclare le Pape. « Il y a 50 ans Paul VI a eu le courage de sortir pour se rendre là et c’est ainsi que commença l’époque des voyages des Papes. Moi aussi je désire m’y rendre » Et d’ajouter : « Nous nous y préparons ». Le Pape confirme aussi son « désir de rencontrer mon frère Bartholomée, patriarche de Constantinople, pour commémorer avec lui cet anniversaire en renouvelant l’étreinte entre Paul VI et Athénagoras de 1964 à Jérusalem ». Le Pape précise que « Noël nous fait toujours penser à Bethléem et que Bethléem se trouve à un endroit précis, la Terre Sainte, où a vécu Jésus. » « Durant la nuit de Noel, je pense surtout aux chrétiens qui vivent là, à ceux qui sont dans la difficulté, à tous ceux qui ont été contraints pour divers problèmes à quitter cette terre. Mais Bethléem continue d’être Bethléem : Dieu est venu à un endroit précis, sur une terre précise ; c’est là qu’est apparue la tendresse de Dieu, la grâce de Dieu ».

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  • Mgr Léonard sur KTO

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    LA VIE DES DIOCèSES sur KTO

    Mgr André-Joseph Léonard - Diocèse de Malines-Bruxelles Diffusé le 13/12/2013 / Durée 29 mn

    Hors-série avec Mgr André-Joseph Léonard. L'archevêque de Malines-Bruxelles a repris ses visites pastorales dans les doyennés pour encourager les chrétiens. Dans une Eglise encore forte de ses institutions et de moyens mais grignotée par la perte de la foi, comment raviver la flamme ? Mgr Léonard, souvent contesté, ne perd pas pour autant sa vigueur évangélique. L'un de ses premiers soucis : les prêtres, les vocations sacerdotales et la formation au séminaire. Mais aussi, quel engagement des chrétiens dans la société ? Quelle contribution au débat actuel sur l'élargissement de l'euthanasie aux personnes mineures et déficientes psychiques ? Un entretien réalisé en Belgique.

  • Mandela : Zemmour iconoclaste

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    La face cachée de Mandela par rtl-fr

    JPSC

    Voir aussi : http://www.libertepolitique.com/Actualite/La-revue-de-presse/Mandela-ombres-et-lumieres

  • Centrafrique : on n’est pas sorti du « poto-poto »

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    Comme nous l’avions  prévu ici  L’Afrique centrale n’en finit pas d’être mal partie…  il ne suffit pas de débarquer un millier de paras français à Bangui pour clore un demi-siècle de gouvernance erratique, sanglante et corrompue au cœur de l’ancienne A. E. F …

    Lu sur le blog « secret défense/l’opinion » :

    Le temps de la communication politique n'est pas celui de l'action militaire. Et, à soumettre la conduite d'une guerre aux impératifs de la mise en scène du pouvoir, on prend le risque du cafouillis. La Centrafrique pourrait en fournir un bel exemple, objet qu'elle est de toutes les attentions de François Hollande.

    De retour des obsèques de Nelson Mandela, le chef de l'Etat devait faire, mardi soir, une courte escale de quelques heures à Bangui - cinq jours à peine après le début de l'opération Sangaris. Dans une ville livrée aux règlements de comptes, pillages, scènes de violence et tirs désordonnés, où près de 500 personnes ont été massacrées la semaine dernière et deux paras français tués lundi soir dans un accrochage, que vient faire le président français, sinon se montrer ?

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  • Euthanasie : l'opinion manipulée

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Débusquer la stratégie des lobbies pro-euthanasie

    L'hebdomadaire Valeurs Actuelles publie cette semaine une tribune de Guillaume Bernard, maître de conférence HDR à l'Institut catholique d'études supérieures, dans laquelle il déplore que l' "opinion publique [soit] manipulée" et décortique la stratégie des lobbies pro-euthanasie en six points.

    1/ Le débat est déplacé sur le terrain affectif. En exploitant des cas "plus ou moins probants", la corde sensible compassionnelle est sollicitée au détriment de la raison. "Le recours aux sentiments court-circuite l'analyse rationnelle."

    2/ le vocabulaire moralisateur est utilisé comme une arme. En témoigne, l'introduction dans les débats de la notion de "mourir dans la dignité" revendiquée par les lobbies. Ils monopolisent ainsi une "notion à connotation morale [qui] permet d'intimider le contradicteur".

    3/ Les amalgames vont bon train. Pour Guillaume Bernard, l'invention artificielle de la distinction entre "euthanasie passive" et "euthanasie active" résulte d'une confusion volontaire. Il s'agit d'assimiler " la prescription de sédatifs (comme la morphine) dans le but de maîtriser la douleur avec l'injection de substances mortifères". Pourtant, une grande différence existe "entre ce qui n'est qu'une conséquence incertaine de l'acte et sa finalité". 

    4/ La mise en place de dispositions juridiques, levier de l'encerclement. La conquête juridique s'effectue pas à pas pour ne pas "heurter" les esprits. Cela conduit à autoriser progressivement des actes creusant le sillon de l'euthanasie. "Alors que l'accès aux soins palliatifs est assez théorique, il est devenu licite d'arrêter ou de ne pas entreprendre un traitement sous prétexte d'éviter l'acharnement thérapeutique". Par conséquent, "la frontière entre laisser et faire mourir est [...] devenue perméable". 

    5/ le serpent de mer du "suicide assisté", levier du contournement. Le suicide assisté est présenté comme un moyen d'atténuer des discriminations entre "celui qui a la capacité physique de mettre fin à ses jours et celui qui ne l'a pas".

    6/ Les dérives de l'euthanasie sont étoufées. L'auteur s'étonne du fait que "les dérives possibles ne sont jamais évoquées", au même titre que de nombreux aspects du débat.

    Enfin, Guillaume Bernard met les lobbies proeuthanasie face aux contradictions de leur discours et conclue par cette interrogation: "N'est-il pas cocasse que l'idéologie progressiste désespère de la science et suppose des maladies totalement incurables?"

  • Le pape est-il en train de changer l'Eglise ?

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    Sur rtbf.be-info

    Le pape est-il en train de changer l'Eglise ?

    Le pape François désigné "personne de l'année 2013” par le Time. Le magazine américain estime qu’il a changé "le ton, la perception et l'approche" de l'Eglise catholique. Qualifié de “Pape des pauvres”, il s’est donné pour objectif de faire “descende l’Eglise dans la rue”.

    Depuis son élection à la tête de l’Eglise catholique, l’argentin Jorge Bergoglio a multiplié les signes d’ouverture en réservant son premier déplacement aux clandestins de l’île de Lampeduza ou en appelant à la "miséricorde" pour les homosexuels, les divorcés et les femmes ayant avorté. De quoi s’attirer les critiques de l’aile conservatrice de l’Eglise mais aussi la sympathie des libéraux.

    Pour autant, bouleverse-t-il réellement les conceptions catholiques ? Il laisse entendre qu’il veut améliorer la place des femmes dans l’Eglise mais n’imagine pas ouvrir le sacerdoce aux femmes. Si le style rompt avec celui de Benoît XVI, le Pape reste le "gardien de la doctrine".

    Peut-il dès lors réellement transformer l’église ? Comment jugez-vous ses 9 premiers mois de pontificat ? Partagez vos réflexions sur la page Facebook de Matin Première, sur Twitter avec le mot-clé #Connexions et, dès maintenant, au 02 737 33 33.

  • 11 millions de followers pour le 1er anniversaire de @Pontifex

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    @Pontifex, un an déjà, et 11 millions de followers (Radio Vatican)

    (RV) Il y a exactement un an ce jeudi, Benoît XVI créait son compte Twitter @Pontifex. Un évènement de portée mondiale qui souligne au plus haut niveau l’engagement de l’Église dans l’annonce de l’Évangile sur les réseaux sociaux. Après son élection à la chaire de Saint-Pierre, le Pape François a pris le relais avec succès vu qu’aujourd’hui @Pontifex, en neuf langues, approche les 11 millions de followers dans le monde entier.

    Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales, a dressé un bilan de cette première année du Pape sur Twitter : « Lorsque le Pape Benoît XVI a envoyé son premier tweet, il était pleinement conscient de l’importance de ce moment. Je peux vous confier que ce jour-là je lui ai dit : ‘Saint Père, alors que vous envoyez ce premier tweet, je pense à ce qu’a fait votre prédécesseur, Pie XI, lorsque pour la première fois il adressait un message sur Radio Vatican’. Et le Pape me regarde en souriant et me dit : 'Savez-vous que j’y ai pensé moi aussi ?'. Ce qui veut dire que le Pape Benoît XVI était pleinement conscient de l’importance de sa présence sur Twitter, une des plates-formes les plus utilisées, spécialement parmi les jeunes ».

    Et aujourd’hui, avec le Pape François, « nous sommes tous conscients que cette décision, prise il y a un an, fut clairvoyante et positive ». « Aujourd’hui, nous avons désormais 11 millions de followers, mais ce qui nous intéresse le plus c’est qu’au moins 60 millions de personnes, par les ‘retweets‘, reçoivent une parole du Pape, un bref message, dans une situation de désertification spirituelle, comme le disait le Pape Benoît. Donc, même une goutte d’eau comme l’est un tweet de 140 caractères, a sa valeur, son importance. »

    Notre confrère Alessandro Gisotti, du programme italien, s'est entretenu avec Mgr Celli : 

    « Pour moi, la décision prophétique du Pape était de vouloir être présent dans le monde, dans un contexte numérique et dans les grands continents numériques où habitent des millions de personnes, d’annoncer l’Évangile et de le faire avec un langage qui est facilement compris parce que c’est surtout le langage des jeunes. Dans une situation de désertification spirituelle, une goutte d’eau fraîche peut aider l’homme à faire face à des difficultés de la vie et à retrouver un peu de paix et cette proximité de Jésus dans sa vie. Nous qui avons des moyens de communication très sophistiqués, le grand problème que nous avons est la solitude. Aussi, un petit tweet du Pape peut nous aider à vaincre la solitude et nous faire percevoir que nous sommes aimés par Dieu d’une façon profonde, étonnante et qui nous a donné son fils bien-aimé. Alors, bienvenue aux tweets et bienvenue à tous ceux qui les « retweettent » pour partager ce petit message avec ses amis. »

  • Comment le monde perçoit le pape "personne de l'année"

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    Un article paru sur le Huffington Post exprime très clairement la perception que les médias et l'opinion publique peuvent avoir du pape actuel. A la lecture de cette prose, on voit que cette perception est partielle et tend à présenter une image du pape en phase avec la sensibilité contemporaine (le "déjà là") tout en déplorant qu'il n'ait pas encore abandonné certaines positions "traditionnelles" de l'Eglise (le "pas encore"). Cette perception qui fait fi de tout le discours pourtant central - et très traditionnel - du pape sur le péché, le diable, la Rédemption, la pénitence, la conversion, la Vierge Marie, etc présente une image tronquée de François qui en fait l'antithèse des pontifes précédents alors que son message reste très globalement dans la ligne de leurs enseignements et tend même à insister sur des points de la foi catholique qui étaient fort peu évoqués depuis le Concile. On peut également constater combien on tend à majorer des détails relativement insignifiants (selfies) pour se livrer à une analyse très superficielle et qui passe à côté de l'essentiel.

    Comment le pape François, élu "personne de l'année" 2013, a dépoussiéré l'image de l'Eglise

    RELIGION - Une sorte de consécration neuf mois seulement après son élection. Ce mercredi 11 décembre, le magazine américain Time a attribué le titre de "personne de l'année" 2013 au Pape François.

    "Pour avoir tiré la papauté hors de son palais afin de l'emmener dans la rue, pour avoir poussé la plus grande Eglise au monde à faire face à ses besoins les plus profonds, et pour avoir fait le juste équilibre entre jugement et compassion, le pape François est la personne de l'année 2013 de Time", a expliqué la rédactrice en chef de l'hebdomadaire, Nancy Gibbs. Selon elle, il a changé le "ton, la perception et l'approche" de l'Eglise catholique.

    Il est vrai que le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio, devenu en mars dernier le Pape François, tranche avec ses prédécesseurs. Au-delà du fait qu'il est le premier sud-américain a être nommé à cette fonction, le pape actuel se distingue des autres souverains pontifes aussi bien sur le fond (?) que sur la forme. Alors que l'Eglise catholique est secouée par divers scandales (pédophilie, corruption etc), ce changement apparent a très vite enthousiasmé les fidèles et interpellé les non-croyants. Mais comment a-t-il réussi à créer cette image de pape "normal" (?), pour reprendre un élément de langage que d'autres n'ont pas réussi à incarner de manière aussi positive...

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  • François, "personne de l'année 2013"

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    Du Soir.be (Camille Wernaers) :

    Le pape François élu «personne de l’année» 2013 par Time Magazine

    Les autres favoris étaient Edward Snowden, Barack Obama ou encore la chanteuse Miley Cyrus.

    Le Time Magazine a rendu son verdict ce mercredi après-midi : c’est le pape François qui est élu « personnalité de l’année ». Il avait été élu en mars dernier.

    Premier pape à prendre le nom de François, choisi en mémoire de l'engagement de saint François d'Assise dans le combat pour les pauvres et pour la paix, il a montré des signes d’ouverture par rapport à ses prédécesseurs, sauf sur certains sujets tel que le préservatif ou l’avortement. «Il est rare qu’un nouvel acteur de la scène mondiale suscite autant d’attention si rapidement, que ce soit parmi les jeunes ou les plus âgés, parmi les croyants ou les sceptiques», a expliqué la directrice de la rédaction de Time Nancy Gibbs en expliquant le choix du pape François, parvenu en mars à la tête de l’Église catholique.

    Edward Snowden, Barack Obama, la chanteuse Miley Cyrus figuraient eux aussi parmi les favoris. Comme chaque année depuis 1927, l’hebdomadaire américain Time Magazine récompense un homme ou une femme qui a «  marqué le plus l’année écoulée, pour le meilleur ou pour le pire  ».

    Du V.I.S. : Le Directeur de la Salle de Presse a réagi à la décision de Time Magazine (USA) de proclamer le Pape François son homme de l'année: Ce n'est pas une surprise, a déclaré le P.Federico Lombardi, vu l'écho et l'attention créés par son élection et le début de son pontificat. Il est positif qu'un des plus prestigieux organes de presse internationale fasse le choix de saluer qui parle au monde de valeurs spirituelles, religieuses et morales, et se bat en faveur de la paix et d'une plus grande justice. Sans rechercher ni réputation ni succès, le Pape annonce l'Evangile de l'amour de Dieu envers tous. Il est heureux si cela attire et donne espoir aux gens. Décerner au Pape François cette reconnaissance journalistique signifie que beaucoup ont compris, même implicitement, son message. Et ceci est une raison de se réjouir.

  • François, "personne de l'année" et sujet le plus discuté sur facebook

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    Radio Vatican : François, au cœur des discussions sur Facebook

    Le Pape François est actuellement en tête du classement des thèmes les plus discutés sur le réseau social Facebook, rapporte mardi le média en ligne américain The Huffington Post.

    La thématique « Pape François » devance dans le classement « élection » et « bébé royal ». Il faut descendre à la cinquième place pour trouver la seconde personnalité qui passionne le plus les 1,2 milliard d'utilisateurs du réseau social : Margaret Thatcher, l'ex-Première ministre britannique Margaret Thatcher, décédée en avril cette année.

    The Huffington Post précise que le Souverain Pontife a déjà battu d'autres records de popularité sur Internet. En juillet, une étude indiquait qu'il était le leader mondial le plus influent sur le réseau aux micromessages Twitter. Fin octobre, son compte @pontifex avait dépassé les 10 millions de followers.

    Il a aussi été établi fin novembre que le pape François était le nom propre le plus fréquemment utilisé sur l'Internet anglophone en 2013. (Avec Apic et The Huffington Post)

    Et le voilà à présent élu "personne de l'année 2013" par Time Magazine...