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Médias - Page 150

  • Quand le pape François aurait évoqué un « lobby gay » au Vatican

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    Jean-Marie Guénois, rédacteur en chef adjoint du « Figaro » commente en ces termes les propos attribués au pape par un site progressiste d’Amérique du Sud :

    «On parle de “lobby gay”, et c'est vrai, il existe.» C'est une phrase choc parce qu'elle touche le Vatican. Mais son impact est considérable parce qu'elle est attribuée au pape François. Toute la question étant de savoir s'il l'a vraiment prononcée…

    Elle est relatée par le site latino-américain de la Théologie de la libération, Reflexion y Liberacion. Ce site, très militant pour la cause progressiste dans l'Église, est sujet à caution. Mais la phrase est extraite d'un compte rendu très précis réalisé par l'un des membres d'une audience officielle que le pape François a accordée, le 6 juin dernier, à un groupe de six représentants de la Confédération latino-américaine des religieux et religieuses (Clar).

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  • Le pape François : une communication à maîtriser ?

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    De Frédéric Mounier dans « La Croix » de ce 11 juin 2013 :

    Il devient difficile de faire la part des choses, à Rome, par les temps qui courent. Le pape parle beaucoup, à tout le monde, selon des modes divers. Comment s’y reconnaître ?

    Du temps de Benoît XVI, tout était, du moins en apparence, simple : le pape parlait peu mais bien, s’exprimant en intellectuel rigoureux face à des publics rares et soigneusement choisis. Tous les textes passaient par les filtres de la Secrétairerie d’Etat, attentive à tout mettre aux normes vaticanes. Quoique… Le discours de Ratisbonne, les déclarations sur le préservatif, les vols répétés de documents sur le bureau du pape ont laissé des séquelles durables. Le P. Lombardi, directeur de la salle de Presse, a ainsi passé des années à manier l’extincteur ou allumer des contre-feux, s’escrimant à rétablir des vérités qu’il ne maîtrisait pas toujours lui-même.

    Avec le pape François, tout a changé. L’homme communique, téléphone, rencontre à tout va. Et il y tient : cela fait partie de son mode de vie habituel, voire de son mode de gouvernement. En contrepartie, le statut de ses interventions est parfois à géométrie variable. Ses homélies matinales à Sainte-Marthe n’ont pas de statut officiel, et si Radio Vatican et « L’Osservatore Romano » en rendent compte quotidiennement, ce n’est pas toujours dans les mêmes termes..

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  • Nouveau buzz médiatique autour d'hypothétiques propos du pape

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    Le pape "aurait reconnu l'existence d'un lobby gay au Vatican". C'est ce qui apparaît à l'heure qu'il est sur tous les sites des médias. C'est l'agence IMedia, spécialisée auprès du Vatican, qui a propagé la nouvelle, se fondant elle-même sur un site catholique "progressiste" d'Amérique Latine. (traduit et commenté sur "Benoît-et-moi")

    Tout compte fait, c'est l'occasion de suivre une nouvelle rumeur, de voir sur quoi elle se fonde, quels ont été exactement les propos tenus, ce que l'on peut en tirer en toute rigueur...

    A priori, sur le fond, nous ne serions pas vraiment étonnés de découvrir la présence de brebis galeuses dans la bergerie tout en nous demandant pourquoi cette situation n'a pas reçu un traitement approprié.

    Et maintenant ? Affaire à suivre...

    Non, I.Media n'a pas révélé l'existence de lobby gay au Vatican !!! I.Media a traduit un article plus global repris ensuite par d'autres...

  • La parole du pape menacée de banalisation ?

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    C'est le cardinal Tauran qui évoque ce danger (ICI) : 

    Interrogé sur le nouveau pape argentin, le cardinal est "frappé" par son insistance sur la miséricorde. "Ce pape nous donne beaucoup d'espérance, dit des choses magnifiques". "Mais il y a le danger de banaliser sa parole, ajoute-t-il, au sujet de la médiatisation des homélies informelles quotidiennes. Jean-Louis Tauran n'oublie pas "cet intellectuel d'une élégance rare" qu'était Joseph Ratzinger : selon lui, le discours de Benoît XVI en 2011 devant le Bundestag (le Parlement allemand) devrait être enseigné dans toutes les facultés de droit du monde.

  • Mgr Léonard pour les unions civiles homosexuelles ? Intox

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    Sur son blog, Jeanne Smits confirme ce que nous avions déjà dit sous le « post » : La prudente imprudence du Cardinal Danneels .

    Extrait de la note de Jeanne Smits :

    "Le blog de Sandro Magister évoquait ce matin le cas des quelque six prélats (comme le cardinal émérite Danneels, le cardinal Schönnborn et le cardinal Ruben Salazar de Bogota) qui ont, de diverses manières, approuvé les unions civiles pour les homosexuels.

    Ces prélats, dans la mesure où ils adhèrent vraiment à cette reconnaissance légale des unions homosexuelles, seraient alors en contradiction totale avec le point de vue de l’Eglise sur l’activité homosexuelle, qui est objectivement un péché grave et qui n’ouvre aucun droit civil en tant que telle.

    Le plus apparemment emblématique, parce que réputé plutôt conservateur, des prélats cités est Mgr André-Joseph Léonard de Bruxelles. En précisant tout de même que le porte-parole de celui-ci avait démenti les propos attribués à cet évêque par un quotidien belge. (…) Jeroen Moens a fait une mise au point le 5 juin dernier auprès de LifeSite en assurant qu’il avait bien affirmé que Mgr Léonard « n’est pas homophobe ». « Il n’a aucun problème par rapport aux homosexuels et il n’est pas opposé à un engagement légal », a-t-il précisé à propos de l’évêque, ajoutant que cela n’impliquait pas d’approbation par rapport au comportement homosexuel ni par rapport à  la loi belge sur le « mariage » des homosexuels, de quelque manière que ce soit.

    L’argumentation de l’évêque telle que rapportée par son porte-parole est intéressante : c’est celle qui aurait pu et dû être mise en avant contre le mariage gay et l’union civile fondée sur un pseudo droit né de l’activité sexuelle (alors que naguère c’est le mariage et lui seul qui ouvrait droit à l’union conjugale).

    « Il n’y a rien à redire par rapport aux arrangements civils entre deux personnes en ce qui concerne leur propriété » : « Il est tout à fait permis d’avoir un accord entre n’importe quelles deux personnes. Il ne s’agit ni d’une union civile ni d’un mariage. Tout le monde est libre de trouver un accord quelconque à propos de sa propriété », a précisé Jeroen Moens, en insistant sur le fait qu’il peut s’agir là d’un « engagement entre n’importe quel type de personnes ; ce n’est pas une “relation” et ce n’est pas le mariage. Une tante peut faire un arrangement avec sa nièce, un prêtre peut le faire avec une personne de confiance » en vue de disposer de leur propriété personnelle et d’en organiser l’usage.

    De fait, si les contrats civils n’ont pas de connotation sexuelle et se bornent à rendre possible une transmission d’héritage plus sûre et moins onéreuse, par exemple pour une personne n’ayant ni descendance ni famille, en vue d’assurer l’avenir d’une personne proche avec qui elle aurait partagé des aspects matériels de la vie, il n’y a là aucun problème moral. Le contrat n’est pas signe d’une union et il s’agirait plutôt de rendre possible une solidarité humaine dans un monde éclaté (…)"

    Tout l’article ici : Mgr Léonard pour l’union civile ? Mise au point

    Et c’est très exactement ce que nous avions entendu de la bouche  même de l’actuel archevêque-primat  répondant à une question qui lui fut posée lors d’une conférence donnée à l’Université de Liège le 24 avril dernier,  et dont nous possédons d’ailleurs l’enregistrement. Aucun rapport avec les propos étranges de son prédécesseur, décidément bien bavard depuis l’élection du nouveau pape

     

  • Sur KTO : où en sont les Frères de Saint-Jean

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    KTO reçoit le frère Thomas Joachim, prieur général de la Communauté des frères de Saint-Jean. Les "Petits Gris" viennent de vivre un chapitre général important, à une étape également importante de la croissance de leur jeune communauté (fondée en 1975), sept ans après la mort de leur fondateur, le père Marie-Dominique Philippe. Au cours de ce chapitre, des zones d'ombre dans la vie du fondateur ont été révélées aux frères, pour être ensuite divulguées publiquement. Quelles sont ces "zones d'ombre"? Pourquoi les avoir révélées ? Où en sont les frères de Saint-Jean aujourd'hui ? Quelles sont leurs forces et leurs faiblesses ? Quelle est leur place dans l'Église en France? Quel est leur charisme ? Quelles voies pour l'avenir ?

    http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/editions-speciales-ou-en-sont-les-freres-de-saint-jean-/00077235

  • Quand le pape, il y a près de 75 ans, remettait les journalistes à leur place...

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    Un savant ami, très familiarisé avec les écrits des papes, nous communique un texte déjà ancien et qui n'a rien perdu de son actualité :

    Je "tombe" sur ce texte qui a été écrit, bien sûr, dans le contexte du fascisme mais Jean XXIII, comme on va le lire, estime, en 1959, qu'il est intéressant "pour tous les temps". Et en effet, le texte peut fustiger bien des comportements journalistiques d'aujourd'hui. A mon avis.

    Le 10 février 1939, Pie XI devait prononcer un discours devant les évêques d’Italie. Pie XI ne le prononça pas car la mort le saisit  alors qu’ « il était encore en train d’écrire les mots de son discours par lesquels il prenait congé de ses évêques d’Italie »[1]. Toutefois, le 26 janvier 1959, Jean XXIII révéla, quelques extraits de ce message. Notamment ces « lignes pleines d’enseignements utiles pour tous les temps » :

                « Ce que Nous estimons devoir dire à vous et de vous, Nous devons le dire d’abord à Nous-même et de Nous-même.

                Vous savez, très chers et vénérables Frères, comment souvent on traite la parole du pape. On s’occupe de Nous et non seulement en Italie, de Nos allocutions, de Nos audiences, le plus souvent pour en altérer le sens et même en inventant du commencement à la fin, pour Nous faire dire des sottises et des absurdités. Il y a une presse qui peut tout dire contre Nous et Nos affaires, même en rappelant et en interprétant faussement et perversement l’histoire proche et lointaine de l’Eglise, jusqu’à nier opiniâtrement toute persécution en Allemagne, négation qu’accompagne l’accumulation fausse et calomnieuse de politique, comme la ;persécution de Néron s’accompagnait de l’accusation de l’incendie de Rome. Et on laisse dire, puisque’ notre presse ne peut même pas contredire ou rectifier.

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  • Liège : le nom du nouvel évêque de Liège sera connu aujourd'hui à midi

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    image002.pngLe Service de presse de la Conférence épiscopale de Belgique

    communique :

      

    Ce vendredi 31 mai 2013 à 12h précises, le Vatican rendra public le nom du nouvel évêque du diocèse de Liège.

     

    Au même moment, une conférence de presse sera organisée au Centre interdiocésain, 1 rue Guimard 1040 Bruxelles. Au cours de celle-ci, Mgr André-Joseph Léonard, président de la Conférence épiscopale, présentera ce nouvel évêque à la presse. Après cette présentation, la presse pourra poser des questions et un temps sera aménagé pour des interviews individuelles.

     

    Ce même jour à 15h30, le nouvel évêque rencontrera la presse régionale à l’évêché de Liège, rue de l’Évêché 25.

  • Belgique : la Cour de Cassation donne raison à l’Eglise

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    Le mardi 14 mai, la cour de cassation se penchait sur le dossier des perquisitions menées en 2010 à l’archevêché de Malines et au domicile privé du cardinal Danneels dans le cadre de l’Opération « Calice », à la recherche de preuves de couverture d’actes de pédophilie cléricale par la hiérarchie ecclésiastique belge.  La cour a rendu son jugement ce 28 mai, établissant que les perquisitions étaient bien irrégulières.  

    C’est ce que nous lisons sur le site infocatho.be :

    « A la suite du jugement rendu ce jour:, l’avocat du cardinal Danneels, Me Fernand Keuleneer, a réagi par communiqué de presse. « La Cour de cassation confirme ce jour l’arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles, daté du 18 décembre 2012. Cet arrêt stipulait que les perquisitions du 24 juin 2010 (“opération calice”) dans les bureaux de l’Archevêché de Malines-Bruxelles et chez le cardinal Danneels, portaient atteinte au droit des concernés à un procès équitable, et ceci de façon irréparable ».  Me Fernand Keuleneer, poursuit : « Comme nous l’avons avancé dès le début, la Cour considère elle aussi que le juge d’instruction est allé à la pêche (‘fishing expedition’).  Notamment, il a intentionnellement  tenté, en saisissant de manière arbitraire un nombre invraisemblable de documents, de rassembler des preuves à propos de délits supposés sans avoir aucun indice de leur existence, tout ceci en transgressant la loi.  Les  documents illégalement saisis doivent dès lors être écartés du dossier.  L’Archevêché et le cardinal Danneels se déclarent satisfaits de cet arrêt, qui met un point aux discussions à propos des perquisitions de juin 2010.  Ils continueront, tout comme par le passé, à coopérer à une instruction judiciaire correctement menée ».

    Retrouvez ici l’article qui revenait sur cette « saga » judicaire belge.

    Cette affaire spectaculaire fit grand bruit à l’époque. Aujourd’hui, quelques lignes discrètes dans la presse. Ainsi va le monde des médias.

  • 31 mai : le diocèse de Tournai sur KTO

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    Le diocèse de Tournai sur KTO    

    Dans le cadre de l’émission « La Vie des diocèses », KTO, la Télévision Catholique française, a invité Mgr Harpigny. Première diffusion le vendredi 31 mai à 21h45.

    En septembre dernier s’ouvrait le synode diocésain de Tournai. Pour l'émission « La Vie des Diocèses », Mgr Guy Harpigny est venu faire le point sur cette aventure missionnaire. 

    L’émission pourra être regardée  le vendredi 31 mai à 21h45 via la chaîne de télévision KTO ou via le site internet www.ktotv.com

    Rediffusions le samedi 1er juin à 12h et 19h40, le lundi 3 juin à 19h, le mardi 4 juin à 15h, le mercredi 5 juin à 17h10 et le jeudi 6 juin à 18h10.

    Plus d’infos ici

  • JMJ de Rio: sous le battage médiatique, un test majeur pour le pape François

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    Dans exactement deux mois, le Pape François fera son premier voyage intercontinental à Rio de Janeiro, au Brésil, pour les Journées mondiales de la Jeunesse . Quatre défis qui attendent le nouveau pontife sur cette sortie, et aussi nombreux que soient les visuels séduisants et les témoignages émouvants que génère le voyage, le triomphe n'est pas forcément évident.

    Commentaires sous la plume de John L. Allen Jr., traduits par les soins du site « Benoît et moi » (extraits) :

     Relations Eglise-Etat

    (…) Sur les 21 nations considérées comme constituant l'Amérique latine, 14 sont actuellement gouvernées par les partis de gauche, y compris le pays hôte de François, le Brésil.

    La question essentielle pour l'Église est de savoir si elle peut se tailler des relations constructives avec ces gouvernements, ou si les liens seront rompus par des différends sur la politique sociale. François a une certaine expérience dans ce domaine, ayant eu une relation notoirement ambivalente avec le gouvernement de Cristina Kirchner en Argentine, en particulier sur le mariage gay. À bien des égards, le Brésil est un banc d'essai idéal.

    Lorsque la présidente Dilma Rousseff a été élue en 2010, c'était au-dessus de l'opposition des évêques du pays, principalement ancrée dans les craintes qu'elle ne légalise l'avortement (…). Depuis l'élection, cependant, il n'y a pas vraiment eu d'affrontement titanesque Eglise/Etat. Rousseff a reculé dans son soutien à l'extension des droits à l'avortement, et l'année dernière elle a fait voter un loi controversée sur les registres de grossesses, rejetée par des groupes pro-choice pour un tas de raisons, y compris parce qu'elle définissait le foetus comme une personne. En outre, Rousseff s'oppose au mariage homosexuel, favorisant plutôt les unions civiles - en substance la même position que le Cardinal Jorge Mario Bergoglio en Argentine. De nombreux analystes accusent Dilma Rousseff d'aller vers le centre, en raison de pression non seulement de la part des catholiques, mais aussi des mouvements évangéliques et pentecôtistes de plus en plus influents du Brésil .

    En termes de politique économique, un Pape qui aspire notoirement à «une Église pauvre pour les pauvres» devrait trouver un peu plus de matière à applaudir (…).Les statistiques du gouvernement disent que 28 millions de personnes sont sorties de la pauvreté, tandis que 36 millions de Brésiliens sont entrés dans la classe moyenne. Dans l'ensemble, ceci a été réalisée sans sacrifier la compétitivité; en dépit d'un récent ralentissement, la croissance du PIB au Brésil a été en moyenne de 4,5 pour cent par an au cours de la dernière décennie.

    Toutes choses considérées, Rousseff et son Parti des travailleurs se profilent comme le type de régime de centre-gauche avec lequel le pape doit être en mesure de faire des affaires (…).

    Le défi évangéliste et pentecôtiste

    Le plus grand réalignement religieux de la fin du 20e siècle a sans doute été la transition de l'Amérique latine, passant d'une région catholique homogène à un marché religieux concurrentiel, principalement à cause des gains massifs chez les pentecôtistes et les évangéliques. À un moment donné, dans les années 1990, les évêques latino-américains estimaient qu'ils perdaient 8.000 personnes chaque jour vers ces divers mouvements protestants. Cette réalité met François face à trois tests distincts :

    - Tout d'abord, les évêques latino-américains ont réfléchi sur les nouvelles réalités du continent dans un documents adopté lors de leur réunion de 2007 à Aparecida, au Brésil, le coeur de ce qui était l'appel à une «Grande Mission Continentale». L'idée était de faire revivre l'énergie évangélique de l'Église catholique, rompant avec le modèle clérical d'ouvrir les portes et d'attendre que les gens se présentent, et de dépasser le pentecôtistes en termes d'agitation missionnaire de rue. Bergoglio fut l'un des principaux auteurs de ce document et il reste cher à son cœur, comme en témoigne le fait qu'il en a présenté une copie à tous les dirigeants latino-américains qu'il a rencontrés depuis qu'il est devenu pape (…).

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  • Quand le pape choque les lecteurs de la Libre

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    Symptomatique, le titre de cette dépêche d'agence de presse reproduite dans la Libre, formulé de la façon suivante "Le pape François critique les couples qui n'ont qu'un enfant "par confort"." Il n'en faut évidemment pas plus pour déclencher une avalanche de commentaires hostiles de la part des lecteurs de ce journal.

    En fait, il ne s'agit que d'un exemple parmi d'autres donné par le pape dans le cadre d'une homélie où il dénonçait le culte de l'argent, du bien-être et de la fascination du provisoire ainsi qu'on pourra le constater dans la recension qu'en fait zenit :

    Le pape François a pointé du doigt les ‘richesses’ de la société actuelle qui empêchent de suivre le Christ, lors de la messe de ce matin, 27 mai 2013. Il s’agit du « bien-être » et de la « fascination du provisoire ».

    Radio Vatican rapporte la présence du cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, parmi les concélébrants, ainsi qu’un groupe de collaborateurs du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, et des services économiques du Gouvernorat, dans l’assemblée.

    Le pape s’est arrêté sur l’Evangile du jour, où un homme s’en retourne « tout triste, car il avait de grands biens » (Marc 10,17-27) : « les richesses sont un obstacle » qui « ne facilite pas le chemin vers le Royaume de Dieu », a-t-il souligné.

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