Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Défense de la Vie - Page 145

  • La grandeur de la fragilité

    IMPRIMER
    couv9765g_200.jpgFragilité, dis-nous ta grandeur !
    Un maillon clé au sein d'une anthropologie postmoderne

    Sous la direction de Bernard Ars — Préface de Bruno Cazin

    Paru le 19 Avril 2013

    20,00 € - Disponible - 258 pages

    Collection « Recherches morales »

    aux Editions du Cerf


    Résumé (sur le site des Editions du Cerf)

    Dimension incontournable de notre humanité, condition de nos pauvretés, de nos maladies et de nos peines autant que de nos relations d'amour et de tendresse, la fragilité humaine soulève des réactions ambivalentes de rejet et d'accueil. 

    Dans une société où les valeurs d'autonomie, de maîtrise et de performance prédominent, celles et ceux qui rendent visible notre fragilité commune subissent souvent des formes de dépréciation, voire de discrimination. Écarter la fragilité de l'ordre du langage explicite et, le cas échéant, de l'acte de soin ne veut pas dire qu'elle n'existe pas implicitement dans l'existence de chacun. 

    À contre-courant, les spécialistes ici rassemblés affirment que la grandeur d'une société se mesure à l'aune de la prise en compte de la fragilité de tous ses membres, spécialement ceux qui se trouvent en situation de grande précarité physique, psychique, morale ou spirituelle.

    Collaborations :  Bernard Ars -  Bruno Cazin -  Philippe De Woot -  David Doat -  Bertrand Galichon -  Édouard Herr -  Pascal Ide -  Dominique Lambert -  Xavier Le Pichon -  Jean-Guilhem Xerri

    Dimensions : 215 x 135 x 20  - Poids : 315 grammes

    ISBN : 978-2-204-09966-0 - SODIS : 8296528 - EAN : 9782204099660
  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (18/4/2013) : anorexie, euthanasie, cellules souches

    IMPRIMER

    Sommaire

     

    Des patients anorexiques euthanasiés ? Un ministre réclame plus de transparence

    Catherine Fonck (cdH) a posé une question à Madame Laurette Onkelinx, ministre des Affaires sociales et de la Santé publique. La ministre cdH s’inquiétait d’avoir appris par voie de presse qu’une euthanasie aurait été pratiquée sur une personne qui souffrait d’anorexie. Elle s’étonnait car l’anorexie n’est pas une maladie incurable, et la situation médicale de cette personne n’était donc pas sans issue. Madame Onkelinx a répondu qu’elle ne disposait que des données communiquées dans les rapports de la Commission d’évaluation de la loi sur l’euthanasie, et que seuls cette Commission ou un juge sont habilités à se prononcer sur la légalité d’une euthanasie. Catherine Fonck s’est alors inquiétée du fait que la pathologie à l’origine de la demande d’euthanasie n’est pas toujours clairement mentionnée dans le rapport de la Commission d’évaluation. Madame Fonck s’est alors enquise de l’existence d’une procédure qui permettrait deconvoquer la Commission ou d’obtenir de sa part des réponses écrites.

  • Margaret Thatcher

    IMPRIMER

    Un ami nous écrit :

    A propos du bilan de Margaret Thatcher, on a eu l'occasion de lire ou d'entendre assez largement le pour et le contre, ce qui est assez rare dans les médias.

                Je n'ai toutefois vu aucun rappel de son attitude à l'égard de l'avortement. Au Royaume-Uni, celui-ci est autorisé - pour raisons de santé, sociales, économiques… - jusqu'au sixième mois inclus de la grossesse, et cela peut encore être prolongé sur indication médicale. (On en connaît aujourd'hui les dérives.) Il y a eu, dans les années 80, des tentatives pour au moins restreindre ce délai: Margaret Thatcher s'y est toujours opposée fermement. On est de fer ou on ne l'est pas…

                Une attitude à l'opposé de celle du président Reagan avec lequel on fait fréquemment le rapprochement. Lui fut un authentique défenseur de la vie, mais l'exécutif fédéral américain est sans pouvoir direct en la matière.

    Ce qui est confirmé ICI :

    "... En tant que députée, elle est l'un des seuls conservateurs à soutenir la légalisation de l'avortement proposée par David Steel Elle prend également parti contre l'abrogation de la peine de mort."

  • Le cardinal de Paris : …haut et fort !

    IMPRIMER

    Président de la Conférence des évêques de France, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, a prononcé un discours sans équivoque à l'ouverture de l'Assemblée plénière des évêques de France à Paris mardi 16 avril 2013 (extraits) :

    (…) L'insistance du pape pour appeler l'Église à se porter à la « périphérie » de notre monde est sans doute beaucoup plus riche de sens que ne le laisserait supposer une écoute rapide. Il est clair qu'il vise bien les périphéries sociales de nos sociétés et qu'il nous invite à rejoindre tous ceux que la vie malmène. Mais, et cela est moins entendu et souligné, il parle aussi beaucoup des « périphéries existentielles » qui ne visent pas seulement la marginalité sociale, mais aussi les drames intérieurs de la liberté humaine et le désespoir qui résultent d'un monde qui prodigue des jugements sévères sans annoncer l'espérance de la miséricorde. Ne voyons-nous pas que, sous les apparences d'un libéralisme moral ou, pour mieux dire, d'un libertarisme moral, nos sociétés secrètent une avidité pour dénoncer les coupables qui ne se soumettent pas à la loi commune ?

    Lire la suite

  • Université de Liège, mercredi 24 avril 2013 : « les Dix Commandements et les Droits de l’Homme »

    IMPRIMER

     

    Union_ royale_logo 2.gif

    243241230_2.jpg

     

    Prochaine rencontre du cycle de lunch-débats organisé à l’Université de Liège sur le thème "les droits de l'homme en péril" par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège.   

         Mercredi 24 avril 2013 à 18h00 

    batiment XX août.jpg

    à l'Université de Liège

    IMG_5391.JPGconférence 23 novembre 034.JPG 

    Place du XX août, 7, 1er étage (Salle des Professeurs)  

    Les Dix Commandements et les Droits de l’Homme

     

    Un entretien entre 

    imagesCAJOSJT4.jpgpict_408930.jpg

    Mgr André-Joseph LEONARD

     archevêque de Malines-Bruxelles

    et M. Albert GUIGUI

    grand rabbin de Belgique 

    Les racines spirituelles communes aux juifs et aux chrétiens ne les invitent-elles pas à un témoignage commun pour relever les défis de notre temps ? Plus fondamentalement que toutes les déclarations des droits de l’homme, le Décalogue n’est-il pas le message éthique commun d'une valeur permanente pour Israël, pour l'Eglise, pour les non-croyants et pour toute l'humanité ? En quoi les « Dix Commandements » fondent-ils une juste vision de l’écologie de la nature dans toutes ses dimensions, en particulier celle de la famille humaine ? Le drame  bouleversant de la Shoah n’est-il pas, pour ainsi dire, l’archétype de tous les drames contemporains où l’humanité s’est engagée, depuis le XXe siècle plus que jamais, sur  la voie de la haine mortifère enracinée dans l'idolâtrie de l'homme, de la race ou de l'État, une haine qui commence lorsque l'homme  se place au centre de l'univers ?

     

     Le débat sera modéré par M. Paul VAUTE , chef d'édition de la Libre Belgique-Gazette de Liège 

    vaute3.jpg

    La rencontre aura lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

    Inscription obligatoire avant le 19 avril 2013, par téléphone : 04.344.10.89   ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 €,  à régler sur place. L'accès à la salle (cent places disponibles) ne peut être garanti  aux personnes qui ne s'inscrivent pas au préalable 

    Plus d’informations ici :  http://www.ethiquesociale.org/

     

     

    Les droits de l’homme : enjeu et impasses

    3175451760.jpgLe 21 septembre 2000, une controverse (au sens de la disputatio médiévale) fut organisée, au théâtre Quirino à Rome le 21 septembre 2000, entre le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, et un professeur à l’Université romaine de la Sapienza, le philosophe libertaire Paolo Flores d’Arcais, pour explorer des voies de convergence possibles sur quelques principes absolus relatifs à toute société humaine digne de ce nom. Au moment décisif du dialogue, le modérateur – Gad Lerner, un juif, journaliste à la  Repubblica – s’est demandé si des principes aussi fondamentaux que ceux du Décalogue ne pourraient pas être retenus comme base éthique commune, même par des athées (qui y souscriraient seulement « velut si [comme si] Deus daretur »). Mais cette proposition fut aussitôt rejetée par le philosophe laïc. 

    Ce dernier nia que certaines règles morales ou de droit naturel  puissent constituer des postulats, ou des acquis irréversibles, pour l’humanité : le contrat social est toujours relatif, contingent, renégociable. Ainsi, certains revendiquent-ils maintenant à l’ONU l’insertion de nouveaux « droits » (à l’avortement, à l’euthanasie, au choix du « genre » etc.) dans une Déclaration universelle des droits de l’homme vieille de 50 ans à peine (1948) !

    Tout s’écoule, disait déjà le vieil Héraclite. Pareille impasse montre à quel point une définition véritablement universelle (selon la formule « ubique, semper et ab omnibus » de Vincent de Lérins, Ve s.) des droits et donc des devoirs humains sans Dieu semble aléatoire.

    JPS

     

     

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (13/4/2013) : avortement, Alzheimer, césariennes

    IMPRIMER

    Sommaire (cliquer sur les intitulés pour accéder aux articles)

  • La presse espagnole censure une pub pro-vie

    IMPRIMER

     Source: http://leblogdejeannesmits.blogspot.be

    Parmi cinq quotidiens nationaux espagnols, seul le quotidien La Gaceta a accepté de publier l'annonce suivante qui interpelle le ministre de la justice, Alberto Ruiz Gallardon du Partido Popular au pouvoir, à propos de l'avortement. El Pais, El Mundo, ABC, et La Razon ont choisi de refuser le visuel de pleine page, à la dernière minute.

    anunciogallardon2.jpg

     « Il y a des enfants qui ne souriront jamais. Ils seront morts avant.  Par votre faute, M. le Ministre. »

    « Vous pourriez faire beaucoup pour les sauver et vous ne le faites pas. Simplement, comme tant de puissants de ce monde, vous regardez ailleurs devant l'assassinat massif d'enfants à naître. Ce n'est pas “l'interruption volontaire de la grossesse », ce n'est même pas “l'avortement” : c'est, en vérité, un crime horrible. 

    Vous et votre parti, le PP, vous avez promis la modification de la loi d'avortement, cette funeste loi promue par Bibiana Aido, et vous n'avez pas tenu la promesse. Trois cents enfants meurent chaque jour en Espagne comme conséquence d'une norme dont très sérieusement nous doutons qu'elle puisse mériter de porter le nom de “loi”. 

    Vous, M. le ministre, vous ignorez systématiquement la protection de la vie de l'enfant à naître. Si la vie ne fait pas partie de vos priorités, permettez-nous de douter de la bonté de votre hiérarchie des valeurs. Nous ne voulons pas penser que, parmi vos convictions, se trouve celle selon laquelle le corps du fœtus est le même que celui de la femme et que par conséquent, il peut être éliminé comme s'il s'agissait d'une tumeur. Nous ne voulons pas croire que vous ne savez pas ce que dit la science à ce propos. Nous ne voulons pas croire davantage que vous ne voulez pas que les enfants sourient, ou qu'ils jouent, libres, dans un  monde où – les puissants mis à part – ils sont aimés. Protégez le droit à la vie – le seul qui garantisse les autres droits de l'homme – et modifiez la “loi Aido”. Ne continuez pas d'entasser des erreurs qui coûtent, chaque année, des milliers de vies humaines. »

     L'annonce avait été rédigée et financée par les membres de la plateforme HazteOir (http://www.hazteoir.org) qui entendent maintenant chercher d'autres moyens de la faire circuler.

     Cette annonce intervient à un moment où la pression monte sur le gouvernement de « droite » de Mariano Rajoy pour honorer ses promesses, et semble-t-il fait peur dans les gros médias – mais que craignent-ils ? 

  • Euthanasie psychiâtrie et démence

    IMPRIMER

    Sommairedu Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (IEB)


      L’euthanasie en psychiatrie est une alternative valable au suicide


      Euthanasie in de psychiatrie als een alternatief voor zelfdoding


      Euthanasie : position de la Ligue Alzheimer francophone


      Déclaration anticipée en fin de vie

  • Malte, une île où l'on torture

    IMPRIMER
    Friday-Fax-Header-French.jpgLa protection de la vie-à-naître à Malte qualifiée de “torture”
    NEW YORK, 29 mars (C-FAM) La petite île de Malte est la dernière cible des experts Européens, qui l’accusent de violation des droits de l’homme devant l’institution onusienne de Genève. Son crime impardonnable : protéger la vie de l’enfant in utero.

     

    La Commission internationale des juristes (ICJ), une organisation de défense des droits humains peuplée d’avocats, vient de soumettre un rapport au Conseil des droits de l’homme où elle accuse Malte de mettre inutilement la vie des femmes en danger par sa législation protégeant la vie humaine. Leur base légale est très contestable.

    Le rapport se penche principalement sur les problèmes d’immigration qui touchent l’île à cause de sa proximité avec de nombreux ports d’Afrique. Mais la ICJ en profite pour attaquer Malte pour son refus de reconnaître l’avortement « pour des raisons de santé », ce qu’elle qualifie de violation du droit à la santé, et de forme de torture.

    Lire la suite

  • Le scandale des embryons de laboratoire

    IMPRIMER

    "Le scandale des embryons de laboratoire"

     Le jour même de l'examen par l'Assemblée nationale de la proposition de loi autorisant la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines, Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, publie une tribune dans le quotidien La Croix, retranscrite ci-dessous*. (SOURCE)

    Contrairement à ce que l’on pense, la première réforme de société à être votée par la gauche - et la plus grave - ne sera pas celle du mariage homosexuel. Dans l’ordre chronologique et d’importance, la première réforme consistera à remplacer le principe de l’interdiction de la recherche sur l’embryon (assorti de dérogations) par celui de l’autorisation. La proposition de loi est inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale, le 28 mars, après avoir été votée au Sénat le 4 décembre.
     
    Il est un moment mystérieux où chaque être vivant, sans changer de nature, se développe et grandit entièrement dans la dépendance d’un autre. De même qu’il ne viendrait à l’idée de personne de contester qu’un embryon de souris est un être murin, aucun scientifique dans le monde ne conteste qu’un embryon d’homme est un être humain. C’est dans cette phase d’énergie vitale et de grande vulnérabilité que le législateur a choisi de l’instrumentaliser. Soyons précis : nous parlons d’embryons vivants qui seront supprimés dans le cadre de projets utilitaristes. A cette fin, certains êtres humains figurent sur une liste éloquemment intitulée "embryons surnuméraires dépourvus de projet parental". S’ils étaient réimplantés dans l’utérus, ils y poursuivraient leur vie suspendue par la cryoconservation.

    Lire la suite

  • France, embryons humains : une combattivité payante

    IMPRIMER
    La France nous offre des exemples de mobilisation très encourageants qui devraient interpeller une Belgique qui semble enfoncée dans une situation de non-retour :
    France: maintenue, l'interdiction de la recherche sur l'embryon humain : réactions de l'Alliance Vita et de la Fondation Lejeune
    PARIS, 29 mars 2013 (Zenit.org) - Alliance VITA salue le maintien par l’Assemblée nationale française du principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon humain.

    L’Assemblée nationale a mis en échec, le 28 mars 2013 la proposition de loi qui visait, sans réel débat préalable, à autoriser la recherche qui détruit l’embryon humain. Pour Alliance VITA, ce texte aurait bouleversé les conditions de la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires, en supprimant l’interdiction de principe pour y substituer un cadre beaucoup plus large et flou. Cette discussion a eu lieu sans que les Français aient été préalablement consultés par des états généraux, comme le prévoit pourtant la loi bioéthique du 7 juillet 2011.

    Lire la suite

  • France : la recherche sur l'embryon n'a pas été adoptée à l'Assemblée Nationale

    IMPRIMER

    On pourra lire le détail de l'échec des radicaux de gauche dans leur tentative de faire passer un projet de loi autorisant la recherche sur l'embryon à l'Assemblée Nationale française sur le site du Figaro.