Une bonne nouvelle : après une éclipse de quelques mois, la Bussola Quotidiana est de retour sur le Net. Nous sommes heureux que le travail considérable de cette équipe d'observateurs et de commentateurs vigilants (parmi lesquels l'excellent Massimo Introvigne) puisse reprendre. Riccardo Cascioli commente ce nouveau départ (en italien).
Défense de la Vie - Page 153
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Une précieuse boussole sur le Net
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Le pape demande que tous les malades du SIDA puissent avoir accès aux thérapies
ROME, mercredi 28 novembre 2012 (Anita Bourdin - Zenit.org) – Benoît XVI demande l’accès aux thérapies pour tous les malades du sida, et spécialement pour les mères de façon à ce que leurs enfants en soient pas contaminés pendant la grossesse.
Le pape a en effet lancé un appel à l’occasion de la prochaine Journée mondiale de la lutte contre le sida, samedi, 1er décembre, au terme de l’audience générale de mercredi 28 novembre, en la salle Paul VI du Vatican. Le pape a une fois encore appelé les entreprises pharmaceutiques à permettre l’accès de tous malades du sida aux thérapies en soulignant l’importance de cette journée des Nations unies pour « attirer l’attention sur une maladie qui a causé des millions de morts et des souffrances humaines tragiques, accentuées dans les régions les plus pauvres du monde qui accèdent difficilement aux médicaments efficaces ».
Le pape a lancé un appel spécial pour les enfants qui pourraient ne pas contracter le virus dans le sein de leur mère, si elles avaient accès aux thérapies : « Je pense particulièrement aux nombreux enfants qui contractent de leurs mères ce virus, bien qu’il existe des thérapies pour empêcher cela ».« J’encourage les nombreuses initiatives qui sont promues, dans le cadre de la mission de l’Eglise, pour vaincre ce fléau.
Le pape a exprimé son « affection profonde » et sa « solidarité » avec les malades et il a demandé un « engagement plus décisif de la communauté internationale » pour vaincre le sida. Enfin, le pape a encouragé toutes les personnes qui prennent soin des malades du sida.
Dans son exhortation apostolique sur l’Eglise en Afrique, « Africae Munus », Benoît XVI évoque les pandémies qui frappent les pays africains en disant : « Au nom de la vie – qu’il est du devoir de l’Église de défendre et de protéger – et en union avec les Pères synodaux, je renouvelle mon soutien et je m’adresse à toutes les institutions et à tous les mouvements d’Église qui travaillent dans le domaine de la santé et spécialement du sida. Vous réalisez un travail merveilleux et important. Je demande aux agences internationales de vous reconnaître et de vous aider dans le respect de votre spécificité et dans un esprit de collaboration » (n. 73).
Le pape s’adresse aux entreprises pharmaceutiques : « J’encourage vivement de nouveau les instituts et les programmes de recherches thérapeutiques et pharmaceutiques en cours pour éradiquer les pandémies. N’épargnez pas vos fatigues pour aboutir au plus vite à des résultats, par amour pour le don précieux de la vie.[115] Puissiez-vous trouver des solutions et rendre accessibles à tous les traitements et les médicaments tenant compte des situations de précarité ! » (Idid.). Et d’insister : « L’Église plaide depuis longtemps pour un traitement médical de haute qualité et au moindre coût pour toutes les personnes concernées[116] » (ibid.).
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Le cardinal Dalla Costa, Juste parmi les Nations
Zenit.org met en ligne ce mardi la première partie d'une notice biographique consacrée à l'archevêque de Florence, le cardinal Elia Dalla Costa :
Un nouveau Juste parmi les Nations italien (trad. Hélène Ginabat)
A l’automne 1943, lors des rafles anti-juives en vue de la déportation à Auschwitz, le cardinal Elia Dalla Costa, archevêque de Florence, donna des directives très précises pour venir en aide aux juifs.
Mort en 1961, le cardinal Dalla Costa a été reconnu le 26 novembre 2012 comme « Juste parmi les Nations » par le musée de l’holocauste Yad Vashem de Jérusalem, pour avoir sauvé des centaines de juifs.
L’Osservatore Romano en italien du 27 novembre publie ce récit de Giovanni Preziosi qui rappelle ces événements dramatiques.
Après avoir mené à terme, avec succès, le ratissage et la déportation vers Auschwitz de 1022 juifs de Rome, le service spécialisé du capitaine Theodor Dannecker remonta rapidement la péninsule pour effectuer d’autres rafles-surprise analogues dans les principales villes italiennes, suivant les procédés expérimentés dans la capitale. Cependant, Dannecker étant tombé malade après la razzia dans le ghetto de Rome, la conduite des opérations passa aux mains de son adjoint, Alvin Eisenkolb, qui prit aussitôt pour cible Florence. La ville paya ainsi son tribut atroce à la Shoah en subissant deux ratissages les 6 et 26 novembre 1943.
Le 11 septembre, à peine trois jours après la proclamation de l’armistice, les Allemands occupèrent manu militari le chef-lieu florentin en déchainant immédiatement, avec la complicité du tristement célèbre Département des services spéciaux dirigé par le commandant Mario Carità, une féroce chasse à l’homme contre tous les juifs qui se trouvaient à Florence. Firent partie du lot aussi les réfugiés à peine arrivés des pays limitrophes occupés par les nazis, dans l’espérance, qui allait hélas se révéler vaine, que leur sort serait peut-être meilleur en Italie.
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Un curé refuse des concerts du téléthon
Nous lisons sur "Fait Religieux" :
Un prêtre refuse des concerts du Téléthon dans "ses" églises
Le nouveau curé de Parthenay, dans le département des Deux-Sèvres, a refusé la tenue de deux concerts au profit du Téléthon dans deux églises des environs. Le père Philippe Airaud a avancé une position éthique pour justifier son choix : il refuse de cautionner ce qu'il considère comme « une forme d'eugénisme ». (...) Je préférerais qu'on mette la même énergie à travailler sur les cellules reprogrammées qui sont très prometteuses et ne posent pas de problèmes éthiques. D'un strict point de vue scientifique, j'estime qu'il n'y a plus de raison d'utiliser les cellules embryonnaires » (...) Ce qu'il refuse, en fait, comme il le répète, c'est la recherche sur les cellules-souches et « le tri que cela pourrait amener. Vous vous rendez compte qu'ainsi, 97 % des enfants trisomiques qui devraient naître, ne naissent pas ? Cela pourrait être une forme d'eugénisme ».
Effectivement... Et ce n'est pas le récent prix Nobel de médecine qui le contredira.
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Banneux, 15 décembre : Noël dans la Joie au profit d'Emmanuel-Adoption
Comme cela est devenu une tradition, l'oeuvre Emmanuel qui prend en charge des personnes handicapées par l'adoption d'enfants et l'accueil d'adultes organise ce samedi 15 décembre un Concert en fin de journée sur le thème Noël dans la joie! Une restauration légère est prévue sur place.Invitation cordiale à tous (renseignements) -
Irlande : le rôle néfaste des institutions européennes
Jeanne Smits met en évidence le rôle joué par le Conseil de l'Europe et la Cour Européenne des Droits de l'Homme pour que l'Irlande adapte sa législation sur l'avortement :
Il ne faut pas s'y tromper et il faut en prendre toute la mesure : si l'Irlande d'aujourd'hui, qui a toujours et systématiquement, par la voix de son peuple, rejeté l'avortement légal, paraît sur le point de déclencher le processus législatif qui aboutira à autoriser la mise à mort des tout-petits dans le sein de leur mère, c'est « l'Europe » qui l'y aura poussée. L'Europe au sens large : l'Union européenne pousse certes à la roue, mais en l'occurrence il s'agit du Conseil de l'Europe et de son « bras » judiciaire, la Cour européenne des droits de l'homme.
Lire également, sur le Friday Fax : Exploitation de morts tragiques pour les besoins de la campagne pro IVG irlandaise
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Les Boliviens se sont mobilisés en masse pour la vie et contre l'avortement
AMERIQUE/BOLIVIE - Participation massive de la population à la marche pour la vie et contre l'avortement
Santa Cruz (Agence Fides) - « J'aime la vie » : c'est réunie autour de ce slogan que la population de Santa Cruz a participé en masse à la Marche pour la Vie qui a eu lieu le vendredi 23 novembre, à l'initiative de plus de 300 institutions, dont le Conseil régional de la Jeunesse, l'Eglise catholique et le Comité civique féminin. Ainsi que l'a indiqué à Fides l'Eglise locale, l'initiative a voulu manifester publiquement le total désaccord des participants avec les projets de loi qui proposent la légalisation de l'avortement dans le pays.
L'Archevêque coadjuteur de Santa Cruz de la Sierra, S.Exc. Mgr Sergio Gualberti, avait invité toute la population à « participer en masse et avec enthousiasme, à la Marche pour la vie et à refuser ainsi l'avortement et l'euthanasie que veulent imposer des groupes d'idéologies étrangères » a-t-il déclaré dans une note officielle parvenue à Fides. « Face à cette situation, nous voulons, en tant que catholiques, exprimer publiquement notre foi au Dieu de la vie, vie inviolable depuis le premier instant de la conception jusqu'à la mort naturelle » a-t-il ajouté.
Dans la note envoyée à l'Agence Fides, Edwin Bazan, porte-parole de l'Eglise catholique locale, remarque que des propositions de loi de ce type visent à faire en sorte que « la culture de la mort », souvent acceptée de manière dogmatique par les hommes politiques, « s'enracine en Bolivie ». Au travers de la Marche, l'Eglise a voulu leur rappeler qu'ils doivent promouvoir une législation en faveur de la vie : « Nous voulons dire aux hommes politiques que nous, personnes qui avons voté pour eux, nous sommes un peuple qui veut la vie et non pas des projets de mort. Nous croyons que la vie est un don de Dieu et qu'il doit être respecté. Il est temps d'accompagner nos prières par des actes. La Marche constitue un message clair à la classe politique » a déclaré le porte-parole de l'Eglise catholique.
Agustin Aguilera, Vice-président de l'Association nationale des évangéliques de Bolivie, qui a participé à la Marche, a qualifié la légalisation de l'avortement « d'homicide ». « L'avortement est un mot doux pour dire « droit de tuer » parce que, lorsqu'une personne est conçue, elle a déjà le droit de vivre » a-t-il remarqué. (CE) (Agence Fides 24/11/2012)
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Amnesty fait campagne aux côtés des lobbies pro-mort
Amnesty International, on le savait déjà, prend fait et cause en faveur de l'avortement légalisé. Sa généreuse défense des humains traqués et emprisonnés ne s'étend pas à la protection des vies humaines en gestation. Ainsi cette organisation n'hésite-t-elle pas, avant même que les résultats de l'enquête au sujet de la mort de Savita ne soient clairement établis, à se joindre au concert des lobbies pro-IVG qui somment l'Irlande de libéraliser l'avortement.
L'Irlande doit veiller à ce que sa législation nationale et sa politique en matière d'accès à l'avortement soient conformes au droit international relatif aux droits humains, a déclaré Amnesty International.
L'organisation, qui a écrit au ministre irlandais de la Santé James Reilly, s'inquiète de ce que le cas tragique de Savita Halappanavar met à jour un flou juridique et politique au niveau d'un droit humain des plus fondamentaux, le droit d'une femme à avoir accès à l'avortement lorsque sa vie est en danger.La Cour suprême d'Irlande a déjà institué ce droit en tant que principe constitutionnel. Amnesty International est également préoccupée par le fait qu'il est très difficile de savoir si un cadre législatif spécifique est requis.
Le droit international relatif aux droits humains énonce clairement le droit d'une femme à pouvoir avorter légalement et en toute sécurité lorsque sa vie est en danger. Les gouvernements irlandais successifs ont manqué à leur devoir en s'abstenant de préciser sans ambiguïté comment ce droit est protégé et justifié, plaçant ainsi les femmes en Irlande en position de grande vulnérabilité. Le gouvernement doit y remédier sans délai", a indiqué Colm O'Gorman, directeur exécutif de la section irlandaise d'Amnesty International.
"L'Irlande a essuyé les critiques des organes internationaux relatifs aux droits humains pour ne pas avoir aligné sa législation nationale sur les principes internationaux. C'est notamment le cas d'un arrêt très clair rendu par la Cour européenne des droits de l'homme", a estimé Marianne Mollmann, conseillère en politique au Secrétariat international de l'organisation.
La Cour européenne a en effet souligné la nécessité de mettre en place un cadre législatif ou réglementaire qui offre une procédure accessible et efficace aux femmes, afin qu'elles puissent avorter légalement en Irlande lorsque leur vie est menacée au cours de la grossesse.
Après avoir examiné le bilan de l'Irlande en termes de droits humains, l'ONU a publié en octobre 2011 un rapport dans lequel plusieurs États membres de l'ONU invitent ce pays à aligner sa législation sur les obligations internationales relatives aux droits humains et à légiférer sur l'accès à l'avortement lorsque la vie de la mère est en danger. En 2011, le Comité de l'ONU contre la torture a exhorté l'Irlande à préciser le champ d'application de l'avortement légal à la faveur d'un texte législatif.
Ayant pris acte de l'ouverture d'une enquête sur la mort de Savita Halappanavar, Amnesty International demande au gouvernement irlandais de faire en sorte qu'elle soit efficace et transparente.
Malheureusement pour Amnesty et les autres groupes de pression, il semble bien que la mort de Savita ne soit pas dûe à un refus d'avortement : http://www.belgicatho.be/archive/2012/11/23/savita-n-est-pas-decedee-des-suites-d-un-refus-d-avortement.html
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Les sociaux-chrétiens luxembourgeois ne sont-ils chrétiens que de nom ?
On peut le penser au vu du récent vote libéralisant encore davantage l'avortement au Grand-Duché. C'est ce que dénonce ici Paul d'Oldenburg, président de la Fédération pro Europea Christiana. Seule, une député sociale-chrétienne s'est démarquée de ce vote comme le relate "Le Quotidien" :
La députée CSV Marie-Josée Frank (...) s'est ralliée à la position de l'ADR (parti de droite). «Selon mes convictions chrétiennes et éthiques, la vie humaine est intangible. Et ce projet ne respecte ni la déclaration des droits de l'Homme, ni la convention sur les droits de l'enfant», a-t-elle clamé, en reprenant de nombreux arguments de l'orateur (Fernand Kartheiser de l'ADR) qui l'a précédée. Ce dernier s'était d'ailleurs dit «personnellement choqué», non sans arrière-pensée sans doute, par la position du CSV dans le débat. «Vous n'êtes pas un parti chrétien», a-t-il martelé. Le ministre de la Justice, François Biltgen, a tenu à se défendre contre cette attaque. «J'arrive à combiner ce texte avec ma conscience chrétienne. Et heureusement, les temps sont révolus où il était question de bons et de mauvais chrétiens», a-t-il constaté.
Chacun appréciera à sa juste valeur cette subtile - et révélatrice - affirmation du ministre de la Justice luxembourgeois...
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Savita n'est pas décédée des suites d'un refus d'avortement
C'est ce qui ressort de l'autopsie qui a été pratiquée ainsi qu'en informe cet article publié ici : http://www.ncregister.com/daily-news/in-ireland-abortion-case-pro-lifers-warn-against-snap-judgments/
Halappanavar’s autopsy has revealed that she died of blood poisoning and E. coli ESBL, an antibiotic-resistant strain of the bacterium.
“Instead of jumping to the conclusions that Halappanavar needed an abortion and that Ireland needs to legalize the killing of the youngest of its kind, the reasonable approach would be to get to the bottom of what Halappanavar’s condition was and examine how it was, or was not, responded to,” Stephanie Gray, executive director of the Canadian Centre for Bio-Ethical Reform, wrote Nov. 20.
E. coli ESBL has recently spread throughout the U.K., causing urinary tract infections that can develop into blood poisoning.
“The presence of E. coli ESBL is particularly problematic if Halappanavar was given antibiotics to fight an infection that was resistant to those very antibiotics,” Gray said.
Both the Irish health department and University Hospital Galway are making independent inquiries into the circumstances of Halappanavar’s death.
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Curieux, ces évêques helvètes...
Jeanne Smits s'étonne à juste titre de ces curieuses prises de position :
Est-ce parce qu'il s'agit d'une initiative émanant de personnalités de l'UDC (Union démocratique du centre, la formation politique suisse classée la plus à droite) ou parce qu'ils croient vraiment ce qu'ils disent ? Quoi qu'il en soit, des évêques helvétiques ont exprimé leur opposition au référendum d'initiative populaire « financer l'avortement est une affaire privée » qui visent à mettre fin au remboursement de l'avortement par l'assurance maladie en Suisse.
Mgr Markus Büchel, rapporte La Croix, a déclaré au quotidien alémanique Blick que le projet touchera davantage les femmes en situation difficile que celles qui sont aisées. Drôle d'argument… Il est vrai que l'évêque de Saint-Gall – et futur président de la conférence épiscopale suisse – précise que l'initiative passera « à côté du but » qui devrait être « la réduction du nombre d'interruptions de grossesse ». Mais il assure qu'il y aura toujours des femmes qui opteront pour un avortement : « En tant qu'Eglise, nous ne pouvons pas l'empêcher, et l'initiative ne l'empêchera pas non plus », raison pour laquelle il estime que la privatisation du financement sera « un pas vers une médecine à deux vitesses ».
On croît rêver : le prélat semble plus préoccupé par sa vision collectiviste de la médecine et de l'assurance maladie que par la volonté d'un grand nombre de Suisses de ne coopérer en rien, et surtout pas en finançant les opérations, la mise à mort des tout-petits.
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Affaire Savita : Génération pour la Vie appelle à manifester devant l'ambassade d'Irlande
Voici l'appel tel qu'il est lancé sur le site de Génération pour la Vie :
Mercredi 21/11/12 des manifestations pour une légalisation de l'avortement en Irlande ont eu lieu devant les ambassades irlandaises de plusieurs villes d'Europe.
Il est capital de ne pas nous taire ! L'Irlande compte sur nous !!!
Récemment, Savita Halappanavar est décédée à la suite d'une fausse couche. Nous sommes profondément attristés par ce décès et présentons toutes nos condoléances à sa famille et à ses proches. Les media présentent son décès comme dû au refus des médecins de lui faire subir un avortement. En réalité, les experts n'ont pas encore rendu leur rapport et il semblerait que son décès soit dû à un retard dans l'administration d'antibiotiques. Selon les spécialistes, il n'est jamais nécessaire de recourir à un avortement pour sauver la vie d'une femme.
Le lobby irlandais pro-avortement est en train de se servir de la mort de cette femme pour légitimer une législation favorable à l'avortement. L'avortement tue toujours un être un humain !
L'Irlande nous appelle à nous mobiliser devant les ambassades irlandaises de nos pays afin de les soutenir. Nous devons répondre à cet appel car le lobbying exercé pour une modification de la loi est très puissant ! Concrètement, nous vous fixons rendez-vous pour une démarche calme et pacifique devant l'ambassade d'Irlande mardi soir. Il y aura plusieurs interventions ainsi qu'un temps de recueillement (ou de prière pour les croyants). Voici l'objectif de notre démarche tel que transmis à la police : Nous souhaitons manifester nos condoléances à la famille et aux proches de Savita Halappanavar et dénoncer la manipulation médiatico-politiquequi est faite de son décès. Nous soutenons la législation irlandaise actuelle en matière d'avortement et savons que l'Irlande est selon l'OMS, l'un des pays au monde où le taux de mortalité maternelle est le plus faible.
L’événement sur Facebook: https://www.facebook.com/events/132908660194155/
Plus d'info : http://www.generation-pour-la-vie.be/123-savita-halappanavar-verite-irlande et http://www.youtube.com/watch?v=cVGvUF217us&feature=youtu.be
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