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Défense de la Vie - Page 179

  • Des tissus de foetus et des cellules embryonnaires dans l'alimentation ?

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    Nous vous livrons cette information écoeurante dont genetique.org se fait l'écho et que nous trouvons explicitée ici (www.sanfinna.com) (s'appuyant sur Natural News) :

    Pour simuler des goûts variés dans les aliments transformés, certains fabricants d’aliments utilisent en fait des cellules de fœtus avortés pour tester et produire ces rehausseurs chimiques artificiels que des millions d’américains consomment tous les jours. Inquiet des implications éthiques et morales d’un tel procédé, le sénateur de l’Oklahoma Ralph Shortey a introduit une nouvelle législation pour interdire cette pratique qui a cours dans son état.

    Senomyx, une société de biotechnologie basée en Californie, qui est spécialisée dans la production d’arômes alimentaires, est l’une de ces sociétés qui utilise des cellules d’embryons avortés pour créer  "des récepteurs isolés à goût humain", pour la production d’aliments chimiques. Et cette société a passé des contrats avec plusieurs gros fabricants, y compris Kraft, PepsiCo et Nestlé.

    "Il y a un potentiel pour des sociétés qui utilisent des bébés humains avortés dans leurs recherches et développement d’arômes rehausseurs de goût", a dit à KRMG Radio le sénateur Shortey. "Je veux dire que si cela se fait nous n’allons pas en autoriser la fabrication ici."

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  • Espagne : le gouvernement veut restreindre la pratique de l'avortement

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    Jeanne Smits fait écho à la volonté du nouveau gouvernement espagnol de revenir sur la loi de 2010 qui autorisait les mineures à recourir à l'avortement sans autorisation parentale :

    "Ce serait une première : un pays européen occidental qui imposerait des restrictions sur une loi d'avortement en vigueur, et même très récemment adoptée. Le Partido Popular de Mariano Rajoy étant élu depuis quelques mois à peine, le nouveau ministre de la Justice a annoncé que son gouvernement allait revenir sur la dispense d'autorisation parentale d'avorter pour les 16-18 ans mise en place par la loi entrée en vigueur en juillet 2010. Ses déclarations ont été largement répercutées dans le monde, y compris en France, et la plupart du temps comme une intolérable atteinte au droit des femmes. ... "

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  • La Hongrie face aux critiques de sa nouvelle législation sur la famille

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    C-Fam.jpgPar Susan Yoshihara, Ph.D.

    New York, 27 janvier (C-FAM) La Hongrie a promulgué une loi protégeant la famille traditionnelle, ce faisant elle a défié les critiques de sa nouvelle constitution, qui réprouvaient le fait que celle-ci mettrait un frein à l’avortement et l’homosexualité.

    La nouvelle législation dispose que la famille, fondée sur le mariage entre un homme et une femme, qui a pour objet d’élever des enfants, est une « communauté autonome… établie avant l’émergence du droit et de l’Etat » et que l’Etat se doit de la respecter pour une question de survie nationale. Elle dispose « La vie embryonnaire et fœtale a droit à protection et respect à partir de la conception » et que l’Etat devrait promouvoir l’éducation des enfants dans « le milieu domestique ». Elle oblige les média à respecter le mariage et l’éducation des parents, et assigne aux parents plutôt qu’à l’Etat la responsabilité première de protéger les droits de l’enfant. La loi énumère les responsabilités des mineurs, qui incluent le respect et le soin de leurs parents âgés.

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  • Le Vatican à l'attaque du programme d'Obama

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    Une infA271110_9.jpgormation sans signature publiée, sous ce titre très approximatif, aujourd’hui sur le site de « La Libre »

     « Le Vatican à l'offensive sur la contraception et la pilule abortive Le torchon brûle entre le Vatican et l'administration Obama: en pleine campagne électorale, le pape Benoît XVI a fustigé les plans du président américain de rembourser la contraception et la pilule abortive, appelant les catholiques à se mobiliser contre eux.

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  • Monseigneur Monsengwo : « détruire la famille, c’est détruire la société »

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    « Détrumonsengwo_10_01.jpgire la famille c’est détruire la société », déclare l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya à l’occasion du Colloque organisé à Cotonou (Bénin), du 24 au 26 janvier, collaboration avec l’Institut pontifical Jean Paul II pour études sur le mariage et la famille ». La rencontre   marquait le 10 ème anniversaire de la “Fédération Africaine d'Action Familiale” (FAAF)

    Le cardinal congolais a observé que « la famille connaît depuis 30 ans des mutations profondes allant toujours dans le sens d’une destruction progressive de la cellule familiale. Pour beaucoup, la stabilité du mariage n’est plus un idéal ». Il réaffirme ensuite  le rôle social de la famille en ces termes: « Toute société a besoin de la famille, cellule primordiale. L’Eglise également. Nous savons que la famille naît d’un mariage indissoluble et fidèle, il est lieu de rencontre avec Dieu pour les époux. » et souligne la gravité de l’enjeu pour la société: « Dès lors que nous évacuons du mariage et de la famille, cette dimension de mystère inhérente à l’économie divine, toutes les dérives sont possibles : violences, mauvais traitement du conjoint, paternité et maternité irresponsable. Détruire la famille c’est détruire la société ; détruire la famille c’est détruire l’Eglise. Le mariage et la famille sont le plus beau cadeau que Dieu ait fait à l’humanité, afin que celui ci soit vraiment à Son image ».

    « Les acteurs de la FAAF dans mon pays et dans les autres pays africains cherchent à enseigner sur le terrain la bonne nouvelle de l’Eglise sur la sexualité, ils évangélisent l’amour humain », a souligné le cardinal-archevêque du plus grand pays catholique du continent africain. Lire plus ici, sur le site de l’agence Zenit Afrique : « Détruire la famille c'est détruire la société »

  • Europe : vote d'une résolution favorable au respect de la vie

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    C'est Jeanne Smits, sur son blog, qui nous en informe :

    "Euthanasie : victoire sur la culture de mort à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe

    ...l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a voté mercredi soir une résolution visant à « protéger les droits humains et la dignité de la personne en tenant compte des souhaits précédemment exprimés par les patient » – en clair, il s’agit de promouvoir les testaments de fin de vie ou les directives pour la fin de vie. Grâce au travail intensif d’élus chrétiens, le texte définitif affirme : « L’euthanasie, dans le sens de l'usage de procédés par action ou par omission permettant de provoquer intentionnellement la mort d’une personne dépendante dans l’intérêt allégué de celle-ci, doit toujours être interdite. »

    A cette belle victoire s'ajoute l'adoption de deux amendements présentés par Luca Volontè (président de groupe du PPE) Timothy Boswell (GDE) et d'autres membres de ces deux formations conservatrices, qui ont bataillé pour faire adopter ce principe : « En cas de doute, la décision doit toujours viser à préserver la vie de l’intéressé et à en prolonger la vie. »

    « L'an dernier, nous avons obtenu une grande victoire en réaffirmant le droit à l'objection de conscience, aujourd'hui nous reconfirmons les valeurs humaines et chrétiennes. Aujourd'hui nous avons une nouvelle fois mené une bonne bataille et nous l'avons gagnée, grâce à Dieu, face à une véritable tyrannie idéologique de la mort. Les socialistes, la gauche et une partie des libéraux ont perdu une bataille fondamentale, désormais l'euthanasie est totalement bannie de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe », rapporte mon correspondant, citant Luca Volontè.

    Addendum : Le texte de la résolution est en ligne ici.

    © leblogdejeannesmits.

  • Selon « La Libre » Rick Santorum a choqué le public américain

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     Le candidat catholique à l’investiture républicaine pour les prochaines élections présidentielle américaine, Rick Santorum est contre l’avortement. « et il le fait savoir » déclare la « Libre » qui poursuit : « sur le plateau du show télévisé de Piers Morgan (CNN) vendredi soir, le candidat à la primaire du Parti républicain pour l'élection présidentielle américaine de 2012 a tenu des propos qui n'ont pas manqué de choquer. Le journaliste l'a interrogé sur ce qu'il ferait si une de ses deux filles tombait enceinte suite à un viol et qu'elle lui demandait l'autorisation d'avorter. Dans cette situation, Rick Santorum lui expliquerait donc de prendre cet enfant "comme un cadeau de Dieu" arguant qu'interrompre cette grossesse indésirée pourrait "ruiner sa vie". "Aussi horrible soit la façon dont ce fils ou cette fille a été conçu, celui-ci n'en est pas moins son enfant" affirme-t-il. Convaincu, il poursuit son explication: "D'une certaine manière, c'est un don de la vie humaine, et il faut accepter ce que Dieu nous donne. Je peux pas imaginer quelque chose de plus horrible mais il faut savoir tirer le meilleur parti d'une mauvaise situation."  Rick Santorum: "Il faut accepter ce que Dieu nous donne"

    Mutch is too mutch, comme on dit dans la bourgeoisie libérale avancée…

  • Quand la loi viole la liberté des consciences…

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    Lu dans les “matinales” de La Vie:

     “Aux Etats-Unis, c'est la rupture entre les évêques américains et le président Barack Obama. En cause, une loi qui oblige les structures de santé même catholiques à fournir des contraceptifs et des abortifs. Une contestation qui ne touche pas que la droite catholique.(…) C'est dans le National Catholic Reporter, le plus grand magazine catholique américain, que Michael Sean Winters, un des soutiens catholiques de gauche les plus actifs d'Obama, se fend d'une tribune au titre très explicite... et très français: "J'accuse!": "Le président Obama a perdu mon vote quand il a refusé d'étendre l'objection de conscience aux services de santé. La question de la protection de la conscience est si fondamentale que je ne vois pas comment je pourrais jamais voter à nouveau pour cet homme. [...] Je vous accuse, Monsieur le Président, d'avoir trahi la philosophie de gauche, qui a commencé, ne l'oublions pas, comme une défense de la liberté de conscience. En tant que catholiques, nous devons être honnêtes et admettre que, depuis trois cents ans, la défense de la liberté de conscience n'était pas dans les premières préoccupations de notre sainte Mère Eglise. Mais, nous, catholiques, avons appris à embrasser l'idée que la contrainte de la conscience est une violation de la dignité humaine. C'est une leçon, Monsieur le Président, que vous et un trop grand nombre de vos collègues de gauche avez apparemment désappris". Dans un pays où le secteur privé est extrêmement développé, les hôpitaux catholiques sont au nombre de 562 sur tout le territoire, et ils soignent près de 90 millions de patients. C'est dire à quel point l'application de la loi incriminée concerne un pan non négligeable du système de soins américain.” C’est ici: Obama a-t-il perdu le vote des cathos de gauche?

     Un cas de figure qui risque de se multiplier dans les "démocraties postmodernes" 

  • Le Figaro et la "Marche pour la Vie" à Washington

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    Sur son blog, Jeanne Smits dénonce la désinformation relative à la Marche pour la Vie qui a rassemblé des centaines de milliers de personnes à Washington. En effet, le Figaro - qui relaie l'AFP - évoque tout bonnement "quelques centaines" de manifestants. Les médias créent en effet l'évènement en servant de caisses de résonnance à des évènements insignifiants ou, à l'inverse, réduisent à rien des évènements qui mériteraient que l'on en rende compte honnêtement. Il en a été de même, ces derniers jours, pour les grandes manifestations de soutien à Victor Orban qui ont eu lieu en Hongrie et que nos médias ont occultées. Même chose pour la Marche pour la Vie à Paris. D'où l'importance des blogs et sites indépendants qui permettent d'échapper à ce formatage médiatique...

  • Marche pour la Vie ce dimanche à Paris : les Belges étaient là aussi.

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    22_1_2012_-_1.jpgUn de nos correspondants a participé à cette marche. Voici son reportage :

     « 30.000 manifestants pour la vie à Paris ce dimanche 22 janvier 2012. Ces estimations nous ont été communiquées par des policiers ayant une certaine habitude de ce genre d'événements.

    Le matin même, à proximité de la basilique de Koekelberg nous attendait l'autocar qui devait précisément nous y amener. (affrété à l'initiative de "Jeunes pour la Vie", ndlr) Une bonne cinquantaine de participants étaient du voyage et après un trajet de quatre heures environ, nous sommes arrivés à la place de la République, lieu de départ du cortège.

    Là, c'est l'ambiance bon enfant caractéristique de cette marche.  Les participants viennent parfois de loin, et dans certains cas, avec leur évêque: Mgr Bagnard (diocèse de Belley-Ars) et Mgr Aillet (diocèse de Bayonne). En plus des Belges que nous sommes, on peut voir (et entendre!) des Italiens, des Roumains, et même des Sud-africains!

    Les slogans fusent, avec un point commun entre eux: les femmes ayant avorté ne sont jamais jugées, elles sont quelque part d'abord victimes de la banalisation qui est faite d'un tel acte et du manque d'information sur les séquelles dramatiques qui s'ensuivent.

    Voici le genre de slogans qu'on peut entendre sur le pavé parisien:

    - "La vie n'est pas un dû, c'est un don!"

    - "On ne se donne pas la vie, on la reçoit de Dieu comme fruit de l'amour entre un homme et une femme."

    La foule continue gaiement son chemin. A l'arrière de la manifestation, des gens prient le rosaire.

    Arrivés sur la place de l'opéra Garnier, noire de monde, les manifestants ont droit à un petit mot de Jean-Marie Le Méné. Il est président de la fondation Lejeune, ardent défenseur des enfants à naître, particulièrement ceux porteurs d'un handicap telle la trisomie 21. Il rappelle qu'en France aura lieu prochainement l'élection présidentielle. Ceux qui défendent la vie se doivent de peser de tout leur poids sur la campagne. Il en va de leur responsabilité...

    Enfin, il est 18h30 quand nous reprenons le chemin de Bruxelles, où nous arrivons vers 23h.

    De l'avis général, cette journée a été placée sur le signe de la bonne humeur, les connaissances se sont retrouvées, les inconnus ont lié connaissance. Le prochain rendez-vous pour la vie est fixé au 25 mars 2012 à Bruxelles: nous y serons tous! » 

     

  • L'euthanasie en Belgique, une "pratique palliative" ?

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    Source : Synthèse de presse de genethique.org (jeudi 19 janvier)

    En Belgique début janvier 2012, la mise en place d'une "initiative" a été annoncée et les résultats d'une étude auprès des médecins belges ont été publiés autour du sujet de l'euthanasie.

    L'hôpital UZ Brussel met en place avec l'Academisch Medish Centrum Wemmel "une initiative pour encadrer les patients terminaux ou incurables", ainsi que ceux souffrant de troubles psychiatriques. Le but est d'organiser une consultation de seconde ligne par des médecins et infirmiers formés à la pratique de l'euthanasie. Cette initiative ferait suite à un quadruple constats : la méconnaissance des législations relatives à la fin de vie, l'appel souvent trop tardif aux soins palliatifs, l'existence de cas d'acharnement thérapeutique et les demandes d'euthanasie de patients non terminaux ou atteints de troubles psychiatriques jugés "pas suffisamment entendus".

    L'Institut européen de bioéthique appelle cependant à la vigilance, mettant en parallèle les résultats d'une étude récente sur la non-déclaration, par les médecins, des euthanasies pratiqués, à la Commission de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie. Elle révèle que pour certains médecins, l'euthanasie peut être aujourd'hui considérée comme une "pratique palliative". De plus, cette étude s'intéresse aux motifs pour lesquels les médecins de Flandre négligent l'obligation de déclarer l'euthanasie à la Commission de contrôle : à 30% ils invoquent des procédures administratives et légales trop fastidieuses ou non respectées, 9% déclarent que l'euthanasie est une affaire privée entre médecin et patient et dans 2% des cas, les médecins veulent éviter d'éventuelles poursuites judiciaires.

    Les résultats d'une autre étude ont montré que les 3/4 des médecins belges interrogés pensent que "l'euthanasie à la demande du patient peut constituer une forme adéquate de soins palliatifs". De plus, la moitié d'entre eux estiment que "le médecin doit pouvoir décider, en concertation avec son équipe en charge des soins, d'administrer des substances létales à un patient atteint d'une maladie incurable en proie à des souffrances insupportables et qui n'est pas en mesure de prendre lui-même des décisions". 10% d'entre eux estiment cependant que "la loi relative à l'euthanasie nuit au bon développement des soins palliatifs".

    La majorité des médecins souhaitent élargir la loi aux mineurs, près de la moitié veulent l'étendre aux patients devenus incurables mais qui ne sont pas en fin de vie si ils en font une déclaration anticipée écrite. Pour finir, 25% estiment que l'euthanasie est une affaire privée entre médecin et patient et qu'elle ne doit plus être soumis au contrôle de la Commission d'évaluation.