Nous vous livrons cette information écoeurante dont genetique.org se fait l'écho et que nous trouvons explicitée ici (www.sanfinna.com) (s'appuyant sur Natural News) :
Pour simuler des goûts variés dans les aliments transformés, certains fabricants d’aliments utilisent en fait des cellules de fœtus avortés pour tester et produire ces rehausseurs chimiques artificiels que des millions d’américains consomment tous les jours. Inquiet des implications éthiques et morales d’un tel procédé, le sénateur de l’Oklahoma Ralph Shortey a introduit une nouvelle législation pour interdire cette pratique qui a cours dans son état.
Senomyx, une société de biotechnologie basée en Californie, qui est spécialisée dans la production d’arômes alimentaires, est l’une de ces sociétés qui utilise des cellules d’embryons avortés pour créer "des récepteurs isolés à goût humain", pour la production d’aliments chimiques. Et cette société a passé des contrats avec plusieurs gros fabricants, y compris Kraft, PepsiCo et Nestlé.
"Il y a un potentiel pour des sociétés qui utilisent des bébés humains avortés dans leurs recherches et développement d’arômes rehausseurs de goût", a dit à KRMG Radio le sénateur Shortey. "Je veux dire que si cela se fait nous n’allons pas en autoriser la fabrication ici."
Par
ormation sans signature publiée, sous ce titre très approximatif, aujourd’hui sur le site de « La Libre »
ire la famille c’est détruire la société », déclare l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya à l’occasion du Colloque organisé à Cotonou (Bénin), du 24 au 26 janvier, collaboration avec l’Institut pontifical Jean Paul II pour études sur le mariage et la famille ». La rencontre marquait le 10 ème anniversaire de la “Fédération Africaine d'Action Familiale” (FAAF)
Un de nos correspondants a participé à cette marche. Voici son reportage :