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Défense de la Vie - Page 176

  • Marche pour la Vie, le chemin parcouru

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    A une amie qui nous demande : "J'aimerais que vous m'expliquiez un peu le chemin parcouru par "marcheforlife". Je me suis engagée à distribuer des feuillets et à afficher le beau poster au sein des différentes paroisses de mon UP, mais tout en étant partie prenante de la démarche je dois avouer que je ne connais pas l'historique du mouvement et j'aimerais pouvoir répondre intelligemment aux questions qui ne manqueront pas au moment de la distribution."

    ...les organisateurs répondent :

    La Marche pour la Vie de Bruxelles est née en 2010 à l'initiative d'un groupe d'étudiants, néerlandophones et francophones, à l'occasion des 20 ans de la dépénalisation de l'avortement en Belgique. Les organisateurs sont nés alors que l'avortement devenait légal en Belgique (loi Lallemand-Michielsen du 3 avril 1990). Non seulement ils n'ont donc pas eu leur mot à dire en 1990, mais c'est toute une partie de leur génération qui a été décimée par la pratique de l'avortement massif (plus de 300 000 victimes en 20 ans). Le 28 mars 2010 la première Marche pour la Vie a rassemblé  1700 personnes et le 27 mars 2011, la seconde édition comptait près de 3000 participants, y compris l'archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr. Léonard.

  • Ils marchent pour la vie

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    C'est à Barcelone :

    Comme tous les mois, une manifestation pro-vie était organisée le 25 février à Barcelone pour protester contre les avortements qui y sont perpétrés jusque dans des hôpitaux gérés par l’Eglise catholique. Et non seulement les manifestants se dérangent ainsi tous les mois pour être « la voix de ceux qui n’ont pas de voix », mais leur nombre s’accroît régulièrement. Pourtant au mois de janvier la manifestation coordonnée par barcelonaesvida.org avait été conspuée et caillassée. Cela n’a pas découragé les participants : au contraire, ils n’auront jamais été aussi nombreux que samedi dernier.
     
    Lire la suite ici, sur le blog de Jeanne Smits
  • Marche pour la Vie, et les médias ?

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    Entretien avec Antony Burckhardt, coordinateur de la Marche pour la Vie (suite) :

    - Les médias belges relaient-ils honnêtement les informations concernant votre mobilisation?

    En 2010, nous avons subi une véritable campagne de désinformation. Alors que la police donnait le chiffre de 1700 participants, la presse parlait de 500 personnes ! En 2011, il faut reconnaître que le traitement réservé à la Marche pour la Vie par La Libre Belgique et Le Soir fut beaucoup plus honnête (contrairement à la Rtbf et à Rtl-tvi). Je tiens notamment à rendre hommage à Ricardo Gutierrez qui a eu le courage de traiter avec objectivité notre démarche, malgré la ligne pro-avortement qui est habituellement celle de son journal. Bien entendu, ces médias généralistes font état de notre travail après-coup, c'est-à-dire le lendemain (ou au mieux la veille) de la Marche. Un blog comme le votre est donc capital pour faire connaître l'évènement (et mobiliser) dès maintenant.

  • Quel soutien de l'Eglise pour la Marche pour la Vie ?

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    Nous poursuivons notre entretien avec Antony Burckhardt :

    L'Eglise belge n'est-elle pas bien tiède? En dehors de la présence de Mgr Léonard à la Marche pour la Vie, l'an dernier, avez-vous reçu un soutien significatif des milieux catholiques belges?

    Bien sûr, vu la gravité de la situation, on pourrait espérer un message fort de la Conférence épiscopale qui serait ensuite relayé dans toutes les paroisses du pays. Je ne vous apprendrai rien, en vous disant que nous sommes malheureusement encore loin de la mobilisation générale demandée par Jean-Paul II dans son encyclique Evangelium Vitae... Toutefois, nous devons saluer les gestes qui ont été posé par le clergé belge depuis la première édition de la Marche pour la Vie à commencer par la présence du primat de Belgique aux deux premières éditions. Je ne crois pas me tromper en disant que, dans l'Hexagone, beaucoup se réjouiraient de voir le Cardinal Vingt-Trois participer à la Marche pour la Vie de Paris... Saluons donc le courage de Mgr. Léonard. N'oublions pas non plus la présence de Mgr. Warin et du porte-parole des évêques de Belgique, l'abbé Eric de Beukelaer, en 2010. Et puis je pense aussi à toutes ces communautés nouvelles ou traditionnelles qui nous soutiennent activement depuis le début, y compris par la prière. Où en serions-nous sans leur aide ?

    Sur la page Facebook de la Marche pour la Vie, on apprend que Monseigneur Van Looi, évêque de Gand, participera à la Marche pour la Vie. Et les autres évêques belges ?

  • Défense de la vie : la parole claire d'un évêque

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    source : le Salon beige

    Mgr Marc Aillet, évêque de Lescar, Bayonne et Oloron, a rédigé la préface de l'ouvrage de Phillipe de Cathelineau, "Naître ou ne pas être. De la dictature de nos libertés à la faillite de nos solidarités." (à paraître, le 1er mars) La voici en exclusivité à lire ici

    Voici un extrait qui fait écho à de récents propos de Monseigneur Léonard :

    Le consensus démocratique n’a pas l’apanage de la vérité et de la justice. En ce sens, la légitimité du politique découle de son respect de la loi naturelle, de cet ordre voulu par Dieu, inscrit au plus profond de la création. Comme l’écrit saint Thomas d’Aquin : « Une loi contraire à la raison est plus une violence qu’une loi ». Le pape défunt le rappelle avec force : « La racine du drame, combien elle est parfois élargie et différenciée ! Mais il y a aussi les instances humaines, parfois les « groupes de pressions », les corps législatifs, qui « légalisent » la privation de la vie de l'homme non encore né. Existe-t-il une instance humaine, existe-t-il un parlement, qui ait le droit de légaliser le meurtre d'un être humain innocent et sans défense, qui ait le droit de dire : "il est permis de tuer", et pour finir : "il faut tuer", là où il faut au contraire protéger et aider la vie au maximum?» [Jean-Paul II, 4 juin 1991, homélie à Radom (Pologne).]

  • Marche pour la Vie : et nos évêques ?

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    Un de nos visiteurs réagit à la note publiée ce matin : voir ici; il nous pose ces questions :

    Nos évêques, de tous les diocèses, s'impliquent-ils à fond dans cette « marche pour la vie » ? Ne doivent-ils pas faire en sorte que toutes leurs paroisses en soient bien informées et soient incitées à y participer massivement ? Et aussi mettre à la disposition des organisateurs tous les appuis et moyens qui peuvent les aider. Il me semble que cela fait partie d'un de leurs rôles essentiels, et qu'ils sont mieux placés et outillés que tous ces braves bénévoles pour faire enfin bouger et marcher tous les catholiques de ce pays. Ces bénévoles ont-ils contacté les évêques en ce sens ?"

    Les organisateurs répondront sans doute à ces questions. A suivre, sur belgicatho...

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 25 février 2012

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    Sommaire

     

  • Une Marche pour la Vie en Belgique : un pari difficile ?

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    Antony Burckhardt, coordinateur, répond à nos questions :

    - En France (ou ailleurs), il existe une multitude d'associations et de publications qui assurent le succès d'une mobilisation pour la vie; en Belgique, n'êtes-vous pas bien seuls?          

    C'est vrai que l'essentiel du travail de mobilisation et d'organisation repose sur une dizaine de personnes, pour la plupart encore aux études. Cela limite nécessairement la portée de nos actions. Je lance donc, à nouveau, un appel à nous rejoindre et à nous aider afin que la Marche pour la Vie de Bruxelles s'inscrive dans la durée. Je rappelle également qu'il existe des associations qui défendent la Vie en Belgique tout au long de l'année : Jeunes pour la Vie, Souffle de Vie, Pro-Vita, Chemin de Vie, Mouvement St Nicolas, Génération pour la Vie. Ces associations, n'attendent que notre aide à tous.


    - Cinq mille participants; n'est-ce pas placer la barre bien haut ? Qu'est-ce qui vous permet de croire que vous ferez mieux que l'an dernier ?

    La pemière Marche pour la Vie avait rassemblé environ 1700 participants et la seconde 3000. Notre objectif est donc de poursuivre sur cette lancée. 5000 personnes, c'est naturellement placer la barre un peu haut mais la situation l'exige amplement : depuis 1990, le nombre d'IVG ne cesse d'augmenter ! Chaque année, c'est l'équivalent d'une ville comme Huy qui est rayé de la carte à cause de l'avortement ! Réveillons-nous ! Mobilisons-nous !
  • Légèreté de l'OMS et stratégie anti-vie

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    C-Fam.jpgC'est le menu du Friday Fax (C-FAM) de cette semaine :

    La recherche de l’Organisation Mondiale de la Santé a été encore remise en cause, et c’est la seconde fois en deux ans. L’OMS a très gravement sous-estimé les causes de la mortalité infantile mondiale et de la mort de la Malaria. L’article (ici) est signé Lucia Muchova.

    Les militants pro IVG ont œuvré pendant des années pour garder leurs gouvernants nationaux dans le silence et les empêcher de défendre leurs législations protectrices de la vie lors des conférences intergouvernementales de l’ONU. Et cela a eu son effet. Stefano Gennarini  (ici) vous présente une étude de cas brésilienne.

  • L'Europe est très loin d'être favorable à l'euthanasie

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    Pierre-Olivier Arduin, sur Liberté Politique, réfute les arguments en faveur de l'instauration d'une euthanasie légalisée en France. Il insiste sur le fait que seule une petite minorité d'états européens l'ont légalisée : les états du Benelux où ce serait surtout la mouvance néerlandophone (qualifiée par l'auteur de "flamande") qui y est favorable.

    "28 millions contre 320 millions

    ...les trois Etats du Benelux ne représentent que 28 millions de personnes sur les 800 millions enregistrées au Conseil de l’Europe et sur les 320 millions habitants de l’Union européenne. De fait, nous ne saurions oublier que l’écrasante majorité des Européens ignore toute législation légalisant l’euthanasie. Ainsi que nous le rappelle fort opportunément le groupe Ethique, droit et santé du Collectif Plus digne la vie, « croire que 28 millions d’habitants du Benelux peuvent avoir raison tous seuls contre les 321 millions des 24 autres Etats de l’Union européenne qui ont fait un choix contraire, c’est refuser la réalité, c’est raisonner exclusivement avec des préjugés idéologiques [1]». 

     

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  • Une prime de 300 euros pour éviter le recours à l'avortement

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    "La mutuelle allemande BKK IHV a décidé d'accorder une prime de naissance de 300€, à ses assurées qui s'engagent moralement à "ne pas avorter et n'inciter personne à le faire". 1 200 assurés de BKK IHV, qui est en partenariat avec l'association Pro-Life depuis 2010, auraient déjà adhéré au mouvement.

    Cette initiative soulève des questions. Depuis 2011, elle fait l'objet de surveillance par l'Office fédéral des assurances sociales, qui vérifie la légalité de ses offres. Selon la loi allemande, les assurances sont obligées de financer les avortements légaux et en tant que personnes morales de droit public, elles ont également un devoir de neutralité. 
    Selon le magazine Der Spiegel, Heinz-Werner Stumpf, directeur de la BKKV IHV, a affirmé que ces offres étaient parfaitement conformes au droit allemand.

    L'Allemagne est le pays d'Europe où la population est la plus âgée et où le taux de fécondité est des plus bas. Le pays s'efforce d'ailleurs depuis plusieurs années de promouvoir les naissances."

    source : genethique.org

  • Des inédits très actuels de Mère Teresa

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    Teresa-198x300.jpgMère Teresa : Quand l’amour est là, Dieu est là

    C’est un gros livre, de plus de 400 pages, qui ne place plus le lecteur face à l’aridité d’un foi vécue dans la souffrance mais aborde les grandes questions de l’existence et montre les réponses apportées par Mère Teresa. Toutes se résument en Dieu, même si les situations concrètes abordées sont bien humaines. Il s’agit pour Mère Teresa de conduire le lecteur à une plus grande union avec Dieu, laquelle permet de faire rayonner véritablement l’amour dans le monde. 

    « Dans la mesure où elle se trouvait constamment en relation avec des gens d’origines et de milieux divers, aucune situation ne lui était étrangère »,  précise dans sa préface le Père Brian Kolodiejchuk, missionnaire de la Charité et postulateur de la cause de canonisation de la bienheureuse de Calcutta. D’inspiration très clairement ignacienne, cette spiritualité s’énonce parfois avec des formules fortes.

    Mère Teresa n’hésite pas, par exemple, à faire l’éloge du silence afin de se « débarrasser de l’amertume et de la haine », souligne que « Cela n’a pas de sens d’entrer dans une congrégation religieuse si vous ne voulez pas être saintes »  ou que l’adoration, qu’elle avait instituée en 1973 a des effets très concrets : « Depuis ce temps, l’amour intime de Jésus a beaucoup grandi. Nous avons une meilleure compréhension de la souffrance des pauvres, de la façon de leur donner. » Sans oublier, bien sûr, l’avortement : « tout pays qui accepte l’avortement enseigne à ses citoyens à recourir à n’importe quelle violence pour obtenir ce qu’ils veulent » ; le divorce : « parce que les familles ne prient plus elles ne peuvent pas rester ensemble » ou la femme : « la maternité est le don de Dieu aux femmes ; nous pouvons détruire ce don en pensant qu’un emploi et un poste sont plus importants qu’aimer et se donner aux autres. »