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Défense de la Vie - Page 193

  • Quel statut humain pour une une personne en état végétatif persistant ?

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    Dans sa synthèse de presse bioéthique du lundi 18 janvier, genethique.org recense l'article de Pierre-Olivier Arduin, paru sur Liberté Politique, au sujet des malades en état végétatif persistant :

    "Sur Liberté Politique.com, Pierre-Olivier Arduin revient sur les propos tenus par Benoît XVI le 22 avril 2011 lors d'une émission de télévision italienne : le Pape avait notamment répondu à la question d'une mère se demandant si l'âme de son fils, plongé dans un état végétatif persistant depuis 2 ans, avait abandonné son corps. Benoît XVI avait répondu que son âme est bien présente dans son corps (Cf. Synthèse de presse du 27/04/11).

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  • Le Cardinal Burke et la culture de mort

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    Le cardinal Raymond Burke, préfet de la Signature apostolique, s'est rendu à Houston, Texas, les 8 et 9 mai derniers, pour dénoncer publiquement les crimes de l’avortement. Le cardinal, venu spécialement de Rome, a participé à une prière publique auprès de l’avortoir du Planned Parenthood de Houston. Ce cardinal courageux ne se contente donc pas de faire des conférences devant des auditoires conquis d'avance.

    Sur son blog, Jeanne Smits, avec l'autorisation de son auteur et après relecture par ce dernier, publie, en plusieurs parties, le texte d'une remarquable conférence donnée par le cardinal Burke en octobre dernier lors du Congrès de Rome de Human Life International et de la Fédération internationale des médecins catholiques.

    La première partie est accessible ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/07/la-remarquable-conference-du-cardinal.html ;

    La deuxième, ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/07/conference-du-cardinal-burke-sur.html

    Les autres suivront.

  • La Communauté Européenne : une belle-mère qui n'aime pas les enfants

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    Lu sur la synthèse de presse de Genethique.org :

    "Le lancement par le Gouvernement hongrois d'une campagne de publicité favorisant l'adoption comme alternative à l'avortement, étant partiellement financée par des fonds européens (cf. Synthèse de presse du 7 juillet 2011), continue de susciter des discussions.

    En effet, en dépit des critiques formulées par la vice-présidente de la commission européenne Viviane Reding, la population et les institutions hongroises ont exprimé leur volonté de soutenir la campagne. L'Association pour le soutien de l'enfant à naître, de l'enfant et de la famille (ALFA) a exprimé notamment l'inquiétude que génère le nombre croissant d'avortements en Hongrie : 447 pour 1000 naissances, comparé par exemple à la Finlande où l'on en compte 172 pour 1000. De plus, il a été rappelé que seulement 17% des 88 millions de florins hongrois (soit 56.529 euros) ont été fournis par l'Union Européenne, alors que la commission européenne menace de faire payer au pays 100 millions de florins.

    Les affiches ont dues être retirées des rues et des métros, aussi plusieurs citoyens hongrois ont comparé ces menaces à "des impositions soviétiques". De nombreux courriers publiés dans les journaux dénoncent ce non respect de la liberté des femmes de considérer l'adoption comme une alternative à l'avortement."

  • Dream : lutter contre le SIDA au Congo (RDC) avec Sant'Egidio

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    "Apporter en Afrique l’excellence de la médecine mondiale, qui a fait du sida une pathologie chronique avec laquelle il est possible aujourd’hui de vivre correctement. C’est dans ce but qu’a été inauguré, le 8 juillet dernier, le 33ème centreDREAM en Afrique, par le président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila, et l’archevêque de la capitale, le cardinal Laurent Monsengwo Pasiniya, devant les représentants du Corps diplomatique et du gouvernement congolais.

    Le centre DREAMest le résultat d'un accord de collaboration signé par la Communauté de Sant'Egidio avec le ministère de la santé de la République démocratique du Congo, qui s’est engagé à fournir les médicaments pour le traitement.

    Le centre est « un signe d'amour à l'égard de ce grand pays qu'est la RDC, dans laquelle nous avons l'honneur de compter des frères et des amis », a déclaré le président de Sant’Egidio, Marco Impagliazzo. « On y parle d'avenir, d'espoir, de vie et de joie (…) car la pandémie peut être vaincue ». 

    L'archevêque de Kinshasa a béni les lieux afin que ce centre « puisse rayonner à jamais de la lumière du Christ et que le traitement qui sera administré aux malades puisse réellement apporter un soulagement ». 

    Le programme DREAM est déjà en RDC depuis 2009, avec un centre de traitement à Mbandaka, dans la province de l'Equateur.

    La ville de Kinshasa compte environ 10 millions d'habitants. Le Centre est situé à Bibwa, sur la route de l'Aéroport de N’djili, un quartier habité par plus de 300.000 personnes, et qui n'est pas desservi par d’autres centres de santé.

    Il a déjà commencé ses activités et son laboratoire de biologie moléculaire, équipé pour la détermination des CD4 et de la charge virale, est un point de référence national.

    Aujourd'hui DREAM est présent dans dix pays africains et a déjà sauvé plus de 150.000 personnes, impliquant à peu près deux millions de bénéficiaires sur tout le continent."

    dépêche Zenit : http://www.zenit.org/article-28501?l=french

     
     
  • Avortement : "ONU Femmes" préconise le recours aux poursuites judiciaires

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    Nous remercions le "Friday Fax" de nous communiquer la traduction de cette note parue sur C-Fam ;

    "Pour le rapport phare ONU Femmes, le recours aux poursuites judiciaire est une technique de lobbysme comme une autre

    Par Lauren Funk

    NEW YORK, 15 juillet (CFAM) Le soutien aux partisans de l’avortement et des droits des lesbiennes est une des priorités de la plus récente des ‘super agences’ de l’ONU, "ONU Femmes" ; en témoigne sa première publication d’importance, diffusée depuis la semaine dernière.

    « A la recherche de la justice » relate en détail les progrès accomplis en faveur des droits des femmes dans le monde entier grâce aux changements législatifs et à l’introduction de législations antidiscriminatoires à l’échelle nationale. En particulier, la publication se concentre sur la manière d’utiliser les canaux judiciaires pour « révolutionner le champ d’application du droit international ».  Lire la suite ici

    Copyright © 2011 Permission donnée pour utilisation illimitée.

  • Population mondiale : nouvelle campagne de l'ONU

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    "Friday Fax" nous communique cette traduction d'un article mis en ligne sur C-Fam qui corrobore les remarques que nous avions formulées à propos d'une dépêche de l'Agence Fides (http://www.belgicatho.be/) :

    "Des craintes infondées sur les populations justifient une nouvelle campagne de l’ONU

    By Terrence McKeegan, J.D.

    NEW YORK, 15 Juillet (C-FAM) Les nouveaux messages transmis par l’ONU dans sa nouvelle campagne montrent que les pronostics catastrophiques démesurés et infondés, très répandus parmi les experts ces quarante dernières années, et qui prévoyaient la surpopulation et une augmentation des populations, ne se sont jamais réalisés et sont maintenant obsolètes. En témoignent les réalités actuelles de la population mondiale.

    Le Fonds de l’ONU pour la population, soutien majeur du droit à l’avortement, a lancé cette semaine une campagne nommée 7 Billion Actions (7 Milliards d’actions) sur la population mondiale. Cette campagne est l’objet d’une collaboration avec de nombreux partenaires, entreprises et médias sociaux."  Lire la suite ici

  • Hongrie : succès de la campagne en faveur de l'adoption malgré les injonctions européennes

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    C'est Zenit qui met cette dépêche en ligne : http://www.zenit.org/article-28496?l=french

    "La population et les institutions hongroises, très inquiètes du nombre élevé des interruptions volontaires de grossesses pratiquées dans le pays, ont décidé de soutenir en masse la campagne en faveur de l’adoption lancée par le gouvernement.

    La Hongrie est l’un des pays européens où les interruptions volontaires de grossesses sont les plus pratiquées.

    « Je comprends bien que tu n’es pas prête pour moi, mais je t’en prie : donne-moi en adoption. Fais-moi vivre ». C'est ce que l’on peut lire, sur les affiches collées aux murs avec la photo d’un enfant à naître, et qu’a déploré publiquement la vice-présidente de la commission européenneViviane Reding, cette dernière déclarant que « les Etats membres ne pouvaient utiliser des fonds européens pour des campagnes contre l’avortement » (cf. ZENIT 6 juillet 2011).

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  • Espagne : le droit à l'objection de conscience des médecins mis à mal

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    "Samedi dernier, l'Organizacion colegial medical (OMC) d'Espagne a adopté un nouveau code de déontologie qui restreint gravement le droit à l'objection de conscience, notamment en ce qui concerne l'avortement. Le texte interdit aux médecins de refuser de donner des informations conduisant à l'exécution d'un avortement ; il interdit également aux institutions ou collectivités en tant que telles de refuser toute pratique de l'avortement."

    C'est sur le blog de Jeanne Smits : découvrir l'entièreté de la note ICI : leblogdejeannesmits

  • Population : une curieuse dépêche de l'Agence Fides

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    Voici cette dépêche de l'Agence Fides, "Organe d'information des Oeuvres Pontificales Missionnaries depuis 1927", datée d'aujourd'hui :

    "La semaine prochaine sera célébrée la Journée mondiale de la Population. Selon l'ONU, au mois d'octobre, le nombre des habitants de la planète atteindra les 7 milliards. Les statistiques prévoient qu'au cours des dix prochaines années, certaines des nations les plus pauvres du monde verront leur population doubler, le seuil des 8 milliards d'êtres humains devant être atteint en 2025. A ce propos, vient d'être lancée la campagne « 7 milliards d'actions » ayant pour but de « faire prendre conscience de ce que veut dire vivre dans un monde ayant 7 milliards d'habitants et de commencer à prendre des mesures concernant des problématiques qui nous concernent tous » a déclaré le responsable exécutif du Fonds des Nations unies pour la Population (FNUAP), Babatunde Osotimehin, dans un communiqué diffusé par l'Inter Press Service.

    En outre, « nous devons nous engager pour l'avenir avec les jeunes, promouvoir les droits des adolescents et des femmes, sauvegarder les ressources naturelles desquelles nous dépendons tous » a-t-il ajouté. Il est prévu que cette augmentation aura un effet dévastateur sur environ 215 millions de femmes qui voudraient avoir accès aux services sanitaires en matière de « santé reproductive » et de « planification familiale » mais qui n'en auront pas la possibilité. Actuellement, les cinq pays les plus peuplés sont la Chine populaire (1,3 milliards d'habitants), l'Inde (1,2 milliards), les Etats-Unis (310,2 millions), l'Indonésie (242,9 millions) et le Brésil (201,1 millions).

    Une nouvelle recherche intitulée « La multiplication démographique de l'Afrique » relève que la population de ce continent a plus que triplé au cours de la seconde moitié du XX° siècle, passant de 230 à 811 millions de personnes. Le Nigeria, qui est le pays le plus peuplé d'Afrique, avec 158 millions d'habitants, arrivera à 730 millions d'habitants d'ici la fin du siècle, dépassant à lui seul l'ensemble de la population européenne, qui devrait quant à elle compter 675 millions de personnes. Actuellement, le Nigeria est la seule nation africaine ayant une population dépassant les 100 millions d'habitants mais il est prévu que ce seuil soit également atteint par la République démocratique du Congo, l'Egypte, l'Ethiopie, le Kenya, le Malawi, le Niger, le Soudan, la Tanzanie, l'Ouganda et la Zambie. (AP) (Agence Fides 14/07/2011)

    Sans entrer dans la discussion sur les perspectives d'accroissement démographique brandies par l'ONU, relevant de la politique de l'épouvantail, et qui mériteraient d'être analysées de plus près, il est curieux de voir Fides reproduire sans broncher les propos du responsable du FNUAP évoquant "215 millions de femmes qui voudraient avoir accès aux services sanitaires en matière de « santé reproductive » et de « planification familiale » mais qui n'en auront pas la possibilité."

    Sont-ce les 215 millions de femmes en question qui voudraient avoir accès à ces services ou sont-ce les lobbies de l'ONU qui voudraient le leur imposer, en sachant bien que derrière ces termes de "santé reproductive", il s'agit notamment de permettre et d'élargir le recours à l'avortement? Cela s'accompagne généralement de recommandations destinées à bannir les "discriminations basées sur l'identité sexuelle" pour combattre les dispositifs légaux existant dans les pays où l'on privilégie encore les unions hétérosexuelles et qui interdisent le "mariage" homosexuel et/ou l'adoption d'enfants par des couples de même sexe.

  • Russie : mettre en garde contre les risques liés à l'I.V.G.

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    "Les députés russes viennent d’adopter un projet de loi visant à prévenir les risques liés à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). 10% de l’espace des publicités prônant l’avortement devront informer des possibles conséquences médicales, comme l’infertilité, qu’il peut provoquer. "Ces publicités font croire aux jeunes filles que l’avortement ne leur fera courir aucun risque sur leur santé", note le député Viktor Zvagelsky avant de souligner que la situation russe en matière d’IVG est des plus alarmantes. Le nombre d’avortements pratiqués est l’un des plus élevés du monde ; en 2007 il a même égalé celui des naissances dans le pays. Selon l’ONU, la population russe pourrait diminuer d’un cinquième d’ici 2050.

    Le projet de loi doit être voté par le Sénat avant d’être promulgué par le président Dmitry Medvedev."

    source : http://www.genethique.org/

  • La responsabilité de l'Occident dans la sélection des sexes en Asie

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    La revue de presse de Généthique (http://www.genethique.org/revues/revues/2011/Juillet/20110712.3.asp) publie cette note du plus haut intérêt d'où l'Occident ne sort pas grandi :

    "Slate.fr publie un article de Mara Hvistendahl, correspondante du magazine Science, qui explique le rôle joué par l'Occident dans la sélection du sexe des enfants naître et les avortements sélectifs en défaveur des filles dans les pays d'Asie.

    Auteur d'un livre sur le sujet (Unnatural Selection: Choosing Boys Over Girls, and the Consequences of a World Full of Men), Mara Hvistendahl affirme que les raisons ayant conduit à la généralisation des avortements sélectifs et au déséquilibre du ratio hommes-femmes sont rarement bien comprises. On invoque habituellement des raisons culturelles et économiques pour expliquer la préférence marquée pour les garçons dans des pays tels que la Chine et l'Inde : les garçons prennent en charge les rituels liés aux funérailles et s'occupent de leurs parents dans leur vieillesse, les filles représentent un fardeau financier du fait de la dot à verser lorsqu'elles se marient. Pourtant, ces raisons ne suffisent pas à rendre compte du phénomène de la sélection des sexes qui prend de l'ampleur et qui s'est récemment étendu à divers pays comme le Vietnam, l'Azerbaïdjan ou l'Albanie.

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  • Des hôpitaux "catholiques" espagnols pratiqueraient l'avortement

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    Faisant écho à une dépêche de l'agence Zenit, généthique.org signale, comme nous l'avions déjà fait, que des hôpitaux "catholiques" espagnols pratiqueraient l'avortement :

    "En Espagne, un nombre croissant d’hôpitaux cogérés par l’Eglise catholique pratiquerait des avortements depuis que la "loi organique relative à la santé sexuelle et reproductive et à l’interruption volontaire de grossesse" est entrée en vigueur en juillet 2010. Celle-ci prévoit que "la prestation sanitaire de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) doit être effectuée dans des centres du réseau de santé publique ou liée par convention à celui-ci" et que l’accès à cette prestation sera "garanti à toutes les femmes" jusqu’à 14 semaines de grossesse ou 22 avec prescription médicale. Si l’objection de conscience est prévue pour les personnes à titre individuel, elle n’est pas accordée aux centres qui se trouvent, pour certains d’entre eux, soumis à des pressions accrues.

    "Lors d’une réunion du conseil d’administration il y a six mois, un médecin a affirmé que, jusqu’à maintenant, cet hôpital n’effectuait pas d’avortements mais qu’à long terme, il sera obligé de le faire, explique le père Xavier Parès, vice-président du conseil d’administration du Sant Hospital de La Seu d’Urgell. J’ai dit que nous ne pouvions pas autoriser cette pratique dans un hôpital où l’Eglise siège au Conseil d’administration, et tous sont restés silencieux". "Nous combattrons pour que la vie soit respectée et que ne soient pas pratiqués des avortements", ajoute-t-il.

    Dans d’autres hôpitaux pourtant, la ligne est moins claire. Un prêtre de l’archevêché de Barcelone, le Père Custodio Ballesteros, a constitué un volumineux dossier sur la situation de certains hôpitaux catalans, dossier qu’il a remis au Conseil Pontifical pour les services de santé. Ce dernier, dans une lettre du 6 juin 2011, s’est dit "préoccupé" et a demandé aux personnes responsables de "vérifier les faits en détail pour que l’on puisse, dès que possible, chercher des solutions concrètes à d’éventuels problèmes identifiés".

    Sont notamment mis en cause l’hôpital San Pablo de Barcelone et l’hôpital général de Granollers qui, dès 2009, ont déclaré au ministère de la Santé, des avortements légaux. En août 2010, les représentants de l’Eglise à San Pablo ont assuré que "conformément aux principes éthiques qui l’ont inspiré depuis sa fondation, l’interruption volontaire de grossesse n’est pas pratiquée, même si exceptionnellement peuvent intervenir des circonstances médicales qui conduisent à des actions susceptibles d’entraîner la perte du fœtus" ; ils ont affirmé qu’en cas de violation de l’un ou l’autre des principes moraux de l’Eglise catholique - que le fonctionnement de l’hôpital est tenu de respecter par convention - "les mesures appropriées seront prises en vue de leur respect".

    L’évêché de Terrassa a condamné publiquement la réalisation d’avortements dans l’hôpital de Granollers et a demandé que le centre ne pratique pas cet acte, mais cela n’a pas été suivi d’effet.

    Pour le père Custodio Ballesteros, l’Eglise doit se retirer d’un hôpital s’il pratique des avortements. Il estime également que pour préserver sa liberté, elle doit renoncer aux fonds publics, même si cela doit diminuer la quantité des hôpitaux.

    Notons que la pilule abortive (RU 486 et pilule du lendemain) est de plus en plus distribuée elle aussi dans les centres cogérés par l’Eglise. A l’hôpital San Juan de Dios Esplugues de Llobregat, la pilule du lendemain a même été distribuée avant sa mise en vente en pharmacie, affirme son aumônier Miguel Martin Rodriguo qui assure en même temps que dans cet hôpital, aucun avortement n’a été pratiqué.

    Pourtant, en raison de la distribution de ces mêmes pilules à l’hôpital Sant Celoni du diocèse de Terrassa, le vice-président du Conseil d’administration, le Père Ignasi Fuster, a, lui, démissionné de sa charge, considérant que l’Eglise doit se retirer d’un centre où se pratiquent des avortements."