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Défense de la Vie - Page 194

  • Bulletin de l'Institut européen de bioéthique (I.E.B.) du 4 juillet 2011

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    Bulletin de l'IEB - 4 juillet 2011

    Sommaire

    (cliquer sur les titres pour accéder aux contenus)

     

  • Déclarée en état de mort cérébrale, une femme se réveille

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    La revue de presse de généthique.org nous apprend qu'une femme (au Canada) s’est réveillée après avoir été diagnostiquée en état de mort cérébrale.

    "Agée de 76 ans, Madeleine Gauron avait été hospitalisée à l’hôpital Sainte Croix de Drummondville pour une inflammation de la gencive. S’étant étouffée en consommant des aliments solides, la vieille dame tombe dans le coma, après des manœuvres de réanimation cardiaque inappropriées. Le personnel médical contacte alors ses proches et leur déclare que leur parente est en état de mort cérébrale, et qu’il n’y a plus d’espoir. Il leur demande aussi si la défunte était favorable au don d’organe, l’équipe ayant notamment besoin de "ses yeux" pour un autre patient. La famille, pourtant favorable au don d’organe lorsque les analyses médicales prouvent sans ambigüité le décès de la personne, s’oppose à la demande du corps médical devant l’irréalisme de la situation. Le lendemain, ils apprennent avec stupeur que leur parente s’est réveillée. "On n’en revenait pas, témoigne son fils, elle n’était pas morte. Si on avait décidé de donner ses organes, on l’aurait tuée…".

    La vieille dame est aujourd’hui capable de manger, parler et marcher et a tout de suite reconnu ses proches. Sa famille souhaite à présent lui faire pratiquer un scanner cérébral afin d’évaluer les séquelles de cet incident. Elle va également entamer des poursuites judiciaires contre l’hôpital."

  • Une mobilisation contre l'extension de l'euthanasie

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    Des amis nous font parvenir cet appel que nous relayons bien volontiers (en refusant toutefois de nous identifier à un parti) :

    "Alors que nos édiles concoctent vaillamment une Belgique institutionnelle nouvelle, sans l’avis de sa population, d’autres menaces pèsent également sur le devenir de nos enfants et de nos aînés, et ce dans un silence médiatique complet. A ce jour, une proposition de loi visant à autoriser l’euthanasie sur les mineurs de 15 ans et plus, et deux propositions de loi visant à ouvrir l’euthanasie, d’une part aux jeunes et aux enfants, et d’autre part aux personnes démentes et celles plongées dans un état d’inconscience, ont été déposées, respectivement, au Sénat et à la Chambre.
    Si nous ne réagissons pas, en écrivant à nos élus, sénateurs et députés, ces projets risquent de passer comme une lettre à la poste … sans avoir reçu l’aval des électeurs, comme le demande le CDF pour tout projet éthique ! C’est l’avenir de toute une génération qui est en jeu !

    Propositions de loi euthanasie

    Madame, Monsieur le Sénateur,
    Madame, Monsieur le Député,

    J’ai appris avec consternation que des extensions de la loi sur l’euthanasie, avaient été déposées au Sénat/à la Chambre.
    Le sujet me préoccupe fort et je crains que ces nouvelles brèches dans la loi n’étendent les risques à ce que des personnes ne subissent des pressions pour demander l’euthanasie. Ces extensions risquent d’engendrer un stress, un mal-être encore accru pour des personnes qui doivent déjà faire face à leur maladie.
    Il existe des aides pour soulager la douleur, et des soins palliatifs des plus performants, ne pourrions-nous pas encourager et soutenir davantage le développement de ceux-ci, sans contrepartie ? "La manière dont une société prend soin des plus faibles de ses membres témoigne de son degré d’humanité."

    Je fais appel à votre honnêteté et votre courage pour rejeter les articles contraires au respect de l’être humain et pour proposer les alternatives qui associent éthique et progrès scientifiques.

    Confiant(e) dans votre attachement au respect de la dignité et de toute vie humaine, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur le Sénateur, Madame, Monsieur le Député, l'expression de toute ma considération.

    Liens vers les projets de lois en question :
    http://www.lachambre.be/kvvcr/showpage.cfm?section=/flwb&language=fr&rightmenu=right&cfm=ListOneKeyword.cfm?key=0014784&legislat=53&word=EUTHANASIE

    http://www.senate.be/www/?MIval=/index_senate&MENUID=22110&LANG=fr

    Une pétition vient d'être lancée : vous pouvez y accéder en cliquant sur le lien suivant : http://lapetition.be/en-ligne/petition-10102.html

  • Répondre à l'intolérable par l'intolérable ?

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    C'est l'incontournable revue de presse de genethique.org qui relaie les propos de Fabrice Hadjadj tenus dans la Croix à propos de l'euthanasie.

    Alors que le premier Congrès francophone d'accompagnement et de soins palliatifs commence aujourd'hui, mardi 28 juin 2011 à Lyon, La Croix interroge le philosophe Fabrice Hadjadj sur la question de l'euthanasie, dont certains réclament la légalisation en France au nom de la "dignité" de chacun (Cf. Synthèse de presse du 20/06/11).

    Il y a bien sûr un "droit de mourir dans la dignité", souligne Fabrice Hadjadj, mais il faut d'abord se demander : "qu'est-ce que la dignité ?" Utilisé "à toutes les sauces", le terme de "dignité" en vient à être vidé de son sens. Fabrice Hadjadj se dit "frappé par l'idée selon laquelle chacun serait seul juge de sa propre dignité. Comme si le sentiment de ma dignité ne dépendait nullement du regard des autres, comme si je pouvais être entièrement détaché de ceux qui m'entourent". La dignité est livrée à tous les caprices dès lors qu'elle est rendue totalement subjective : il est en effet "très facile de susciter chez quelqu'un le sentiment qu'il n'est plus "digne". [...] Imaginez une grand-mère souffrante ou un jeune homme paralysé, il est facile de les laisser penser qu’ils sont un poids et les pousser à demander qu’on les aide à mourir". Un danger d'autant plus grand dans une société gouvernée par l'efficience et le jeunisme. Légaliser l'euthanasie ne peut aboutir qu'à l'élimination des plus vulnérables et fragiles car en oubliant que la dignité humaine est inconditionnelle, il devient aisé d'extorquer des demandes de mort aux plus souffrants.

    Les partisans de l'euthanasie évoquent la liberté de chacun pour justifier une pratique légale de celle-ci. Or, "quelle est la réalité du libre arbitre quand on souffre et qu’on est exclu, quand on n’a plus sa place ?" La volonté de la personne qui demande à mourir étant submergée par la douleur, peut-on "considérer qu'une demande ainsi arrachée est le signe d'une liberté lucide ?" En outre, l'objet de la demande vise la douleur et non l'élimination de soi-même : "on ne demande pas à être supprimé soi-même, mais que la douleur soit supprimée, ou du moins rendue supportable". Du côté du médecin qui aurait à euthanasier quelqu'un, la liberté n'est pas respectée non plus. Il serait doublement aliéné : en tant qu'homme, et en tant que médecin, le but de la médecine étant de soigner et non de tuer.

    Si des personnes meurent encore dans des conditions déplorables en France, "on ne répond pas à l'intolérable par l'intolérable - en légalisant la mise à mort!", explique Fabrice Hadjadj. L'enjeu réel est ici de "supprimer les conditions de cet intolérable", ce qui passe par le développement de la recherche médicale pour combattre la douleur physique, la lutte contre l'acharnement thérapeutique, et surtout le soulagement de la douleur morale, car "c'est là la plus grande douleur : l'isolement, la désocialisation, la perte de sens..."

    Le temps passé auprès d'un plus faible, d'un souffrant, est considéré comme "contre-productif" dans notre société de l'efficience, pourtant, "il nous ramène à l'essentiel". Certaines sociétés traditionnelles plaçait justement le mourant au centre de la vie du village "parce qu’il était perçu comme un éclaireur, alors que nous, bien au contraire, nous parquons les mourants pour ne pas les voir".

    Nous avons pourtant toujours le choix, rappelle Fabrice Hadjadj, qui voit dans le développement des soins palliatifs et les initiatives de solidarité à l'égard des plus vulnérables, la capacité de l'homme d'expérimenter son être propre, comme être de communion. Dans les débats sur la mort, la société doit avoir l'ambition de faire surgir les questions fondamentales du sens de la vie et de la spécificité humaine.

  • La Pologne se prépare-t-elle à voter une loi historique contre l'avortement ?

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    La Pologne va voter un projet de loi historique interdisant tous les avortements après une campagne massive de la base :

    VARSOVIE, Pologne, 28 juin 2011 (LifeSiteNews.com) - Après avoir dissimulé la chose durant des mois aux médias anglophones, les organisateurs d'un énorme campagne populaire en faveur de la vie en Pologne ont fait savoir à LifeSiteNews.com que les parlementaires de ce pays se préparent à se prononcer cette semaine une projet de loi historique qui assurerait la protection totale des enfants dans l'utérus à partir du moment de la conception.

    Les organisateurs ont dit à LSN qu'ils craignaient que si la nouvelle avait éclaté dans le monde anglophone, les puissances étrangères favorables à l'avortement auraient injecté des fonds dans le pays pour s'opposer à leur mobilisation populaire.

    Les législateurs du Parlement polonais vont voter cette semaine sur un projet de loi visant à interdire tous les avortements dans le pays.

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  • Le Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique du 22 juin

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    Bulletin de l'IEB - 22 juin 2011

    Sommaire (cliquer sur les liens ci-dessous pour accéder aux articles)

  • Les déments précoces, cible des partisans hollandais de l'euthanasie

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    Le blog de Jeanne Smits est à la pointe de l'information sur le front de la défense de la vie, dénonçant avec compétence et constance les menées quotidiennes de ceux qui veulent promouvoir l'avortement, développer l'euthanasie, instaurer l'eugénisme, répandre une culture de mort. Elle travaille en coordination avec LifeSiteNews.com et dispose de sources d'informations sérieuses et fiables.

    Le 25 juin dernier, elle dénonçait la politique d'euthanasie aux Pays-Bas, politique qui vise à présent les "déments précoces" : "La pression monte aux Pays-Bas pour faire entrer dans les mœurs l'euthanasie sur des patients en phase précoce de démence. Selon les agences de presse, le tout dernier rapport de la commission de surveillance de l'euthanasie, portant sur l'année 2010, révèle à la fois une progression des euthanasies « sèches » par rapport à l'année précédente (2.700 contre 2.500 en 2009 et une nette progression de ces mises à mort pratiquées sur des personnes par ailleurs en bonne santé qui ne veulent pas subir les affres d'Alzheimer, Parkinson et autres maladies neuro-dégénératives : en 2010, on a dénombré 21 cas, tous approuvés par la commission comme répondant aux critères très « stricts » de la loi…" Lire la suite sur ce blog

  • France : les recherches sur l'embryon restent interdites mais...

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    Pierre-Olivier Arduin, sur Liberté Politique, commente le vote qui, à quelques voix près, a maintenu l'interdiction de procéder à des recherches sur les embryons humains en expliquant les limites et les faiblesses du texte adopté : c'est ICI

  • Films "pro-life" : tout ne fait pas farine au bon moulin...

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    Dans une note précédente, nous avions répercuté l'information suivant laquelle des films "pro-life" ne trouvaient pas de "diffuseurs", notamment "The Life Zone" (cfr http://www.belgicatho.be/archive/2011/06/09/des-films-en-quete-de-distributeurs.html).

    Nous l'avions fait de bonne foi sur la base d'informations parues sur un site généralement bien inspiré. Mais aujourd'hui, Jeanne Smits remet les choses à leur place et dénonce un film douteux, peu susceptible de défendre adéquatement la cause de la vie, l'amour des enfants et de leurs mamans. http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/06/life-zone-un-film-pro-vie-non-merci.html

  • Un site à fréquenter : "AvortementIVG.com"

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    Un site bien au fait de la question organisé de la façon suivante :

  • Cellules souches adultes : un congrès au Vatican

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    Un congrès sur les cellules souches adultes organisé par le Conseil pontifical de la culture, sera présenté au Vatican par le cardinal Ravasi, jeudi prochain 16 juin.

    Le congrès est organisé par le département « Science et Foi » du Conseil pontifical. Il aura lieu du 9 au 11 novembre 2011.

    Il sera présenté par le cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical de la culture, le P.Tomasz Trafny, directeur du département « Science et Foi » du Conseil pontifical, Mme Robin L. Smith, CEO de NeoStem Inc. (États-Unis).

    Zenit.org

  • France : la réaction de la Fondation Jérôme Lejeune au sujet du projet de loi bioéthique

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    Communiqué publié par la Fondation Jérôme Lejeune après l’adoption par le Sénat du projet de loi bioéthique en 2ème lecture.

    La Fondation Jérôme Lejeune salue l’effort politique du gouvernement depuis le vote en 2ème lecture de l’Assemblée nationale qui s’est traduite par une réelle mobilisation des parlementaires. Mais sur le fond, la Fondation renouvelle son opposition ferme aux dispositions non respectueuses de la vie humaine :

    Lire la suite