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Politique - Page 564

  • Syrie : douze religieuses ont disparu à Maaloula

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    Lors de l'audience générale de ce matin, le pape a invité à prier pour les douze soeurs orthodoxes qui semblent avoir été emmenées par les djihadistes qui ont pris le contrôle de la ville de Maaloula. L'information sur France Info :

    En Syrie, disparition de douze religieuses dans la ville de Maaloula

    En Syrie, des rebelles islamistes ont repris le contrôle de Maaloula, à 50 km au nord de Damas. Cette ville chrétienne est connue pour abriter de nombreuses églises. Douze religieuses ont été contraintes de quitter leur monastère. Depuis, on est sans nouvelle d'elles.

    S'agit-il d'un enlèvement ou d'une évacuation par mesure de sécurité (ce qui est affirmé ICI) ? Les 12 nonnes ont en tous cas été forcées de quitter leur monastère lundi alors que les combats faisaient rage à Maaloula.

    Le nonce apostolique en Syrie, Monseigneur Zenari, témoigne sur radio Vatican : "Des gens armés ont fait irruption dans le monastère où se trouvaient les religieuses. Ils les auraient obligé à quitter leur monastère et à les suivre, semble-t-il, vers Yabroud, une localité à 30 kilomètres au nord de Maaloula, où maintenant il y a un combat acharné entre l'armée et les rebelles."

    L'emplacement du monastère situé sur les hauteurs de Maaloula en fait une position clef. Les rebelles syriens, dont des djihadistes du front Al-Nosra, étaient déjà entrés dans le village en septembre dernier avant d'en être chassés quelques jours plus tard par l'armée syrienne.

    La bataille de Maaloula s'inscrit dans le cadre plus large de la bataille de Kalamoune, cette région stratégique qui permet de contrôler l'axe routier entre Damas et Homs.

    Voir également : http://fr.ria.ru/world/20131204/199937095.html

  • Suisse : l'éducation sexuelle et la "SexBox" font problème

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    Suisse : Les cours d’éducation sexuelle et la « SexBox » en question (source : Aleteia - Solène Tadié)

    Cela fait quelques temps déjà que les cours d’éducation sexuelle à l’école publique provoquent d’importants remous chez nos voisins helvétiques.

    Il y a deux ans déjà, la pétition contre « la sexualisation de l’école publique » recueillait près de 92 000 signatures en Suisse alémanique. C’est notamment l’utilisation de pénis en bois et de vagins en peluche qui a été durement mise en cause par de nombreux parents, pédagogues ou simples citoyens. 

    Le fameux Plan d’enseignement 21, devant entrer en vigueur dès 2014 outre-Sarine, s’est attiré les foudres d’une large partie de la population, à commencer per les jeunes UDC lucernois (qui sont du reste à l’origine de la pétition).

    L’initiative conjointe du Office fédéral de la Santé Publique et du Ministère de l’instruction publique vise ainsi à instaurer des cours obligatoires d’éducation sexuelle, et ce dès le jardin d’enfants.  Pour ce faire, une livraison de « kits de formation » très spéciaux devrait être effectuée auprès des  enseignants de l’école maternelle et de primaire : ce n’est rien de moins que des «Basler Sexboxen» («SexBox») qui doivent être distribuées.

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  • Euthanasie : le naufrage belge

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    Famille Chrétienne consacre un dossier aux dérives d'une législation qui ne cesse de repousser les limites de la pratique de l'euthanasie en Belgique.

    On peut y accéder en ouvrant le pdf où se trouve reproduit cet article.

  • Catherine Fonck dénonce le projet de légalisation des salles de shoot

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    Lu ICI :

    Légaliser les salles de shoot: "Totalement irresponsable"

    La députée, et médecin de formation, Catherine Fonck (cdH) a estimé lundi soir que la proposition de loi déposée par le sénateur-bourgmestre de Liège, Willy Demeyer, sur la légalisation des salles de consommation de drogue est un projet "totalement irresponsable, voire criminel" du PS.

    "Légaliser les salles de 'shoot' serait une grave erreur de santé publique", s'insurge la députée, cheffe de groupe cdH à la Chambre. "La drogue est un véritable cancer de la société. Or le PS laisse entendre que la drogue n'est pas un problème. Mais croire qu'accepter la toxicomanie, que donner les moyens de consommer, va aider les personnes à s'en sortir est un leurre".

    Catherine Fonck affirme qu'il faut lutter radicalement contre la drogue, et qu'il faut le faire en respectant trois grands points: renforcer le volet préventif dès le plus jeune âge "en impliquant les parents et les écoles", accompagner individuellement et intensément, sur le plan médico-social, chaque usager de drogues, et enfin lutter contre les trafics de drogue en prônant une tolérance zéro.

    "Si on légalise les salles de 'shoot', ce sont les trafiquants de drogue qui vont se frotter les mains", avertit la députée. "Sans compter qu'installer de telles infrastructures pourrait créer de l'insécurité dans les quartiers".

    Pour Catherine Fonck, la proposition de M. Demeyer "accentuerait les dépendances alors qu'il faut au contraire aider les gens à sortir de ces dépendances."

    Willy Demeyer, sénateur-bourgmestre de Liège, a annoncé lundi soir qu'il venait de déposer deux propositions de loi visant à parfaire la prise en charge des usagers de drogues. La première concerne la légalisation des salles de consommation et la seconde celle du traitement assisté par diacétylmorphine.

  • Une pétition pour l'arrêt des prélèvements d'organes de prisonniers exécutés en Chine

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Pétition pour l'arrêt des prélèvements d'organes de prisonniers exécutés en Chine

    Le 9 décembre 2013, le Haut-commissaire aux droits humains des Nations Unies se verra remettre par l'Organisation non gouvernementale "Doctor against forced organ harvesting" (DAFOH), une pétition signée par plus d'un million de personnes. L'objectif? "Demander l'arrêt immédiat des prélèvements d'organes sur des prisonniers exécutés en Chine". 

    La Chine se trouve actuellement au deuxième rang mondial des pays effectuant le plus grand nombre de transplantation d'organes : en 2005, 20 000 transplantations ont été effectuées "dans des délais records" avec seulement "une à deux semaines d'attente" précise The China Daily. Entre 1999 et 2006, le nombre de centres effectuant les prélèvements est passé de 150 à 600. Le Dr Harold King, chirurgien dentiste et responsable en France de l'ONG DAFOH en explique les raisons potentielles, lors d'un débat à l'Assemblée nationale : "en 1984, le gouvernement chinois a autorisé la police à utiliser les cadavres des prisonniers condamnés à mort en vue des transplantations, avec ou sans le consentement de la famille". Depuis cette date, et selon un rapport d'enquête intitulé "prélèvement meurtriers" *, "les preuves se sont accumulées" précise le journaliste. Sous la pression des autorités internationales, "la Chine a tenté de montrer patte blanche en adoptant une résolution visant à limiter les prélèvements aux personnes volontaires". Mais seuls 169 hôpitaux sur les 600 actifs l'ont signée.

    Par cette pétition, les médecins français "appellent à ne pas garder un silence complice"et mobiliser la communauté scientifique face à l'"inacceptable" explique le Dr Jacques Belghiti, chef du service de chirurgie hépatobilio-pancréatique au CHU de Beaujon en dénonçant l'absence de réaction des transplanteurs en 2006 au moment de l'"explosion des transplantations en Chine". Mais, "l'idée [notamment aux Etats-Unis] selon laquelle le prisonnier trouverait sa rédemption dans la transplantation" ou encore celle du "libéralisme économique qui ne voit pas de scandale à commercialiser des organes" reste un véritable obstacle. En France, c'est l'Agence de Biomédecine qui contrôle les transplantations de façon "irréprochable". Le Pr Didier Sicard, propose que la France aide les Chinois en hissant "l'ABM au rang de modèle international".

    *Rapport d'enquête "prélèvements meurtriers" - David Matas, avocat et David Kilgour, ancien secrétaire d'Etat canadiens pour l'Asie Pacifique. 

    (Le Quotidien du Médecin (Coline Garré) 02/12/2013)

  • La promotion de l'avortement interdite en Russie

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    Lu ICI :

    IVG : la Russie interdit la promotion de l'avortement

    Le président russe Vladimir Poutine vient de signer une loi interdisant toute forme de publicité pour l’avortement…

    La promotion de l’IVG est désormais interdite en Russie. En effet, le président Vladimir Poutine vient de signer une loi apportant des amendements à plusieurs actes législatifs concernant la protection de la santé, dont l’un portant sur l’avortement. « Les services médicaux d'interruption volontaire de grossesse ont été ajoutés à la liste des services dont la publicité est interdite par la Loi fédérale sur la publicité », peut-on lire sur le site du Kremlin.

    Si les défenseurs de l’IVG estiment que ce texte limite davantage les droits des femmes, cette interdiction a pour objectif de lutter contre le déclin démographique du pays, causé notamment par le recours quasi systématique à l’avortement. Selon un récent rapport de l’ONU, la Russie détient le record mondial du nombre d’interruptions de grossesse. Un acte considéré pour la majorité des femmes comme un moyen de contraception : seules 14 % d’entre elles déclarent prendre la pilule. 

    En 2011, la législation russe avait déjà restreint l’avortement. Le gouvernement avait interdit cet acte après 12 semaines de grossesse et posé un délai de réflexion de 48h.

    Source : Ria Novesti  et La Russie d’Aujourd’hui

  • Syrie : Maalula est aux mains des rebelles

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    ASIE/SYRIE - Nouvelle occupation de la ville de Maalula de la part des rebelles

    Damas (Agence Fides) – La petite ville à majorité chrétienne de Maalula, sise à 60 Km à l’ouest de Damas, a été de nouveau attaquée par des milices rebelles au cours de la journée de samedi 30 novembre. La nouvelle a été confirmée tant par le Syrian Observatory for Human Rights – organisation proche de l’opposition anti-Assad basée à Londres – que par l’Agence d’Etat syrienne SANA. Parmi les formations qui ont attaqué la ville se trouvent également les miliciens djihadistes de Jabhat al-Nusra.
    L’attaque de samedi dernier est la seconde subie au cours de ces trois derniers mois par la ville où se trouvent le Monastère de Sainte Thècle et le Sanctuaire dédié aux Saints Serge et Bacchus. Maalula se trouve dans la région montagneuse de Qalamun où les affrontements entre l’armée régulière et les milices rebelles se sont intensifiés au cours de ces dernières semaines. Selon ce qu’indiquent des résidents, la zone de la ville se trouvant de nouveau sous le contrôle des rebelles comprend également le Monastère de Sainte Thècle, où réside une communauté de moniales grecques orthodoxes. (GV) (Agence Fides 02/12/2013)

  • Offensive contre l'embryon à Bruxelles : retour de la résolution Estrela au Parlement le 10 décembre. UN DE NOUS appelle à la mobilisation

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    Offensive contre l'embryon à Bruxelles :
    retour de la résolution ESTRELA au Parlement le 10 décembre

    UN DE NOUS appelle à la mobilisation !

    Retour annoncé du texte polémique en séance plénière…

    Des observateurs des instances européennes tirent de nouveau le signal d'alarme : la résolution Estrela qui porte atteinte à la dignité et à la vie de l'embryon humain va être présentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen. Déjà, le 22 octobre, une première tentative a été déjouée grâce à une mobilisation massive des citoyens (BRAVO !) qui ont alerté leurs parlementaires obtenant ainsi un renvoi du texte en commission.


    … après un réexamen litigieux en commission

    La commission chargée des droits des femmes a expédié, mardi 26 novembre, l’examen du texte qui a été adopté à 19 voix contre 15. L’empressement des partisans de la résolution a conduit à bâcler la procédure : le service juridique du Parlement a souligné des vices de procédure que le Président de la commission a choisi d’ignorer !


    Le texte passera en séance plénière le 10 décembre, sauf mobilisation des députés… !

    AUJOURD’HUI et avant mercredi 4 décembre (date de fixation de l’ordre du jour de la séance plénière du 10 décembre), il est urgent de s'opposer de nouveau et avec force à cette résolution pour que l’examen en séance plénière soit sinon annulé au moins reporté pour vice de procédure. Pour cela, vous pouvez dès maintenant mener 3 actions simples et rapides :

    • Demander à Martin Schulz, Président du Parlement européen de retirer le projet de résolution de l'ordre du jour de la séance plénière car ce texte ne relève pas de la compétence de l'Union et est entaché de plusieurs vices de procédure majeurs (standard du Parlement, +32 (0)2 2845 503, ou martin.schulz@europarl.europa.eu)
    • Demander au Parti Populaire Européen (droite démocratique) de rejeter le texte :joseph.daul@europarl.europa.eu ; +32 (0)2 2840 662 (Joseph Daul parlementaire français UMP président du parti PPE, susceptible de mobiliser contre cette résolution)
    • Interpeller les parlementaires français attentifs à la défense de l'embryon (ceux que vous connaissez comme s’étant opposés à la libéralisation de la recherche sur l’embryon en France)
    La proposition de résolution « sur la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) seraprésentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen : elle inclut le soutien et le financement de programmes détruisant l’embryon humain.

    Cette résolution excède les compétences de l'Union européenne qui doit laisser les Etats membres légiférer sur les enjeux bioéthiques. Les financements européens de recherche sur l'embryon et de politiques d'aide au développement incluant l'avortement posent problème.

    1 894 693 personnes en Europe sont signataires de l'Initiative Citoyenne Européenne
    UN DE NOUS pour demander précisément l'arrêt du financement par l'Union européenne des programmes menaçant l'être humain déjà conçu.


    Les députés européens ne peuvent ignorer cette mobilisation citoyenne massive à travers toute l'Europe, et inédite sur le sujet. Sous peine de déni de démocratie.

    Il y a urgence à se mobiliser d’ici mercredi.

    Mercredi, nous vous ferons connaître la décision du Président du Parlement

    et la suite ou non de la mobilisation.


    Un très grand merci à tous.

    L'équipe UN DE NOUS France

    L’Initiative UN DE NOUS est portée en France par quatre structures : Alliance Vita, Fondation Jérôme Lejeune, AFC, CPDH.

    * 1 exemple de message électronique :

    Monsieur,

    Une proposition de résolution “sur la santé et les droits sexuels et génésiques” (SDSG) est actuellement inscrite au calendrier du Parlement européen pour le 10 décembre prochain.

    Ce texte ne relève pas de la compétence de l'Union, comme il en a déjà été décidé précédemment : “compte tenu de la dimension éthique, sociale et culturelle de l'avortement, il appartient aux États membres d'élaborer et de faire appliquer leurs politiques et leur législation en la matière. La Commission n'entend pas compléter les politiques nationales de santé publique dans ce domaine.” (Réponse du Commissaire à la santé Dalli du 30 avril 2012).

    Par ailleurs, le renvoi du texte en commission et son réexamen sont entachés de vices de procédures, soulignés par le service juridique du Parlement.

    Je vous demande donc de retirer la programmation de cette proposition abusive, qui heurte profondément la conscience des signataires de l'Initiative Citoyenne Européenne "Un de Nous", soutenue par 1 900 000 personnes en Europe et qui demandent précisément l'arrêt du financement par l'Union européenne de pratiques industrielles et scientifiques impliquant la destruction d'embryons humains.

    Confiant dans votre souci de l’intérêt général, je vous prie de croire, monsieur, à l'expression de ma considération.

    (signature)
     
  • En Croatie, le mariage s'inscrira comme l'union entre un homme et une femme

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    Lu ICI :

    MARIAGE HOMOSEXUEL / La Croatie dit non par référendum

    Les Croates ont voté dimanche en faveur d'une révision de la Constitution pour empêcher le mariage homosexuel.

    ZAGREB - Les Croates ont voté dimanche en faveur d'une révision de la Constitution pour empêcher le mariage homosexuel, au cours d'un référendum réclamé par des ONG conservatrices mais jugé discriminatoire par des militants des droits de l'Homme.

    Selon les résultats officiels portant sur les bulletins dépouillés dans près de 99% des bureaux de vote, 65,76% des Croates ont répondu «oui» à la question de savoir si le mariage devait être inscrit dans la Constitution comme « l'union entre un homme et une femme.»

    Trois heures avant la fermeture des bureaux de vote, le taux de participation (26,75%) était bien inférieur à celui enregistré à la même heure (33,79%) au référendum sur l'adhésion de la Croatie à l'Union européenne en 2012, et qui à la fin du vote avait été de seulement 43%.

    Dans cette ex-république yougoslave de 4,2 millions d'habitants, tout récemment devenue membre de l'UE, l'Église catholique particulièrement influente a donné son plein soutien à l'organisation de cette consultation.

    «Le mariage est le fondement de la famille et de la société. Les Croates ont le droit de dire si pour eux le mariage est l'union entre un homme et une femme», a déclaré dans la journée Zeljka Markic, présidente du collectif conservateur «Au nom de la famille» qui a été à l'origine de cette consultation. (...)

    Le gouvernement de centre gauche dirigé par Zoran Milanovic avait appelé ces derniers jours les citoyens à voter contre un tel amendement. (...)

    Voir également : http://www.presseurop.eu/fr/content/news-brief/4368621-la-decision-du-referendum-sera-inscrite-dans-la-constitution

  • Beau succès pour la Marche pour la Vie à Lyon

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    Près de 2000 manifestants à la Marche pour la Vie à lyon (source)

    A l’initiative du collectif J’aime la vie se tenait aujourd’hui (samedi 30 novembre) à Lyon une Marche dédiée à la défense de la Vie humaine, de la conception à la mort naturelle.

    D’après les autorités, environ 1700 personnes étaient réunies ; d’après le collectif J’aime la Vie, ils étaient entre 1700 à 2000 à braver aujourd’hui le froid dans les rues de la capitale des Gaules.

    Cela fait bientôt cinquante ans que la culture de mort règne en France, dans les cliniques comme dans les esprits, et le pouvoir en place n’arrangera rien à cette situation dramatique. (...) ... les défenseurs de la dignité humaine et de la culture de vie ne lâcheront rien, inlassables.

  • Sur Euthanasie Stop (27/11/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 27/11/2013Commission éthique de l’Association belge des Praticiens de l’Art Infirmier (ACN)

    A propos de l'euthanasie sur les mineurs : position de l'ACN

    Publié par Commission éthique de l’Association belge des Praticiens de l’Art Infirmier (ACN - Association belge des Praticiens de l'Art Infirmier)

    L'élargissement de la loi de 2002 dont il est actuellement question suscite chez beaucoup d'infirmières et d'infirmiers des interrogations au niveau juridique et au niveau déontologique - éthique. Au niveau juridique, s'agit-il d'un simple "élargissement" de la loi de 2002 ? Au niveau déontologique et éthique, la gestion médicale des fins de vie doit-elle être définie par le seul réflexe "faire le maximum" ou doit- elle également donner une place à une réflexion sur la pertinence de maintenir de...

    Lire « A propos de l'euthanasie sur les mineurs : position de l'ACN »

    Le médecin doit-il suggérer aux parents l'euthanasie de leur enfant ?

    Publié par Béatrice BOROM (Educatrice)

    « Après la mort de mon enfant, j'ai compris de l'intérieur cette réaction des rescapés des camps de concentration : j'avais le sentiment de vivre une expérience tellement effroyable, qu'elle resterait indicible parce que personne ne pourrait jamais comprendre » disait une maman 10 ans après la mort naturelle de son fils. Et si, pour son enfant malade, elle avait accédé à la suggestion* des médecins pour que son enfant soit euthanasié, serait-elle mieux portante aujourd'hui ? Elle devrait alors...

    Lire « Le médecin doit-il suggérer aux parents l'euthanasie de leur enfant ? »

    Les écolos ont raison...: les parents ne doivent pas avoir droit au chapitre

    Publié par Marie-Laure BRUNIER (Employé)

    Les Ecolos sont logiques dans leur position lorsqu'ils disent « Pas besoin de l'accord des parents pour l'euthanasie de leur enfant » En effet, si l'on accorde l'euthanasie à un mineur, c'est reconnaître quelque part qu'il est « adulte » et assez mature pour se débrouiller tout seul dans sa décision. Il s'apparente à un « adulte majeur » pour ce « droit » bien spécifique de demander à être euthanasié. Alors, pourquoi donc, faut-il encore obtenir l'accord de tiers, d'autres adultes, fussent-ils...

    Lire « Les écolos ont raison...: les parents ne doivent pas avoir droit au chapitre »

    Confusion dans les amendements proposés

    Publié par Michel FRIPPIAT (Neuropsychiatre, Dinant)

    Dans le projet de loi, la notion de discernement de l'enfant est aussi confuse que celle de la simple mise au courant ou... l'accord (minimal) des parents, sans parler de l'absence de limite d'âge ! La triangulation de l'équipe soignante, des parents et de l'enfant n'est-elle pas suffisante pour orienter vers d'éventuels soins palliatifs ? Faut-il légiférer et y a-t-il urgence ? Une loi "Léonetti" adaptée ne serait-elle pas amplement suffisante ? Les risques de dérive ont-ils été évalués et la di...

    Lire « Confusion dans les amendements proposés »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :

    Euthanasie bij minderjarigen

    Publié par Stefaan VAN GOOL (Kinderneuro-oncoloog, KULeuven)

    In de omschrijving van euthanasie volgens de huidige wetgeving zijn de volgende begrippen essentieel: a) 'opzettelijk levensbeëindigend handelen', b) 'door een andere dan de betrokken patiënt', c) 'op diens schriftelijk verzoek', d) 'bekwaam om op redelijke wijze over zijn belangen te oordelen', e) 'een door ziekte of ongeval ongeneeslijke aandoening', en f) 'het lijden kan op geen enkel andere manier gelenigd worden'. De wet betreffende de patiëntenrechten (artikel 12 van de wet van 22 au...

    Lire « Euthanasie bij minderjarigen »

    Willen kinderen euthanasie of zijn het de ouders ?

    Publié par Claudine de LOPHEM (Huismoeder)

    Graag het advies van wie met zieke kinderen werkt in het ziekenhuis. Een ziek kind, een gehandicapt kind haalt heel je leven overhoop. Sommige papa's vluchten, ze kunnen het niet aan en dat staat de moeder er alleen voor; ze kunnen niet gaan werken, noch ontspanning zoeken buitenshuis. Als die voor "euthanasie" van het kind kiezen, is het voor een deel te wijden aan ons, de omgeving die er niet voldoende hulp biedt met woord en daad en vooral een luisterend oor. Je kind zien lijden is v...

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  • Syrie : un conflit de plus en plus confessionnel et de plus en plus hostile au christianisme

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    Sur le site de l'Oeuvre d'Orient :

    Syrie : nous sommes inquiets de la présence de groupes djihadistes parmi les rebelles qui ont le désir d’installer un vaste califat islamiste

    Mais une population musulmane majoritaire se dresse pour dire "ce n’est pas cela que nous voulons pour nos sociétés! " nous dit Mgr Gollnisch

    « Tout le monde, aussi bien en Orient qu’en Occident, aussi bien de l’autre côté de la Méditerranée qu’en France, a le souci de ce qui se passe en Syrie.

    Chacun comprend que dans ce pays où règne une guerre civile, il faut arriver à terminer le conflit, arrêter la guerre qui est en train de dévaster ce pays, d’écraser cette population.

    La Politisation du conflit syrien

    Tout le monde comprend que la politique est l’élément de solution possible à ce conflit.

    La position de l’Œuvre d’Orient n’est pas une position politique.

    L’Œuvre d’Orient est une œuvre d’Église et, en tant que telle, n’a pas à prendre de positions partisanes : nous sommes aux côtés de ceux qui souffrent.

    Ce que nous voyons, c’est des souffrances et des atteintes au droit de part et d’autre.

    La présence de groupes djihadistes

    Cependant il y a un élément récent qui est en train de se développer, de se déployer c’est la présence de groupes djihadistes parmi les rebelles et nous sommes inquiets de cette montée en pression qui rend ce conflit davantage confessionnel et davantage anti-chrétien qu’il n’était au départ.

    Ces djihadistes ont réellement le désir d’installer un vaste califat islamiste depuis l’Atlantique si possible jusqu’au Pakistan, jusqu’en Inde.

    Un califat islamiste

    Un califat islamiste qui serait une application sévère et dure de la charia, dans lequel les chrétiens n’auraient pas leur place.

    Un califat qui fait que l’on ne s’intéresse pas vraiment au pays en question : on ne s’intéresse pas en réalité à la Syrie, dont on veut ignorer ses frontières, que l’on considère issues du colonialisme. Ceci est inquiétant et menace les chrétiens.

    Voilà pourquoi nous voulons alerter les opinions publiques occidentales sur ce risque majeur que la France combat dans beaucoup de pays et qu’elle doit certainement combattre également en Syrie.

    Cela s’étend donc à d’autres pays, comme l’Irak, où il y a, au-delà du conflit local, entre sunnite, chiite, kurde que nous connaissons, des personnes qui veulent établir ce califat en Irak, en Égypte et en Tunisie.

    Ce qui est intéressant c’est qu’une population musulmane importante, aujourd’hui sans doute majoritaire, se dresse pour dire « ce n’est pas cela que nous voulons pour nos sociétés!  »

    Dans ce refus les chrétiens peuvent avoir un espoir. »

    Mgr Gollnisch