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Politique - Page 560

  • Pas d'Eurojam près de Metz pour les Scouts d'Europe

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    Changement de lieu pour l’EUROJAM

    (source)

    Eurojam2014-squareLes Guides et Scouts d’Europe organisent en août 2014 un grand rassemblement européen de 10 000 jeunes de 18 pays de l’Union européenne. Initialement prévu aux alentours de Metz, sous le patronage de Robert Schuman, père de l’Europe, cet événement n’a pas obtenu l’accord du préfet. En effet, une récente expertise technique conduite sous l’égide du Ministère de l’Intérieur à la demande du Préfet a estimé que la zone ne répondait pas à toutes les normes de sécurité correspondant à un camp scout de cette ampleur.

    De nombreuses équipes de terrain, locales mais aussi nationales ou étrangères avaient appris à connaître et à faire connaître ces lieux depuis deux ans. L’Association des Guides et Scouts d’Europe comprend leur profonde déception qu’elle partage Elle remercie les élus qui se sont mobilisés pour la tenue de cet évènement exceptionnel, en particulier les maires des communes concernées. Elle respecte la réglementation en vigueur.

    Cette annonce est un nouveau défi à relever. Un site de repli déjà utilisé pour des camps et à l’étude depuis plusieurs mois est activé. Des contacts ont déjà été établis avec les autorités locales. La Normandie accueillera le 4ème Eurojam des Guides et Scouts d’Europe. Les scouts jouent le jeu en souriant dans les difficultés. Ils s’adaptent selon la méthode qui leur a été enseignée.

  • Femmes, divorcés, marxisme, oecuménisme, curie romaine...; le pape se livre dans un nouvel entretien où il évoque des sujets d'actualité

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    Le Pape François se livre dans un nouvel entretien

    2013-12-15 Radio Vatican

    Le Pape François nous a offert ce dimanche un nouvel entretien surprise avec un journaliste, Andrea Tornielli, dans les colonnes du quotidien italien La Stampa. Le Pape y aborde tour à tour le sens de la fête de Noel, le futur voyage en Terre Sainte, les enfants malades et la faim dans le monde, le marxisme, l’unité des chrétiens, la réforme de la papauté et la Curie, le cardinalat des femmes, la transparence financière du Vatican, mais aussi les divorcés remariés.

    « Nous ne pouvons penser à Noel sans penser à la Terre Sainte » , déclare le Pape. « Il y a 50 ans Paul VI a eu le courage de sortir pour se rendre là et c’est ainsi que commença l’époque des voyages des Papes. Moi aussi je désire m’y rendre » Et d’ajouter : « Nous nous y préparons ». Le Pape confirme aussi son « désir de rencontrer mon frère Bartholomée, patriarche de Constantinople, pour commémorer avec lui cet anniversaire en renouvelant l’étreinte entre Paul VI et Athénagoras de 1964 à Jérusalem ». Le Pape précise que « Noël nous fait toujours penser à Bethléem et que Bethléem se trouve à un endroit précis, la Terre Sainte, où a vécu Jésus. » « Durant la nuit de Noel, je pense surtout aux chrétiens qui vivent là, à ceux qui sont dans la difficulté, à tous ceux qui ont été contraints pour divers problèmes à quitter cette terre. Mais Bethléem continue d’être Bethléem : Dieu est venu à un endroit précis, sur une terre précise ; c’est là qu’est apparue la tendresse de Dieu, la grâce de Dieu ».

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  • France : la Manif pour Tous, c'est reparti !

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    Lu ICI :

    Versailles : plusieurs milliers de manifestants à la Manif pour tous

    YVELINES - Près de 6000 personnes, selon la police, et 30.000, selon les organisateurs, ont défilé dimanche après-midi dans les rues de Versailles pour dénoncer "l'attaque systématique à l'égard des familles" dont ils accusent le gouvernement. "Théorie du genre" et procréation médicalement assistée étaient au programme.

    Manif pour tous à Versailles : plusieurs milliers de personnesLa manifestation a ressemblé dimanche après-midi 6000 personnes selon la police, 30.000 selon les organisateurs.

    Encore une fois, une Manif pour tous déclenche la guerre des chiffres. Dimanche après-midi, dans les rues de Versailles, plusieurs milliers de manifestants – 6000 selon la police, 30.000 selon les organisateurs - ont défilé pour dénoncer "la familiophobie du gouvernement". Ils accusent ce dernier d'attaque "systématique à l'égard des familles".

    Huit mois après l'adoption du "mariage pour tous", qui a déclenché leur mobilisation, les opposants au mariage homosexuel demandent toujours son abrogation. Mais ils ont également battu le pavé pour dénoncer, selon un porte-parole, "le déploiement d'une l'idéologie du genre à l'école, la déconstruction de la filiation biologique pour une filiation sociale avec la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA)", ainsi que le "matraquage fiscal" qui serait subi par les familles.

    Valérie Pécresse dans le cortège

    Le cortège, garni de ballons et drapeaux bleus et roses, ainsi que de bonnets roses, s'est élancé peu après 15h30, derrière une banderole portant l'inscription "Familles attaquées = société en danger". "La famille en France, c'est une valeur plus que partout ailleurs", a lancé en amont du défilé Valérie Pécresse, députée UMP des Yvelines, en présence d'autres élus locaux, le député UMP Jean-Frédéric Poisson et les maires de Versailles et du Chesnay.

    Deux autres manifestations ont eu lieu à Blois et Montpellier. A Blois, entre 1600 personnes, selon la police, 3000 selon les organisateurs se sont réunies au bord de la Loire avant de se diriger vers la préfecture. A Montpellier, entre 400 (police) et 800 personnes (organisateurs), coiffées de bonnets roses, ont défilé sous le soleil. Dimanche dernier, près de 200 véhicules avaient défilé dans Paris pour les mêmes raisons.

  • Mettre fin aux souffrances, mais aux souffrances de qui ?

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    Lu ICI (Denis LENSEL):

    Euthanasie : mettre fin aux souffrances, mais de qui… ?

    En Belgique, le Sénat a adopté hier une proposition de loi étendant le champ légal de l’euthanasie aux mineurs de plus de 12 ans atteints d’une maladie déclarée « incurable ». Cette mesure devra encore être confirmée par les députés belges. Le texte prévoit qu’un mineur peut demander à être mis à mort s’il est exposé à des souffrances physiques insupportables et inapaisables en phase terminale : il doit pour cela être conseillé par une équipe médicale et recevoir l’accord de ses parents… A Bruxelles, les représentants des religions chrétienne, juive et musulmane ont exprimé leur « vive inquiétude face au risque de banalisation » de l’euthanasie. Si ce projet de loi était adopté définitivement, la Belgique suivrait l’exemple des Pays-Bas.

    Revoici donc posé, toujours dans sa redoutable ambiguïté, le problème de l’euthanasie, terme dont la signification étymologique est « bonne mort »… : mettre fin à des souffrances « insupportables », qui n’applaudirait pas de prime abord à une intention si bonne ? Mais ici deux questions se posent : d’abord, la mise au point des médicaments « analgésiques » modernes contre la douleur n’a-t-elle pas progressé et ne progresse-t-elle pas encore, de façon à supprimer ou à endiguer la douleur physique dans des proportions grandissantes jusqu’au seuil du tolérable ? La réponse appartient probablement ici à l’ensemble du corps médical.

    Deuxième question, qui concerne la société tout entière, et qui doit exclure tout faux semblant et… toute hypocrisie : mettre fin à la souffrance, certes, mais à la souffrance de qui, au fait ? Souvent, c’est le spectacle des malades réputés – à tort ou à raison – « incurables », et exposés à la douleur et à la dégradation physique, qui devient très difficile à supporter… pour leur entourage. Qu’il s’agisse de leur famille, de leurs proches, ou même parfois… de certains membres du personnel soignant, dont c’est pourtant la mission de surmonter l’épreuve de cette confrontation.

    A Chambéry, une aide-soignante qui avait empoisonné six personnes âgées dans une maison de retraite a été arrêtée et mise en examen par la Justice. Elle leur avait administré un « cocktail » de très forts médicaments psychotropes destinés aux troubles mentaux… Elle-même devenue fragile, cette auxiliaire du personnel médical avait été récemment traumatisée par la mort pénible de sa vieille mère. Son geste répété n’en est pas moins terrifiant : il a enlevé… le droit de vivre à des vieillards encore capables de vivre sans trop souffrir, en l’occurrence…

    Mais le plus affreux, c’est cette banalisation de la mise à mort des vieillards et des grands malades, fussent-ils désormais… demain, peut-être, des enfants. Tuer, au lieu de soigner, c’est régler le compte des malades, mais cela ne relève plus de la médecine. Désormais, en Europe, on risque de se donner l’âpre liberté de tuer les personnes dont la douleur est jugée « insupportable ». Insupportable ou encombrante ? Dans une société qui, comme le dit le Pape François, transforme trop d’êtres humains en « déchets », rejetés comme tels, ne serait-ce que sur le plan socio-économique… 

  • Veille devant le Parlement : le témoignage d'une sentinelle

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    De "Veilleurs debout Belgique sur Facebook" : Voici le témoignage d'une sentinelle qui a accepté de nous livrer la façon dont elle a vécu sa première veille et celles qui ont suivi ! Très belles confidences !

    Mardi 26 novembre 2013. Je me rends devant le Parlement pour rejoindre les Sentinelles pour la première fois. Nous sommes à la veille de la première étape du vote de la loi. Je me suis résignée à être une « veilleuse » ; la situation dans mon pays est bien trop grave et je ne suis même plus crédible avec mes excuses pour ne pas rejoindre ces personnes dont le courage force mon admiration. Quelle était mon excuse principale déjà ? «Les veilleurs sont français et sont opposés au mariage homo ». Cette excuse ne vaut rien. Les belges qui sont là se mobilisent contre l’euthanasie des enfants malades de leur pays, rien d’autre. J’en suis la preuve.

    En chemin, je pense m’être déjà fait mon idée sur les veilleurs, les veilleurs debout, les sentinelles (qu’importe leur nom, finalement !). Je trouve stupide qu'ils n'avouent pas que leur action est en fait une manifestation comme on les connaît : c’est une action citoyenne qui mobilise et rassemble les personnes opposées à un projet de loi. Elle vise à faire parler d’elle dans les médias et sur les réseaux sociaux, elle cherche à être créative pour faire des « actions chocs », des gestes qui interpellent, des oppositions dans les lieux publics ; l’évocation de la mobilisation dans un article est une victoire, le plus important étant d’avoir bien relayé l’information sur twitter ou sur facebook, surtout via des photos, car elle se met sous les yeux du citoyen et du parlementaire, et de ce fait, fait parler d’elle, se rend visible, témoigne et sensibilise. C’est précisément comme ça que les veilleurs debout ont commencé à se faire connaître et à exister en Belgique. On pourrait donc se dire que les sentinelles, ce n’est jamais que ça ; une « manifestation » comme il y en a d’autres.

    En réalité, les sentinelles ne se contentent pas de manifester leur mécontentement. Ils font l’expérience bien plus puissante de vivre un temps intérieur. Un temps avec soi-même tourné vers la société.

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  • La Russie de Poutine se sent responsable des valeurs traditionnelles

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    Dans son message annuel au Parlement, le Président russe a insisté sur le rôle de son pays sur le plan de la morale et des valeurs traditionnelles (source : le Nouvel Observateur) :

    (...) La Russie a selon Vladimir Poutine une "responsabilité historique croissante, non seulement comme l'un des garants de la stabilité mondiale et régionale, mais aussi en tant qu'Etat qui défend avec constance son approche morale, y compris dans les relations internationales".

    "Dans de nombreux pays, les normes morales et éthiques sont en cours de révision et les traditions nationales (...) sont en voie d'effacement", a déploré le président russe, estimant que la destruction des valeurs traditionnelles allait à l'encontre de la "volonté de la majorité populaire".

    Depuis son retour à la présidence en mai 2012, Vladimir Poutine, qui est âgé de 61 ans, en appelle fréquemment à ce qu'il nomme les valeurs traditionnelles russes et considère l'Eglise orthodoxe comme le guide moral d'une nation désarçonnée par la disparition de l'URSS.

    Le chef du Kremlin essuie les critiques des Occidentaux sur les restrictions à la liberté d'expression en Russie ou encore la discrimination contre les homosexuels, à deux mois des Jeux olympiques d'hiver de Sotchi dans lesquels il a investi une grande partie de son prestige.

    Mais devant le chef de l'Eglise orthodoxe, Vladimir Poutine a balayé ces jugements négatifs. "Nous savons que de plus en plus de gens dans le monde soutiennent notre position consistant à défendre les valeurs traditionnelles qui forment depuis des siècles le fondement moral de la civilisation", a-t-il déclaré en plaçant les "valeurs familiales" en haut de la liste. (...)

    L'article en entier est ici: http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131212.REU8381/poutine-voit-en-la-russie-une-puissance-morale-et-militaire.html

  • Le vote du sénat sur l'euthanasie des mineurs

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    Du bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique :

    Euthanasie des mineurs : vote au Sénat

    13/12/2013 - Fin de vie

    Après avoir été votée par les commissions réunies des affaires sociales et de la justice du Sénat le 28 novembre 2013,  le Sénat Belge a adopté, à une large majorité, ce jeudi 12 décembre, la proposition de loi qui vise à étendre l'euthanasie aux mineurs dans le pays. 

    Par 50 voix contre 17, la proposition de loi a été adoptée par les socialistes et les libéraux membres de la majorité gouvernementale, et par les écologistes et les sénateurs du parti nationaliste flamand NV-A issus de l'opposition. Seuls les sénateurs centristes chrétiens-démocrates, membres de la majorité, et le parti flamand d'extrême droite Vlaams Belang, issus de l'opposition, ont voté contre. 

    Les débats qui ont précédé le vote ont été animés lorsque la Sénatrice Els Van Hoof (CD&V) a souligné le manque de contrôle de la loi actuelle par la Commission d'évaluation (Voir dossier de l'IEB, p. 6 et 7).

    Le Magazine Marianne du 2 décembre a également publié un dossier intitulé "Euthanasie : le débat confisqué" dans lequel est questionnée l'impartialité de la Commision au vu de l'appartenance de 2/3 de ses membres à des associations ou groupes  de médecins pro-euthanasie.

    La prochaine étape du processus sera celle de la discussion à la Chambre des représentants, avant de revenir au Sénat. Les élections législatives ayant lieu le 25 mai prochain, "il n'est pas certain que les députés auront le temps [d'] examiner [la proposition de loi]". Mais les socialistes restent déterminés. En effet, la députée socialiste Karine Lalieux a déclaré: "Nous voulons que cette loi soit définitivement adoptée avant la dissolution des chambres". 

  • La défaite de la résolution Estrela : une victoire pleine d'espoir

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    par Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, sur Liberté Politique :

    Le sens de la défaite de la résolution Estrela

    Il y a trois manières pour l’humanité de mettre volontairement un terme à son destin collectif. La guerre atomique, la destruction de l’environnement et la démographie.

    EN 1963, l’encyclique Pacem in terris était marquée par le danger d’un conflit nucléaire. Le 1er janvier 2013, à l’occasion du cinquantième anniversaire de ce texte, Benoît XVI a montré que la principale menace contre la paix était désormais constituée des atteintes contre la vie naissante. Autrement dit, l’arme démographique.

    Ce qui vient de se passer au Parlement européen avec la mise aux voix, puis la mise en échec, de la résolution Estrela en est une illustration à la fois redoutable et pleine d’espoir. En effet, pour la première fois, l’arme démographique a été sérieusement enrayée.

    Enrobée dans la sémantique féministe des conférences du Caire et de Pékin sur la santé et les droits sexuels et génésiques, pièce maîtresse des objectifs de développement international, réputée combattre la misère et améliorer la condition de la femme, la résolution de la députée socialiste portugaise Edite Estrela visait à légitimer la maîtrise de la fécondité par l’avortement. L’avortement, un droit comme un autre, plus qu’un autre même, un droit fondamental.

    S’y ajoutaient des dispositions sur l’éducation sexuelle dès le primaire avec l’homosexualité sur le même plan que l’hétérosexualité, la relégation des parents dans un rôle de figurants, l’idéologie du genre en fond de tableau, etc. Un salmigondis libéral-libertaire-liberticide.

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  • Mandela : Zemmour iconoclaste

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    La face cachée de Mandela par rtl-fr

    JPSC

    Voir aussi : http://www.libertepolitique.com/Actualite/La-revue-de-presse/Mandela-ombres-et-lumieres

  • L'Arabie Saoudite derrière l'islam radical implanté en Belgique ?

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    C'est une enquête du Vif.be (Marie-Cécile Royen) qui l'affirme :

    Comment l'Arabie saoudite a imposé son islam rigoriste à la Belgique

    En 1969, le roi Baudouin crut bien faire en confiant à l’Arabie saoudite, par bail emphytéotique de nonante-neuf ans, les clés du pavillon oriental du parc du Cinquantenaire, à Bruxelles. Celle-ci y installa à grands frais le Centre islamique et culturel de Belgique (CICB), qui devint aussi le siège européen de la Ligue islamique mondiale, une ONG panislamique et prosélyte contrôlée par les Saoudiens. Le conseil d’administration de l’ASBL CICB est composé de tous les ambassadeurs des pays musulmans, mais il est présidé de droit par l’ambassadeur d’Arabie saoudite. A l’époque, l’Etat belge voulait faciliter les contrats pétroliers et faire honneur à un pays dont le roi, Fayçal, avait été généreux envers les victimes de l’incendie de l’Innovation (1967). Avec le recul historique, il apparaît que le CICB a joué un rôle-clé dans la diffusion du salafisme en Belgique.

    Tout au long des années 1980, l’influence du CICB se révéla contre-productive pour l’intégration des immigrés musulmans, au point qu’en 1990, les autorités belges lui retirèrent son statut d’interlocuteur officiel, ainsi que son rôle dans la sélection des professeurs de religion islamique.

    Lire la suite sur Le Vif.be

  • Centrafrique : on n’est pas sorti du « poto-poto »

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    Comme nous l’avions  prévu ici  L’Afrique centrale n’en finit pas d’être mal partie…  il ne suffit pas de débarquer un millier de paras français à Bangui pour clore un demi-siècle de gouvernance erratique, sanglante et corrompue au cœur de l’ancienne A. E. F …

    Lu sur le blog « secret défense/l’opinion » :

    Le temps de la communication politique n'est pas celui de l'action militaire. Et, à soumettre la conduite d'une guerre aux impératifs de la mise en scène du pouvoir, on prend le risque du cafouillis. La Centrafrique pourrait en fournir un bel exemple, objet qu'elle est de toutes les attentions de François Hollande.

    De retour des obsèques de Nelson Mandela, le chef de l'Etat devait faire, mardi soir, une courte escale de quelques heures à Bangui - cinq jours à peine après le début de l'opération Sangaris. Dans une ville livrée aux règlements de comptes, pillages, scènes de violence et tirs désordonnés, où près de 500 personnes ont été massacrées la semaine dernière et deux paras français tués lundi soir dans un accrochage, que vient faire le président français, sinon se montrer ?

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  • La lettre d'information de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon (décembre 2013)

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    Tous les mois, La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon propose un regard d'Eglise sur les grandes questions de société. Faites-la découvrir à vos amis !

    Tous consommateurs ! P. Louis-Marie Guitton

    Plongée en écologie profonde - Falk van Gaver

    Relever le défi éducatif - Pierre-Olivier Arduin

    La baisse du prix de l'eau : une politique démagogique  - Philippe Conte

    Plus forts que Nelson - La Mouche du Coche

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    Bonne lecture !

    La Lettre de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon (OSP) paraît tous les mois.

    Direction : Père Louis-Marie Guitton - Rédaction : Falk van Gaver

    Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon

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