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Politique - Page 630

  • Euthanasie : Anne Delvaux "troublée"...

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    De la revue de presse de "Gènéthique" : 

    Parlement européen: des députés débattent de la fin de vie 

    A l'initiative de l'eurodéputé Français Philippe Juvin, la députée belge Anne Delvaux et le député Luxembourgeois Frank Engel (eurodéputés PPE) ont tous trois tenu un débat sur la fin de vie, mercredi dernier, au Parlement de Strasbourg. En outre, lors de ce débat, Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), était présent. Pour la députée européenne Belge et le député européen Luxembourgois, ce débat a été l'occasion de dresser un bilan de la législation sur l'euthanasie dans leurs pays, autorisée respectivement depuis 2002 et 2009. 

    Tout d'abord, Anne Delvaux précise qu'en Belgique, le sujet de l'euthanasie n'est "pas du tout" clos. Détaillant l'état de la législation, elle explique que la loi belge "impose des critères très stricts". Mais à ce propos, la députée regrette qu' "il ne [puisse] pas y avoir de réel contrôle" car "la commission [fédérale de contrôle belge] ne fait qu'enregistrer les déclarations que les médecins veulent bien lui envoyer". Pour Anne Delvaux, la loi "n'empêche pas des dérives". A titre d'exemple, elle "s'inquiète [...] des '3% d'euthanasies' qui ont été justifiées par la seule souffrance psychique, d'après le dernier rapport de la commission". Ainsi, l'eurodéputée belge s'interroge: "Dans de telles conditions, la demande de mort est-elle vraiment éclairée?". En outre, elle relève "que des personnes âgées ont eu recours à l'euthanasie sans que l'on soit certain qu'elles souffraient de maladies incurables comme l'exige la loi". Enfin, elle note qu'actuellement, en Belgique, "les discussions [...] portent sur l'élargissement de la loi aux mineurs". "Sans pour autant revenir sur le principe de la dépénalisation", elle conclut en précisant que "tout cela est troublant".

    Prenant ensuite la parole, Jean-Luc Romero a précisé que "la question des mineurs ne doit pas être balayée du revers de la main 'en cas de très grandes souffrances', tout en admettant que 'notre pays n'en est pas là". Il ajoute qu'il "milite pour une loi 'marchant sur deux jambes': un 'accès universel aux soins palliatifs' et la possibilité de recourir à l'aide active à mourir sur le modèle belge, sans s'alarmer du bilan tiré" par la députée Anne Delvaux. 

    A son tour, l'eurodéputé Luxembourgeois Frank Engel "assure [...] que, dans son pays, la loi s'est traduite par un faible nombre d'euthanasies" et "remarque surtout que ce débat [sur l'euthanasie] a permis de mettre au jour le manque criant de soins palliatifs dans le Grand-Duché". Enfin, il souligne que "l'accès à ces soins, de très bonne qualité, s'est fortement élargi depuis 2009", limitant ainsi, selon lui, le nombre de demandes d'injection létale. 

    A la suite de ces prises de paroles, Philippe Juvin, professeur de médecine et eurodéputé, "reste très sceptique quand au bien-fondé d'une telle approche en France". Tout comme l'eurodéputée Belge, "il s'inquiète de la conception extensive d'une loi prenant pour critère la souffrance psychique", d'autant que, en France, précise-t-il, "la dépression est particulièrement mal prise en charge". Souhaitant avant tout "protéger les plus vulnérables" et rappelant "l'ambivalence des demandes de mort", Philippe Juvin termine en mentionnant qu' "une étude britannique a montré que des jeunes victimes de paralysie après un accident de la route considéraient, juste après le drame, que leur vie ne valait pas la peine d'être vécue". Cependant poursuit-il, "au fil des mois, ils changeaient d'avis et quelques temps plus tard, la plupart considéraient que oui, leur vie méritait d'être vécue. Cela doit interpeller". 

     La Croix (Marine Lamoureux) 23/11/12

  • Quand le maoïsme affamait la Chine

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    Parmi les idées les plus courantes sur le communisme chinois, il y a celle qui consiste à croire que la révolution communiste aurait au moins premis à tout le monde de se nourrir. Or c'est totalement faux, aussi faux que pour la Russie où la famine décima la population dès les premières années qui ont suivi la révolution d'octobre ou encore lors de la collectivisation forcée. Chantal Delsol rend ainsi compte d'un livre qui fait la lumière sur la grande famine qui a sévi en Chine communiste de 1958 à 1961 :

    Ce n’est pas exactement "l’archipel du goulag" chinois, puisqu’il ne s’agit pas des goulags chinois, dont nous avons encore une connaissance bien modeste, pour cause de secrets bien gardés. Mais il s’agit d’une enquête minutieuse, copieuse et vaste, sur plus de six cents pages, sur la grande famine en Chine (1958-1961), province par province, chiffres à l’appui, chaque cas étayé sur des récits précis, citant leurs sources, et décrivant froidement les morts, les tortures, les actes de cannibalisme, les effrois, les familles démantelées, les errances mentales des chefs et tout le maillage de cette immense supercherie qui fabrique la terreur à partir de l’utopie.

    Yang Jisheng raconte qu’il était jeune et fervent membre du Parti quand, rendant visite à son père au village, il le trouve exténué, puis apprend bientôt sa mort. Il croit à une mort accidentelle. Plus tard, il comprendra que son père était l’une des victimes qui, par millions, avaient été affamées selon l’idéologie. C’est cela qu’il veut raconter. Appelant le livre Stèles, du nom de ce monument où l’on inscrit le nom des morts, ou du nom d’une pierre tombale – stèle pour son père, victime initiatique, stèle pour les millions de Chinois victimes du système, stèle pour lui-même, dit-il avec humour, quand les autorités découvriront qu’il a écrit ce livre… 

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  • Inauguration d'un musée pour les victimes du communisme à Bratislava

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    A Bratislava, un musée pour les "héros silencieux", victimes du Communisme

    Le Musée des crimes et des victimes du communisme a été inauguré à Bratislava, ce qui ajoute un élément important au «puzzle de la mémoire» comprenant plusieurs villes de l'ancien bloc soviétique. Le projet, fortement soutenu par les bénévoles des «héros silencieux» et la Confédération des ex-prisonniers politiques, a été initialement lancé en 2010 par le Forum des Associations chrétiennes et soutenu à l'époque par le Premier ministre Radicova. Le 16 novembre, date symbolique qui commémore la Révolution de 89, l'ouverture «temporaire» (en attente de la prochaine officielle prévue Mars) a eu lieu dans des locaux fournis par l'Université de la Santé et du Travail social dont le recteur est Vladimír Krcméry, neveu de Silvester Krcméry qui était l'une des figures les plus célèbres, bien que silencieuse, appartenant à l'Eglise souterraine sous le régime communiste.

    L'information est développée (en italien) ici : http://www.corrispondenzaromana.it/bratislava-un-museo-per-gli-eroi-silenziosi-vittime-del-comunismo/

  • Liège n'accueillera pas la prochaine exposition universelle

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    Cela suscite le commentaire suivant d'Eric de Beukelaer ;

    Lîdje!

  • Curieux, ces évêques helvètes...

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    Jeanne Smits s'étonne à juste titre de ces curieuses prises de position :

    Est-ce parce qu'il s'agit d'une initiative émanant de personnalités de l'UDC (Union démocratique du centre, la formation politique suisse classée la plus à droite) ou parce qu'ils croient vraiment ce qu'ils disent ? Quoi qu'il en soit, des évêques helvétiques ont exprimé leur opposition au référendum d'initiative populaire « financer l'avortement est une affaire privée » qui visent à mettre fin au remboursement de l'avortement par l'assurance maladie en Suisse.
    Mgr Markus Büchel, rapporte La Croix, a déclaré au quotidien alémanique Blick que le projet touchera davantage les femmes en situation difficile que celles qui sont aisées. Drôle d'argument… Il est vrai que l'évêque de Saint-Gall – et futur président de la conférence épiscopale suisse – précise que l'initiative passera « à côté du but » qui devrait être « la réduction du nombre d'interruptions de grossesse ». Mais il assure qu'il y aura toujours des femmes qui opteront pour un avortement : « En tant qu'Eglise, nous ne pouvons pas l'empêcher, et l'initiative ne l'empêchera pas non plus », raison pour laquelle il estime que la privatisation du financement sera « un pas vers une médecine à deux vitesses ».
    On croît rêver : le prélat semble plus préoccupé par sa vision collectiviste de la médecine et de l'assurance maladie que par la volonté d'un grand nombre de Suisses de ne coopérer en rien, et surtout pas en finançant les opérations, la mise à mort des tout-petits.
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  • L'avortement à tout va légalisé au Luxembourg

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    C'est ce que nous lisons sur le Salon Beige :

    Libéralisation de l'avortement votée au Luxembourg

    Au Luxembourg, hier soir, la Chambre a adopté la réforme de la loi sur l’avortement par 39 voix contre 21. Cette est une libéralisation de l’avortement après la première loi de 1978 :

    • il n’appartiendra plus au médecin d’apprécier la situation de détresse de la mère, c'est la femme seule qui pourra décider d'avorter
    • les mineures n’auront plus besoin d’un accord parental pour procéder à l’avortement.

    Un amendement visant à supprimer l’introduction d’une consultation préalable obligatoire a été rejeté.

  • Affaire Savita : Génération pour la Vie appelle à manifester devant l'ambassade d'Irlande

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    Voici l'appel tel qu'il est lancé sur le site de Génération pour la Vie :

    Mercredi 21/11/12 des manifestations pour une légalisation de l'avortement en Irlande ont eu lieu devant les ambassades irlandaises de plusieurs villes d'Europe. 

    Il est capital de ne pas nous taire ! L'Irlande compte sur nous !!!

    Récemment, Savita Halappanavar est décédée à la suite d'une fausse couche. Nous sommes profondément attristés par ce décès et présentons toutes nos condoléances à sa famille et à ses proches. Les media présentent son décès comme dû au refus des médecins de lui faire subir un avortement. En réalité, les experts n'ont pas encore rendu leur rapport et il semblerait que son décès soit dû à un retard dans l'administration d'antibiotiques. Selon les spécialistes, il n'est jamais nécessaire de recourir à un avortement pour sauver la vie d'une femme.

    Le lobby irlandais pro-avortement est en train de se servir de la mort de cette femme pour légitimer une législation favorable à l'avortement. L'avortement tue toujours un être un humain !

    L'Irlande nous appelle à nous mobiliser devant les ambassades irlandaises de nos pays afin de les soutenir. Nous devons répondre à cet appel car le lobbying exercé pour une modification de la loi est très puissant ! Concrètement, nous vous fixons rendez-vous pour une démarche calme et pacifique devant l'ambassade d'Irlande mardi soir. Il y aura plusieurs interventions ainsi qu'un temps de recueillement (ou de prière pour les croyants). Voici l'objectif de notre démarche tel que transmis à la police :  Nous souhaitons manifester nos condoléances à la famille et aux proches de Savita Halappanavar et dénoncer la manipulation médiatico-politiquequi est faite de son décès. Nous soutenons la législation irlandaise actuelle en matière d'avortement et savons que l'Irlande est selon l'OMS, l'un des pays au monde où le taux de mortalité maternelle est le plus faible.

    L’événement sur Facebookhttps://www.facebook.com/events/132908660194155/

    Plus d'info : http://www.generation-pour-la-vie.be/123-savita-halappanavar-verite-irlande et http://www.youtube.com/watch?v=cVGvUF217us&feature=youtu.be

  • BXL : 300.000 euros supplémentaires pour éduquer les jeunes à la vie affective et sexuelle

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    La RTBF nous apprend qu'"il y aura bientôt deux fois plus d'heures d'éducation à la vie affective et sexuelle dans les écoles à Bruxelles."

    La Cocof, l'organe compétent pour les francophones de la capitale, a débloqué de nouveau budget pour 2013 : 300 mille euros. L'idée d’une telle initiative est de sensibiliser les jeunes à une sexualité et à une parentalité responsable. Et ce sont les écoles techniques et professionnelles qui bénéficieront en priorité de ces animations, organisées par les centres de planning familial. Ces animations s'axeront autour d'un court-métrage, intitulé "Entre-deux". Il raconte l'histoire d'une grossesse non programmée d'un jeune couple d'adolescents.

    Evelyne de Wolf, coordinatrice de la fédération des centres pluralistes de planning familial, explique l’objectif de la démarche: il s’agit d’amener les jeunes à réfléchir à ce qui se passerait pour eux s’ils étaient dans une telle situation. Comment agiraient-ils face à une telle nouvelle ? Ensuite, une fois qu’ils ont fait ce chemin-là à l’intérieur d’eux-mêmes, ils pourront se poser les questions suivantes : est-ce que, moi, j’aurais envie d’être père ou d’être mère ? Est-ce que je me sens prêt ? Est-ce que j’en ai envie ? Après, on pourra les faire entendre d’autres messages comme ceux de la prévention et de la contraception. Ils pourront donc agir leur sexualité et la vivre de manière saine et protégée.

    "Encourager les jeunes à pousser la porte des plannings familiaux est important car, selon Evelyne de Wolf, dans notre société, la sexualité a longtemps été taboue. "C’était quelque chose de sale, de honteux dont on ne pouvait pas parler. Le corps, lui-même, est honteux. Ça commence à s’améliorer mais il y a encore beaucoup de travail pour reconnaitre que la sexualité fait partie de la vie humaine."La fédération des centres pluralistes de planning familial essayera de toucher un maximum de jeunes. Les animations d'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle sont inscrites dans les missions scolaires mais ne sont pas encore obligatoires. L'objectif est de pouvoir un jour couvrir toutes les écoles la région bruxelloise avec l'aide des 27 centres de planning familial agréés par la cocof.

    Pas de doute que les jeunes bénéficiaires de ces informations vont se retrouver abreuvés de toutes les indications nécessaires pour passer aux exercices pratiques "sans risques". C'est ainsi que sous couvert d'éducation sexuelle, ils se trouvent informés de tout sauf de ce que sont véritablement l'amour et la réalité profonde de l'échange sexuel. Il est impératif d'apprendre à nos jeunes que l'amour passe d'abord par une découverte progressive de l'autre, dans le respect et la maîtrise de son désir, ce qui exclut une vision consumériste de l'autre réduit à la condition d'objet. Et que tout ne se résume pas à prendre des précautions et, le cas échéant, à recourir à l'IVG pour remédier à une contraception ratée.

  • Un nouveau "Big Brother" ?

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    Nous trouvons ICI le compte-rendu d'un essai de Jean-Claude Michéa qui vient de paraître:

    Dans un nouvel essai à contre-courant, Jean-Claude Michéa décrit l’étonnante alliance qui s’est peu à peu formée au-delà des années 1980 entre l’intelligentsia de gauche et le capitalisme mondialisé. Cette convergence, difficilement imaginable trente ans plus tôt, en pleine guerre froide, dans les années 1950, avait déjà été étudiée de façon précoce par la philosophe Flora Montcorbier (Le Communisme de marché. De l’utopie marxiste à l’utopie mondialiste, L’Âge d’Homme, 2000). Ce phénomène n’avait pas échappé non plus à La Nouvelle Revue d’Histoirequi l’avait analysé dans son n° 44 (septembre-octobre 2009) à l’occasion d’un article intituléViolence et “doux commerce” .

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  • La nomination de Tonio Borg comme commissaire européen a été approuvée

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    Communiqué de European Dignity Watch

    STRASBOURG - La nomination du Dr Tonio Borg comme Commissaire européen pour la santé et la protection des consommateurs, a été approuvée ce matin à 12H40 par le Parlement européen. Une majorité de 386 à 281 contre (et 28 abstentions) a approuvé le commissaire qui avait été nommé par Malte.

    Malgré les tentatives de igroupes intolérants défendant des intérêts particuliers pour discréditer Borg en raison de ses convictions personnelles sur les questions sociales comme l'avortement et le mariage, M. Borg s'est avéré être un bon candidat pour le poste. Le député a convaincu non seulement par sa qualification professionnelle, mais par son excellente performance lors des auditions parlementaires la semaine dernière. C'est un grand jour pour la démocratie en Europe! Aujourd'hui, les principes fondamentaux de l'Union européenne - la subsidiarité, la liberté de conscience et la liberté d'expression - ont été confirmés.

    Compte tenu de la campagne de lobbying dur qui a été montée contre M. Borg et ses convictions personnelles depuis sa désignation, une majorité de députés ont montré par le vote d'aujourd'hui qu'il ya place, dans une démocratie moderne, pour un large éventail de points de vue personnels et politiques Le vote montre clairement que la plupart des Européens ne veulent pas mettre à l'ordre du jour l'étroitesse et l'intolérance sociale que certains groupes de pression ont manidestées lors de leur campagne contre Tonio Borg. 

    European Dignity Watch félicite M. Borg pour la confiance qui lui a été donnée par le Parlement européen et remercie tous les députés qui ont voté aujourd'hui en faveur d'une diversité de points de vue - et qui ont donc soutenu une société tolérante et démocratique de l'Europe.

  • Luxembourg : l'avortement de confort fourgué à la sauvette ?

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    De : FÉDÉRATION PRO EUROPA CHRISTIANA 

    ALERTE au Luxembourg : demain sera votée le projet de loi qui légalise l'«avortement de confort»

    Le projet de loi 6103 portant modification des articles 351, 353 et 353-1 du Code pénal sera voté demain, jeudi 21 novembre à partir de 14 hrs, à la Chambre des députés du Grand-Duché de Luxembourg.

    Par une manœuvre peu digne d'un parlement démocratique, le compte-rendu de la réunion de la Commission juridique du 7 novembre dernier, fixant la date de la discussion du projet, n'a été rendue publique qu'à la dernière minute.

    Ce projet est néfaste. Il consacre la totale autonomie de la femme dans sa décision d'avorter. Il suffit à une femme de déclarer que la grossesse la place en situation de détresse pour qu'elle ait le droit de tuer son bébé, bien que cette décision puisse ne résulter que de futiles raisons de convenance.

    Pour les mineures non émancipées, le projet de loi 6103 admet le principe de leur autonomie de décision par rapport aux parents et le principe d'un tiers garant, mais à peine oblige le médecin à s'efforcer d'obtenir préalablement le consentement de la jeune fille pour que les représentants légaux soient consultés.

    Mobilisez-vous et informez vos contacts. Écrivez aux députés. La liste de députés se trouve ici. En cliquant sur un nom, on trouve sur le menu qui s'ouvre l'adresse électronique du député en question. Privilégiez les députés du groupe chrétien-démocrate CSV, du Premier ministre Jean-Claude Juncker, en leur demandant de voter contre le projet… ou de changer le nom du parti qui n'a plus rien de chrétien!Non aux « avortements de confort » !

    Non à l'anéantissement du droit des parents et à l'introduction de la zizanie dans la vie de famille !
  • Pension ou euthanasie ? C'est au bureau 1.04

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    image004.jpgC'est tout de même interpellant pour la personne à l’aube de sa pension lorsqu'elle se trouve face à cet écriteau "Pension-Euthanasie bureau -1.04"

    L’administration communale de Schaerbeek innoverait-elle pour réaliser des économies en proposant aux pensionnés de rédiger dans un même élan leur Déclaration anticipée d’euthanasie ?

    Ne-peut-on y voir un incitant ? A tout le moins une rationalisation pour évacuer les vieux, les handicapés, les infirmes ?

    Comment ne pas se sentir à tout le moins poussé dans le dos vers la sortie…

    Et en ce sens, cela ne nous amènerait-il pas à penser que les vieux sont de trop et constituent un obstacle à l’équilibre des dépenses publiques ?

    (Merci à notre amie C.B.)