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Santé - Page 129

  • France : l’embryon humain devient un outil de l’industrie pharmaceutique

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    Communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune (16 juillet) (source) :

    "Cet après-midi, les députés ont signé l’épilogue estival de l’entreprise de modification de la loi de bioéthique engagée par les radicaux de gauche et portée avec obstination par la ministre de la recherche. Compte tenu de la réserve et du blocage des votes mis en œuvre par cette dernière jeudi 11 juillet pour abréger l’examen des amendements de l’opposition, et afin d’éviter éviter à tout prix que l’un d’eux ne soit voté, le vote solennel global d’aujourd’hui ne revêtait pas un suspens insoutenable. Or, face aux directives de vote de la majorité et à la discrétion d’une partie des ténors de l’opposition, la Fondation Jérôme Lejeune regrette que les représentants politiques, n’aient pas voté en conscience alors que les conséquences de ce bouleversement sont majeures. Les conséquences concrètes d’une éventuelle adoption de la proposition de loi qui détruit des êtres humains vivants portent atteintes à l’Etat de droit.

    • L’embryon humain est présumé disponible pour être détruit dans la recherche. Le passage d’un principe d’interdiction (assorti de dérogations) à celui d’autorisation (encadrée) fait de façon inédite de l’embryon humain, d’un être humain, un matériau disponible pour des expérimentations sous pavillon de complaisance de la médecine. Nous devenons une société « embryocide » c'est-à-dire dont un des principes repose sur l’homicide de l’embryon humain.
    • La charge de la preuve ne s’impose plus au chercheur qui n’a plus à justifier de sa recherche sur l’embryon. Certains chercheurs partisans de ces recherches - faut-il rappeler que tous n’appellent pas à ce changement législatif loin de là – se sont dits « stigmatisés » par le régime actuel qui les contraint à justifier. Mais n’est-ce pas la moindre des choses, dès lors qu’il s’agit d’expérimenter sur du vivant humain ? Le principe de précaution tant valorisé lorsqu’il s’agit d’écologie par exemple s’évapore ici et un tapis rouge est déroulé à la marchandisation du vivant.
    • L’embryon humain dit « surnuméraire » devient officiellement un réactif de laboratoire. L’embryon humain deviendra un outil de l’industrie pharmaceutique, réelle bénéficiaire de l’adoption de cette proposition de loi. Déjà en 2011, le LEEM soutenait les positions suivantes au moment de la révision de la loi de bioéthique :

    - L’assouplissement des démarches nécessaires au développement des lignées et du champ possible d’investigation en matière de cellules souches embryonnaires

    - La mise en place d’autorisations d’importations de lignées de CSE sans dérogation et de l’autorisation de réaliser des transferts de noyau sous contrôle strict (en d’autres termes, du clonage)

    - Faire entendre la voix de la France via les instances concernées (INPI, …) afin de faire revenir l’OEB sur sa décision d’exclure de la brevetabilité les produits issus de cellules souches embryonnaires

    • La recherche non-embryonnaire – la seule à être à la fois éthique et efficace aujourd’hui - sera sacrifiée dans les plans de financement. Alors que cette dernière reçoit des crédits croissants dans les pays développés en pointe sur l’innovation thérapeutique tel que le Japon, la France va creuser son retard pour des raisons idéologiques.

    La Fondation Jérôme Lejeune constate que, si ce n’est pour des raisons évidentes d’éthique, les députés n’ont pas su discerner les enjeux stratégiques qui se jouent en termes de recherche sur les cellules souches. Ils ont choisi d’enfermer la France dans l’aveuglement et le fantasme entretenus autour des prétendues (depuis plus de 20 ans…) perspectives de la recherche utilisant l’embryon humain au lieu de miser courageusement et efficacement dans ses alternatives. La Fondation Jérôme Lejeune soutient en France l’initiative citoyenne européenne Un de nous qui avance vers le million de signatures et portera à l’automne devant la Commission européenne une requête pour stopper les financements européens aux programmes de recherche sur l’embryon humain."

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (10/7/2013) : Fin de vie / Euthanasie / Mourir à la maison

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    header_fr.jpgSommaire

  • Aujourd'hui sur Euthanasie Stop - 10/07/2013

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    Tu seras plus heureux quand tu seras mort...

    Publié par Philippe habitant à Bruxelles (Patent Attorney (life science))

    Lire « Tu seras plus heureux quand tu seras mort... »

    Un parlement même démocratiquement élu a-t-il tous les droits ?

    Publié par Philippe de la FAILLE (Retraité)

    Lire « Un parlement même démocratiquement élu a-t-il tous les droits ? »

    L'ultime dignité ou l'ultime solitude ?

    Publié par Charles DELHEZ (Chroniqueur)

    Lire « L'ultime dignité ou l'ultime solitude ? »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais : 

    Een "menswaardig" levenseinde bezorgen

    Publié par Augustinus KERCKHOFS o. praem. (Kloosterling, Tongerlo)

    Lire « Een "menswaardig" levenseinde bezorgen »

    Nooit een banale daad

    Publié par Euthanasiestop.be in de PERS (Pers)

    Artikel uit "Kerk en Leven", 16/05/2013

    Lire « Nooit een banale daad »

  • Souffrir est un mal

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    A la question de Louis Daufresne (radio Notre-Dame) : – L’Église – ou la foi chrétienne – ne voit-elle pas une vertu rédemptrice dans la souffrance ?

    Le cardinal André Vingt-Trois répond : – Jamais l’Église n’a souhaité infliger la souffrance à qui que ce soit ! Ce n’est pas la souffrance en elle-même qui est rédemptrice, c’est la manière dont elle est vécue et offerte dans un acte d’amour par celui qui la supporte. Mais ce n’est pas à son entourage de décider pour la personne comment elle doit vivre sa souffrance. Souffrir est un mal et il est d’ailleurs tout à fait admirable de voir comment le corps médical, le personnel soignant se dépensent avec beaucoup de force pour atténuer la douleur des personnes. Ainsi, ils leur permettent de gagner plus de liberté pour donner sens à ce qu’ils vivent. C’est cela qui est déterminant.

    source

  • Dix ans d'euthanasie légale en Belgique

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    (Du Bulletin de l'IEB)

    Vient de paraître

    Rendez-vous avec la mort
    10 ans d’euthanasie légale en Belgique 

    Étienne Montero 
    Professeur ordinaire à l’UNamur
    Doyen de la Faculté de droit


    Après dix années d’application de la loi sur l’euthanasie en Belgique (2002), le moment est venu de dresser un bilan critique.

    • Peut-on soutenir que l’euthanasie est adéquatement balisée, sa pratique rigoureusement contrôlée et ses conditions légales parfaitement respectées ?
    • Est-il vrai qu’aucun effet de « pente glissante » ne se manifeste en Belgique ?
    • Peut-on parler sans fard du « modèle belge des soins palliatifs intégraux » au sens où, dans ce pays, l’euthanasie serait une composante intégrante des soins palliatifs ?
    • Peut-on affirmer que la dépénalisation de l’euthanasie n’a nullement altéré la confiance dans les médecins ?

    L’objectif de cet ouvrage est de répondre à ces questions et de permettre au lecteur d’approfondir sa réflexion en la confrontant à celle d'un expert.

    Table des matières ICI

    140 pages - 29 €  - (5 € de frais de port pour la Bel. en sus)
    Vous pouvez commander cet ouvrage :
    Par fax : 010 40 21 84 
    Par mail : commande@anthemis.be 
    Via le site : www.anthemis.be

  • BXL : à l'Institut Sophia : des cours de bioéthique ouverts à tous

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    logo.pngDes cours ouverts à tous !

    Le cours d’initiation aux  Questions de bioéthique  est ouvert à tous, et donc aussi aux adultes qui ne font pas l'année Sophia.

    Ce cours se donne en journée tous les lundis de 13h30 à 15h40 (congés scolaires exclus) à partir du 30 septembre 2013.

    Ils s’adressent à toute personne curieuse de comprendre et de communiquer sur toutes ces questions essentielles : Euthanasie des mineurs, Soins palliatifs - acharnement thérapeutique - Cellules souches - Avortement - Clonage thérapeutique -Thérapie génique - Clause de conscience, ...

    Ils sont assurés par Carine Brochier et se donnent dans les locaux de l’Institut d’Etudes Théologiques (IET), 24 Boulevard St Michel, 1040 Bruxelles. 

    La participation financière est de 120 euros (60 euros pour les moins de 30 ans) Coordonnées bancaires de l’asbl Sophia : Banque ING : 363-0055152-96 

    Infos : 0477 042 367 (Carine Brochier) - Inscriptions : institutsophia@yahoo.fr

  • Aujourd'hui sur Euthanasie Stop - 26/06/2013

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    Que cache la peur des mots qu'on ne dit plus?

    Publié par Oriane de Halloy (Infirmière)

    Lire « Que cache la peur des mots qu'on ne dit plus? »

    Subversion, Perversion, Inversion, ... ou Conversion

    Publié par Thierry LETHÉ (Médecin de famille)
    Lire « Subversion, Perversion, Inversion, ... ou Conversion »

    A propos de l'euthanasie des mineurs

    Publié par Christine de MONTPELLIER (Pédiatre)

    Lire « A propos de l'euthanasie des mineurs »

    Autres articles en Néerlandais : 

    Wat is nu het echte probleem?

    Publié par Dominiek SNEPPE (Lic. Godsdienstwetenschappen - Huismoeder)

    Lire « Wat is nu het echte probleem? »

    Euthanasie voor dementerenden ? Kritische bedenkingen

    Publié par K. SOMERS (Bezorgd familielid)

    Lire « Euthanasie voor dementerenden ? Kritische bedenkingen »

  • SIDA : les Mutualités Chrétiennes persistent et signent

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    Les Mutualités Chrétiennes persistent et signent. Pour parler des maladies sexuellement transmissibles, elles continuent à relayer tels quels les slogans de Info Sida, du type : « Le sexe, c’est où, avec qui, comme vous voulez. Mais toujours protégés ». Or, avec ce genre de slogan, on propage de plus en plus les maladies sexuellement transmissibles, ce que prouvent les statistiques en Belgique.

    Voir : http://www.enmarche.be/Actualite/Echos_actualite/2013/Echos1499.htm#t2

    Il est donc renversant qu'une Mutualité (se prétendant chrétienne en plus) se fasse le simple porte-voix de slogans qui ont comme seul résultat la propagation de maladies graves depuis des années. La sexualité est une trop belle chose que pour la confier aux seuls idéologues du sexe « où, avec qui et comme vous voulez ».

    Nous avions déjà évoqué cela ICI

  • Euthanasie : aller témoigner à la RTBF ?

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    Le site RTBF.be

    Lundi 24 juin 2013


    Dans le cadre du Journal Télévisé, la RTBF

    lance un appel à témoins.

     

     

    On parle régulièrement de l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs. Nous souhaitons consacrer un dossier sur ce thème délicat.
     
    Nous voulons donner la parole à tous ceux qui sont confrontés à la mort d'un adolescent, d'un enfant et débattre avec eux de la mort et de l'euthanasie.
    Nous souhaitons, avec respect mais sans tabou, aborder cette problématique.
     
    Nous recherchons donc des témoignages de personnes qui ont été ou qui sont amenées à se poser des questions sur la fin de vie des jeunes.
     
    Recueillir l'avis: 

    - des parents qui se posent des questions ou doivent répondre aux questions de leur enfant
    - des adolescents qui auraient abordé la question de leur fin de vie
    - des personnes qui les accompagnent dans ce cheminement.
     
    Si vous vous sentez concerné de près par ce débat sur les jeunes, la mort et l'euthanasie, votre témoignage nous intéresse.

     

     

     

    Inscrivez-vous!

  • S'éclater et puis mourir

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    Alors qu'en Belgique le débat sur l'euthanasie risque de déboucher rapidement sur un élargissement de la loi autorisant notamment le "suicide assisté" des mineurs, les Pays-Bas ne se privent pas de célébrer cette culture de mort comme on peut le lire ICI :

    Lundi soir de nombreux Néerlandais seront vissés à leurs écrans de télévision pour voir un documentaire de 55 minutes sur la « mort choisie » de Priscilla Brouwer, euthanasiée à 26 ans pour ne pas subir la lente dégradation associée à la maladie héréditaire dont était morte sa propre mère alors qu'elle était encore enfant.
     
    Le film sera diffusé par une chaîne d'Etat, Nederland 2, sous le titre Nachtvlinder, « Papillon de nuit », le surnom de la jeune fille qui dès le diagnostic de sa maladie, à l'âge de 16 ans, a décidé de profiter de chaque instant, jour et nuit. Devenue une figure de la vie nocturne à Amsterdam, elle a tôt décidé qu'elle partirait lorsqu'elle estimerait « souffrir sans perspective » selon la terminologie officielle de la loi autorisant l'euthanasie, issue qu'elle avait envisagée et étudiée dès la maladie et la mort de sa propre mère.
     
    Le documentaire, goulûment filmé pour montrer la jeune Priscilla et tous ceux qui l'ont soutenue en exemple, la suit pendant ses derniers jours. Derniers jours décrétés inéluctables par la jeune femme lors de son 25e anniversaire : c'est là qu'elle estime souffrir davantage qu'elle ne tire de jouissance et de choses positives de la vie. Deux amies proches l'accompagnent dès lors dans ses démarches : aller voir le médecin de famille, par exemple, pour réclamer la mise à mort prochaine.
     
    Sans être en pleine forme, Priscilla n'en est pas pour autant en phase terminale. Mais elle dit préférer partir à 26 ans que d'attendre les quelques années de vie supplémentaire qu'elle pense pouvoir espérer dans un état diminué.
     
    Alors, elle s'offre ses derniers plaisirs. Un tour en taxi dans Amsterdam, pour saluer une dernière fois sa ville. Boire. « Cueillir le jour ». Pour ses 26 ans, elle va s'offrir une fête à tout casser, avant de partir définitivement le lendemain, entourée de ses amies.
     
  • Les Belges majoritairement opposés à l'euthanasie des mineurs

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    Sondage en ligne organisé par les jeunes du MR à propos de l’euthanasie des mineurs : Euthanasie : mineur mais libre de choisir ?

    Voici l’annonce du sondage et l’invitation pour les citoyens belges à se prononcer. La détermination d’un âge limite dans la perspective d’une extension aux mineurs de la loi sur l’euthanasie n’est pas évidente. Et pourtant, l’euthanasie des mineurs est d’ores et déjà pratiquée sans un cadre légal strictement défini. Il est urgent de légiférer compte tenue de la capacité de discernement des mineurs et afin d’assurer le respect de la dignité humaine !

    • OUI - 13%
    • NON - 87%

    http://www.jeunesmr.be/generationdefi/euthanasie-mineur-mais-libre-de-choisir/

  • Rome : le "peuple de la vie" réuni autour de François

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    Lu sur Avvenire.it :

    Les personnes pro-vie venues de partout dans le monde se retrouvent autour du Pape pour donner plus de force à l'Evangile de la Vie et s'engager dans la défense des êtres plus faibles et sans défense, avec le soutien de la pétition européenne "One of Us". Présents à ce pèlerinage, des milliers de gens viennent de partout dans le monde; la délégation américaine est particulièrement nombreuse et bien organisée.

    La signification des journées "Evangelium Vitae" est de donner un témoignage commun à la valeur sacrée de la vie, de toute vie humaine. L'archevêque Rino Fisichella , président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, en a fait le résumé dans la présentation de l'événement, dont le moment central est la messe présidée par le pape François, ce dimanche 16 juin à 10h30, sur l'esplanade devant la basilique Saint-Pierre. En parcourant la liste des groupes et des associations qui ont adhéré à l'initiative, écrit l'Osservatore Romano, on perçoit la signification de cette manifestation en faveur de la vie, de sa conception à sa fin naturelle. "Notre espoir - écrit l'archevêque Fisichella - est que le nombre des fidèles sur la place Saint-Pierre soit si grand qu'il fasse sentir au monde notre attachement unanime à ce qui est au cœur de la mission rédemptrice de Jésus: « Je suis venu pour qu'ils aient la vie en plénitude. " Samedi, de nombreux pèlerins ont prié sur la tombe de saint Pierre. Une  catéchèse en italien a eu lieu samedi matin, premier rendez-vous pour la délégation de langue italienne, dans l'église de San Giovanni dei Fiorentini avec le cardinal Camillo Ruini, qui a donné un enseignement sur «Evangelium Vitae. "La culture des droits individuels, érigée en absolu, devient une illusion tragique qui conduit à refuser leurs droits à d'autres et, à la fin, se retourne contre nous-mêmes, comme c'est le cas pour l'euthanasie. Le thème de la vie - a déclaré le cardinal - fait l'objet d'attitudes culturelles contrastées dans l'opinion publique. "Il ya une sorte d'accoutumance à l'égard de l'avortement légalisé, qui apparaît finalement comme une chose légitime et sans gravité", débouchant sur une tentative rampante pour faire de l'avortement un véritable droit humain. "Même l'euthanasie, pour la culture dominante, est présentée comme un "libre choix de poursuivre ou d'interrompre sa vie." "Au point que se développe également l'hypothèse d'une euthanasie qui ne serait pas requise par le sujet, mais qui serait pratiquée par un autre qui constaterait que les conditions de vie sont devenues trop mauvaises ou indignes pour être vécues. "L'allégation de la liberté individuelle, a déclaré le cardinal Ruini, est également à la base du testament de vie : "je décide quelle sera ma fin à venir, mais je décide non seulement pour moi, je contrains les autres, les médecins en premier lieu, à se comporter en fonction de ma décision. "Ce qui figure dans" Evangelium Vitae ", a déclaré le cardinal, constitue une doctrine très claire et très forte qui donne de nettes indications sur la législation qui s'y rapporte." "Le commandement  "Tu ne tueras pas" a une "valeur absolue, et le meurtre d'une personne innocente est toujours gravement immoral", lit-on par exemple dans l'encyclique où Jean-Paul II confirme que l'euthanasie, par action ou par omission, constitue une violation grave de la loi divine." En résumé, "la légalisation de l'avortement et de l'euthanasie n'est jamais licite» et l'objection de conscience à l'égard de ces lois "est un droit fondamental." "Ils semblent venir d'une autre planète - dénonce le cardinal Ruini - ces comportements politiques de nombreux politiciens qui se déclarent catholiques, mais qui sont favorables à des législations qui consacrent le droit à l'avortement et à l'euthanasie ".

    L'Assemblée de « one of us »

    À l'occasion de ces journées a lieu également la première coordination effective des 28 comités des associations pro-life qui soutiennent la pétition internationale "One of us" (27 pays de l'UE + la Croatie, qui va entrer dans l'UE le 1er juillet).