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Santé - Page 128

  • Quand les vieux coûtent cher...

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    L'euthanasie ne permettrait-elle pas de faire des économies ? C'est ce que suggère un Australien, partisan de l'euthansaie, comme le rapporte Jeanne Smits sur son blog :

    Nitschke : l'euthanasie, moyen de faire des économies

    Au moins, Philip Nitschke a le mérite de la franchise, comme le souligne BioEdge. Le plus célèbre des promoteurs de l'euthanasie en Australie vient d'écrire dans une tribune libre publiée par le Canberra Times qu'il est temps de considérer le prix à payer pour maintenir en vie des vieillards et des mourants contre leur gré. Le prix matériel, s'entend : les dépenses de santé, notamment celles prises en charge au titre de l'assurance maladie.

    Le thème est pour le moins controversé et on s'étonne que Nitschke ait décidé de l'aborder alors même qu'il s'est porté candidat aux élections au Sénat fédéral australien au titre du VEP (Voluntary Euthanasia Party) mais peut-être a-t-il estimé qu'il valait mieux désamorcer les éventuelles attaques à son égard en prenant les devants. Oui, la question économique doit être posée, dit-il en substance. Non, il ne s'agit pas de faire de l'euthanasie un régulateur économique, mais de considérer simplement ce que coûte le fait de refuser l"euthanasie à ceux qui la demandent.

    Lire la suite sur le blog de J. Smits

  • Euthanasie : l'hôpital universitaire de Gand devant le juge

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    Voilà un avocat bien assertif, mais aussi un fait qui met bien en lumière l'évolution progressive du "droit à l'euthanasie" vers un "droit au suicide assisté". Et l'on fait bien peu de fait ici du fait que le patient n'est pas en phase terminale, et que l'arrêt du traitement est tout simplement létal pour un patient qui peut vivre. Il s'agit d'une euthanasie qui ne veut pas dire son nom, ne satisfait pas aux conditions légales et tourne carrément au suicide assisté. Quant à l'objection de conscience, la voici déjà à se retrouver devant le juge, pour avoir respecté la loi en refusant "d'achever" un suicidé. On ne peut que trembler.

    De Standaard.be

    D’après la VRT, l’hôpital universitaire de Gand et l’un de ses médecins doivent se justifier ce lundi devant le juge, car il ne veulent pas arrêter le traitement d’un patient dans le coma.

    Il y a quelques semaines, l’homme avait essayé de se suicider, mais il survécu à sa tentative. Il est depuis plongé dans un coma artificiel.

    Il avait arrêté dans une « déclaration de volonté négative » qu’il refusait par avance tout traitement dans ce cas.

    « C’est le droit de chaque patient de l’hôpital de faire savoir qu’il ou elle ne souhaite pas subier certains traitements. Dans ce cas-ci, le patient a clairement fait savoir qu’il ne veut pas recevoir d’autres traitements que des traitements antidouleurs. Et ce souhait n’est pas respecté. Je veux que cet acharnement thérapeutique cesse », a déclaré son avocat Joris Van Cauter à la radio VRT. « Ce que j’espère atteindre, c’est que la volonté de cet homme soit respectée ».

  • Avortement et cancer du sein : chronique d'une pandémie annoncée

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    Jeanne Smits propose sa traduction d’un article du Dr Joël Brind, professeur de biologie et d’endocrinologie au Baruch College de la City University de New York. Il est également co-fondateur et membre du Bureau du Breast Cancer Prevention Institute. Il a participé à des études sur le lien entre avortement et cancer du sein depuis 1992. Texte original et notes ici

    Certaines maladies épidémiques sont causées par des bactéries, les plus petits des êtres vivants. D’autres sont causées par des virus : des morceaux d’ADN ou d’ARN « voyous » : ils ne sont pas vivants, mais constituent néanmoins des séquences d’informations destructrices et infectieuses. Nous connaissons tous, bien sûr, aujourd’hui, les virus informatiques qui agissent de la même façon.

    Le cancer du sein, à l’inverse, fait partie de ces maladies « épidémiques » qu’on estime ne pas être infectieuses. Mais les séquences infectieuses d’informations destructrices sont bien des virus, et elles n’ont pas besoin d’ordinateurs pour servir de porteurs. La mauvaise information peut circuler moyennant n’importe quel type de langage.

    Supposez que l’on introduise la cigarette au sein d’une population qui n’aurait jamais fumé, accompagnée de cette instruction : « Fumer des cigarettes ne nuit pas à votre santé. » Cette phrase, qui véhicule une information fausse et destructrice, finirait bien avec le temps – tout comme un virus moléculaire – par provoquer une épidémie de cancers du poumon, non ?

    Voici un autre exemple : « L’avortement n’augmente pas le risque de cancer du sein. » Cette lignée-là du virus de l’« avortement sûr et sans danger » peut-être remontée au moins jusqu’en 1982, à Oxford en Angleterre, et désormais elle s’est répandue dans le monde entier.

    La très mauvaise nouvelle, c’est qu’elle s’apprête à prendre la vie de millions de femmes dans les nations les plus peuplées. Je vais vous expliquer pourquoi.

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  • Empêcher à tout prix les enfants trisomiques de venir au monde

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    D'après la Libre de ce jour (pp. 22-23), les centres belges de généthique proposent dès cet été un test ADN détectant la trisomie du foetus. Cela nous incite à publier à nouveau cet article que nous avions mis en ligne il y a un an. En effet, on sait que ce type d'examen mène 99% des parents à recourir à l'avortement lorsque l'examen diagnostique la trisomie, ce qui est pour le moins interpellant.

    (Source : Gènéthique.org)

    Vers une généralisation du nouveau test de dépistage de la trisomie 21

    Après l’autorisation donnée à la commercialisation du "PraenaTest" en Suisse (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 30 juillet 2012), l’Allemagne (Land du Baden-Württemberg) vient elle aussi de donner son feu vert. Les associations Suisses en faveur du droit à la vie des personnes trisomiques "craignent une hausse des IVG" et "une stigmatisation des parents ayant laissé un enfant trisomique venir au monde". La question de l’introduction et de la généralisation de ce nouveau test se pose dans d’autres pays,  notamment en France.

    Actuellement, en France, "toutes les femmes enceintes se voient proposer, dès le premier trimestre, un dépistage qui associe une échographie et des prélèvements biologiques dans le sang". L’objectif est de "déterminer un niveau de risque de trisomie pour chaque grossesse. […] En cas de risque élevé, c’est à dire supérieur ou égal à 1 sur 250, seule une amniocentèse, [un examen invasif], permet de poser le diagnostic de la trisomie". "En 2010, plus de 55 500 femmes ont choisi de subir [l’amniocentèse]", qui présente un risque de fausse couche de 1%. Or, l’Agence de la biomédecine souligne que "95% des femmes demandent une interruption médicale de grossesse" lorsqu’est diagnostiquée une trisomie 21.

    Le nouveau test, conçu par LifeCodexx, "pourra être fait dès la dixième semaine de grossesse". Il consiste à "récolter des informations sur l’ADN du fœtus, présent sous forme de petits fragments dans le sang de la mère", afin de diagnostiquer la trisomie 21.

    Pour le Pr Yves Ville, chef du Service de gynéco-obstétrique de l’hôpital Neker, "plusieurs études internationales ont montré [la] fiabilité [du test], évaluée autour de 99%". Cependant, pour la directrice de l’Agence de la biomédecine, Emmanuelle Prada-Bordenave, l’instauration en France ne serait pas tout de suite car les "premiers résultats, même s’ils sont très prometteurs, doivent être confirmés par des études cliniques menées à grande échelle".

    Mais "pour de nombreux spécialistes, la généralisation du test à l’ensemble  des femmes n’est pas souhaitable". Ainsi, le Pr Israël Nisand, gynécologue obstétricien, qui "s’oppose farouchement à une ouverture au plus grand nombre, même sans remboursement de la sécurité sociale" précise : "il n’y a pas de liberté absolue dans le domaine du dépistage prénatal, mais une politique nationale qui s’impose à tous. Il n’est pas question de céder à une forme de pression induite par les laboratoires". Pour le Dr Henri Bléhaut, directeur de la recherche à la Fondation Jérôme Lejeune, il est à déplorer que "le dépistage de la trisomie 21 se fasse au détriment des programmes de recherche thérapeutique".

  • 87% des Brabançons des Pays-Bas favorables à l'euthanasie

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    "Sans croire à l’exactitude et à la scientificité absolue des sondages, on peut quand même s’arrêter quelques instants sur cette enquête réalisée auprès de 4 000 Brabançons néerlandais à propos de l’euthanasie et du suicide assisté. 87 % « des Brabançons », affirme le commanditaire du sondage Omroep Brabant, estiment que chacun doit pouvoir choisir le moment de son propre décès. Ils sont même 97 % à approuver le suicide assisté en faveur de personnes atteintes de souffrances physiques insupportables et sans espoir d’amélioration."

    sur le blog de J. Smits qui explicite et commente ces chiffres

  • Préparons l'avenir

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    Comme vous le savez, on n'arrête pas le progrès. Cela dit, si nous voulons construire un monde de plus en plus radieux, des pas restent encore à franchir. Voici donc quelques propositions avant-gardistes qui, souhaitons-le, seront peut-être appliquées un jour...

    1)    Euthanasie des plus de 75 ans. Avouez que les vieux commencent à coûter cher à la société. Plutôt que de continuer à payer leur longue retraite, il est tout indiqué de les zigouiller.

    2)    Majorité sexuelle revue à la baisse (12 ans, par exemple). Certes, voilà qui est encore bien tardif, mais, une chose à la fois. On pourra toujours la diminuer davantage dans la suite.

    3)    Afin de ne pas choquer certains, retrait de la viande de porc des magasins, redéfinition de toutes les fêtes chrétiennes (c'est déjà fait pour noël et pour pâques, mais il faut continuer) et suppression de tout signe qui rappelle le catholicisme.

    4)    Avortement autorisé jusqu'à 9 mois et piqûre fatale aux enfants qui naissent avec un handicap.

    5)    Légalisation totale de toutes les drogues, mais interdiction du tabac.

    Bon, je m'arrête. Vous avez dit fiction ? Je l'espère de tout coeur et pourtant... Si, il y a 40 ans seulement, quelqu'un avait dit : « En 2013 vous aurez l'avortement, l'euthanasie, le mariage des couples gays et l'adoption d'enfants par ceux-ci, vos églises seront vides et peu à peu remplacées par des mosquées », on l'aurait traité de fou, de prophète de malheur ! Et demain ? Monde apocalyptique ? Nul ne le sait vraiment, mais une chose est sûre : le diable est au boulot !

    Jean-Pierre Snyers - http://jpsnyers.blogspot.be/

     

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (25/7/2013) : USA / Belgique / France / Royaume-Uni

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    header_fr.jpgSommaire

      USA : une femme se réveille du coma juste avant le prélèvement de ses organes
      Belgique : déclaration anticipée en fin de vie : comment trouver des « témoins » ?
      France : vote de la proposition de loi autorisant la recherche sur l’embryon humain

      Royaume-Uni : enquête parlementaire et arrêt de la sédation terminale

  • Japon : premier essai clinique mondial en recourant aux IPS

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org du 22 juillet 2013, une nouvelle avancée en recourant aux cellules souches adultes :

    iPS: lancement du premier essai clinique mondial sur l'homme

     Ce vendredi 19 juillet, les autorités japonaises ont donné leur autorisation pour le lancement des premiers essais cliniques mondiaux de médecine régénérative, sur l'homme, pour le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), et en utilisant les cellules souches pluripotentes induites (iPS). Cette autorisation a été donnée au Pr Masayo Takahashi, en collaboration avec l'Institut de recherche et d'innovation biomédicale japonais et le Kobe Medical City Hospital General Center (hiPSCs), et portera sur une cohorte de 6 patients atteints de DMLA. Ces derniers seront suivis sur une période allant de 1 à 3 ans. 

    Concrètement, les chercheurs prélèveront "des cellules cutanées sur le bras des patients malades, [...] les reprogrammer[ont] en cellules souches iPS, [et] [...] les [feront] évoluer en cellules de la rétine pour les réimplanter ensuite dans l'oeil du patient. Le tout devrait prendre environ 8 mois". Les cellules iPS seront donc créées "à partir de cellules adultes ramenées à l'état quasi embryonnaire en leur faisant de nouveau exprimer 4 gènes (normalement inactifs dans les cellules adultes)". 

    L'objectif de ces essais sur l'homme est de "montrer l’innocuité et l’efficacité de la technique pour traiter une des formes humides et tardives de la DMLA, la forme néovasculaire". Cette forme de DMLA est la plus commune et représente près de 90% des cas. Elle est la première cause de cécité chez les plus de 55 ans.

    Au Japon, la recherche sur les cellules iPS est devenue une priorité. L'Etat a en effet "décidé de leur allouer des financements importants considérant qu'il s'agit d'un domaine extrêmement prometteur dans lequel les Nippons devraient prendre une longueur d'avance".

    (Sante.lefigaro.fr (Pauline Fréour) 19/07/2013 - santelog.com 21/07/2013 - leparisien.fr 19/07/2013 - Lacroix.fr 19/07/2013)

  • Un lien avéré entre l'avortement et les naissances prématurées

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    Friday-Fax-Header-French.jpgDes chercheurs reconnaissent l’existence d’un lien entre IVG et naissance prématurée

    NEW YORK, 19 juillet (C-FAM) L’Organisation mondiale de la santé (OMS) l’avait ignoré, les journaux médicaux l’avaient minimisé. Aujourd’hui les chercheurs admettent avec regret qu’il existe un lien entre IVG et naissance prématurée.

    Les auteurs d’une nouvelle publication ont émis l’hypothèse selon laquelle la modernisation les méthodes abortives réduirait le risque de naissances prématurées lors des grossesses ultérieures.

    Les militants de l’avortement ont longtemps nié l’existence d’un lien entre IVG et naissance prématurée, et ce malgré la croissance soutenue de données indiquant l’inverse. L’association entre IVG et naissance prématurée serait un « mensonge absolu », déclarait Leila Hessini pour Ipas. « Il n’existe aucune organisation médicale [américaine] qui reconnaisse l’existence d’un lien de cause à effet entre avortement et naissance prématurée », a clamé Paige Johnson au nom de sa filiale du Planning familial en Caroline du Nord.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (18/7/2013) : don de sperme / ADN / FIV à prix réduit

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    header_fr.jpgSommaire

  • Angleterre : un coup de frein à la pratique de l'euthanasie

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    C'est une belle victoire pour la vie, commente Jeanne Smits :

    Le protocole de « fin de vie » connu sous le nom de Liverpool Care Pathway, reposant sur la sédation « terminale » ou « palliative » devrait être abandonné d’ici à l’automne, aux termes d’une enquête parlementaire qui a mis en évidence les abus liés à la procédure, rapporte LifeSite.

    Le  LCP, « parcours de soins de Liverpool », prévoit notamment le retrait de l’alimentation et de l’hydratation couplée à une sédation profonde continue si cela est jugé conforme aux « meilleur intérêt » du patient souffrant d’une maladie incurable.

    Dans les faits, de nombreux médecins et proches de patients ont affirmé ces dernières années que le parcours est volontiers appliqué à des patients qui ne sont pas en fin de vie, sans concertation avec la famille, son utilisation constituant parfois ou fréquemment, selon les sources, une euthanasie lente.

    L’enquête parlementaire, sous le titre « Davantage de soins, moins de parcours », met en avant les cas de soins et de prises en compte des symptômes inadaptés ou insuffisants, et un recours systématique et sans humanité à ce protocole qui cause la mort dans les 29 heures, en moyenne.

    Ce sont les journaux tabloïdes plutôt conservateurs qui ont fait éclater le scandale en donnant la parole à des proches outrés de voir leurs proches poussés vers la mort alors qu’ils auraient pu vivre encore pendant une durée indéterminée.

    Le Parlement a alors joué son rôle, et il n’a pas démenti la crainte et l’indignation des proches des malades. Norman Lamb, ministre qui a commandé l’enquête, l’avait fait en expliquant qu’il avait été personnellement « horrifié » par les souffrances dont témoignaient les proches qui avaient perdu un être cher par le LCP.

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  • Existe-t-il des absolus moraux ?

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    Sur DIDOC.be : Y a-t-il des absolus moraux? (Stéphane SEMINCKX)

    « Est-il toujours mal d’ôter la vie à une personne innocente ? » Voilà la question que Peter Singer pose dans l'article "La question de Beatriz" (La Libre Belgique du 18-6-13). L’Eglise catholique répond oui, Singer prétend que non.

    Le cas de la jeune femme salvadorienne

    Qu’en est-il ? Peter Singer évoque le cas récent d’une jeune femme salvadorienne, souffrant de lupus érythémateux, enceinte d’un fœtus anencéphale, et dont la vie aurait été menacée par cette grossesse. Une particularité du cas est le fait que l’anencéphalie provoque souvent la mort du fœtus avant la naissance ; s’il vient à naître, l’enfant meurt rapidement.

    Pour Peter Singer, il est évident que, dans ce cas, on peut et on doit pratiquer l’avortement pour sauver la mère. Il signale que les tribunaux salvadoriens et la Cour Suprême en ont jugé autrement, s’appuyant sur l’interdit absolu de l’avortement. Finalement Beatriz a été autorisée à subir une césarienne avant terme, qui a été présentée, non comme un avortement, mais comme une « naissance provoquée ». Le nouveau-né est mort cinq heures plus tard. Pour Singer, tout cela est profondément absurde.

    Ce qu’il ne dit pas, c’est que l’on avait conseillé l’avortement à Beatriz, déjà malade, lors de sa première grossesse, que celle-ci a refusé, et que tout s’est bien passé. Ce qu’il ne dit pas, c’est que la Cour Constitutionnelle a interdit l’avortement mais a recommandé de tenter de sauver la vie tant de la mère que de l’enfant. Ce qu’il ne dit pas non plus, c’est qu’un collège d’experts a signalé au Tribunal que la pathologie de la mère n’était pas grave au point de craindre sa mort imminente. Ce qu’il omet de signaler aussi, c’est que la solution adoptée, à savoir la naissance provoquée par césarienne, à la 27ème semaine de grossesse, était conforme à la sentence de la Cour Constitutionnelle.

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