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Santé - Page 131

  • Mortalité infantile : Bruxelles bat les records

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    Source : http://www.lesoir.be/250489/article/actualite/regions/bruxelles/2013-05-28/bruxelles-presente-mortalite-infantile-plus-haute-d-europe

    La Région bruxelloise présenterait les plus hauts chiffres de mortalité des jeunes enfants en Europe, rapportent les journaux De Morgen et Metro sur base de l’étude européenne Peristat.

    Bruxelles fait moins bien que la Roumanie

    Il s’agit des chiffres de 2010. Pour 1.000 naissances, 8,9 foetus n’ont pas survécu à plus de 22 semaines de grossesse. La mortalité des nouveau-nés s’élève quant à elle à 2,7 décès endéans les 28 jours suivant l’accouchement. La Flandre (4,8 et 2,3) et la Wallonie (5,3 et 2,1) se situent en milieu de classement européen. En Islande, le chiffre est de 4,7 pour 1.000, au Portugal, 4,8 pour 1.000. L’Islande et Chypre sont les mieux classés.

    Bruxelles fait moins bien que la Roumanie, les Pays-Bas. Le rapport souligne également le nombre relativement important, pour Bruxelles, de nourrissons de très faible poids à la naissance.

  • Pays-Bas : la clinique pour la fin de vie double ses capacités

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    "Au suivant..."  

    Presseurop Trouw  

    Trouw, 24 mai 2013

    La Levenseindekliniek, la ‘clinique pour la fin de vie’, qui accueille depuis mars 2012 les personnes dont le médecin traitant refuse de donner suite à leur demande d’euthanasie ou d’assistance au suicide, double ses capacités.

    A partir du mois de juin, 30 équipes, employant un total de 60 médecins, pourront venir en aide aux personnes qui subissent "des souffrances insupportables et sans issue", comme inscrit dans la loi de 2001 sur l’euthanasie.

    La liste d’attente qui existe actuellement auprès de la clinique (avec une durée entre 1 et 6 mois) et sur laquelle figure 180 Néerlandais, sera ainsi réduite à une durée de 4 semaines maximum.

  • L'intervention du Saint-Siège à la 66e Assemblée Mondiale de la Santé à Genève

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    (Zenit.org) - Voici le texte intégral (traduction de travail) de l'intervention de Mgr Zygmunt Zimowski, président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, à Genève, pour la 66e Assemblée mondiale de la Santé, (20-28 mai 2013), à Genève, en Suisse. Il y aborde la question de la vieillesse mais aussi du respect de l'enfant à naître à propos de la pillule abortive (cf. Zenit du 23 mai 2013 pour l'article, http://www.zenit.org/fr/articles/sante-prevenir-les-maladies-des-personnes-agees).

    ***

    Monsieur le Président,

    J'ai l'honneur de vous transmettre les salutations et la bénédiction du Saint-Père, le Pape François qui souhaite de tous ses vœux les délibérations de cette auguste Assemblée abondamment fructueuses. 

    1. Il a été dûment souligné que la santé contribue à la réalisation du développement, mais aussi en bénéficie. Ma délégation accueille très favorablement la détermination à donner la priorité à la santé lors de la prochaine définition des objectifs du développement global. La tâche que nous avons devant nous est de décrire les objectifs sanitaires de façon appropriée et convaincante. A ce sujet, le Saint-Siège croit fermement que la mise en place de la couverture sanitaire universelle comme politique de santé et de développement (A66/24)) peut être une voie plus sûre de résoudre un large éventail de problèmes de santé, lesquels pouvant aller de la consolidation des résultats acquis jusqu'ici à la conception d’un programme sanitaire plus ample. 

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  • Clôner un embryon est inacceptable

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    Le clonage dun embryon, « une technique inacceptable ! »
    Centre de Bioéthique de l'université catholique de Milan

    (Zenit.org) - « Cette indifférence face à la valeur de l’existence humaine dans sa phase  initiale est inacceptable », déclare le professeur italien Adriano Pessina, dans une note répondant à l’annonce par des chercheurs américains de la création de cellules souches humaines embryonnaires par clonage.

    Le professeur Pessina, directeur du centre de bioéthique à l’université catholique à Milan, commente les résultats d’une technique de clonage publiés sur la revue américaine Cell, dont le procédé ressemble à celle utilisée, il y a 17 ans, pour faire naître la brebis Dolly. 

    « Mais la différence tragique entre ces deux techniques c’est que cette fois-ci il est question de cellules humaines et de la formation d’un embryon humain pour obtenir des cellules souches », relève-t-il.  

    Dans le reste de son communiqué, l’expert en bioéthique, explique ce qui le choque dans l’annonce de ce que les media semblent rapporter comme une « percée » importante pour traiter certaines maladies comme le Parkinson, la sclérose en plaques, des pathologies cardiaques et des blessures à la moelle épinière : 

    ***    

    «  Contrairement au procédé utilisé pour la brebis Dolly dont le but était reproductif, l’objectif soit disant « thérapeutique » de ce nouveau procédé, pour le moment seulement envisagé, prévoit ensuite la destruction de l’embryon pour pouvoir disposer des cellules souches. 

    Le langage scientifique ne permet pas à tout le monde de saisir la réelle gravité de cette expérience qui est le signe d’une indifférence inacceptable face à la valeur de l’homme dans la phase initiale de son existence. Le clonage de cet embryon est la génération d’un être humain,  frère jumeau de la personne dont a été prélevée la cellule qui, après manipulation, a été transférée dans l’ovocyte dénoyauté, permettant ainsi son développement. Aucune raison, à caractère scientifique ou thérapeutique, ne saurait légitimer telle pratique d’un point de vue moral. Tout comme on ne saurait négliger le fait que ces expériences prévoient l’utilisation d’ovocytes humains: pouvons-nous ignorer que celle-ci impliquerait aussi une vraie exploitation des femmes, utilisées comme productrices de matériel biologique?

    Il est frappant de voir que la communauté scientifique internationale n’a aucune réaction éthique face à cela, feignant de ne pas savoir que ce à quoi l’on donne naissance ici est un être humain. Aucune perspective thérapeutique future ne saurait légitimer la naissance et la destruction d’êtres humains. En Europe, la convention d’Oviedo, article 18, interdit explicitement la création d’embryons dans des buts de recherche: or de telles expériences échappent aux larges filets de la législation américaine.La protection de l’homme dès sa phase embryonnaire et l’interdiction de manipuler l’origine de la vie humaine quelque soit le but poursuivi, devrait être un impératif de l’humanité toute entière, un résultat partagé par tous ceux qui, dans la déclaration universelle des droits de l’homme, ont salué l’émergence d’une nouvelle conscience concernant les principes d’égalité et de non discrimination qui devraient réguler toute activité, en premier lieu l’activité scientifique. »

    Pour infos: HYPERLINK "http://www.centrodibioetica.it/"www.centrodibioetica.it

  • La douleur post-avortement

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    De le revue de presse de gènéthique.org :

    Un sondage met en avant la douleur post-avortement

    Un récent sondage d'Opinion Way pour le Laboratoire Nordic Pharma, mené auprès de 499 femmes âgées de 16 à 50  ans et ayant subi une IVG au cours des cinq dernières années, révèle que "les deux tiers des femmes qui subissent une interruption volontaire de grossesse déclarent avoir ressenti une douleur physique lors du geste".  L'enquête mentionne que "près de neuf femmes sur dix en ressentaient une intensité supérieure à 6/10 dans l'échelle d'évaluation de la douleur", et que pour 62% des femmes, cette douleur était très intense. Pour le Dr Eric Viel, anesthésiste et coordinateur de l'enseignement de la douleur à la faculté de médecine de Nîme, cette douleur doit être prise en compte: "Une douleur côtée 6 ou 7/10, ce n'est pas rien".

    Selon une enquête de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Dress), "le nombre d'interruption de grossesse s'est stabilisé autour de 210 000 IVG par an en métropole". En 2010, le nombre d'IVG était de 225 000, dont 212 000 en métropole. Si l'enquête révèle donc une stabilité de la propension à interrompre sa grossesse, le journaliste mentionne qu'elle "ne doit pas cacher la relative fréquence de l'évènement pour une femme donnée" car "une femme sur trois aura recours à l'IVG au cours de sa vie".

    Le Figaro (Damien Mascret) 17/05/2013

  • Essais cliniques des médicaments à usage humain : protéger ceux qui sont vulnérables

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    Communiqué de la COMECE  17/05/2013

    Les essais cliniques des médicaments à usage humain :

    un encadrement éthique solide est fondamental

    Les essais cliniques sont nécessaires à toute mise sur le marché de nouveaux médicaments. Or, les personnes incapables d’y consentir aussi bien que des ressortissants de pays moins développés y participent souvent. Comment protéger ces personnes et populations vulnérables contre les abus? La Commission européenne a proposé un Règlement qui sera soumis au vote des députés européens le 29 mai prochain. Les experts en bioéthique de la COMECE estiment que le projet devrait aller plus loin dans la protection des personnes concernées.

    La Commission européenne a publié en 17 juillet 2012 une proposition de «Règlement sur les essais cliniques de médicaments à usage humain» qui vise à relancer la recherche clinique dans l’UE tout en assurant un niveau de protection optimal des participants ainsi que la fiabilité des données obtenues. Le projet sera soumis au vote des députés de la commission parlementaire ENVI du Parlement le 29 mai prochain.

    Le Secrétariat de la COMECE s’est félicité de cette proposition de régulation, qui va dans le bon sens. Le Groupe de Réflexion Bioéthique de la COMECE a suivi ce dossier depuis que la Commission européenne a lancé la consultation publique et publie aujourd’hui son avis sur ce projet de Règlement. Les experts de la COMECE soulignent quelques principes qui doivent être  dûment concrétisés dans le Règlement actuellement en discussion:

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  • CEDH : Vers un droit à l'interruption volontaire de vieillesse ?

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    Europe: vers un droit à l'interruption volontaire de vieillesse

    A propos de l'arrêt Alda Gross c Suisse

    Strasbourg, 16 mai 2013 (Zenit.org) Grégor Puppinck

    Dans un arrêt Alda Gross c Suisse  (n° 67810/10) du 14 mai 2013, la deuxième Section de la Cour européenne des droits de l’homme a complété l’édification d’un droit individuel au suicide-assisté (c'est-à-dire à l’euthanasie consentie) au titre du droit au respect de la vie privée garanti à l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Dans un arrêt adopté par seulement quatre voix contre trois, la Section justifie son jugement par la considération générale selon laquelle, « dans l'ère de sophistication médicale croissante combinée à l’allongement de l’espérance de vie, beaucoup de personnes ont le souci de ne pas être forcées de s'attarder dans la vieillesse ou dans des états de décrépitude physique ou mentale qui contredisent des convictions bien ancrées sur l'identité personnelle » (§ 58) [1]. 

    L’ECLJ est intervenu dans cette affaire comme tierce partie et a soumis des observations écrites à la Cour.

    Cet arrêt fait suite aux arrêts Pretty contre le Royaume-Uni (n° 2346/02 du 29 avril 2002), Haas contre la Suisse (n° 31322/07 du 20 janvier 2011) et Koch contre l’Allemagne (no 497/09 du 19 juillet 2012) par lesquels la Cour a progressivement élaboré « le droit d’un individu de décider de quelle manière et à quel moment sa vie doit prendre fin, à condition qu’il soit en mesure de forger librement sa propre volonté à ce propos et d’agir en conséquence » (Haas § 51). Dans l’arrêt Koch, la Cour avait franchi une nouvelle étape en condamnant l’interdiction de principe du suicide assisté en vigueur en Allemagne, en estimant qu’une juridiction doit pouvoir juger, au cas par cas, du bien fondé des demandes individuelles de suicide.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (15/5/2013) : euthanasie (enfants, droits des institutions, etc)

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    header_fr.jpgSommaire

  • Sur Euthanasie Stop (15/05/2013)

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    CETTE SEMAINE SUR EUTHANASIE STOP - 15/05/2013

    • Les idées claires quand on souffre ?

    Publié par Héloïse de la TOUR
    (Assistante)

    Comment le consentement peut-il être éclairé dès lors que le patient souffre ? Il faudra qu'on nous l'explique un jour ! De même que ventre affamé n'a point d'oreilles, la personne en souffrance n'a aucun discernement. L'euthanasie est bien l'aboutissement de notre société mortifère, où tuer un semblable n'est plus tabou. Exit la dignité et la sacralité de l'individu, nous sommes devenus, comme dans les rayons de supermarchés, des objets. Objet cassé ou inutile = poubelle. Quel avenir pour un...

    Lire « Les idées claires quand on souffre ? »

    • Enfin des voix qui s'elevent et qui posent les VRAIS problèmes de l'euthanasie

    Publié par Vinciane BERCKMANS
    (Administratrice d'ASBL -VZW)

    Ce débat n'a pas vraiment eu lieu lors de la première loi et il est indigne d'un pays si riche de se poser maintenant la question si des êtres fragilisés par l'âge et/ou une maladie cognitive puissent vraiment décider sans "pressions extérieures". Mais que fait on pour développer les soins palliatifs? Merci pour ce site qui j'espère n'arrive pas trop tard ....

    Lire « Enfin des voix qui s'elevent et qui posent les VRAIS problèmes de l'euthanasie »

    • La part de raison

    Publié par Xavier DIJON
    (Prof em. Faculté de Droit, Namur)

    Réfléchissons. En 2002, le législateur belge a décidé que la vie humaine comme telle ne doit plus nécessairement arrêter le geste de mort. Un tiers en effet, appelé médecin, peut désormais faire passer impunément un autre être humain de vie à trépas, bravant ainsi l'interdit séculaire de l'homicide. Oui, dira-t-on, mais cette personne l'a demandé car elle était très souffrante. Soit. Mais, indépendamment des considérations pertinentes dont regorge la littérature psycho-médicale sur le nécessair...

    Lire « La part de raison »

  • Se mobiliser contre l'extension de l'euthanasie

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    Il est question, actuellement, d'élargir l'accès à l'euthanasie, notamment aux mineurs.

    Les « experts » (!) entendus aujourd’hui à la Commission réunies Affaires sociales et Justice dans le cadre de l’élargissement de la loi dépénalisant l’euthanasie sont :

    - M. Vincent Baro, président de la Fédération Wallonne des Soins Palliatifs;
    - le Prof. Dr. Herman Nys, professeur ordinaire, KULeuven;
    - le Dr. Lieve Thienpont, psychiatre, Uitklaring Levenseindevragenteam;
    - le Prof. Dr. Wim Distelmans, professeur de médecine palliative à la VUB
    - Maître Jacqueline Herremans, présidente de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD).

    Nos lecteurs, amis et visiteurs, agiraient efficacement en mettant par écrit leurs réflexions au sujet de l'extension de l'euthanasie (pas au sujet de l'euthanasie en général mais bien de son extension) et en les adressant à "Euthanasie Stop" (http://www.euthanasiestop.be/votre-opinion.es) 

    Des idées ?

    * Un enfant est par le droit présumé incapable : il ne peut par exemple par ouvrir un compte en banque seul. Il ne peut acheter, il ne peut se marier…

    * De plus, lorsqu’il commet des méfaits, des violences, il est traité différemment qu’un adulte, car on estime qu’il n’assume  sans doute pas toute la responsabilité de ses actes...

       aurait-il pourtant le droit de demander à se faire euthanasier ?

    La maladie ferait-elle en sorte que, tout d’un coup, il aurait la capacité de décider comme un adulte de 50 ans ?

    La loi dépénalisant l’euthanasie repose sur le consentement éclairé, la liberté et un choix adulte, la volonté libre…

    Ne croyez-vous pas qu’un enfant malade soit très fragilisé ?

    Il est livré entièrement dans le bon vouloir des parents, des médecins. Il doit leur faire confiance.

    Pour répondre à sa confiance, nous n’aurions que la mort à lui proposer ?

    Ce à quoi la société est appelée, c'est à le SOUTENIR, l'accompagner, tout faire pour que cet enfant souffre le moins possible.

    Comme juger de la capacité de discerner la maturité d’un jeune ?

    Qui va juger ? Qui va tuer cet enfant ? à 16 ans, 15 ans 12 ans, 7 ans ?

    Que penser d’une société qui tue ses enfants ? Infanticide ?

    Très vite on peut craindre que les parents demandent à tuer leur enfant handicapé… Quel argument leur opposera-t-on alors ?

  • France : un tribunal donne tort à des médecins euthanasieurs

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    Sur le blog de Jeanne Smits :

    Euthanasie en France : référé gagné ! Vincent Lambert vivra… Mais il reste menacé

    Extraordinaire victoire, samedi après-midi, pour le respect de la vie ! Devant le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, un référé-liberté plaidé en faveur de Vincent Lambert, 37 ans, a abouti à une ordonnance qui a reconnu le droit de ses parents et d’une partie de ses proches de s’opposer à ce qu’il soit tué lentement par l’arrêt de son alimentation.

    Me Jérôme Triomphe venait de plaider avec passion contre la mise à mort volontaire du patient, au nom de ses parents, de sa sœur et de son demi-frère ; Me Jean Paillot avait exposé l’éthique biomédicale qui exige le respect de la vie. L’audience, chargée d’émotion, avait duré plus de deux heures. Ils ont été entendus et compris.

    Vincent Lambert : oui, c’est le vrai nom de celui que jusqu’ici, dans un souci de discrétion visant à donner un maximum de chances aux démarches pour sauver sa vie, j’ai appelé « Hervé ».

    C’est un jeune homme frappé il y a quatre ans et demi par un accident de voiture qui l’a laissé gravement handicapé. D’abord maintenu dans un coma artificiel, il est resté ensuite pendant deux ans dans un coma végétatif. Puis il est entré dans un coma pauci-relationnel, qui correspond chez lui à un état de « conscience minimale plus » où existe une interaction avec l’environnement : Vincent peut suivre des yeux, réagir aux voix familières, manifester la conscience de ses émotions. Il sourit. Ou plutôt : il souriait.

    Depuis qu’une équipe médicale a décidé que, sa « qualité de vie » étant insuffisante, il convenait de lui couper l’alimentation et une bonne part de son hydratation en vue de le faire mourir, il pleure lorsque sa mère ou ses proches viennent le voir…

    Cet arrêt de l’alimentation et la diminution drastique de son hydratation, réduite de 3 litres au total à 500 ml par 24 heures, ont été mis en place depuis le 10 avril dernier, avec le consentement de son épouse, mais malgré l’opposition expresse de ses parents et d’une partie de sa famille qui n’ont été d’aucune façon entendus à propos de cette décision médicale, qui n’est rien d’autre qu’un arrêt de mort par cessation des soins.

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  • Prévention du SIDA : la Mutualité Chrétienne fait-elle bien son travail ?

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    Un  ami nous écrit :

    Il semble que la Mutualité Chrétienne ne remplisse pas correctement son rôle d'information et de prévention des maladies sexuellement transmissibles. Elle ne relaie en effet que les messages de la plateforme prévention Sida. Voici un exemple de cette prévention à sens unique, relayée dans le journal "En Marche" : « Les ONG tapent sur le clou de l’unique moyen de prévention – le préservatif – et sur l’impérieuse nécessité de se faire diagnostiquer ».

    La Mutualité Chrétienne ne pourrait-elle au moins nuancer ce message, en précisant à ses adhérents et lecteurs (surtout les jeunes) que l'unique moyen de prévention, vraiment sûr et fiable, consiste en l'abstinence avant mariage et la fidélité pendant le mariage ? Si même la Mutualité Chrétienne ne fait pas passer ce message-là de prévention, qui le fera en Belgique ?

    Or, ce message est aussi celui de la méthode de prévention globale ABC prônée par Onusida. 'A' comme "Abstinence", 'B' comme "Being faithful" et 'C' comme "Condom". Le 'C' étant nécessaire si le 'A' et le 'B' sont impossibles (comme dans le cas de la prostitution). Mais passer directement et uniquement au 'C' est une quasi censure, propre à la Belgique, de cette prévention globale contre les maladies sexuellement transmissibles.

    Quelques exemples de cette prévention tronquée :

    http://www.enmarche.be/Actualite/Echos_actualite/2013/Echos1496.htm#t2

    http://www.mc.be/actualite/articles/prevention_sida.jsp

    http://www.enmarche.be/sante/Prevention/archives/Sida_progresse.htm

    Faut-il encore s'étonner alors que les maladies sexuellement transmissibles explosent en Belgique, et pas seulement le Sida ?