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Santé - Page 130

  • Cette semaine sur EUTHANASIE STOP - 12/06/2013

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    • Testament de vie...

    Publié par Nathalie de SMET d'OLBECKE (Mère de famille)
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    • Une société forte ne laisse pas tomber les faibles

    Publié par Daniel TURIEL (Directeur d'une ONG)

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    • A ceux qui restent...au revoir !

    Publié par Janine ARNOLD (Infirmère retraitée)
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    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :

    • Hij haalt Lazarus uit het graf...

    Publié par Luc Van LOOY (Bisschop)
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    • Ethische goeroes.

    Publié par Dr Georges CASTEUR (Huisarts, Oostende)
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  • Tournai, 17 juin : la fin de vie humainement assistée

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    Le 17 juin au Séminaire de Tournai : « Dans un monde où la faiblesse fait si peur, où la dépendance est la pire des situations, retrouver la valeur de la faiblesse. »

    Le lundi 17 juin à 20h30

    à l’auditorium du Séminaire de Tournai,

    conférence de

    Louis-André Richard,

    écrivain, chargé de cours à la Faculté de philosophie de l’Université Laval, Québec, bénévole auprès du comité d’éthique de soins palliatifs de la Maison Michel-Sarrazin :

    « La fin de vie humainement assistée : choisir la raison du plus faible ». 

    Présentation : « Dans un monde où la faiblesse fait si peur, où la dépendance est la pire des situations, retrouver la valeur de la faiblesse. »

    Infos : t. 069 22 64 96 – istdt@seminaire-tournai.be

  • BXL, 18 juin : La fin de vie humainement assistée

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    Le 18 juin à 20 h : Conférence IEB : la fin de vie humainement assistée


    En collaboration avec la Banque DEGROOF

    Conférence organisée par l’Institut Européen de Bioéthique (Bruxelles)


    La fin de vie humainement assistée :

    choisir la raison du plus faible

    Avec Louis-André RICHARD, Écrivain, chargé de cours à la Faculté de philosophie de l’Université de Laval, Québec, engagé dans le comité d’éthique de soins palliatifs de la Maison Michel-Sarrazin.

     

     Le mardi 18 juin 2013 à 20 heures

    Hôtel THON - rue de la Loi 75  à 1040 Bruxelles (Parking : 120 rue de Trèves)

    Rafraîchissements à l’issue de la Conférence.

    Réservation souhaitée : secretariat@ieb-eib.org

    PAF : 5 euros

  • Pays-Bas : quand un cardinal qui est aussi médecin s'interroge sur le droit à l'euthanasie à tout-va

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    Sur le blog de Jeanne Smits :

    La clinique de fin de vie créée en 2012 aux Pays-Bas pour répondre aux demandes d'euthanasie qui ne sont pas honorées par les médecins traitants, soit que ceux-ci fassent partie des 15 % d'objecteurs de conscience, soit qu'ils estiment qu'une demande donnée ne répond pas aux critères de l'euthanasie légale, connaît un franc succès avec le doublement des « escadrons de la mort » en un an, et une cinquantaine d'euthanasies effectivement à son actif.

    Le cardinal Willem Eijk, archevêque d'Utrecht, médecin de formation et spécialiste de la bioéthique, a réagi à cette information sur une radio catholique néerlandaise en se demandant d'emblée si la demande publique est bien ce qui est explique le succès de la clinique de fin de vie. En notant que c'est bien souvent l'offre qui crée la demande.

    Il a souligné par rapport à ces médecins qui sont prêts à pratiquer des euthanasies alors que le médecin traitant du demandeur ne le veut pas, que « la question est de savoir comment ces médecins considèrent les critères existants, qui exigent une souffrance sans perspective d’amélioration et aussi insupportable. »

    De fait la KNMG, l'association professionnelle des médecins, a publié des directives en 2011 annonçant que ces critères étaient appliqués de manière trop restrictive. Loin de s’en tenir aux critères dans le cadre d’une maladie physique ou psychique déterminée, souligne le cardinal Eijk :

    « La KNMG est d’avis au contraire qu’il faut tenir compte d’un ensemble complexe de facteurs et d’affections liés à la vieillesse. (…) On constate une tendance ces dernières années à vouloir étendre le champ de la souffrance sans perspective et insupportable, une tendance que l’on constatait dès le début des discussions dans les années 1980. Au départ il était question d’agir pour mettre un terme à la vie à la demande personnelle du patient et dans une phase de maladie vraiment terminale – quelques semaines tout au plus avant la fin de vie attendue – et c’est après que de tout autres indications se sont ajoutées, visant les affections psychiatriques par exemple. Aujourd’hui on voit qu’on n’exige même plus d’un diagnostic médicalement répertorié. 

    Les critères s’étendent de plus en plus, comme il est naturel lorsque vous avez entrouvert la porte : elle va d’elle-même s’ouvrir de plus en plus. Si vous portez atteinte au principe fondamental selon lequel les hommes ne disposent pas du droit sur la vie et la mort, si dans certains cas, des “exceptions”, vous permettez d’y déroger, en affirmant que dans certains cas il n’y a plus de perspectives ou que la souffrance est insupportable, alors si le cas est tout petit peu moins sans perspectives ou juste un peu moins insupportable, pourquoi ne pourrait-on pas accepter l’euthanasie ou l’aide à mourir dans ces cas ? »

    Lire la suite sur le blog de J. Smits

  • La gestation pour autrui en Inde ou l'une des faces cachées du droit à l'enfant pour tous

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    Voir cette video très éclairante sur le business de la GPA, sur l'enfant réduit au statut de marchandise, sur l'instrumentalisation de la femme...

    (via Bulletin de l'IEB)

  • Mortalité infantile : Bruxelles bat les records

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    Source : http://www.lesoir.be/250489/article/actualite/regions/bruxelles/2013-05-28/bruxelles-presente-mortalite-infantile-plus-haute-d-europe

    La Région bruxelloise présenterait les plus hauts chiffres de mortalité des jeunes enfants en Europe, rapportent les journaux De Morgen et Metro sur base de l’étude européenne Peristat.

    Bruxelles fait moins bien que la Roumanie

    Il s’agit des chiffres de 2010. Pour 1.000 naissances, 8,9 foetus n’ont pas survécu à plus de 22 semaines de grossesse. La mortalité des nouveau-nés s’élève quant à elle à 2,7 décès endéans les 28 jours suivant l’accouchement. La Flandre (4,8 et 2,3) et la Wallonie (5,3 et 2,1) se situent en milieu de classement européen. En Islande, le chiffre est de 4,7 pour 1.000, au Portugal, 4,8 pour 1.000. L’Islande et Chypre sont les mieux classés.

    Bruxelles fait moins bien que la Roumanie, les Pays-Bas. Le rapport souligne également le nombre relativement important, pour Bruxelles, de nourrissons de très faible poids à la naissance.

  • Pays-Bas : la clinique pour la fin de vie double ses capacités

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    "Au suivant..."  

    Presseurop Trouw  

    Trouw, 24 mai 2013

    La Levenseindekliniek, la ‘clinique pour la fin de vie’, qui accueille depuis mars 2012 les personnes dont le médecin traitant refuse de donner suite à leur demande d’euthanasie ou d’assistance au suicide, double ses capacités.

    A partir du mois de juin, 30 équipes, employant un total de 60 médecins, pourront venir en aide aux personnes qui subissent "des souffrances insupportables et sans issue", comme inscrit dans la loi de 2001 sur l’euthanasie.

    La liste d’attente qui existe actuellement auprès de la clinique (avec une durée entre 1 et 6 mois) et sur laquelle figure 180 Néerlandais, sera ainsi réduite à une durée de 4 semaines maximum.

  • L'intervention du Saint-Siège à la 66e Assemblée Mondiale de la Santé à Genève

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    (Zenit.org) - Voici le texte intégral (traduction de travail) de l'intervention de Mgr Zygmunt Zimowski, président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, à Genève, pour la 66e Assemblée mondiale de la Santé, (20-28 mai 2013), à Genève, en Suisse. Il y aborde la question de la vieillesse mais aussi du respect de l'enfant à naître à propos de la pillule abortive (cf. Zenit du 23 mai 2013 pour l'article, http://www.zenit.org/fr/articles/sante-prevenir-les-maladies-des-personnes-agees).

    ***

    Monsieur le Président,

    J'ai l'honneur de vous transmettre les salutations et la bénédiction du Saint-Père, le Pape François qui souhaite de tous ses vœux les délibérations de cette auguste Assemblée abondamment fructueuses. 

    1. Il a été dûment souligné que la santé contribue à la réalisation du développement, mais aussi en bénéficie. Ma délégation accueille très favorablement la détermination à donner la priorité à la santé lors de la prochaine définition des objectifs du développement global. La tâche que nous avons devant nous est de décrire les objectifs sanitaires de façon appropriée et convaincante. A ce sujet, le Saint-Siège croit fermement que la mise en place de la couverture sanitaire universelle comme politique de santé et de développement (A66/24)) peut être une voie plus sûre de résoudre un large éventail de problèmes de santé, lesquels pouvant aller de la consolidation des résultats acquis jusqu'ici à la conception d’un programme sanitaire plus ample. 

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  • Clôner un embryon est inacceptable

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    Le clonage dun embryon, « une technique inacceptable ! »
    Centre de Bioéthique de l'université catholique de Milan

    (Zenit.org) - « Cette indifférence face à la valeur de l’existence humaine dans sa phase  initiale est inacceptable », déclare le professeur italien Adriano Pessina, dans une note répondant à l’annonce par des chercheurs américains de la création de cellules souches humaines embryonnaires par clonage.

    Le professeur Pessina, directeur du centre de bioéthique à l’université catholique à Milan, commente les résultats d’une technique de clonage publiés sur la revue américaine Cell, dont le procédé ressemble à celle utilisée, il y a 17 ans, pour faire naître la brebis Dolly. 

    « Mais la différence tragique entre ces deux techniques c’est que cette fois-ci il est question de cellules humaines et de la formation d’un embryon humain pour obtenir des cellules souches », relève-t-il.  

    Dans le reste de son communiqué, l’expert en bioéthique, explique ce qui le choque dans l’annonce de ce que les media semblent rapporter comme une « percée » importante pour traiter certaines maladies comme le Parkinson, la sclérose en plaques, des pathologies cardiaques et des blessures à la moelle épinière : 

    ***    

    «  Contrairement au procédé utilisé pour la brebis Dolly dont le but était reproductif, l’objectif soit disant « thérapeutique » de ce nouveau procédé, pour le moment seulement envisagé, prévoit ensuite la destruction de l’embryon pour pouvoir disposer des cellules souches. 

    Le langage scientifique ne permet pas à tout le monde de saisir la réelle gravité de cette expérience qui est le signe d’une indifférence inacceptable face à la valeur de l’homme dans la phase initiale de son existence. Le clonage de cet embryon est la génération d’un être humain,  frère jumeau de la personne dont a été prélevée la cellule qui, après manipulation, a été transférée dans l’ovocyte dénoyauté, permettant ainsi son développement. Aucune raison, à caractère scientifique ou thérapeutique, ne saurait légitimer telle pratique d’un point de vue moral. Tout comme on ne saurait négliger le fait que ces expériences prévoient l’utilisation d’ovocytes humains: pouvons-nous ignorer que celle-ci impliquerait aussi une vraie exploitation des femmes, utilisées comme productrices de matériel biologique?

    Il est frappant de voir que la communauté scientifique internationale n’a aucune réaction éthique face à cela, feignant de ne pas savoir que ce à quoi l’on donne naissance ici est un être humain. Aucune perspective thérapeutique future ne saurait légitimer la naissance et la destruction d’êtres humains. En Europe, la convention d’Oviedo, article 18, interdit explicitement la création d’embryons dans des buts de recherche: or de telles expériences échappent aux larges filets de la législation américaine.La protection de l’homme dès sa phase embryonnaire et l’interdiction de manipuler l’origine de la vie humaine quelque soit le but poursuivi, devrait être un impératif de l’humanité toute entière, un résultat partagé par tous ceux qui, dans la déclaration universelle des droits de l’homme, ont salué l’émergence d’une nouvelle conscience concernant les principes d’égalité et de non discrimination qui devraient réguler toute activité, en premier lieu l’activité scientifique. »

    Pour infos: HYPERLINK "http://www.centrodibioetica.it/"www.centrodibioetica.it

  • La douleur post-avortement

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    De le revue de presse de gènéthique.org :

    Un sondage met en avant la douleur post-avortement

    Un récent sondage d'Opinion Way pour le Laboratoire Nordic Pharma, mené auprès de 499 femmes âgées de 16 à 50  ans et ayant subi une IVG au cours des cinq dernières années, révèle que "les deux tiers des femmes qui subissent une interruption volontaire de grossesse déclarent avoir ressenti une douleur physique lors du geste".  L'enquête mentionne que "près de neuf femmes sur dix en ressentaient une intensité supérieure à 6/10 dans l'échelle d'évaluation de la douleur", et que pour 62% des femmes, cette douleur était très intense. Pour le Dr Eric Viel, anesthésiste et coordinateur de l'enseignement de la douleur à la faculté de médecine de Nîme, cette douleur doit être prise en compte: "Une douleur côtée 6 ou 7/10, ce n'est pas rien".

    Selon une enquête de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Dress), "le nombre d'interruption de grossesse s'est stabilisé autour de 210 000 IVG par an en métropole". En 2010, le nombre d'IVG était de 225 000, dont 212 000 en métropole. Si l'enquête révèle donc une stabilité de la propension à interrompre sa grossesse, le journaliste mentionne qu'elle "ne doit pas cacher la relative fréquence de l'évènement pour une femme donnée" car "une femme sur trois aura recours à l'IVG au cours de sa vie".

    Le Figaro (Damien Mascret) 17/05/2013

  • Essais cliniques des médicaments à usage humain : protéger ceux qui sont vulnérables

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    Communiqué de la COMECE  17/05/2013

    Les essais cliniques des médicaments à usage humain :

    un encadrement éthique solide est fondamental

    Les essais cliniques sont nécessaires à toute mise sur le marché de nouveaux médicaments. Or, les personnes incapables d’y consentir aussi bien que des ressortissants de pays moins développés y participent souvent. Comment protéger ces personnes et populations vulnérables contre les abus? La Commission européenne a proposé un Règlement qui sera soumis au vote des députés européens le 29 mai prochain. Les experts en bioéthique de la COMECE estiment que le projet devrait aller plus loin dans la protection des personnes concernées.

    La Commission européenne a publié en 17 juillet 2012 une proposition de «Règlement sur les essais cliniques de médicaments à usage humain» qui vise à relancer la recherche clinique dans l’UE tout en assurant un niveau de protection optimal des participants ainsi que la fiabilité des données obtenues. Le projet sera soumis au vote des députés de la commission parlementaire ENVI du Parlement le 29 mai prochain.

    Le Secrétariat de la COMECE s’est félicité de cette proposition de régulation, qui va dans le bon sens. Le Groupe de Réflexion Bioéthique de la COMECE a suivi ce dossier depuis que la Commission européenne a lancé la consultation publique et publie aujourd’hui son avis sur ce projet de Règlement. Les experts de la COMECE soulignent quelques principes qui doivent être  dûment concrétisés dans le Règlement actuellement en discussion:

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  • CEDH : Vers un droit à l'interruption volontaire de vieillesse ?

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    Europe: vers un droit à l'interruption volontaire de vieillesse

    A propos de l'arrêt Alda Gross c Suisse

    Strasbourg, 16 mai 2013 (Zenit.org) Grégor Puppinck

    Dans un arrêt Alda Gross c Suisse  (n° 67810/10) du 14 mai 2013, la deuxième Section de la Cour européenne des droits de l’homme a complété l’édification d’un droit individuel au suicide-assisté (c'est-à-dire à l’euthanasie consentie) au titre du droit au respect de la vie privée garanti à l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Dans un arrêt adopté par seulement quatre voix contre trois, la Section justifie son jugement par la considération générale selon laquelle, « dans l'ère de sophistication médicale croissante combinée à l’allongement de l’espérance de vie, beaucoup de personnes ont le souci de ne pas être forcées de s'attarder dans la vieillesse ou dans des états de décrépitude physique ou mentale qui contredisent des convictions bien ancrées sur l'identité personnelle » (§ 58) [1]. 

    L’ECLJ est intervenu dans cette affaire comme tierce partie et a soumis des observations écrites à la Cour.

    Cet arrêt fait suite aux arrêts Pretty contre le Royaume-Uni (n° 2346/02 du 29 avril 2002), Haas contre la Suisse (n° 31322/07 du 20 janvier 2011) et Koch contre l’Allemagne (no 497/09 du 19 juillet 2012) par lesquels la Cour a progressivement élaboré « le droit d’un individu de décider de quelle manière et à quel moment sa vie doit prendre fin, à condition qu’il soit en mesure de forger librement sa propre volonté à ce propos et d’agir en conséquence » (Haas § 51). Dans l’arrêt Koch, la Cour avait franchi une nouvelle étape en condamnant l’interdiction de principe du suicide assisté en vigueur en Allemagne, en estimant qu’une juridiction doit pouvoir juger, au cas par cas, du bien fondé des demandes individuelles de suicide.

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