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Solidarité - Page 68

  • Urgence Egypte : un appel de l'Aide à l'Eglise en Détresse

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    Préhome1.jpg"Prions ensemble pour la paix, pour le dialogue et la réconciliation sur cette Terre bien-aimée, l'Égypte."
    Pape François 
     

    Chers amis,

    « Nous avons toujours peur de ce qui va se passer par la suite. Les Frères musulmans et d'autres extrémistes ont menacé d'attaquer des églises et des maisons chrétiennes. Nous ne savons jamais où ils frapperont la prochaine fois. » C'est en ces termes que le Père Rafik Greiche exprime l'inquiétude des chrétiens d'Égypte.

    La situation est dramatique : nombre d'églises, de monastères, d'hôpitaux et d'écoles chrétiennes ont été violemment attaqués à la suite de la chute de l'ex-président Morsi. Une trentaine d'églises ont même été totalement rasées. Cette violence a également affecté de nombreuses familles coptes, dont les maisons et magasins ont été incendiés. Dans de telles conditions, comment nourrir sa famille ?

    Très attaché à son pays, un père de famille nous confie "Je prie Dieu qu'il aide ma famille et nous donne la possibilité de vivre ici en Egypte"Sœur Amal, une religieuse égyptienne, nous demande de "dire la vérité sur ce que vivent les chrétiens d'Egypte, contrairement aux médias européens"Cette vérité est la peur du lendemain, la violence, la misère.

    C'est pourquoi le Patriarche d'Alexandrie nous a fait une demande d'aide d'urgence, pour venir au secours des familles coptes les plus touchées : nous avons besoin de vous pour réunir 30 000 €.

    Je compte sur vous, chers amis, pour ne pas les oublier et prier ardemment le Seigneur de les aider à surmonter la persécution qu'ils subissent dans leur pays.

    Fraternellement en Christ,

    Signature
    Marc Fromager
    Directeur de l'AED


    PS
     : Pour en savoir plus, je vous invite à voir cette vidéo.

  • A Liège : une académie pour entrepreneurs sociaux

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    Lu sur la Libre du lundi 15 octobre cet article qui rend compte d'une initiative visant à concilier l'économique et le social :

    L’académie pour entrepreneurs sociaux (BOUTSEN BRUNO)

    ECONOMIE - Entrepreneuriat

    Business et social : deux termes qui, a priori, ne vont pas vraiment ensemble. Mais, depuis plusieurs années, il est un secteur qui a, pour ainsi dire, le vent en poupe en Belgique, à savoir l’économie dite sociale. Bien entendu, ce secteur est à la croisée du marchand et du non-marchand et il recouvre de multiples formes, ce qui le rend donc parfois difficile à cerner pour le commun des mortels. Compte tenu d’une multiplication constatée des initiatives en la matière et du poids économique de l’économie sociale, qui représenterait entre 250 000 et 300 000 travailleurs et environ 15 000 entreprises, le Centre d’économie sociale de l’Université de Liège (ULg) vient de porter sur les fonts baptismaux une Académie. Dédiée aux entrepreneurs sociaux et conçue comme une plate-forme, cette dernière a été lancée officiellement, mercredi dernier, par le Centre d’économie sociale de l’ULg, fondé en 1993 par le Professeur Jacques Defourny et qui constitue, aujourd’hui, le plus important centre de recherches existant au sein de l’Alma Mater liégeoise. Ainsi qu’expliqué par Sybille Mertens et Benjamin Huybrechts, professeurs aux HEC et coordinateurs du projet, la structure créée correspond à un besoin de fédération et de structuration du secteur et son but est de rassembler les activités de formation, de soutien et de mise en réseau des entrepreneurs sociaux développés par le Centre ad hoc.

    Lire la suite sur le site de lalibre.be

  • Le syndrome de Jonas

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    (Radio VaticanIl faut combattre le ‘syndrome de Jonas’ qui nous porte à penser hypocritement que pour nous sauver nos œuvres suffisent.

    Dans son homélie durant la messe célébrée ce lundi matin en la chapelle de la Maison Sainte Marthe, le Pape a déclaré : « Jonas avait les choses bien au clair à l’esprit: la doctrine c’est cela et c’est cela qu’il faut faire, que les pécheurs se débrouillent, moi je m’en vais. Ceux qui vivent selon ce ‘syndrome’, Jésus les appelle hypocrites, parce qu’ils ne cherchent pas le salut de petites gens, des ignorants et des pécheurs. »

    « Et ce ‘ syndrome de Jonas ‘ ne fait pas preuve de zèle pour la conversion des gens, il cherche une sainteté de ‘teinturerie’, belle et bien faite, mais sans ce zèle d’aller annoncer le Seigneur ».

    « Tellement de chrétiens, a fait remarquer le Pape, - et il y en a tellement – pensent qu’ils seront sauvés juste par ce qu’ils auront fait, par leurs œuvres. Les œuvres sont nécessaires, mais sont une conséquence, une réponse à cet amour miséricordieux qui nous sauve. Car les œuvres seules, sans cet amour miséricordieux ne servent à rien. Et ce ‘ syndrome de Jonas ‘ , justement, n’a seulement confiance qu’en la justice personnelle, dans ses œuvres ».

    « Donc, le ‘ syndrome de Jonas ‘, a souligné le Pape, nous pousse à l’hypocrisie, à la suffisance d’être des chrétiens tout propres, parfaits, parce que nous faisons ces œuvres : nous accomplissons les commandements, tout . Mais c’est une sérieuse maladie » ! 

  • Une pétition pour soutenir les Chrétiens d'Orient en danger

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    Pétition

    Les Chrétiens d'Orient en danger

    Villages rasés, massacres collectifs, meurtres de religieux et de civils (femmes, enfants, vieillards), viols,enlèvements, persécutions à grande échelle, églises incendiées, monastères et écoles détruites, les Chrétiens d'Orient vivent aujourd'hui dans l'angoisse du lendemain, dans la peur et la souffrance quotidiennes.

    Une épuration religieuse massive et silencieuse est en cours en Egypte, en Irak, en Syrie et bientôt peut-être au Liban.

    Une stratégie de la terreur est déployée dans cette région du monde, elle vise à éliminer toute présence chrétienne, toute identité multiple, tout souvenir du christianisme et de son rôle historique dans la construction de ces peuples et de ces Etats. Elle vise à rendre cet espace géopolitique hostile et impénétrable à l’Occident.

    Et que font les diplomaties européennes ? Elles regardent ailleurs. Elles ne veulent pas entendre l’indicible ou voir l’impensable et se rendent coupables de complicité de crimes à grande échelle, qui prennent le caractère de crimes contre l’humanité.
    Elles parlent des droits de l’homme, de démocratie et dans le même temps, elles mènent des politiques qui sont dans les faits aveugles et sourdes à la souffrance humaine lorsqu’il s’agit de Chrétiens. Elles combattent à juste titre des régimes au nom des idéaux démocratiques et détournent le regard lorsque des alliés directs ou indirects massacrent uniquement en raison de la religion.

    En Egypte, pourquoi ne pas condamner les églises incendiées, les écoles brûlées, les exactions quotidiennes contre les Coptes exercées par les milices des Frères musulmans ?

    En Irak, combien d’écoles, d’églises détruites et de massacres impunis de Chrétiens sont intervenus par la suite dans l’indifférence de l’Occident ?

    Faut-il rester indifférents aux massacres de Syriens, uniquement parce qu’ils sont chrétiens, et à l’enlèvement des deux Evêques d’Alep et de prêtres, par les groupes islamistes ?

    En Terre Sainte, le nombre de Chrétiens ne cesse de diminuer.

    Au Liban, pays francophone, les Chrétiens deviendront bientôt une minorité ; leur situation instable et précaire conduit nombre d’entre eux à préférer l’exil aux incertitudes sécuritaires et aux pressions des islamistes radicaux.

    Nulle pression, nulle protestation ! Les puissances occidentales restent sourdes aux suppliques des responsables et des organisations représentatives, laïcs et religieux, qui tirent les sonnettes d’alarme et demandent une réaction de la France et de l’Europe.

    Pourquoi ?

    Ont-ils anticipé la disparition des Chrétiens en Orient ? Ont-ils fait le deuil d’une présence antérieure à l’implantation de l’Islam, d’un peuplement historiquement ouvert et bienveillant envers l’Occident ?

    Nous lançons un appel à la France, aux Français et à l’ensemble des nations européennes afin que la diplomatie prenne en compte l’existence de populations chrétiennes, de problématiques spécifiques, d’un Orient divers et agissent désormais pour faire respecter les droits des Chrétiens en Orient.

    C’est l’intérêt de la France, de l’Europe, et de la communauté internationale. Les Chrétiens d’Orient ont toujours représenté l’antidote de l’extrémisme ainsi qu’un vecteur de tolérance entre les communautés. Leur disparition aboutira à l’exacerbation de l’intolérance et de la violence aux portes de l’Europe.

    C’est aussi l’intérêt des populations de cette région du monde. Les Chrétiens d’Orient ont toujours vécu en harmonie avec les Musulmans et les Juifs et ils doivent pouvoir continuer à vivre de façon conviviale et paisible avec toutes les communautés, afin de sauvegarder un Orient multiculturel, qui porte un message universel de paix, de dialogue fécond des cultures et de vivre-ensemble.
    La France et l’Europe doivent évaluer leur politique dans cette région du monde et prendre en compte ses impacts et ses conséquences pour les populations chrétiennes concernées.

    Les gouvernements de ces pays, à l’instar de leurs oppositions, doivent désormais être comptables de la survie et de la sécurité des Chrétiens. La France comme l’Europe doivent lier leur aide et leur appui certes à la démocratie, aux droits des femmes mais aussi à la défense des communautés chrétiennes et à leur droit de vivre leur différence dans un espace qu’ils habitent depuis près de deux millénaires.

    Pétition lancée par les personnalités suivantes : cliquez pour voir la liste

    Signer la pétition

  • Wavre, octobre : concert des "Sept Couleurs du Chant" au profit de Simba Mosala

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    7couleursChant-LOGO.jpgProchain concert le 19 octobre à Wavre

    Le concert des Sept Couleurs du Chant créé à la cathédrale de Bruxelles en mars de cette année et qui a conquis plus de 2300 personnes sera chanté en l'église Saint-Jean-Baptiste, Place Cardinal Mercier à 1300  Wavre, le samedi 19 octobre 2013 à 20h00.

    Le chœur sera plus réduit mais gageons que l'enthousiasme sera identique !

    Le concert sera donné au profit de Simba Mosala, centre d’accueil des jeunes des rues à Kikwit (RDC).

    Informations pratiques, réservations et présentation de Simba Mosala

  • Le sort des chrétiens du Kosovo intéresse-t-il encore quelqu'un ?

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    Via www.radinrue.com (Ivana GAJIC)

    Le Kosovo n’a pas failli à la règle. Après le martèlement médiatique qui avait accompagné la première guerre dite « humanitaire » en 1999, les projecteurs se sont éteints sur ce territoire d’Europe du sud-est, le plus pauvre du continent. Quinze ans après, que reste-t-il sous les décombres ? 2 millions d’habitants dont 120 000 Serbes, martyrs d’une revanche ethnique et religieuse sans écho. Car, non, le sort des chrétiens du Kosovo-Métochie n’émeut pas.

    Confinés dans des « enclaves », ces villages cernés de fils de barbelés, les Serbes du Kosovo-Métochie vivent isolés dans un circuit d’exclusion, sans accès à un emploi, au transport public ou encore à des soins médicaux. Un apartheid de facto auquel s’ajoute une violence antichrétienne. Multiforme. Permanente. Impunie.

    C’est pourtant sur ce territoire du Kosovo-Métochie dont l’origine grecque « métohia/on » désigne « la terre aux Églises », qu’autrefois, la densité d’Églises était la plus forte en Europe. Autrefois, c’était avant les pogroms antichrétiens de 2004. Au cours desquels pour la seule journée du 17 mars 2004, 19 personnes ont été tuées, 5 000 foyers chrétiens ont été chassés et 34 Églises ont été détruites.

    Si les actes de violence antichrétienne n’ont pas altéré la foi des Serbes du Kosovo-Métochie restée intacte, les îlots chrétiens qu’ils constituent s’engouffrent en revanche dans une situation humanitaire dramatique.

    C’est de cette urgence qu’est née l’association humanitaire Solidarité Kosovo en 2004.
    Secourir les foyers les plus démunis en leur apportant un réconfort moral et un soutien matériel, la volonté des débuts s’est inscrite dans le temps. Elle s’est d’abord traduite au travers des 26 convois humanitaires organisés dont ceux de Noël, devenus traditionnels. Chaque année depuis 2004, à la veille du jour de la Nativité, des bénévoles français prennent la route en direction des enclaves chrétiennes les plus reculées du Kosovo-Métochie pour apporter un secours de première nécessité, des denrées alimentaires, des vêtements chauds et des jouets pour les enfants.

    Grâce à la générosité de ses 7000 donateurs, l’engagement de Solidarité Kosovo en faveur des familles chrétiennes s’est prolongé au fil des années au travers de programmes dits de « post-crise ». Ainsi en complément aux interventions d’urgence, des foyers, des écoles et des clubs sportifs ont été équipés, des écoles élémentaires réhabilitées, des classes de mer organisées. La création d’une ferme alpine constitue le dernier chantier humanitaire en date. Son objectif central est d’assurer une autonomie alimentaire aux foyers chrétiens de la région grâce aux activités d’élevage et de production laitière qui y seront développées.

    Soucieuse de proximité, l’association a ouvert un bureau humanitaire à Gračanica. Son obstination à agir en direction de ces foyers les plus vulnérables a été reconnue. Grâce à elle, Solidarité Kosovo a conquis une légitimité indispensable en scellant en 2011 un partenariat exclusif avec l’Eglise orthodoxe, dont l’assise et l’organisation garantissent l’efficacité et l’utilité des actions humanitaires conjointement élaborées.

    Quinze ans après la guerre, les besoins sont immenses pour ceux qui, sous les décombres, sont enfermés dans leur souffrance. Le sort des chrétiens du Kosovo-Métochie n’est pas une fatalité, elle est indignation. Solidarité Kosovo est à leurs côtés. Agissons !

    Pour défendre la cause des plus vulnérables, soutenez, vous aussi, les actions de Solidarité Kosovo en adressant dès aujourd’hui un don. 

    Par chèque à l’ordre de « Solidarité Kosovo », BP 1777, 38220 Vizille. Par Internet, en cliquant sur le lien suivant, Paypal Solidarité Kosovo étant reconnue d’intérêt général, chaque don ouvre droit à une déduction d’impôt correspondant à 66% du montant du don. site internet : www.solidarite-kosovo.org
  • Rome, 1-5 octobre : pèlerinage pour les 100 ans de la naissance du Père Werenfried van Straaten

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    Pèlerinage à Rome de 600 donateurs, amis et collaborateurs de « L’Aide à l’Église en détresse »

    À l’occasion du 100ème anniversaire de la naissance du fondateur de « L’Aide à l’Église en détresse », le Père Werenfried van Straaten, l’œuvre internationale de bienfaisance catholique organisera un pèlerinage à Rome. Du 1er au 5 octobre, 600 donateurs, amis et collaborateurs venus du monde entier se rendront dans la capitale italienne. Sa Sainteté le Pape François accueillera les pèlerins le 2 octobre lors de son audience générale. En outre, des rencontres sont prévues avec Son Éminence le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, ainsi qu’avec Mgr Tai-Fai Savio, secrétaire de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples.

    Le père Werenfried van Straaten est né le 17 janvier 1913 à Mijdrecht, près d’Amsterdam (Pays-Bas). En 1934, il entra dans l’abbaye flamande des prémontrés de Tongerlo, en Belgique. Touché par la détresse indicible des 14 millions de réfugiés dans l’Allemagne d’après-guerre, dont environ six millions de catholiques, il appela à Noël 1947, dans un article du magazine de son abbaye, à la générosité des lecteurs pour aider les Allemands expulsés des territoires de l’Est. Il déclencha ainsi une vague de soutien dont résulta la fondation de « L’Aide à l’Église en détresse / Ostpriesterhilfe ». En 2012, Sa Sainteté le Pape émérite Benoît XVI éleva l’œuvre au rang de fondation de droit pontifical.

  • BXL, 29/9 - 6/10 : "Ville à vivre"

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    Carte-de-Visite-Ville-à-Vivre-640.jpgCommuniqué de presse

    29 septembre 2013 - 6 octobre 2013

     

    Tous les mois depuis trois ans, le site Ville à vivre propose aux internautes de découvrir un nouveau visage de Bruxelles. Pas de grands discours ni de leçons de morale : l’internaute découvre des personnes issues du quotidien : des jeunes, des adultes, des aînés de toutes origines. Derrière ces regards, des histoires simples, ancrées dans la ville. Des témoignages d’engagement, des partages de foi aussi.


    Ces différents portraits nous invitent à considérer Bruxelles comme une ville à construire ensemble, une ville solidaire où il fait bon vivre, une ville qui a le souci de mettre les uns en relation avec les autres. Une ville qui prend sur elle d’épauler, d’accompagner, de soutenir les personnes en marge, une ville enfin, qui cultive la chaleur humaine.


    C’est de cette Eglise à taille humaine que Ville à vivre veut être le reflet : une Eglise aux portes toujours ouvertes, pour qui s’adresse à elle.

     


    Cette nouvelle campagne vous propose une série de vidéos sur le deuil, ainsi que deux vidéos consacrées au monde de l’enseignement.

     

    25 interviews sont disponibles sur www.villeavivre.be, et sont axées sur :

    - les ‘sacrements’

    - la ‘foi et la vie quotidienne’,

    - les ‘jeunes’

    - les actes ‘solidaires’

    - ‘traverser le deuil’, en lien avec le blog http://deuiletesperance.blogspot.be

    - l’‘enseignement’

    Des outils sont également à votre disposition pour l’animation : des pistes pédagogiques à télécharger, un DVD qui permet d’utiliser ces vidéos offline, des cartes promotionnelles, etc.


    Chaque mois, un nouveau portrait, un nouveau témoignage sur 
    www.villeavivre.be


    Retrouvez Thérèse, Sébastien, Monica, Bernadette, France, Monique, Marie, Philippe et Francine, Dédée,

    Marie-Thérèse, André, René et Renée, Lucien, Ines…, et bien d’autres !


    Ville à vivre

    Responsable de projet : Marie-Françoise Boveroulle

    Rue de la Linière, 14 - 1060 Bruxellesmf.boveroulle@skynet.be

    Disponible pour interviews - prendre contact au 02/533.29.60 ou 0475/547.881

    www.villeavivre.be

  • Leuven (Park) : exposition d'icônes à l'Aide à l'Eglise en Détresse

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    Sans titre.jpg

    Où?: Aide à l'Église en Détresse Abdij van Park 5 3001 Louvain
    Quand?: 08/09/2013 - 29/09/2013 10:00-17:00 - Weekend:14:00-18:00

    Icônes - œuvres de Lucia Lipkens-Janssen

    Dimanche 8 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen 
    Dimanche 15 septembre 2013 à 15h00 : D. Victor Yudin : Sur la liturgie orthodoxe
    Dimanche 22 septembre 2013 à 15h00 : Sur le soutien apporté par Aide à l'Église en Détresse à l'Église orthodoxe russe
    Samedi 28 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen 
    Dimanche 29 septembre 2013 à 15h00 : Visite guidée par l'iconographe Lucia Janssen

    Saint Luc l'Évangéliste en tant qu'iconographe de la Sainte Mère de Dieu Hodegetria
    Sur l'icône, nous voyons Saint Luc tandis qu'il écrit la Sainte Mère de Dieu Hodegetria. Hodegetria signifie ‘Celle qui montre le Chemin’. L'icône est en outre Acheiropoiètos, ce qui veut dire qu'elle n'a pas été réalisée par la main de l'homme. D'après la tradition, un ange a interrompu Saint Luc et a achevé l'icône.


    Le produit de l'exposition est destiné au couvent Notre-Dame-de-la-Protection à Lviv (Ukraine). La communauté des sœurs contemplatives n'a que des revenus limités provenant, entre autres, de la création d'icônes. À peine de quoi couvrir la nourriture, l'électricité et le chauffage. L'abbesse, Mère Metodija, a demandé le soutien d'Aide à l'Église en Détresse pour les soins à prodiguer à 17 sœurs âgées et malades.

    Entrée gratuite

  • BXL, 18, 19, 20 octobre : "Attendez-moi, Chérie!" au profit de l'Arche

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    composition 70-16.jpg

  • De l'égalité et de la dignité humaine; l'éclairage de Jacques Fierens

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    Lu sur le site de l'Académie Royale de Belgique : Jacques Fierens. Au-delà du droit, l'engagement des valeurs.

    (...) l’enseignement de Jacques Fierens, avocat, docteur en droit avec thèse, est très concrètement axé vers l’action, en l’espèce contre la pauvreté et pour l’effectivité des droits de l’homme, débarrassés de leur formalisme : d’où ses redéfinitions des valeurs d’égalité et de dignité. Car ce juriste est en même temps orienté par la philosophie, dont il est licencié.

    Professeur extraordinaire à la Faculté de droit de l’Université de Namur, chargé de cours et titulaire du cours « Droit de l’aide sociale » à l’Université de Liège, il a multiplié les interventions en tant que professeur visiteur au Burkina Faso, au Rwanda, au Burundi et au Congo. (...)

    Comment vous est venue la vocation juridique et, dans cette voie, l’engagement prioritaire vers le droit à l’aide sociale, le droit de la famille et les droits de l’enfant, ensuite vers les droits de l’homme à l’échelon international, en particulier les terribles questions que posent les génocides ?

    Je suis juriste par accident, philosophe par amour, avocat par vocation. J’ai eu un excellent professeur de grec et de latin en rhétorique, M.  Michel Baguette, qui m’a décidé à étudier la philosophie. Mais je ne voulais pas être professeur. J’ai donc fait le droit par défaut, puis j’ai commencé la philo en cumulant les deux cursus. Inscrit au barreau, j’étais proche de l’association « ATD Quart Monde », association des pauvres eux-mêmes en lutte contre la pauvreté. Très vite, j’ai pris l’habitude de défendre les indésirables : les miséreux, les étrangers, les enfants délinquants. Assistant en droit, j’ai fait ma thèse sur le thème « Droit et pauvreté ». À l’Université de Liège, vingt ans plus tard, je donne toujours cours de « Droit de l’aide sociale » et, depuis les réformes du baccalauréat et du master, j’enseigne à l’Université de Namur le cours de « Droit de la famille », le cours de « Droit de la jeunesse » et un cours intitulé « Questions de droit naturel ». Ce dernier m’a permis de renouer avec ma vocation philosophique puisqu’il pose la question des fondements du droit. En même temps, mes domaines d’intérêt sont proches des associations militantes et de la coopération universitaire dans laquelle je suis engagé, surtout en Afrique centrale…

    Lire la suite

  • Une pétition pour demander la libération d'un jeune Marocain de 34 ans converti au christianisme

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    C'est ici : https://secure.avaaz.org/fr/petition/Liberation_du_jeune_marocain_de_Taounate_converti_au_christianisme_et_accuse_de_proselytisme_emprisonne_a_Ain_Aicha/?fbdm

    Mohamed El Baldi, Marocain de 34 ans a été arrêté le 28 août 2013 et condamné le 2 septembre à 30 mois de prison parce qu'il s'est converti au christianisme.

    C'est honteux pour le Maroc d'avoir des lois moyenâgeuses et des pratiques de chasse aux sorcières dignes de l'Inquisition... Liberté de culte et de conscience au Maroc. Liberté à Mohamed El Baldi

    L’article 220 du Code pénal est honteux, injuste, et inapproprié :
    «Est puni d'emprisonnement de 6 mois à 3 ans et d'une amende de 100 à 500 dirhams, quiconque emploie des moyens de séduction dans le but d'ébranler la foi d'un musulman ou de le convertir à une autre religion, soit en exploitant sa faiblesse ou ses besoins, soit en utilisant à ces fins des établissements d'enseignement, de santé, des asiles ou des orphelinats ».

    Un texte qui aurait pu être revu et corrigé, mais opposé par le chef du gouvernement islamiste Abdelilah Benkirane, sur un article garantissant la liberté de culte et de conscience au Maroc, tel que figurant dans la première mouture de la Constitution. 
    L’article a finalement été supprimé et des Marocains continuent d’être condamnés sur la simple base de leurs croyances...

    "Quand on a arrêté les communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste.
    Quand on a arrêté les socialistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas socialiste.
    Quand on a arrêté les juifs, je n'ai rien dit, je n'étais pas juif.
    Quand on a arrêté les catholiques, je n'ai rien dit, je n'étais pas catholique,
    Et quand j'ai été à mon tour arrêté et déporté, il n'y avait plus personne pour élever la voix."

    PS: Article 18 de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1948: "Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites."

    Signer la pétition adressée au Roi Mohammed VI :

    Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Protecteur des droits et libertés des citoyens, groupes sociaux et collectivités nous peuple marocain vous sollicitons pour la mise en place et la garantie de la liberté de culte et de conscience au Maroc.