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Spiritualité - Page 270

  • Des outils pour le temps de l'Avent

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    De Prierenfamille.com :

    DIAPORAMA POUR LE TEMPS DE L’AVENT

    Pour les parents : retrouver rapidement l’essentiel sur le sujet dans une première étape.
    Pour les parents avec les enfants : expliquer, adapter, échanger, prendre des résolutions…

  • Pourquoi pas Artège pour vos achats de livres pour Noël ?

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    Une librairie en ligne qui mène le bon combat :

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    https://www.editionsartege.fr/home

  • Bruxelles (Stockel), 11 décembre : une conférence de Fabrice Hadjadj "A moi la gloire"

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    IMG_1834.pngFabrice Hadjadj - 11/12 (source)

    MER.11 Dec.
    20H15-22H00
    GRATIS

    Nous aurons le plaisir d’accueillir Fabrice Hadjadj en l'église Notre-Dame de Stockel pour parler de son dernier livre, « A moi la gloire ».

    « La notion de gloire, essentielle à la révélation biblique plus encore qu’a la raison païenne, a été souvent négligée au profit d’une humilité qui semble mieux convenir aux pusillanimes. Dans ces pages, Fabrice Hadjadj essaie de la repenser, allant gaiement de la gloire de Dieu à celle du caillou, du paon ou de la coquette – en passant par sa propre gloire à lui, sans vergogne. »

    Fabrice Hadjadj, philosophe, dramaturge et essayiste, est aussi directeur l’Institut Philanthropos en Suisse. Il collabore aux revues Art Press et Limite. Il a publié de nombreux livres salués par la critique, notamment Réussir sa mort (2005), La Foi des démons (2009), Comment parler de Dieu aujourd’hui (2013) et A moi la gloire (Editions Salvator). Son œuvre est traduite en onze langues.

    Entrée gratuite, réservation souhaitée par mail via event@uopc.be.

  • Une visite du pape à Banneux ?

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    De Luc Gochel sur Sud-Presse :

    Jean-Pierre Delville, l’évêque de Liège, a invité le pape François à Banneux: «Et pourquoi pas?», a-t-il répondu!

    Le pape François s’est recueilli longuement au Vatican devant le vierge de Banneux.
    Le pape François s’est recueilli longuement au Vatican devant le vierge de Banneux. - Vaticano

    Dimanche 17 novembre, il est 11 heures. À la gauche de l’autel de l’immense basilique Saint-Pierre de Rome, le pape François s’incline longuement devant une statue de la Vierge Marie de Banneux, arrivée un peu plus tôt par camion depuis Liège.

    À l’issue de la cérémonie, Jean-Pierre Delville a invité le pape François à se rendre en personne à Banneux pour se recueillir devant la véritable statue de la Vierge des Pauvres. « Il a été un peu surpris mais il m’a répondu : « et pourquoi pas ? »

     

    p. 14: Le pape François pourrait effectuer une visite à Banneux 

    L’idée est de faire de la Vierge de Banneux la véritable patronne de cette journée mondiale de la pauvreté. Si le pape le décide, elle sera alors son emblème international et sera toujours associée à la messe annuelle de la basilique Saint-Pierre. Cette cérémonie, retransmise en direct par la RAI et la chaîne catholique KTO, a déjà constitué une fameuse publicité pour la Vierge de Banneux. Faire venir le pape en serait encore une autre, plus fameuse encore. « Puisqu’il m’a dit ‘Pourquoi pas’, je vais donc formaliser mon invitation », reprend Jean-Pierre Delville. « En accord avec les autres évêques, nous allons prendre contact avec son secrétariat et voir si une période est possible. Il voyage beaucoup mais il n’est pas encore venu en Europe de l’ouest. » La dernière visite papale en Belgique remonte à celle de Jean-Paul II en 1995, à l’occasion de la béatification du père Damien. Et 10 ans auparavant, Jean-Paul II était déjà venu s’incliner devant la vierge de Banneux.

  • "Un prêtre dans les camps de la mort" : quand Franck Ferrand évoque le Père Kolbe

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    cover art for Maximilien Kolbe : un prêtre dans les camps de la mort
     
    21/11/2019

    Maximilien Kolbe : un prêtre dans les camps de la mort

    La figure héroïque du père Kolbe est toujours associée à l’enfer d’Auschwitz ; retour aujourd’hui sur l’ensemble de son parcours. 

  • RDC: homélie de Mgr Ambongo, nouveau cardinal-archevêque de Kinshasa

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    Une homélie prononcée à Kinshasa le 17 novembre dernier devant le président Félix Tshisekedi et le peuple rassemblé au stade des martyrs (qui remplace le stade Tata Raphaël, ancien stade Roi Baudouin).

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    Imaginerait-on un Mgr De Kesel, cardinal archevêque de Malines-Bruxelles, dans une telle posture devant le peuple et les autorités politiques belges réunies au stade Roi Baudouin de Bruxelles ? La Belgique de jadis a transmis à son ancienne colonie les germes de ce qu’elle a perdu aujourd’hui : la vigueur de sa foi.

    JPSC

  • Le Christ Roi de l'Univers

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    sur Homelies.fr (archive 2007)

    En ce dernier dimanche du temps ordinaire, nous célébrons la solennité de Jésus-Christ roi de l’univers. Cette fête fut instaurée par le pape Pie XI le 11 décembre 1925 par l’encyclique « Quas Primas » pour « ramener et consolider la paix par le règne du Christ ». 

    Les textes de la liturgie présentent plusieurs aspects de cette réalité. Le second livre de Samuel (1ère lecture) parle de l’unification de toutes les tribus d’Israël qui reconnaissent l’autorité royale de David comme dérivant de celle de Dieu. Le Psaume 121 (122), quant à lui, reconnaît Jérusalem, le trône de David, comme le point d’union de ces mêmes tribus pour adorer le Seigneur : « Jérusalem, te voici dans tes murs : ville où tout ensemble ne fait qu'un ! C'est là que montent les tribus, les tribus du Seigneur. C'est là qu'Israël doit rendre grâce au nom du Seigneur. C'est là le siège du droit, le siège de la maison de David ». 

    L’évangile présente de son côté une image de roi en net contraste avec celle qui ressort des lectures précédentes. Jésus, objet de dérision et de mépris, meurt sur la croix comme un criminel et l’écriteau qui est cloué au-dessus de lui et qui le désigne comme « roi des Juifs » n’y change rien ! 

    C’est la deuxième lecture, extraite de la lettre de saint Paul aux Colossiens, qui nous donne la clef pour entrer dans ce mystère de la mort en croix du Christ comme sommet de la révélation de sa royauté sur l’univers. Il est capital de remarquer que l’apôtre des nations nous présente dans ce passage le règne universel du Christ à travers sa mort sur la croix en termes de réconciliation, de rédemption, de pardon des péchés et de paix : « Car Dieu a voulu que dans le Christ toute chose ait son accomplissement total. Il a voulu tout réconcilier par lui et pour lui, sur la terre et dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa croix ». 

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  • Un curé "sympa"

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    De Denis Crouan sur ProLiturgia.org :

    C’est amusant... ou inquiétant... ou symptomatique. Toujours est-il que quand j’entends autour de moi des personnes, parfois pratiquantes mais plus souvent non-pratiquantes, parler de tel curé, de tel prêtre, je les entends toujours dire « C’est un curé sympathique... » ou bien « Celui-là, il accueille tout le monde, pas comme celui qu’on avait avant lui... » ou encore « Il n’est pas très ouvert... »

    Pas une seule fois je n’ai entendu le moindre commentaire de qui que ce soit sur les enseignements ou sur la foi d’un prêtre.

    C’est comme si, pour être un « bon curé », il suffisait désormais d’être un « mec sympa » ou un « brave type » qu’on va voir juste pour établir le programme d’une messe de mariage ou d’une messe d’enterrement. Ou aussi quand il faut demander l’autorisation d’utiliser la salle paroissiale pour le repas annuel du vélo-club local. Tout le reste - la prière, la doctrine, la fidélité aux enseignements de l’Eglise, le salut des âmes - est sans aucune importance.

    Ainsi, la transmission et la célébration de la foi qui sont les deux piliers de la raison d’être du prêtre, du responsable d’un « secteur paroissial », passent désormais par pertes et profits.

  • A propos du Purgatoire

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    De Jean-Pierre Snyers :

    Le purgatoire

    On le sait, les mots "Trinité" ou "Purgatoire" ne figurent pas dans l'Ecriture. Mais de là à conclure  qu'il s'agit de tardives inventions humaines, voilà qui serait faire l'impasse sur le fait que la réalité que recouvrent ces deux mots est, elle, bien présente dans la Bible. Ne voulant  m'en tenir qu'à ce dogme qu'est le Purgatoire, voici donc quelques éléments susceptibles de montrer que celui-ci est conforme à ce qui a toujours été cru par les chrétiens...

    1) La prière pour les morts a toujours été pratiquée dans l'histoire de l'Eglise. En témoignent les inscriptions que l'on trouve dans les catacombes et dans les écrits des tous premiers pères de l'Eglise (tels Tertulien, Origène ou Grégoire de Nysse). Cette prière pour les défunts ne peut avoir de sens que s'il existe un "lieu", un état intermédiaire entre l'enfer et le Paradis. En effet,  si seul, l'un deces deux mots constitue l'aboutissement définitif d'un trépassé, pourquoi prier pour lui?

    2) Déjà dans l'Ancien Testament, on peut lire: "Car s'il n'avait pas cru que les morts dussent ressusciter, il était inutile et sot de prier pour eux...Voilà pourquoi il fit ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu'ils fusssent délivrés de leurs péchés (2 Machabbées 12: 44-46)

    3) Ce que dit le Nouveau Testament. Dans sa deuxième épître à Timothée, chapitre 1, versets 16 à 18, saint Paul écrit: "Que le seigneur fasse miséricorde à la famille d'Onésiphore et qu'il lui donne d'obtenir miséricorde auprès de Lui" A l'époque où il écrit ces lignes, Onésiphore était déjà mort et en implorant Dieu pour le salut de celui-ci, il prie pour un défunt. Autre verset du même saint Paul: "S'il en était autrement, que gagneraient ceux qui se font baptiser pour les morts? Si les morts ne ressuscitent pas, pourquoi donc se fait-on baptiser pour eux?" (1 Corinthiens: 15, 29). Deux remarques à ce sujet. Cette pratique qui existait en son temps impliquait inévitablement des prières pour les défunts à la place de qui on se faisait baptiser.  De plus elle nous montre aussi qu'il est possible aux vivants d'aider ceux qui sont dans l'au-delà.

    Dans la première épître de Pierre, il est dit par ailleurs que le Christ "est allé prêché aux esprits en prison" (1 Pierre: 3, 19_20). Où étaient ces "esprits en prison?", sinon dans un autre lieu que le Paradis ou l'Enfer? Et dans l'Evangile de St Mathieu (chapitre 12, verset 32) on lit que "le péché contre le Saint Esprit ne sera pardonné ni dans ce monde, ni dans l'autre" De cela, on peut en conclure qu'il y aura des péchés qui seront pardonnés dans l'éternité. Mais où dans l'éternité? Au Paradis où rien de souillé ne peut entrer, où aucun péché ne peut trouver refuge, sous peine de transformer ce Paradis en un lieu ou coexistent le pur et l'impur?

    Je pourrais bien sûr continuer en invoquant d'autres arguments qui nous montrent que dès le tout début du christianisme, les chrétiens ont compris le lien qui existe entre l'Eglise triomphante et celle de cette terre, entre eux qui sont vivants dans l'autre monde et ceux qui le sont dans ce monde. Et ce lien, je le crois, nous révèle que défunts ou vivants, nous sommes unis à jamais dans la prière à ce Dieu qui est le socle de notre existence temporelle et éternelle.

  • Quand Benoît XVI prie pour l'Eglise

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    Le site Chiesa e Post Concilio (qui a traduit en italien le texte original en allemand ), remarquant que le Pape émérite sort une fois de plus de son silence, voit dans cette prière une sorte de Testament spirituel – ce qui est peut-être excessif!

    Et il ajoute ce commentaire:

    Le texte de Benoît XVI date de juin dernier; mais il contient des éléments significatifs par rapport aux événements récents, compte tenu aussi du fait que le texte discuté du Instrumentum Laboris du Synode Amazonien était déjà connu à ce moment.

    Rappelons un précédent particulièrement éloquent: les Notes établies à l’occasion de la rencontre des présidents de toutes les conférences épiscopales du monde sur le thème des abus, convoquée au Vatican (24-29 février 2019). Le document a été rendu public au cours du mois d’avril suivant, montrant que ses observations n’avaient pas été prises en compte.

    La prière de Benoît XVI (Traduction d’après le texte en italien)

    Plus de 1900 ans ont passé depuis que Toi, le Verbe éternel de Dieu, es entré dans le temps et T’es fait chair – Tu t’es fait homme. Tu n’as pas abandonné Ta nature humaine comme un vêtement après l’avoir assumée pendant une brève période. Non, jusqu’à Ta mort sur la croix Tu l’as assumée, Tu l’as traversée et Tu l’as soufferte et Tu restes, après être ressuscité, à jamais un homme. Dans la parabole, Tu t’es comparé au grain de blé qui tombe dans la terre et meurt, qui toutefois ne reste pas isolé, mais émerge à nouveau et porte constamment du fruit. Dans la sainte Eucharistie, Tu es toujours présent parmi nous, Tu te confies dans nos mains et dans nos cœurs pour qu’une nouvelle humanité puisse naître. Et donc, que Tu te sois fait homme n’est pas pour nous une expérience lointaine, mais elle nous touche tous, elle nous appelle tous. Aide-nous à le comprendre de plus en plus. Aide-nous à vivre et à mourir dans le secret du grain de blé et à contribuer à la naissance d’une humanité nouvelle.

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  • Ecologie : L’homme, un visiteur ?

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    L’homme n’est-il qu’un voyageur sans bagages sur cette terre ? De Robert Royal sur le site web "France Catholique", cette réflexion en marge du synode « amazonien » animé par le  pape François :

    visiteur a-5270305-1d629.jpgOn peut presque toujours prévoir les limites, l’objet et le langage particulier des synodes. Mais un nouveau terme susceptible d’être significatif a émergé lors des derniers jours du Synode de l’Amazonie. Selon certains les participants au synode ont parlé de changement de mentalité : nous ne penserions plus être les seigneurs et maîtres de la nature, mais ne serions que des ”visiteurs” en ce monde.

    Tout comme dans ce qui surgit lors des discussions sur l’écologie on trouvera des avis ”pour” et des avis ”contre”. Côté positif — tout-à-fait positif — on notera le rejet de l’idée centenaire qui a pourri dès ses débuts la Révolution Scientifique. René Descartes parlait de nous rendre ”Maîtres et propriétaires de la nature”. Francis Bacon allait encore plus loin, nous suggérant de nous dépasser en rejetant la nature ”pour le bien-être de l’homme”.

    Il va sans dire que ces idées brutes ne sont guère conformes aux vues chrétiennes. L’idée erronée que la Bible — et non les premiers pas des ”Lumières” — approuvait une telle suprématie nette depuis plus d’un demi-siècle a eu pour effet de faire croire aux environnementalistes que la Chrétienté est coupable de la dégradation de l’environnement, et qu’il faut donc la rejeter.

    Une vision biblique de la nature commence par la Genèse qui nous dit « soyez féconds, multipliez, emplissez la terre et soumettez-la ; dominez les poissons de la mer, les oiseaux du ciel et tous les animaux qui rampent sur la terre. »[Gn, 1-28]

    Le mot hébreu ”dominez” est selon les érudits de la Bible chargé d’une grande force, comme un pouvoir royal — d’un bon souverain — sur son royaume. Mais il faut nous rappeler qu’avant l’avènement des techniques modernes la nature n’était pas toujours une mère aimante pour notre race, mais une forte adversaire. À présent certains semblent considérer comme contre nature des événements tels qu’inondations, sécheresses, séismes, raz-de-marée, tornades, phénomènes météo étranges. En vérité, ces phénomènes ont fait partie des événements bien avant notre venue sur terre. Alors, la domination énoncée par la Bible peut bien être vigoureuse, mais elle aura la force du cultivateur qui fera épanouir le désert, travaillera la terre, élèvera des animaux, pour son existence sur terre.

    Je n’ai pas la moindre idée sur l’origine du terme ”visiteur” — ”ospite” pour les Italiens. Il semble chargé d’humilité et de déférence envers la nature, ce qui siérait parfaitement. Mais en fait, nous ne sommes pas des visiteurs, nous ne sommes pas comparables à des clients d’hôtel ou à des invités dans une demeure particulière. Notre raison d’être ici-bas — Chrétiens ou Juifs le croyons selon la révélation divine — réside dans le rôle qui nous est échu.

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