Le Christ révèle à sainte Marguerite-Marie Alacoque , le 27 décembre 1673, que « Mon divin Cœur est si passionné d'amour pour les hommes, et pour toi en particulier que, ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu'il les répande par ton moyen, et qu'il se manifeste à eux pour les enrichir de ses précieux trésors que je te découvre... »Spiritualité - Page 485
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Vendredi 7 juin 2013 : Solennité du Sacré-Cœur de Jésus
Le Christ révèle à sainte Marguerite-Marie Alacoque , le 27 décembre 1673, que « Mon divin Cœur est si passionné d'amour pour les hommes, et pour toi en particulier que, ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu'il les répande par ton moyen, et qu'il se manifeste à eux pour les enrichir de ses précieux trésors que je te découvre... »En juin 1675, Il s'adresse à elle en ces termes : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné, jusqu'à s'épuiser et se consommer, pour leur témoigner son amour. Je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du Saint-Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon Cœur, en communiant ce jour là, et en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable, pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels. -
Benoît XVI fait des émules
De Jean Mercier sur son blog “paposcopie” :
“Mgr Brunner, évêque de Sion (Suisse), tire sa révérence. Un événement qui évoque la renonciation récente de Mgr Lacrampe, et celle de Benoît XVI…
Il aurait encore dû travailler à la vigne du Seigneur pendant quatre années. Mais Mgr Norbert Brunner a dit “Stop”. A presque 71 ans, l’évêque de Sion, en Suisse, a décidé de remettre sa charge, arrivé à “ la conviction qu’il n’avait plus les forces nécessaires pour accomplir les tâches inhérentes au ministère épiscopal d’aujourd’hui et pour relever les défis qui en découlent” selon le communiqué du diocèse.
Un tel événement n’est pas nouveau. Il fait écho à la démission présentée le 25 avril dernier par Mgr Lacrampe, lui aussi à 71 ans, cette fois pour raison de santé défaillante “ inconciliable avec les besoins de la mission et l’exercice de la responsabilité épiscopale”. L’archevêque de Besançon soulignait ce qui pesait sur ses épaules : la conduite d’un vaste diocèse, le pilotage d’une province apostolique de 6 diocèses + 2 diocèses concordataires, sans oublier ses responsabilités au niveau national. L’évêque évoquait l’exigence “de longs et fréquents déplacements” et le défi “d’une nouvelle évangélisation qui appelle une présence démultipliée de l’évêque”. Incompatible avec un corps fragile ou souffrant.
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Mgr Harpigny sur KTO
Sur KTO ("La Vie des Diocèses")
Depuis septembre dernier, l'Eglise à Tournai en Belgique a ouvert son synode diocésain. Mgr Guy Harpigny vient faire un point d'étape sur cette aventure missionnaire, dans l'émission La Vie des Diocèses. Il lance une nouvelle fois aux fidèles une invitation à prier et à réfléchir sur le thème de la sacramentalité de l'Église. Dans un contexte de crise profonde de la foi en Belgique, l'évêque de Tournai entend mettre l'accent sur une mobilisation constante pour l'évangélisation. Car il s'agit pour lui d'attirer dans le coeur de l'Eglise les personnes qui se trouvent en sa périphérie. L'évêque de Tournai insiste par ailleurs sur l'importance de la conversion personnelle et de l'attachement au Corps de l'Eglise, qui est, comme le rappelle saint Paul, le Corps du Christ.
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La liturgie traditionnelle n’est pas une alternative à la liturgie réformée
C’est ce que le nouvel archevêque de Ferrare, Mgr Negri, vient de rappeler aux fidèles « traditionalistes » dans une homélie lors du pèlerinage de pentecôte au sanctuaire de Notre-Dame du Poggetto. Extrait du document publié dans « La Lettre Liturgique“ n° 390 du 4 Juin 2013:« (…) La grâce de l’Église, vous la vivez à la source de la Foi qu’est l’Eucharistie, la célébration liturgique. Par la prudente et grande miséricorde de Benoît XVI, vous la puisez auprès d’un des deux grands trésors de la liturgie de l’Église, la liturgie traditionnelle. Celle-ci n’est pas une alternative à la liturgie réformée par le concile Vatican II mais exprime tout son caractère aux côtés de la liturgie réformée, en toute dignité, en toute liberté et en pleine responsabilité.
Benoît XVI l’a énoncé avec une clarté admirable dans le Motu Proprio. Il a voulu accroître la possibilité de vivre des richesses de la liturgie de l’Église et a demandé pour cela à toute l’Église, à commencer par les évêques, de se montrer respectueux de son intention d’augmenter les trésors de l’Église, en favorisant l’accès à ce bien antique à ceux qui en ressentent légitimement le désir et souhaitent le vivre pleinement pour la vérité de la Foi et de la mission d’aujourd’hui. Incontestablement, le Pape a ainsi dépassé la fausse et inacceptable opposition entre l’ancien et le nouveau, rompant avec cette herméneutique de la discontinuité entre ce qui existait avant le Concile et ce que le Concile a annoncé, et ce que la mise en œuvre du Concile a douloureusement produit pour notre époque. Il y a une unique Église du Seigneur, à laquelle l’Esprit a donné de traverser des moments différents : le concile Vatican II a été un moment d’extraordinaire importance, même s’il a représenté un grand défi pour le développement de l’Église.
Vous utilisez donc cette liturgie, et je suis heureux que vous le fassiez dans ce diocèse dont je suis depuis peu l’archevêque. Vous ne le faites pas contre quelqu’un ou pour affirmer des opinions mais pour vivre le mystère de l’Église selon la profondeur et la vérité que vous retenez avoir le devoir et le droit de pratiquer. Et l’Église permet aussi cela. Benoît XVI, et je ne suis pas habitué à parler en l’air, a manifesté une vraie miséricorde pastorale en mettant cette possibilité au service de la Foi de chaque chrétien et de petits groupes qui n’ont même pas besoin d’être quantifiés numériquement : les groupes stables sont composés de tous les fidèles qui ont le droit et le devoir de bénéficier de cette liturgie. Vous l’avez à portée de main et l’Église vous permet de la pratiquer en toute liberté. (…)
Comme ceux de la liturgie réformée, pratiquez l’ancienne liturgie pour vous. Pour la vérité de votre Foi. Pour la vérité de votre Charité. Pour donner une impulsion à votre mission. Ce sont deux trésors pour un même peuple. Et ce peuple unique et mature se nourrit de la Foi précisément s’il sait vivre la liberté que l’Église lui accorde. Or cette liberté liturgique, non seulement l’Église la concède mais elle la garantit aussi.
N’ayez pas des opinions à défendre ou à opposer aux autres. L’archevêque de Ferrare et Comacchio n’est ni le gardien ni le propagateur d’aucune opinion que ce soit. Il n’a qu’une opinion : la vérité du Seigneur, l’Évangile, la Tradition de l’Église, le Magistère du Saint-Père et, en union avec celui-ci, son propre magistère.
Voici le cadre dans lequel Benoît XVI a promulgué le Motu Proprio. Je fais partie des évêques, à dire la vérité pas si nombreux que cela, qui en ont retiré un approfondissement de leur propre identité au regard de l’expérience de Dieu. C’est une grandeur non seulement pour ceux qui le pratiquent mais aussi pour toute l’Église.
De ce fait, et je conclus, vous devez toujours rechercher la majeure participation à la vie de la communauté ecclésiale. Cette pratique ne vous soustrait pas à la vie de la communauté et encore moins à la difficile mais belle réalisation de la communion ecclésiale (…).
Extrait du Commentaire de « La Lettre Liturgique » :
Mgr Negri, très proche du mouvement Communion et Libération, est un grand ami du cardinal Biffi, ancien archevêque de Bologne, du cardinal Scola, archevêque de Milan, du cardinal Caffarra, archevêque de Bologne, qu’il est lié à Mgr Moraglia, patriarche de Venise, au cardinal Piacenza, Préfet de la Congrégation du Clergé, en un mot qu’il fait partie des prélats italiens dits « de restauration », parmi lesquels il est peut-être le plus décidé dans ses propos. Sa liberté de parole est semblable à celle de Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon (…).
Référence : Notre lettre 390 publiée le 4 juin 2013
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Quand le pape pourfend la culture du gaspillage
Source : Radio Vatican
"La nourriture que nous jetons, c'est comme si nous l'avions volée de la table du pauvre"
Plus de 80 000 personnes mercredi matin sur la Place Saint-Pierre pour l’audience générale. Et le Pape François en grande forme s’est offert un long tour en jeep dans les divers secteurs de la Place, serrant des mains, embrassant des enfants, et a rejoint ensuite à pied le haut du parvis pour entamer l’audience. Parmi les nombreux groupes venus du monde entier, celui insolite de 1 800 chauffeurs de taxi de la ville de Rome. Et pour la communauté francophone, des fidèles venus des Antilles, de l’Ile Maurice et de Côte d’Ivoire. Ainsi qu’un groupe d’imams de France engagés dans le dialogue interreligieux.
Le Pape François, par l’intermédiaire d’un speaker de langue française leur a demandé « de prendre soin de la création, de prendre soin de la personne humaine, de sorte que personne autour de nous ne soit privé du nécessaire. » Car pour sa catéchèse, le Pape nous a parlé de la Création, que « Dieu a confié à l’homme et à la femme pour qu’ils la gardent et la cultivent. »
« Cultiver veut dire prendre soin, avec attention, avec passion et dévouement », a déclaré le Pape. « Parfois nous perdons notre capacité de contempler, de nous émerveiller devant la création, car nous vivons dans un monde horizontal, qui s’éloigne de Dieu. Or la création est un don qui nous est fait, que nous devons respecter, et non pas manipuler pour en tirer profit. »
« Mais, garder et cultiver concernent aussi les relations entre les hommes. La personne humaine est aujourd’hui sacrifiée aux idoles du profit et de la consommation. Elle est trop souvent rejetée comme si elle était un déchet dont personne ne se préoccupe, dès lors qu’elle est considérée comme coûteuse ou inutile. Alors que beaucoup d’hommes ne mangent pas à leur faim, la culture de consommation nous entraîne à gaspiller de la nourriture dont nous n’estimons même plus la valeur. Mais rappelons-nous que la nourriture que l’on jette c’est comme si elle avait été volée à la table du pauvre. Ecologie de l’environnement et écologie humaine vont ensemble. C’est en combattant la culture du rejet et du gaspillage qu’il est possible de devenir attentif à chacun, et de venir en aide aux besoins des plus pauvres. »
Le Pape François devait ainsi avec des termes durs dénoncer la tyrannie du gaspillage en déclarant : « Aujourd’hui c’est l’argent qui commande, et si une personne meurt cela ne fait pas la Une, si tant d’enfants dans le monde n’ont pas à manger, cela non plus ne fait pas la Une, comme si c’était désormais quelque chose de normal, alors que cela ne peut l’être. Non, nous ne pouvons nous habituer au superflu et au gaspillage de la nourriture ».Lien permanent Catégories : Actualité, Doctrine Sociale, Economie, Eglise, Foi, Spiritualité 0 commentaire -
Aller sans crainte à la rencontre de l'Islam, si...
Grégoire III souhaite que les chrétiens d’Europe « s’enracinent dans la foi pour aller vers l’islam »
Source : "L'Oeuvre d'Orient" / 04/06/2013
Lors de sa dernière journée dans la cité phocéenne, le Patriarche Grégoire III a lancé un appel pour que l’Europe s’enracine aussi dans sa foi car dit-il « si l’Europe est chrétienne elle pourra rencontrer sans crainte l’Islam".
Sa Béatitude GREGOIRE III, patriarche d’Antioche et de tout l’Orient, d’Alexandrie et de Jérusalem a achevé sa visite pastorale à Marseille en ouvrant la série des conférences et des entretiens du Parvis du Coeur organisé par l’Institut Catholique de la Méditerranée dans le cadre des manifestations de l’année « Marseille capitale de la Culture ». Cette dernière journée aura été aussi consacrée d’une part à la mairie de Marseille, où le sénateur-maire, Jean-Claude Gaudin a reçu Gregorios III avec son conseil municipal et ses principaux adjoints. Visite qui a permis au patriarche de prendre toute la mesure des particularismes de Marseille-Porte de l’Orient. Et de l’autre à un déjeuner avec Monsieur Farid Salem, directeur délégué de la CMA-CGM qui avait réuni autour de Sa Béatitude, au siège de la CMA-CGM, ses principaux collaborateurs.
Face à une assistance nombreuse et tout particulièrement attentive, Gregorios III a évoqué le quotidien des Chrétiens d’Orient « fils et fille de la Résurrection en marche vers la Résurrection » en déclarant « tant qu’il y aura un Christ ressuscité n’ayons pas peur ! »
Evoquant le nécessaire enracinement dans « notre foi de Chrétien », dans « notre identité de Chrétien », le Patriarche a lancé un appel pour que l’Europe s’enracine aussi dans sa foi car dit-il « si l’Europe est chrétienne elle pourra rencontrer sans crainte l’Islam. Si elle n’est pas une Europe chrétienne fière de sa foi elle ne pourra faire face et la nature a horreur du vide. Elle rencontrera alors la face la plus hideuse de l’Islam ».
Gregorios III a alors rappelé que l’Orient chrétien vit depuis plus de 1.400 ans avec l’Islam. Que de cette expérience, des liens tissés par la centaine d’instituts de formation, d’éducation ou de santé dépendant de l’Eglise grecque-melkite catholique des liens réels pour un dialogue de terrain réel et durable ont été tissés. Dialogue à la base du savoir vivre ensemble.
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Le monastère d'Opgrimbie sous la menace
Chers amis,
Voulez-vous vous unir à notre prière ?
Dans sa Bonté le Seigneur a donné à notre pays, à notre Eglise, dans le Limbourg à Opgrimbie un monastère de moniales contemplatives, car
« Le Père cherche des adorateurs en esprit et en vérité ».
Cependant la construction du monastère et l'arrivée des moniales de Bethléem ont suscité de nombreux remous. Le permis de construire leur a été accordé deux fois par le ministre du gouvernement flamand compétent, mais chaque fois annulé sur base d’une requête ultérieure.
Entretemps, la législation concernant l’aménagement du territoire et la préservation de la nature devient toujours plus sévère. Et aujourd’hui, en ce qui concerne l’habitat, la zone est qualifiée de naturelle protégée ou vulnérable avec pour conséquence qu’une solution définitive acceptable pour tous se fait attendre …
Voir : annexe-bijlage 1.pdf et bijlage-annexe 2.pdf
Formons une immense chaîne de prière
pour que jamais ne s’accomplisse à Opgrimbie la sévère parole de Jésus:
« Et si un endroit ne vous reçoit pas et qu’ils ne vous écoutent pas, sortez-en et secouez la poussière de sous vos pieds, en témoignage vis-à-vis d’eux » Mc 6,11
Dieu de Bonté,
De tes mains nous avons reçu le monastère d’Opgrimbie.
Un lieu que Tu as choisi et que Tu nous as donné.
Plus que nous ne comprenons, ce lieu est Ta demeure parmi nous.
La terre que Tu nous donnes; paix, joie et amour.
L’adoration perpétuelle des sœurs fait de ce lieu une terre sainte.
Nous Te louons et nous Te rendons grâce pour ce monastère.
Mais en même temps, aujourd’hui nous sommes inquiets.
Nous te prions Seigneur, si telle est Ta volonté,
maintiens en ce lieu ce qui est bon et
que tous puissent comprendre que Toi
Tu es le cœur de la nature, Tu es la Vie même.
Garde à Opgrimbie cette sagesse de vie monastique contemplative,
source de grâce et de paix pour ce pays et pour le monde.
Car sans Toi nous ne pouvons rien. Nous sommes sûrs de Toi.
Sous ta miséricorde, nous trouvons refuge,
Mère de Dieu,
Ne dédaigne pas les prières que nous t’adressons au milieu de nos peines,
mais délivre-nous de tout danger,
ô Vierge Pure entre toutes bénie.
Nous te confions l’avenir de ton monastère à Opgrimbie
afin que la Sainte Trinité puisse toujours y être célébrée et adorée,
dans l’amour, la paix, la solitude et le silence,
selon la sagesse monastique de Saint Bruno.
Que l’offrande de ces vies consacrées à Dieu dans la prière
soit source de grâce et de paix pour les hommes
et les femmes de notre temps.
Soutiens par ta prière la fidélité des moniales à monter une garde sainte et persévérante
dans l’attente du Retour du Christ, jusqu’à ce qu’Il vienne.
Maranatha, viens Seigneur Jésus !
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Sur KTO : où en sont les Frères de Saint-Jean
KTO reçoit le frère Thomas Joachim, prieur général de la Communauté des frères de Saint-Jean. Les "Petits Gris" viennent de vivre un chapitre général important, à une étape également importante de la croissance de leur jeune communauté (fondée en 1975), sept ans après la mort de leur fondateur, le père Marie-Dominique Philippe. Au cours de ce chapitre, des zones d'ombre dans la vie du fondateur ont été révélées aux frères, pour être ensuite divulguées publiquement. Quelles sont ces "zones d'ombre"? Pourquoi les avoir révélées ? Où en sont les frères de Saint-Jean aujourd'hui ? Quelles sont leurs forces et leurs faiblesses ? Quelle est leur place dans l'Église en France? Quel est leur charisme ? Quelles voies pour l'avenir ?
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Pourquoi le christianisme scandalise
Le scandale de l’Incarnation
source : Osservatore Romano
Le scandale d’un Dieu qui s’est fait homme et est mort sur la croix à été au cœur de l’homélie tenue par le Pape le matin du samedi 1er juin, lors de la messe qu’il a concélébrée dans la chapelle de la Domus sanctae Marthae.
Le souvenir du martyr Justin, dont on célèbrait la mémoire liturgique, a offert au Pontife l’occasion de réfléchir sur la cohérence de la vie et sur le noyau fondamental de la foi de chaque chrétien: la croix. « Nous pouvons faire toutes les œuvres sociales que nous voulons, – a t-il affirmé – et ils diront: mais qu’elle est bonne l’Eglise, qu’elles sont bonnes les œuvres sociales que fait l’Eglise! Mais si nous nous disons que nous faisons cela parce-que ces personnes sont la chair du Christ, alors vient le scandale ».
Sans l’incarnation du Verbe le fondement de notre foi vient à manquer, a souligné le Pape: « Ceci est la vérité, ceci est la révélation de Jésus. Cette présence de Jésus incarné. Tel est le point ». Si on oublie cela, « la séduction » pour les disciples du Christ « de faire des choses bonnes sans le scandale du verbe incarné, sans le scandale de la croix » sera toujours forte.
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Ce à quoi nous invite la Fête-Dieu d'après le pape
La fête du Corpus Christi nous demande de nous convertir à la foi en la Providence, à partager le peu que nous sommes et le peu que nous avons, et de ne pas nous fermer à jamais. Demandons à Marie, notre Mère qu'elle nous aide à cette conversion, pour que nous suivions toujours plus ce Jésus que nous adorons dans l'Eucharistie.
Benoît, lors de l'Angelus de ce dimanche de la Fête-DieuTesto proveniente dalla pagina http://it.radiovaticana.va/news/2013/06/02/langelus_di_papa_francesco_-_testo_integrale/it1-697693 del sito Radio Vaticana
Son homélie pour la Fête-Dieu (jeudi 30 mai) : http://www.zenit.org/fr/articles/l-eucharistie-de-l-anonymat-a-la-communion
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Liège, 2 juin : adoration à Cornillon
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BXL, 7 juin : veillée de prière au Sacré-Coeur de Lindthout "Les Saints au coeur de l'Europe"
