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BELGICATHO - Page 2116

  • Le cardinal Ries salué par ses pairs

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    IMG_4953.JPGDépêché à Rome par « La Libre », Christian Laporte a assisté au consistoire cardinalice. Extraits de son compte rendu :

    « Le cardinal Julien Ries rejoint Godfried Danneels parmi les “princes de l’Eglise”. Le nouveau prélat était particulièrement ému.

    A la fin du consistoire ordinaire public qui a créé, samedi matin, 22 nouveaux cardinaux, et malgré une déjà longue et donc épuisante cérémonie, certains parmi ces fraîchement néo-promus auraient bien, coiffés de leur barrette rouge toute neuve et de leur anneau encore serrant, fait cinq fois le tour de l’autel principal de la basilique Saint-Pierre, histoire d’étaler leur nouveau statut aux membres de leur famille, mais davantage encore pour en jeter à leurs "supporters" venus parfois en car - pour les Italiens - et même en avion pour les "fans" de l’archevêque de New York (…)

    Rien de tel pour "notre" désormais second cardinal, Julien Ries, qui s’est pour sa part discrètement éclipsé dès la fin de la cérémonie de la majestueuse basilique en chaise roulante sous la bienveillante protection de ses amis de la famille spirituelle de l’Œuvre, question de se reposer un brin car la "création" d’un cardinal est loin d’être un long fleuve tranquille. Mgr Ries nous a ainsi avoué s’être réveillé à quatre heures du matin. Pas évident donc d’affronter un programme qui ne se terminera que lundi après un repas fraternel avec le Pape. D’autant plus qu’il faut rappeler que le nouveau prélat belge affiche neuf décennies au compteur. Et a mené une vie doublement active :

    D’abord comme professeur et chercheur aux universités de Louvain, Louvain-la-Neuve et Milan tout en continuant encore à écrire aujourd’hui. Ensuite aussi comme prêtre de paroisse dans le diocèse de Namur. Et enfin comme compagnon de route de la famille spirituelle l’Œuvre, un mouvement chrétien toujours en expansion après avoir dû affronter pas mal de critiques, y compris en Belgique, où la commission d’enquête parlementaire l’avait rangé parmi les mouvements sectaires - mais il est vrai qu’on y avait aussi propulsé la Communauté de Sant’Egidio.

    La Belgique n’était sans nul doute pas le pays le plus représenté à la basilique Saint-Pierre lors de la cérémonie d’intronisation, mais tous les compatriotes que nous avons croisés étaient au moins aussi émus que leur nouveau cardinal et que le Pape lui-même. Ce dernier aurait, nous dit-on, certainement contribué au choix de Ries dont il est un lecteur assidu de longue date. Parmi les spectateurs, il y a bien sûr des officiels comme l’ambassadeur de Belgique près le Saint-Siège, Charles Ghislain.

    L’Eglise belge, de son côté, était présente avec les deux évêques du nouveau cardinal, celui de Namur, Rémy Vancottem rappelant les origines arlonaises et la vie pastorale de Julien Ries et celui de Tournai puisque c’est à Ath que le "héros" belge du jour vit encore des jours très heureux consacrés, mais oui, à la recherche et à la prière. Et il y avait bien sûr aussi le cardinal Danneels qui reste grand électeur du Pape (…).

    Chacun à Saint-Pierre et alentours s’est surtout efforcé de mieux découvrir les nouveaux cardinaux. Et surtout de les congratuler. Un exercice où Mgr Ries fit merveille (…). Il est vrai qu’il était le seul des nouveaux cardinaux à avoir eu les honneurs de la "Une" de "L’Osservatore Romano" de samedi matin ! Sous le titre "l’Homme religieux" - "L’Uomo religioso" - le journal a rendu un bel hommage à l’ensemble de son œuvre, soulignant que "Julien Ries est au centre de la recherche anthropologique " Ce que certains ont un peu oublié en Belgique, semble-t-il. Nul n’est prophète en son pays. Et parfois non plus dans son Université.

    Voir l’article complet ici : Le cardinal Ries salué par ses pairs  Rappelons en outre l’interview du nouveau cardinal réalisée par un de nos collaborateurs et que nous avons publiée sous ce titre : Un entretien avec le Cardinal Julien Ries

  • Faut-il éviter de se dire chrétien en politique ?

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     Lu sur le site de l’agence « cathobel » : 

    468007-d80055b81847266e4af5ab39eda1709d.jpgLe sénateur CD&V Rik Torfs, par ailleurs professeur de droit canon à la KUL, a lancé une pavé dans la mare ce week-end, en critiquant, entre autres, la mise en veilleuse de l’appartenance chrétienne de la doctrine de son parti (…)

    Faut-il avoir peur de se dire chrétien dans la vie active ? C’est un peu ce qu’on pourrait croire au vu de ce qui se passe en politique. Rappelons-nous le tollé qu’a fait la révélation de Jean-Michel Javeaux, co-président d’Ecolo lorsqu’il s’est dit croyant. Depuis quelques années, les politiques semblent, dans leur majorité, « frileux » de se revendiquer des valeurs de l’Evangile, qui sont pourtant des valeurs humanistes. Le Christ est le premier « humaniste ». Au fil des ans, le PSC est devenu cdH, l’Université Catholique de Louvain (UCL) a longtemps débattu sur l’opportunité de garder le « C » dans son appellation. Même les Scouts catholiques de Belgique sont devenus les scouts de Belgique. Exit le mot « catholique ».(…)

    Pour en revenir à Rik Torfs, il a reçu ce dimanche le soutien de certains milieux chrétiens dui nord du pays, ainsi que de la section des jeunes de son parti. Rassurant ! Le président des jeunes du CD&V, Pieter Marechal, a jugé que Rik Torfs a, à tout le moins, formulé plusieurs remarques à bon escient et que « le chemin du redressement est encore long » pour ce parti lourdement défait aux dernières législatives, et actuellement toujours sous les 15% dans les sondages.  Les Jeunes CD&V plaident en faveur d’un « axe fort » Beke-Torfs pour remettre l’idéologie du parti sur les rails. Un congrès de refondation du parti s’impose, selon eux. Les étudiants chrétiens-démocrates (CDS) de Gand et d’Anvers suivent Rik Torfs, déplorant que le CD&V, « par crainte de perdre davantage de voix, repousse depuis des années le débat idéologique« . Pour les conservateurs de la Christenunie (Union chrétienne), le CD&V est devenu un « caméléon politique« . « S’il ne se reprend pas, il ferait mieux de disparaître et laisser la place à une nouvelle génération de chrétiens volontaires et fiers » .(…) Alors ?  A quand un vrai débat sur valeurs de l’Evangile en politique et en dans la vie active ? Ici : Faut-il éviter de se dire chrétien en politique ?

    Selon « La Libre », les critiques du sénateur Rik Torfs sur son parti le CD&V ne donneront pas lieu à une sanction à son égard mais les démocrates-chrétiens flamands en discuteront en interne, a indiqué dimanche le secrétaire d'Etat CD&V Servais Verherstraeten. (…) Le président du CD&V Wouter Beke a "invité" le professeur de droit canon pour une discussion. Il n'est pas question d'une exclusion du parti. Si Rik Torfs "veut porter avec nous les valeurs de la démocratie chrétienne auprès de l'électeur, je pense que l'on peut encore en récolter du succès", a-t-il commenté.  

    « La Libre » titre par ailleurs : Rik Torfs torpille son propre parti . Le point de vue d'un journal post-chrétien ?

  • L'enjeu spirituel du ministère de Pierre

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    Source : Zenit.org

    Dans l'Église, tout repose sur la foi - Fête de la Chaire de saint Pierre

    ROME, dimanche 19 février 2012 (ZENIT.org) – « Dans l’Eglise, tout repose sur la foi », affirme Benoît XVI, invitant à revenir à la réalité profonde de la mission ecclésiale : être une « fenêtre vers Dieu ». 

    Le pape a présidé la messe, en la fête de la Chaire de Pierre, ce matin, 19 février 2012, dans la basilique Saint-Pierre de Rome. Il était entouré des 22 nouveaux cardinaux, agrégés au collège cardinalice hier, 18 février, au cours du 4e consistoire public convoqué par lui.

    Benoît XVI a donné une homélie très concrète, redisant avec force la permanence de l’autorité de l’Eglise, éclairée par la Parole de Dieu, qui lui assure « un fondement stable au milieu des mutations historiques », en dépit des tempêtes dont elle est parfois l’objet. En outre, le pape a réaffirmé l’enjeu spirituel du magistère pétrinien, qui ne peut être atteint par les considérations de personnes.

    Tout dans l’Eglise repose sur la foi

    L'homélie de Benoît XVI fait comprendre plus profondément pourquoi le pape a convoqué une "Année de la Foi" (11 octobre 2012-24 novembre 2013).

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  • Cherchez où est l'erreur...

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    Nous lisons ceci sur Radio Vatican à propos de la journée qui a précédé le consistoire d'hier:

    "Les cardinaux ont rempli leur rôle de conseil auprès du Pape. Pendant toute cette journée, 27 d’entre eux ont pris la parole et se sont exprimés sur différents sujets, allant parfois bien au-delà de la nouvelle évangélisation, objet central de leur attention. Certains ont abordé les problèmes de cette nouvelle annonce de l’Evangile dans des régions et des cultures différentes les unes des autres. Parlant de l’urgence éducative, du renouvellement de la catéchèse pour faire face à l’analphabétisme religieux, de la transmission de la foi aux jeunes, de la formation des évangélisateurs, ils ont souligné la nécessité d’une foi mûre, capable de témoigner et de juger la réalité du monde. Leur boussole doit être le concile Vatican II comme l’a rappelé Benoît XVI à la fin des débats. Le concile et ses précieux contenus de vérité. « Sans cette vérité, nous ne savons pas où aller, avec elle, au contraire a affirmé le pape, la vie est riche et belle ». C’est cette conviction qui permettra de re-évangéliser l’humanité d’aujourd’hui selon Benoît XVI. Malgré les ombres et les difficultés évidentes, les cardinaux, tous autour du pape, ont au moins salué les nouvelles réalités ecclésiales, les journées mondiales de la jeunesse, ou les congrès eucharistiques internationaux : autant de signes positifs et encourageants."

  • Lève-toi et marche !

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    guerison-dun-paralytique.jpg

    Lève-toi et marche !
    Ouvre nos cœurs à ton appel,
    Seigneur Guéris nos paralysies spirituelles
    pour que, nous aussi,
    En nous aidant les uns les autres à venir vers Toi,
    A l'exemple de ceux qui ont apporté le paralysé,
    Nous marchions à ta suite Dans la joie en rendant
    Gloire à Dieu.

    notredamemontcarmel

  • Sept points pour résumer la nouvelle évangélisation

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    C'est ce que propose l’archevêque de New-York, comme le rapporte "Americatho"

    "Hier, à la veille du jour où il recevra la barrette rouge des nouveaux princes de l’Église, Mgr Timothy Dolan, archevêque de New York et cardinal désigné, a livré, lors de la journée de réflexion et de prière qui réunissait autour de Benoît XVI les cardinaux et les cardinaux désignés, ses sept points pour la nouvelle évangélisation.

    1. Se souvenir que même ceux qui se vantent de leur sécularisme, ont un désir inné du divin ; la première étape de l’évangélisation doit être de maintenir vivante la quête de Dieu.

    2. « N’ayez pas peur », soyez confiants, sans triomphalisme, puisque c’est par son pouvoir que Dieu envoie son peuple évangéliser.

    3. Savoir que la nouvelle évangélisation ne consiste pas à proposer une doctrine ou un système de croyance, mais une Personne dont le nom est Jésus.

    4. Cependant, ce Jésus est la Vérité et donc, par conséquent, l’évangélisation est liée à la catéchèse.

    5. La personne qui évangélise doit être emplie de joie : elle est quelqu’un qui sourit.

    6. La nouvelle évangélisation c’est une affaire d’amour, l’amour de Dieu rendu concret dans le service.

    7. Et pour finir, le martyre. Un rappel que désormais l’Église est peuplée de ceux qui endurent la persécution pour leur foi et que ces martyrs donnent un élan à la nouvelle évangélisation.

    La joie est le grand secret des chrétiens, disait Chesterton. Timothy Dolan est-il le plus chestertonien des cardinaux ?"

  • Pour l'amour de l'Amour, une video du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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    Regardez ce film ! Écoutez cette voix ! Laissez-vous emporter dans la beauté indépassable du christianisme...
    Que de nombreuses vocations se lèvent ! Allez les garçons ! En avant !

    http://www.youtube.com/
    www.delamoureneclats.fr

  • Le malaise au Vatican: un diagnostic sévère mais juste?

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    Vittorio Messori se livre à une analyse sévère mais sans doute assez juste des maux dont souffre l'Eglise à son sommet. Notre amie de "Benoît et moi" en fait paraître la traduction sur son site. On la lira avec profit ici: http://benoit-et-moi.fr

    Extrait :

    "...nous l'avons dit, il semble qu'il y ait aussi un effondrement moral, qui n'est pas seulement sexuel (problèmes pédophiles, mais pas seulement), mais aussi le retour, presque comme à l'époque de la Renaissance, de palais du Vatican réduits à des nœuds d'intrigues et de luttes pour les carrières , le pouvoir, l'argent, les intérêts politiques et idéologiques. Eh bien là, il n'y a pas de réforme qui tienne, il n'y a pas de remède uniquement humain. Là, toutes les techniques de "réorganisation de l'entreprise" sont ridiculement impuissantes et doivent s'ouvrir au «scandale» de la prière."

  • Les paroles fortes du pape lors du consistoire de ce 18 février

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    Cité du Vatican, 18 février 2012 (source : VIS). A 10 h 30', le Saint-Père a présidé en la Basilique vaticane le sixième consistoire ordinaire public pour la création de vingt deux Cardinaux, auxquels il a remis la barrette, l'anneau et le titre ou diaconie. Après la prière introductive et la lecture de l'Evangile, Benoît XVI a prononcé l'allocution dont voici de larges extraits :

    « Tu es Petrus, et super hanc petram aedificabo Ecclesiam meam... C’est sur ces paroles du chant d'entrée que s'est ouvert le beau rite consistorial... Ce sont les paroles par lesquelles Jésus a constitué Pierre comme fondement solide de l’Eglise. De ce fondement, la foi représente le facteur qualificatif. De fait, Simon devient Pierre, le roc, car il a professé sa foi en Jésus Messie et Fils de Dieu... Les paroles que Jésus adresse à Pierre mettent bien en évidence le caractère ecclésial de l’événement d’aujourd’hui. Les nouveaux Cardinaux, en effet, par l’attribution du titre d’une église de cette ville, sont insérés à tous les effets dans l’Eglise de Rome, guidée par le Successeur de Pierre, pour coopérer étroitement avec lui au gouvernement de l’Eglise universelle... Dans cette tâche délicate, le témoignage de foi donné à travers sa vie et sa mort par le Prince des Apôtres, qui, par amour du Christ, s’est donné totalement lui-même jusqu’au sacrifice ultime, sera pour eux un exemple et une aide... C’est en ce sens qu’il faut comprendre aussi l’imposition de la barrette rouge. Aux nouveaux Cardinaux est confiée le service de l’amour, l'amour pour Dieu, l'amour pour son Eglise, l'amour pour le prochain avec un dévouement absolu et sans condition, jusqu’à l’effusion du sang, si nécessaire, comme le dit la formule de l’imposition de la barrette et comme l’indique la couleur rouge de leurs habits. En outre, il leur est demandé de servir l’Eglise avec vigueur, avec la clarté et la sagesse des maîtres, avec l’énergie et la force morale des pasteurs, avec la fidélité et le courage des martyrs. Il s’agit d’être d’éminents serviteurs de l’Eglise qui trouve en Pierre le fondement visible de l’unité.

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  • Quitter l'Eglise pour mieux adhérer au Christ?

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    L'abbé Rimaz (le Suisse romain) observe :

    "La tentation est parfois forte de vouloir quitter l'Eglise pour mieux adhérer à Jésus. Or, une juste connaissance de notre propre personne nous donne de voir en nous du bien et du mal, de l'ivraie et du bon grain, soit la présence de la grâce à côté du péché."

    Mais, ajoute-t-il : "Le Cardinal Journet, amoureux de la sainteté de l'Eglise, comme un fiancé envers sa jeune fiancée, place les frontières de l'Eglise dans notre propre coeur. Ce qui est bon en nous est donné par la grâce de Dieu. Ce qui est mauvais, de l'ordre du péché, n'appartient pas à l'Eglise catholique, mais au démon en tout premier lieu. Le théologien allemand Karl Rahner s'est trompé: l'Eglise n'est pas pécheresse. L'Eglise est cette immense gerbe de bon grain, et le champ est celui du monde, alors les pécheurs appartiennent à l'Eglise, mais pas leurs péchés. L'ivraie ne fait pas partie de la sainte Eglise."

    Toute la note est à lire ici : La parabole de l'ivraie et du bon grain

  • Le "Manuel BIO-éthique des Jeunes" à diffuser sans modération

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    images.jpgLa Fondation Jérôme Lejeune a rédigé le Manuel BIO-éthique des Jeunes pour informer les jeunes des enjeux éthiques de nombreuses pratiques banalisées auxquelles ils sont et seront confrontés dans leur vie.

    Véritable outil pédagogique, ce manuel :

    - s’organise par thèmes (le clonage, l’euthanasie, l’avortement…) abordés simplement : définitions, explications, législations, réflexions éthiques, témoignages, questions/réponses…,
    - adopte un ton clair et factuel,
    - rappelle la réalité des faits biologiques et leurs implications éthiques,
    - remet en perspective les questions de bioéthique pour mener une réflexion éthique et permettre un discernement libre.

    Vous pouvez commander le Manuel de Bioéthique en utilisant ce formulaire.

    Introduction de Jean-Marie Le Méné,
    président de la Fondation Jérôme Lejeune

    Quoi de plus intime à la vie que la vie elle-même, l'histoire de nos premiers et de nos derniers instants ?

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  • Un "buzz" révélateur dans l'Hexagone

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    Les propos politiquement et culturellement "incorrects" d'un député du Nord lui ont valu un lynchage médiatique orchestré par les lobbies LGBT; à découvrir ici : libertepolitique.com