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BELGICATHO - Page 2117

  • Unanimité des évêques des USA contre un mandat fédéral d'Obama

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    Nous lisons sur "Americatho" :

    C’est un fait, un fait massif, un fait que l’on n’aurait, à coup sûr, pas pu constater voici quelques années encore : selon le compte très précis de Thomas Peters, tous les évêques diocésains américains, sans aucune exception, se sont prononcés contre le mandat fédéral (décret du ministère de la Santé des États-Unis) promulgué en application de l’ObamaCare et obligeant les institutions catholiques à souscrire des polices d’assurance santé pour leurs employés, couvrant et remboursant la contraception (y compris les substances abortives, RU 487, pilules dites du “lendemain” ou du “surlendemain”) et la stérilisation. C’est l’honneur de l’épiscopat américain que d’avoir, dans cette folie idéologique d’Obama et de sa bande, défendu unanimement le droit à la liberté religieuse et à la liberté de conscience aux États-Unis, telles qu’elles sont constitutionnellement établies dans le Premier Amendement. L’épiscopat américain vient d’écrire une page particulièrement significative de l’histoire des États-Unis !

  • Les enjeux éthiques de combats qui se livrent au niveau international...

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    headerLogo.jpgAustin Ruse, président du C-Fam communique :

    Tim Herrmann était présent lors des séances du Comité des ONG du Conseil économique et social de l’ONU. Ce rassemblement de représentants est compétent pour approuver ou rejeter les demandes de statut officiel auprès de l’ONU soumises par les organisations non gouvernementales. Lors des réunions qui viennent de se terminer, un groupe anti catholique ainsi qu’un groupe radical d’homosexuels et transsexuels se sont tous deux vus refuser le statut d’ONG officiel, au moins temporairement. Voir ici : Un comité de l’ONU ferme temporairement ses portes aux groupes de pression anti catholiques

    Wendy Wright quant à elle vous rapporte la résistance montante des gouvernements à l’encontre de l’agenda politique homosexuel et transsexuel. Alors que le gouvernement des Etats-Unis pousse un agenda de politique étrangère qui leur est favorable, les résistances s’intensifient même en Russie, qui a banni la propagande pro homosexuelle et transsexuelle. Voir ici : Les leaders politiques protègent le mariage et les enfants contre les doléances provenant des lobbys homosexuels et transsexuels

  • La confiance des Belges envers l'Eglise

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    Un ami de notre blog, JLC, nous adresse ces observations :

    "Un récent sondage indique que le niveau de confiance des Belges envers les institutions du pays n'a jamais été aussi bas. Parmi celles-ci, l'Eglise a vu son niveau de confiance chuter de façon particulièrement importante, au point de rejoindre le niveau de confiance des partis politiques, ce n'est pas peu dire!
     
    Cela vient sans doute de l'idée, maintenant largement répandue, que les autorités écclésiastiques étaient informées de faits de pédophilie mais auraient préféré, pour diverses raisons, ne pas prendre les mesures d'écartement des fautifs, même si cette idée est sans doute en partie erronée dans les faits.
     
    On peut évoquer les motifs suivants :
    - Peur de nuire à la réputation de l'institution;
    - Peur de ne pas trouver de remplaçant en raison du manque de vocations;
    - Sympathie à l'égard des fautifs et faux espoir d'un changement de leur attitude;
    - Sous-estimation de l'ampleur du problème et des dégats psychologiques aux victimes;
     
    Ce faisant, les reponsables ont en réalité allumé sans le savoir une sorte de bombe à retardement qui a fini par exploser et causer d'immenses dégats, culminant avec l'affaire "Vangheluwe".
     
    Mais il y a peut-être une autre cause, moins connue, de cette chute du niveau de confiance : certains chrétiens s'interrogent maintenant sur la capacité de l'Eglise, largement réduite au silence, de porter et diffuser le message de l'Evangile dans notre société. Car ce qui se produit maintenant est une sorte de "pénitence de Canossa" à l'envers. L'attitude et surtout le ton de Mme Onkelinckx envers Mgr Léonard est explicite à cet égard.

    Je prie pour que notre Eglise sorte grandie de cette épreuve, pour que nos évêques ne se laissent pas réduire au silence par le pouvoir politique et retrouvent pleinement leur rôle de dignes successeurs de Saint Pierre, Saint Paul et de tous les Apôtres (1 Cor 9, 16)."

  • Sociologues : diagnostic confirmé pour l’Eglise de Belgique

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    Compte-rendu de Christian Laporte dans « La Libre » (Extraits) :

    Green-Julien-Ce-Qu-il-Faut-D-amour-A-L-homme-Livre-873697818_ML.jpg « En 1978, le théologien louvaniste Jan Kerkhofs eut l’idée ingénieuse de vouloir interroger à intervalles plus ou moins réguliers les Européens sur leurs valeurs. Trois ans après, la première édition des "European values studies" voyait le jour dans la plupart des pays de l’Union de cette époque. On remit cela en 1990, 1999 et 2009.

    Chaque fois, la Belgique fut de la partie ; chaque fois, un autre éminent professeur de la KUL, Karel Dobbelaere, en fut un des maîtres d’œuvre. A l’occasion de la sortie de la version francophone de l’étude belge, il nous en a précisé les grandes lignes avec sa complice et épouse, Liliane Voyé (UCL), auxquels il faut aussi associer Koen Abts, tout frais émoulu docteur en sciences sociales, dans la réalisation de ce volet national.

    Que retenir globalement de leur analyse ? Pour les coordinateurs belges (…)"Les données  confirment dans une large mesure la thèse de l’individualisation et de la sécularisation, ce qui cadre parfaitement avec l’évolution du rôle et de l’influence des institutions traditionnelles. Dans une société où l’individuation se poursuit, de plus en plus de nos compatriotes veulent avoir une plus grande emprise sur leur propre temps, leur propre corps, leur propre cadre de vie. Et ils voudraient que leur propre vision de la vie se reflète sur tous les aspects de leur vie quotidienne. Cette mutation culturelle va de pair avec une détraditionnalisation galopante de la société et avec la perte des certitudes traditionnelles".

    Dans l’enquête, les exemples foisonnent. En leur qualité de sociologues de la religion - ils ont d’autres dadas aussi ! - le duo Dobbelaere-Voyé montre ainsi les conséquences du déclin de l’Eglise. On ne peut nier que l’identification avec la foi catholique et avec l’institution ecclésiale ne cesse de décliner : "Alors qu’en 1981, près de 75 % de la population belge se déclaraient encore catholiques, ce n’est plus le cas aujourd’hui que pour la moitié d’eux. En même temps, la proportion de catholiques périphériques et non pratiquants ne cesse de croître. En 2009, près de sept Belges sur dix ne vont jamais ou très exceptionnellement à l’église. Davantage encore : près d’un quart des Belges n’ont pas été élevés dans un milieu catholique".(…): "il y a 30 ans, 80 % de la population croyait encore en Dieu alors qu’ils sont un peu moins de 60 % aujourd’hui. Ajoutons à cela que la vision traditionnelle de ce Dieu s’estompe aussi : deux fois plus de personnes voient davantage Dieu comme un vague principe de vie ou une lointaine puissance supérieure que comme une personne".

    Autre constat : les Belges consomment de plus en plus la "religion à la carte : (…) un credo personnel avec un étonnant patchwork de pratiques et de croyances qui mélangent parfois des éléments catholiques avec des éléments d’autres religions ou même, horresco referens, de superstitions. Enfin, les auteurs nous présentent aussi les "catholiques sécularisés", à savoir 8 % des Belges qui allient une religiosité qui leur est propre et un attachement aux rites de passage lors des grands moments de l’existence. (…) Liliane Voyé, Karel Dobbelaere et Jaak Billiet constatent aussi le déclin de l’influence normative de l’Eglise sur la société et l’individu : "En 2009, à peine un Belge sur trois a encore confiance en l’Eglise". Précision : l’étude a été menée avant le séisme provoqué par l’affaire Vangheluwe  (…)

    Le fossé en matière religieuse n’existe plus, du reste, entre francophones et néerlandophones en raison de la décléricalisation galopante de la Flandre mais il n’y a pour ainsi dire plus de différences non plus entre les positions éthiques respectives en matière de libre disposition du corps et de permissivité sociale. "Autres temps, autres mœurs", Liliane Voyé, Karel Dobbelaere et Koen Abts (édit) ; 296 pp ; FRB et Racine Campus

    Voir ici :   Les valeurs restent très belges , selon M. Laporte, mais quelles valeurs ?

    Le pire c’est que, comme dans la fable des animaux malades de la peste, tous en sont aujourd’hui atteints. Irréversible ?

  • Le pape a nommé deux évêques « de tradition » sans consulter l’assemblée de la congrégation des évêques.

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    C'est le pape qui a choisi directement, avec le cardinal Ouellet, préfet de ce dicastère. Ce qui n’invalide en rien son choix mais traduit  peut-être ce qu’il pense de l’assemblée de cette congrégation romaine… Sur son site « Chiesa », le vaticaniste Sandro Magister commente :

    CITÉ DU VATICAN, le 17 février 2012 – Après la nomination “personnelle” de l’évêque Francesco Moraglia en tant que patriarche de Venise, Benoît XVI a pris une décision analogue pour l’Église de France.

     Il l’a fait samedi dernier, 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, lorsqu’il a désigné le nouvel évêque du diocèse où se trouve ce célèbre sanctuaire marial, celui, justement, de Tarbes et Lourdes. À ce poste, le pape Joseph Ratzinger a nommé Mgr Nicolas Brouwet, 50 ans le 31 août prochain, évêque auxiliaire, depuis le mois d’avril 2008, de Nanterre, diocèse où il est né et a été ordonné prêtre en 1992.

    Cette nomination est arrivée plus tôt que prévu, le prédécesseur de Brouwet, Mgr Jacques Perrier, en charge du diocèse depuis 1997, ayant atteint l’âge de la retraite, 75 ans, le 4 décembre dernier et ayant donc eu à peine deux mois de "prorogatio".

    D’autre part, pas plus que celui de Moraglia, le choix de Brouwet n’a fait l’objet d’un examen par les cardinaux et évêques de la congrégation dont c’est la tâche, lors de l’une des réunions qu’ils tiennent chaque jeudi. Moraglia et Brouwet prendront l’un comme l’autre possession de leur diocèse respectif le 25 mars prochain, fête de l'Annonciation.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 17 février 2012

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    images (4).jpgSommaire

     

  • Pour une écologie intégrale

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    Sur le blog de Pneumatis :

    L'écologie humaine dans ses implications ultimes: sobriété, solidarité, respect de la vie

    L’écologie humaine n’entend pas simplement introduire une pensée humaniste dans les questions écologiques. Elle est bien plus que cela. Elle est une écologie intégrale qui absorbe dans un même élan de communion la personne humaine avec tout son environnement naturel et social. Théologiquement fondée sur l’universalité du salut qui embrasse tous les êtres vivants de cette terre et les ordonne au Christ, l’écologie humaine est un appel adressé à chacun d’entre nous pour qu’il reprenne conscience de ses responsabilités à l’égard du monde qui l’entoure. Elle est un décentrement, une redécouverte de la liberté intérieure et de ses responsabilités comme citoyen, qui doit nous conduire vers un témoignage de pauvreté évangélique, une sobriété choisie et vécue dans le partage, une solidarité universelle en actes et en définitive vers un amour inconditionnel de la vie, singulièrement celle des plus faibles.

    Lire la note ici : pneumatis.over-blog.com

  • Prier pour les vocations : une initiative du SDV de Namur

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    Source : info.catho.be

    Depuis le 2 février dernier (Fête de la vie consacrée) et jusqu’au 29 avril (Journée mondiale de prière pour les ), le Service des (SDV) du diocèse de Namur invite les paroisses, les communautés religieuses… à organiser une veillée de prière pour les . Le SDV a pris une heureuse initiative: il propose une brochure reprenant le canevas d’une veillée type: à utiliser dans son intégralité ou à adapter. Au fil des jours, les rendez-vous se multiplient.

    (...) Le SDV aide les paroisses, les communautés religieuses… à organiser des temps de prière pour les vocations. Le service a conçu une veillée. Elle est consignée dans une brochure qui a été envoyée aux prêtres, diacres et assistants paroissiaux. On peut la télécharger au départ de ce site dans la rubrique  "vocations". Outre la brochure, une photo, celle du pape Jean-Paul II. Le cliché a été pris au sanctuaire de Beauraing le 18 mai 1985. Dans son homélie, le pape, alors en visite en Belgique avait eu ces mots: "Oui, les vocations sont le fruit de la prière, elles sont la source de la joie de l’Eglise. Amen."

    Le SDV espère également que ces veillées seront l’occasion d’inviter des hommes et des femmes à témoigner de leur vocation. Ces veillées itinérantes sont une idée du frère Roberto. Elles sont accessibles via l’espace  "vocations", au départ de www.diocesedenamur.be. Toutes les veillées y sont indiquées au fur et à mesure que les organisateurs se signalent.

    Au niveau national, le Service des vocations organise différentes actions comme une marche. En 2012, elle se fera de Jurbise à Soignies. Parmi les participants, on retrouve des prêtres, des séminaristes. Au niveau du diocèse, comme chaque année, une après-midi de la Journée mondiale de prière pour les vocations aura lieu à Beauraing. Pour clôturer ce temps de prière: rendez-vous le 29 avril.

    Pour plus de renseignements: frère Roberto au 063/75.86.48 ou soeur Elisabeth: 082/71.47.67.

  • La belle histoire de Samir

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    Le bulletin de février-mars de l'Aide à l'Eglise en Détresse (France) publie cette belle histoire que nous prenons la liberté de reproduire ici

    C’est un miracle que Samir soit encore vivant. Au Pakistan, un enfant kidnappé n’est encore jamais revenu dans sa famille. Une semaine après son retour, il a fait sa première communion.

    Samir, neuf ans, aime jouer avec son cerfvolant. Il le fait toujours s’envoler dans la rue de la cathédrale de Lahore. C’est ce qu’il faisait ce 23 octobre. Mais ce jour-là, ses parents l’ont attendu en vain. Une caméra de surveillance, qui sert en fait à protéger la cathédrale, montre comment il a été kidnappé par un barbu en vêtements blancs. Ses parents sont désespérés : la petite soeur de Samir était déjà morte lors d’un attentat à la bombe contre la cathédrale.

    La paroisse implore un miracle. Tout le monde le sait : les enfants kidnappés sont envoyés en Afghanistan pour y commettre des attentats suicide ou bien ils sont mutilés pour faire gagner de l’argent à la mafia de la mendicité. Aucun n’est encore jamais rentré. Mais le Père Andrew Nisari croit au miracle. Il donne du courage aux parents : « Votre fils reviendra! »

    Quant à Samir, il ne se souvient que de l’éponge qu’on lui a mise sous le nez. Puis c’est le noir complet. Dix jours plus tard, il est avec son ravisseur au bord de l’Indus, quelque part près de Peshawar à la frontière afghane. « Voyons un peu la profondeur de l’eau », dit l’homme. « J’ai peur, je ne veux pas mourir », répond le garçon. « Non, je te tiens la main », dit le ravisseur. Comme Samir résiste encore, il le jette à l’eau et s’en va.

    Le Père Andrew pense que le ravisseur a voulu se débarrasser du garçon parce que la télévision en avait parlé et que ça devenait trop dangereux pour l’homme. Mais le petit Samir ne se noie pas. Il parvient à se tenir aux bambous et à regagner la terre ferme. Il court et court. Sur une maison de Peshawar, le garçon voit une affiche représentant l’image de la Vierge de Mariamabad, le sanctuaire marial pakistanais. « Reconduis-moi chez moi », dit-il à un Mollah. Ce dernier l’aide. A minuit, le téléphone sonne chez les parents de Samir. Tous explosent de joie. La même nuit, son père part chercher Samir à Peshawar. Encore en chemin, Samir appelle le père Andrew: « Et ma première communion ? »

    Le lendemain, Samir rentre à la maison. Toute la paroisse l’attend et tous pleurent, même le Père Andrew. Une semaine plus tard, Samir fait sa première communion. Cette année, il pourra encore chanter en l’honneur de la Sainte Vierge lors du pèlerinage paroissial à Mariamabad. En octobre dernier, sa voix avait manqué à tout le monde.

    • Eva-Maria Kolmann

  • Egypte : expulsion de familles coptes

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    Source : AED

    Egypte : des familles coptes expulsées d’un village près d’Alexandrie

    Le 14 février 2012

    Des milliers de musulmans fanatisés, guidés par des leaders salafistes, ont attaqué à plusieurs reprises les chrétiens coptes du village de Kobry-el-Sharbat (el-Ameriya), près d’Alexandrie. Des maisons et des magasins coptes ont été pillés avant d’être incendiés, ainsi que le rapporte l’agence de presse AsiaNews à Rome dans son édition du 9 février.

    L’agression, qui a débuté le 27 janvier 2012 et s’est poursuivie les jours suivants dans le silence des médias et avec la complicité de la police et des autorités politiques, a provoqué la fuite de 62 familles coptes. Le 30 janvier, les émeutiers ont à nouveau attaqué le village de Kobry-el-Sharbat, incendiant trois maisons appartenant à des chrétiens, sous les yeux des forces de sécurité.

    AsiaNews écrit que la violence a été provoquée par les accusations d’un coiffeur musulman du nom de Toemah, affirmant que Mourad Samy Guirgis, un tailleur copte de 34 ans, possédait sur son téléphone portable une photo « illicite » d’une femme musulmane. Rejetant ces accusations, mais craignant pour sa vie, Mourad s’est réfugié au poste de police.

    Pendant ce temps, la foule excitée a mis le feu à sa maison et à son commerce. Toute sa famille a dû s’enfuir du village. D’autres maisons et des magasins coptes ont été pillés avant d’être incendiés par des hommes barbus en blouses blanches. Appelées à l’aide, les forces de sécurité sont arrivées très tard sur les lieux, a témoigné le Père Boktor Nashed, de l’église St-George à el-Nahdah. « Ceux qui ont perdu leur maison ont quitté le village », a précisé le Père Nashed.

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  • Que devient Joseph Fadelle ?

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    Sur le site de l'AED (Aide à l'Eglise en Détresse)

     

    ACTUALITE : Que devient Joseph Fadelle ? Entretien

     

    Son livre Le prix à payer, a connu en France un véritable succès et commence à être traduit dans d’autres pays d’Europe. Multipliant conférences et témoignages, Joseph consacre le reste de son temps à sa famille et à Paltalk, une sorte de dialogue en direct sur internet, pour rendre compte de sa foi en Jésus. Deux ans après la sortie de son livre, que devient-il ? Paroles de converti.

     

    > Lire l'entretien