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BELGICATHO - Page 2112

  • L'avortement selon le sexe pratiqué au Royame-Uni ?

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    Source : info.catho.be

    Selon le « Daily Telegraph », des cliniques anglaises seraient prêtes à effectuer des avortements sur la base du sexe de l’embryon. Une enquête secrète dans neuf cliniques aurait permis de trouver trois médecins d’accord de réaliser une telle opération.

    Selon le quotidien, des journalistes ont anonymement accompagné quatre femmes enceintes qui ont fait une telle demande dans neuf cliniques. Si la majorité des médecins a rejeté une telle démarche en indiquant qu’elle était contraire à la loi, trois ont accepté.

    Le ministre de la santé Andrew Lansley s’est dit très préoccupé d’une telle révélation. L’avortement selon le sexe est non seulement illégal mais surtout immoral, a-t-il estimé. Il a également indiqué que ses services mèneraient une enquête à ce sujet.

    Le journal anglais se réfère aussi à une étude de l’université d’oxford en 2007 sur les avortements au sein de la minorité d’origine indienne en Angleterre et au Pays de Galles. Cette étude avait démontré que le nombre de naissances de garçons connaissait un pic, surtout lorsqu’il s’agissait du 3e enfant.

    L'information plus développée, avec les videos, est ici : lefigaro.fr/. C'est particulièrement édifiant et cela montre jusqu'où peut conduire ce laxisme assassin.

    Voir aussi : www.lalibre.be/avortement-selectif-en-grande-bretagne.html

  • Quand le cynisme de la finance donne froid dans le dos

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    Cette information est parue dans le Figaro :

    "Après la polémique suscitée par un produit financier spéculant sur des morts prématurées, Deutsche Bank propose de rembourser les investisseurs.

    La morale a peut être rattrapé la finance. Après la polémique et le tollé suscités par un fonds spéculant sur la mort, Deutsche Bank a été contrainte de faire machine arrière. La banque allemande va ainsi ressusciter non pas les morts sur lesquels pariait un de ses fonds spéculatif mais les mises des investisseurs qui ont souscrit à ce fonds morbide! Pour mettre fin à la polémique, Deutsche Bank propose en effet de rembourser à 100% les investisseurs souhaitant se retirer du fonds «Kompass Life 3» qui pèse environ 200 millions d'euros.

    Tout l'article peut être lu ici : Morale et finance ne font pas toujours bon ménage

  • A Liège, le 28 février, un débat sur la laïcité dans le cadre des institutions européennes

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    « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne  »


    Un débat à l’université de Liège, le 28 février 2012 à 18h00  

     avec Mgr Piotr Mazurkiewicz, Secrétaire général de la COMECE

    Dans le cadre de son cycle de rencontres 2011-2012 « neutralité ou pluralisme », l’Union des Etudiants catholiques de Liège (Cercle « Ethique sociale ») organise un lunch-débat  sur le thème « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne ».

    Qu’est-ce que la laïcité ?En quel sens les institutions publiques peuvent-elles ou doivent-elles être laïques ? A l'heure du pluralisme et du sécularisme, l'Eglise n'a-t-elle plus rien à leur dire, ni à la société civile? Ces pouvoirs sont-ils à ce point séparés?Qu’en est-il de la laïcité dans le droit positif et la pratique de l’Union européenne et de ses Etats membres ?

    C’est Monseigneur Piotr Mazurkiewicz,Secrétaire général de la Commission des Episcopats de la Communauté européenne (COMECE) qui a été invité à débattre de ces questions avec le public. Mgr Mazurkiewicz est aussi professeur ordinaire d’Ethique politique à la faculté  des Sciences politiques de l’Université de Varsovie. La rencontre aura lieu le mardi 28 février 2012 à 18h00, au bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er étage: salle des professeurs (accès par la grande entrée de l'immeuble) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours à l’avance par tel 04.344.10.89 ouinfo@ethiquesociale.org

     Quelques informations sur le cycle :

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  • L'Europe est très loin d'être favorable à l'euthanasie

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    Pierre-Olivier Arduin, sur Liberté Politique, réfute les arguments en faveur de l'instauration d'une euthanasie légalisée en France. Il insiste sur le fait que seule une petite minorité d'états européens l'ont légalisée : les états du Benelux où ce serait surtout la mouvance néerlandophone (qualifiée par l'auteur de "flamande") qui y est favorable.

    "28 millions contre 320 millions

    ...les trois Etats du Benelux ne représentent que 28 millions de personnes sur les 800 millions enregistrées au Conseil de l’Europe et sur les 320 millions habitants de l’Union européenne. De fait, nous ne saurions oublier que l’écrasante majorité des Européens ignore toute législation légalisant l’euthanasie. Ainsi que nous le rappelle fort opportunément le groupe Ethique, droit et santé du Collectif Plus digne la vie, « croire que 28 millions d’habitants du Benelux peuvent avoir raison tous seuls contre les 321 millions des 24 autres Etats de l’Union européenne qui ont fait un choix contraire, c’est refuser la réalité, c’est raisonner exclusivement avec des préjugés idéologiques [1]». 

     

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  • Belgique: le site “Ethique sociale” fait peau neuve

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    ethique sociale.jpg

     

    Le site “Ethique sociale” a été, en partie, mis à jour: vous pouvez y voir l’avis  de la prochaine conférence, le programme de l’année en cours et les membres

     

    http://www.ethiquesociale.org/avis/avis.html

    http://www.ethiquesociale.org/programas.htm

    http://www.ethiquesociale.org/miembros.htm

     

  • Le Nobel de l'économie à Benoît XVI ?

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    C'est ce que suggère Ettore Gotti Tedeschi. L'information est rapportée par zenit.org

    Au théologien Ratzinger, ce qu’il faudrait c’est le Nobel de l’Economie, déclare l’économiste italien Ettore Gotti-Tedeschi.

    L’économiste (cf. Zenit du 4 novembre 2011) a en effet présenté, ce 23 février, à Rome, au siège de la librairie Paul VI, dans le « palais » de la Propaganda Fide, près de la place d’Espagne, un livre intitulé « Raisons de l’économie » (« Ragioni dell’economia », Libreria Editrice Vaticana), qui rassemble ses articles parus dans L’Osservatore Romano.

    Il définit ces articles comme des « éditoriaux techniques, conçus et écrits selon une vision catholique, avec cette conviction que les lois naturelles sont les prémisses essentielles des lois économiques et que ces dernières ne marchent pas si elles ne prennent pas en compte les premières ».

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  • Pédophilie dans l’Église de Belgique: environ 500 cas signalés ?

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    Selon les criminologues Ivo Aertsen et Nele De Ranter,  il y aurait, en Belgique, environ 500 cas d’abus sexuels au sein de l’Eglise qui ont été signalés.

    Un chiffre obtenu en recoupant les données des Commissions Halsberghe et Adriaenssens, du procureur fédéral, de l’association « Mensenrechten in de Kerk », des services CAW (Centra voor Algemeen Welzijnswerk), des évêchés, des ordres et des congrégations. Le nombre de prêtres et de religieux impliqués dans ces dossiers reste cependant inconnu.  Les faits remontent surtout aux années 60 et 70 et seraient trois fois plus importants en Flandre qu’en Wallonie. Ils se concentrent davantage dans les ordres et les congrégations.
    Les chercheurs estiment que 70% des cas ont fait l’objet d’une intervention policière ou judiciaire et qu’un cas sur trois a été condamné au pénal. Ils avancent aussi que les autorités ecclésiastiques ont ordonné, de leur côté, des tâches limitées et des conditions spéciales (dans 25% des cas), des mutations (15%) ou des interdictions d’exercer des activités pastorales (15%). Référence cathobel :
    Pédophilie dans l’Église: environ 500 cas signalés ?

     D’une part, le concile Vatican II puis mai 68 furent des événements sociétaux qui ont été compris comme une libération de toutes entraves, une levée des vannes. D’autre part, 500 dossiers, comme le remarque justement la note, ne signifient pas 500 personnes incriminées : un chiffre probablement très inférieur (plusieurs plaintes peuvent concerner une même personne et d’autres se révéler sans fondement). 

  • Une prime de 300 euros pour éviter le recours à l'avortement

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    "La mutuelle allemande BKK IHV a décidé d'accorder une prime de naissance de 300€, à ses assurées qui s'engagent moralement à "ne pas avorter et n'inciter personne à le faire". 1 200 assurés de BKK IHV, qui est en partenariat avec l'association Pro-Life depuis 2010, auraient déjà adhéré au mouvement.

    Cette initiative soulève des questions. Depuis 2011, elle fait l'objet de surveillance par l'Office fédéral des assurances sociales, qui vérifie la légalité de ses offres. Selon la loi allemande, les assurances sont obligées de financer les avortements légaux et en tant que personnes morales de droit public, elles ont également un devoir de neutralité. 
    Selon le magazine Der Spiegel, Heinz-Werner Stumpf, directeur de la BKKV IHV, a affirmé que ces offres étaient parfaitement conformes au droit allemand.

    L'Allemagne est le pays d'Europe où la population est la plus âgée et où le taux de fécondité est des plus bas. Le pays s'efforce d'ailleurs depuis plusieurs années de promouvoir les naissances."

    source : genethique.org

  • Des inédits très actuels de Mère Teresa

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    Teresa-198x300.jpgMère Teresa : Quand l’amour est là, Dieu est là

    C’est un gros livre, de plus de 400 pages, qui ne place plus le lecteur face à l’aridité d’un foi vécue dans la souffrance mais aborde les grandes questions de l’existence et montre les réponses apportées par Mère Teresa. Toutes se résument en Dieu, même si les situations concrètes abordées sont bien humaines. Il s’agit pour Mère Teresa de conduire le lecteur à une plus grande union avec Dieu, laquelle permet de faire rayonner véritablement l’amour dans le monde. 

    « Dans la mesure où elle se trouvait constamment en relation avec des gens d’origines et de milieux divers, aucune situation ne lui était étrangère »,  précise dans sa préface le Père Brian Kolodiejchuk, missionnaire de la Charité et postulateur de la cause de canonisation de la bienheureuse de Calcutta. D’inspiration très clairement ignacienne, cette spiritualité s’énonce parfois avec des formules fortes.

    Mère Teresa n’hésite pas, par exemple, à faire l’éloge du silence afin de se « débarrasser de l’amertume et de la haine », souligne que « Cela n’a pas de sens d’entrer dans une congrégation religieuse si vous ne voulez pas être saintes »  ou que l’adoration, qu’elle avait instituée en 1973 a des effets très concrets : « Depuis ce temps, l’amour intime de Jésus a beaucoup grandi. Nous avons une meilleure compréhension de la souffrance des pauvres, de la façon de leur donner. » Sans oublier, bien sûr, l’avortement : « tout pays qui accepte l’avortement enseigne à ses citoyens à recourir à n’importe quelle violence pour obtenir ce qu’ils veulent » ; le divorce : « parce que les familles ne prient plus elles ne peuvent pas rester ensemble » ou la femme : « la maternité est le don de Dieu aux femmes ; nous pouvons détruire ce don en pensant qu’un emploi et un poste sont plus importants qu’aimer et se donner aux autres. »

  • Les organisateurs de la Marche pour la Vie croient que la législation peut changer

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    A notre question : "Semble-t-il réaliste, dans un pays aussi "libéralement avancé", d'espérer renverser la vapeur et d'inscrire à nouveau le respect de la vie dans la législation?",

    Antony Burckhardt, coordinateur de la Marche, nous répond :

    "C'est le rôle du législateur de protéger ceux qui ne sont pas en mesure de le faire eux-mêmes. Autrement c'est la loi du plus fort qui s'impose. Or, c'est exactement ce qui se passe en Belgique depuis 1990 avec le vote de la loi Lallemand-Michielsens. Le Parlement belge s'est octroyé le pouvoir de priver toute une partie de la population du droit à la vie. En agissant de la sorte l'Etat belge viole non seulement la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 mais il rompt d'une manière extrêmement brutale avec tous les principes qui fondent une civilisation pleinement humaine.

    Nous avons donc le devoir d'exiger que la loi Lallemand soit abolie ! Bien sûr, cela peut paraitre utopique aujourd'hui... Mais en 1940, on disait que le IIIe Reich durerait 1000 ans. Et en 1945, que le communisme était l'avenir du monde. On sait ce qu'il est advenu de ces idéologies.

    Le libéralisme avancé, que j'appelle la culture de mort, est lui-aussi un colosse aux pieds d'argiles car il porte en lui-même les germes de son auto-destruction : la mort n'a pas d'avenir. Sereinement, mais sans compromission, défendons le droit à la Vie pour tous et nous l'obtiendrons."

  • Enfants victimes d'abus sexuels : Child Focus en point de mire

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    Cinq 'responsables' de la protection de l'enfance, en Wallonie et à Bruxelles, ont sorti une carte blanche pour dénoncer une campagne de Child Focus visant à protéger les enfants victimes d'abus sexuels ! Mais en plus, dans cette carte blanche, ils avouent sans honte que les organismes officiels de protection de l'enfance privilégient la discrétion et la non publicité sur tous les cas qui leur sont dénoncés. Autrement dit la dissimulation des abus sexuels. Quelle différence de traitement avec les prêtres livrés en pâture au lynchage populaire !

    C'est ici : yapaka.be/child-focus-ou-le-business-de-la-peur

    Lire notamment :

    « Et que mettre ainsi le focus sur les circonstances les plus extrêmes risquait de masquer les situations de maltraitance de l’enfant dans son milieu de vie , hélas nettement plus courantes et bien connues des intervenants chargés de venir quotidiennement en aide aux familles. Et là, bien souvent, il ne s’agit pas d’affronter un pervers démoniaque, mais de faire face, avec tact, à une complexité où viennent se combiner des aspects de santé mentale, de fragilité sociale, de précarité... Travail mené quotidiennement, dans la discrétion, depuis de nombreuses années par de multiples intervenants de l’aide à l’enfance et à la jeunesse. »

    Mais tout le reste est à l'avenant : « Surtout discrétion, ne pas en parler, pas de publicité ! » Que le juge De Troy aille donc enquêter dans ces dossiers « top secret », il y trouvera ce qu'il prétend chercher: des cas d'enfants abusés quotidiennement aujourd'hui, et pas il y a trente ans. Mais en réalité, il ne s'intéresse guère au sort des enfants abusés, mais bien à la démolition de l'image de l'Église. En tout cas, bravo à Child Focus d'avoir osé court-circuiter, et donc mettre en lumière, cette politique de l'omerta généralisée sur les abus sexuels.

    Voir : lesoir.be/debats/ yapaka.be/ rtl.be/info/ rtl.be/videos/ rtl.be/videos/ rtl.be/videos/