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BELGICATHO - Page 2161

  • Les chrétiens du Mali menacés à Gao

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    AFRIQUE/MALI - Destruction de l'église et du siège de la Caritas de Gao - les 200 chrétiens demeurés dans la ville craignent pour leur sort

    Bamako (Agence Fides) - Le bureau local de la Caritas de Gao, dans le nord du Mali, a été détruit tout comme l'église après que les rebelles touaregs se soient emparés de la ville au cours de la fin de semaine dernière. C'est ce qu'affirme Caritas Mali dans un communiqué envoyé à l'Agence Fides.

    Malgré le conflit dans le nord et le Coup d'Etat militaire du mois dernier, Caritas Mali affirme poursuivre ses activités consistant à fournir des aides alimentaires aux populations nécessiteuses dans le reste du pays.
    Les rebelles touaregs ont pris le pouvoir dans trois chefs-lieux de région en trois jours. Le principal groupe rebelle est le Mouvement national pour la Libération de l'Azawad (MNLA). A ses côtés, opèrent le groupe islamique Ansar Edine et Al Qaeda au Maghreb islamique (AQMI). Selon des nouvelles de presse, au cours de ces dernières heures, les miliciens islamiques auraient chassé les hommes du MNLA des positions conquises à Tombouctou et dans d'autres localités.

    Le Père Jean-Jacques, Directeur de Caritas Gao indique : « Samedi soir, nous avons réussi à fuir la ville de Gao après avoir appris que certains groupes rebelles islamistes cherchaient à tuer les prêtres et les religieux. Samedi après-midi, les rebelles ont été repoussés de la ville avant de se regrouper et de finalement s'emparer de Gao abandonnée par les forces armées. Nous avons été prévenus ce matin par notre gardien que la mission et l'église ont été détruites. Nous avons également reçu des appels de chrétiens restés à Gao qui nous disent qu'ils se cachent et craignent pour leur vie. Environ 200 chrétiens sont toujours dans la ville ».

    La capitale du Mali est calme : « Tout est normal ici à Bamako » a déclaré Théodore Togo, le Secrétaire général de Caritas Mali. « Nous suivons la situation dans le nord du pays. Nous avons été contraints d'interrompre temporairement nos opérations dans les Paroisses de Gao et Mopti mais nous poursuivons notre action dans le reste du pays afin d'aider les personnes frappées par la crise alimentaire ».

    Caritas Mali distribue du maïs, du mil, du riz et du sorgo ainsi que des semences à plus de 100.000 personnes touchées par une grave crise alimentaire. « Si les mouvements islamistes se limitent au nord du pays, le programme d'aide alimentaire ne va souffrir d'aucune difficulté dans sa mise en oeuvre » conclut Théodore Togo. (L.M.) (Agence Fides 03/04/2012)

  • Italie : une nouvelle sortie du cardinal Martini

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    martini_152.jpgL’ancien archevêque de Milan, le jésuite Carlo Maria Martini (85 ans) fait partie de la vieille garde conciliaire. Il vient de se déclare en faveur de la reconnaissance par l'Etat des "mariages" entre homosexuels. Ceci a été rapporté ces derniers jours par de nombreux journaux italiens, donnant un grand relief à la nouvelle.

    Commentaire de Mario Palmaro dans « La Bussola Quotidiana » du 30 mars, relayée par notre consoeur du blog « Benoît et moi (extraits) :

    « (…) Qu'a écrit, exactement, le cardinal Martini? Le texte est tiré du livre 'Credere e conoscere' (croire et connaître), publié par Einaudi, écrit en dialogue avec l'ancien sénateur du PD (Partito Democratico, gauche) Ignazio Marino.(…). Voici le passage incriminé: "Je crois que la famille doit être défendue parce que c'est vraiment ce qui soutient la société de manière stable et permanente, et pour le rôle fondamental qu'elle exerce dans l'éducation des enfants. Toutefois, il n'est pas mauvais qu'à la place de rapports homosexuels occasionnels, deux personnes aient une certaine stabilité et, par conséquent, en ce sens, l'Etat pourrait aussi les favoriser" (…)

    Le cardinal Martini écrit précisément que l'Etat doit aider les homosexuels à stabiliser leur relation. Il théorise une page inédite du catéchisme catholique, en soutenant que - touts comptes faits - plutôt que d'avoir des relations occasionnelles et superficielles, les personnes homosexuelles s'engagent de manière sérieuse et prolongée, grâce à une institution mise en place par l'Etat. C'est plus clair comme cela.

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  • L'Année sainte Claire

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    claire-maestro.jpgSainte Claire, exemple pour les jeunes d'aujourd'hui

    Message pour l'Année sainte Claire - Luca Marcolivio

    ROME, lundi 2 avril 2012 (ZENIT.org) – A l’occasion de l’Année sainte Claire, le pape Benoît XVI vient d’adresser à Mgr Domenico Sorrentino, évêque d’Assise, Nocera Umbra et Gualdo Tadino, un message spécial, pour célébrer la figure de la première femme disciple de saint François.

    La consécration monastique de sainte Claire eut lieu, selon toute probabilité, en 1211 ou 1212 : c’est donc le VIIIème centenaire de l’événement, pour lequel le diocèse d’Assise a ouvert une année jubilaire. Le choix de Claire, d’une certaine façon, complète « au féminin », la « grâce que la communauté d’Assise avait expérimentée quelques années avant, avec la conversion du fils de Pietro di Bernardone », écrit le pape dans son message pour l’Année Sainte Claire.

    Aujourd’hui encore, poursuit le pape, l’ordre des Clarisses, « devenu un arbre robuste, dans le silence fécond des cloitres, continue à semer le bon grain de l’évangile et à servir la cause du Royaume de Dieu ».

    Le charisme de Claire et de François «  parle encore à notre génération, et exerce une fascination surtout sur les jeunes » ajoute Benoît XVI, se référant à la XXVIIème Journée mondiale de la jeunesse qui a été célébrée le Dimanche des Rameaux.

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  • Les sites d'Eglises et de religions

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    Sandro Magister met en ligne la Liste de sites d’Eglises et de religions :

    Mise à jour au 3 avril 2012. Elle comporte deux nouveautés : "Doctrina fidei", avec tous les documents de la congrégation pour la doctrine de la foi, et CCEO, le code des canons des Églises orientales

    > La Bible. Texte et hypertexte des Saintes Écritures judéo-chrétiennes.

    > Nova Vulgata. La Bible en latin, dans la version officielle revue sur la base de la traduction de saint Jérôme.

    > Documenta Catholica Omnia. Une mine de 20 000 textes de papes, de conciles, de pères et de docteurs de l'Eglise. Dans leur langue d'origine et traduits.

    > Saint-Siège. Le site officiel du pape et de la curie. Nouvelles, discours, voyages, documents.

    > Doctrina fidei. Tous les documents de la congrégation pour la doctrine de la foi

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  • Saint Richard de Chichester

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    Chancelier de l'Université d'Oxford et évêque de Chichester.

    (+1253)

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  • Laos: des Chrétiens vont jusqu'à risquer leur liberté pour fêter Pâques

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    Nous sommes interpellés par la détermination héroïque de ces villageois qui, au risque d'être arrêtés et emprisonnés, ont réinvesti les lieux de culte confisqués. Des faits rapportés aujourd'hui par l'Agence Fides.

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  • Une guerre perdue ?

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    vaticanII-460x273.jpgNous avons déjà présenté ici Vatican II: cinquante ans après  le débat organisé par Radio-Notre Dame entre Grégory Solari, directeur des Editions « ad solem  et Patrick Benquet le réalisateur de l’ émission « La guerre perdue du Vatican » (diffusée sur France 3 ce lundi 2 avril à 20h30).

    Sur le contenu de cette émission «  « La Libre » publie aujourd’hui con amore  un billet de sa « correspondante » à Paris, une certaine Virginie Roussel, tout en dévotion au célèbre « esprit du concile ».Voici un large extrait de sa prose, qui donne le ton du  film documentaire commis par Patrick Benquet (un protestant devenu athée, selon ses propres dires) :

    « (…). En 1958, Jean XXIII est élu pape. Il est conscient des changements de société. Les églises sont désertées, le recrutement des séminaristes s’avère de plus en plus rude. Il annonce alors la tenue d’un concile pour réformer l’institution. Ce qui devait être réglé en une quinzaine de jours prendra trois ans et va considérablement faire évoluer ce qu’est devenue l’Eglise au cours de ses 2 000 ans. Finit(sic) la messe en latin, il s’agit d’être compris de tous. La liberté de conscience est admise. Les laïcs ont un rôle à jouer. Des pistes de réflexion sur le rôle des femmes dans l’église, le célibat des prêtres et la contraception sont même lancées. Mais cet examen de conscience provoque des réactions de crispation, de peur. Pendant 40 ans, Jean Paul II soutiendra les "légionnaires du Christ", des prêtres obéissants. Et durant tout ce temps, il protégera son fondateur, Macial Maciel, un homme qui abusa de nombreux enfants. Il promouvra aussi l’Opus Dei. Son successeur, Benoît XVI, pour grossir les effectifs, accueillera les ultras tels que Monseigneur Lefebvre, en France. Refusant toute évolution sur le statut des prêtres et la morale conjugale, le Pape actuel a également autorisé le retour de la messe en latin, favorisant ainsi un courant traditionaliste et réactionnaire qui se manifeste d’autant plus fermement qu’il se sent légitime. Mais cette radicalisation de l’Eglise a conduit certains prêtres à désobéir au Pape, à revendiquer le droit de se marier et poussé des femmes à souhaiter être ordonnées.

    Aujourd’hui, deux courants coexistent au sein de l’Eglise : ceux qui tentent l’ouverture en s’accordant au message du Christ et ceux qui se réfugient dans une récusation belliqueuse et élitiste de la tradition. Des témoignages, dans les deux camps, nourrissent cette enquête fouillée : le cardinal Roger Etchegaray, collaborateur privilégié de Jean-Paul II ; Père André Depierre, prêtre ouvrier ; Don Helder Camara, porte-parole de la théologie de la libération ; Herbert Vorglimmer, théologien allemand ; Monseigneur Lefebvre, fondateur de la fraternité St Pie X ; Juan Vacca, ancien légionnaire du Christ, abusé par le père Macial Maciel ; Guy Aurenche, président du CCFD Terre solidaire ; Jean Vannier, fondateur de l’Arche ; Père Helmut Schüller, initiateur autrichien de l’appel à la désobéissance ; Anne Soupa et Christine Pedotti, fondatrices de la Conférence des baptisés. Autant d’éléments qui permettront à chacun de se faire une opinion sur l’actuelle stratégie du Vatican »

    C’est ici : Le Vatican se fourvoie-t-il ?

    Une émission qui s’annonce comme un regard extérieur au catholicisme, superficiel, partisan, sans nuance : bref, peu fiable, contrairement à ce que « La Libre » donne à croire.

    Peut-on, en effet, mieux faire dans le genre caricatural ? Il suffit de consulter les statistiques pour savoir que c’est après le concile et non avant celui-ci que l’Eglise occidentale a connu une chute abyssale des vocations religieuses  et que tous les indicateurs de la foi et de sa pratique se sont mis durablement au rouge. Et cette première contrevérité n’est pas la seule : non, le concile n’a pas aboli la messe en latin (ce sont les réformes postconciliaires qui lui furent infidèles), non, le concile n’a pas abordé le problème de la contraception, non le concile n’a pas inventé la liberté de conscience dans l'Eglise, non Mgr Lefèbvre n’a pas réintégré celle-ci (il est mort excommunié) etc.

    Si les mots ont un sens, un concile appelle normalement à la conciliation. Tout indique, hélàs, que c’est le contraire qui s’est alors produit. Bien plus que le Vatican, c’est l’ "esprit" infructueux du concile qui a perdu la guerre et engendré au sein du catholicisme la dépression spirituelle et les désordres que nous connaissons.  

  • L’avenir des églises

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    A propos du dossier sur le sort des lieux de culte paru dans « L’Avenir » (29 mars) auquel nous avons fait écho ici : La grande pitié des églises de Wallonie : la détermination de Monseigneur Jousten,  le Doyen de Liège (rive gauche), Eric de Beukelaer, y va, sur son minoblog, d'un commentaire, qui abonde dans le sens du (nouveau) discours de son évêque :

    « (…) La sécularisation et le pluralisme religieux changent la donne quant au patrimoine immobilier catholique. Il est donc normal que le sujet fasse débat et que le pouvoir politique s’en saisisse. Surtout en temps de récession économique, où chaque denier d’argent publique doit être justifié. Mais le faire en lorgnant exclusivement vers les statistiques de pratique dominicale, est totalement hors propos.

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  • Amérique latine : Benoît XVI devait-il entreprendre un périple si épuisant ?

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    Réponse de Jean-Marie Guénois (« Le Figaro ») sur son blog (extraits) :

    485101-pape-benoit-xvi-santiago-cuba.jpgA Cuba Benoit XVI est allé au bout de ses forces. Mais les jours qui l'attendent à Rome sont les plus chargés de l'année. Ce dimanche des Rameaux, il préside la messe la plus longue du cycle liturgique. Puis il entrera dans la semaine sainte, très dense en célébrations. Et le matin de Pâques, sept jours seulement le sépareront de ses 85 ans...(…)
    On pourrait se demander à juste titre pourquoi Benoît XVI a entrepris dans ces conditions de tel périple ? Il avait une dette vis-à-vis de l'Amérique Latine hispanophone qu'il n'avait jamais visité en sept ans de pontificat mais n'avait réellement, aucune obligation. S'il avait renoncé, les catholiques lui auraient, à l'avance, pardonné.(…)  Handicap supplémentaire : ce voyage était celui d'un Pape, héritier de son prédécesseur. Au Mexique, il a découvert pour la première fois de son pontificat l'intensité de la passion déchaînée des foules du deuxième pays le plus catholique du monde pour le Pape. On lui a réservé une fête « à la Jean-Paul II ». Partout des foules agglutinées, pas un mètre libre de trottoir, des cris, des chants, du mouvement. De jour, de nuit, une fête incessante.

    A Cuba (…), Benoît XVI a développé son style. Il a ses combats - la belle liturgie, la réconciliation foi et raison, le lien entre liberté et responsabilité. Mais il se sait le successeur d'un Pape qu'il a admiré et que beaucoup de ceux qui sont venus le voir ou l'écouter, au Mexique ou à Cuba, admirent encore. Jamais en tout cas, Benoît XVI n'a cherché à « jouer » du Jean-Paul II. Il est lui-même.

    La dynamique profonde de ce 23° voyage hors d'Italie de ce Pape est peut-être ailleurs. Ce « témoin du Christ » est le témoin d'un monde qui passe. C'est une évidence à Cuba. On ne voit pas comment un tel régime pourra durer une fois les « Castro » disparus. On a beau avoir dessiné un immense portrait - quasi christique - de Fidel, en fer forgé, sur la façade d'un très haut immeuble de la Place de la révolution à la Havane, où le Pape a dit la messe, cet homme de chair et de sang ne va pas, au-delà de sa mort, « sauver » son peuple. Les vrais ennuis vont commencer.(…)

    De même, au Mexique, un monde passe. La maladie chronique de ce pays, « sous » les Etats-Unis au sens géographique mais aussi moral, n'est pas plus porteuse d'avenir. Elle est un mélange de consumérisme, de « schizophrénie » le mot est de Benoît XVI entre éthique publique, visible, et éthique personnelle, secrète. Et d'exploitation outrancière de l'homme par l'homme.

    La grande curiosité, donc, est de voir cette vieille dame, l'Eglise catholique, usée, vilipendée, avec les gros défauts de ses deux millénaires, regarder, avec un regard de jeune fille, ces deux sociétés mal en point après des grandes heures d'arrogance. Comme si l'Eglise était pleine d'une autre énergie que politique, jamais battue et génératrice d'espérance. Il fallait voir le regard de Raul Castro sur Benoît XVI à la fin de la messe à la Havane. Ses yeux qui ont tout vu, et le pire, exprimaient une forme de reconnaissance impossible à feindre.

    Voilà la faiblesse-force de l'Eglise catholique. Pluri culturelle, pluri séculaire, elle l'une des veilles de l'humanité. Quand cette humanité, construite sur elle-même, étouffe ou n'en peut plus, l'Eglise catholique, peut donner à respirer. Elle n'est pas la seule à dispenser cette vertu mais c'était une évidence pendant ce voyage. Voir ici :  Benoît XVI devait-il entreprendre un périple si épuisant ?

  • Journée mondiale de l'autisme

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    Source : V.I.S. : Le Président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, a rédigé un message pour la V Journée mondiale de l'autisme (2 avril), en appelant à la solidarité envers les autistes et leurs familles. L'autisme, rappelle Mgr.Zygmunt Zimowski, « constitue une grave altération du comportement, de la communication, verbale notamment, et de l'intégration sociale, qui affecte profondément le développement de l'individu... L'Eglise considère comme incontournable d'assister ces personnes, enfants et jeunes en particulier, ainsi que leurs familles. Sinon pour rompre la barrière du silence, tout au moins pour accompagner dans la solidarité et la prière leur parcours de souffrance ». Contre le risque de la frustration ou de la résignation face aux maigres résultats thérapeutiques, il faut aider les familles « qui entourent avec amour leurs enfants autistes, car cela se répercute sur la qualité de leur existence et tend parfois à les refermer dans un isolement douloureux et marginalisant ». L'Eglise doit s'engager à offrir « des accompagnateurs aux personnes plongées dans un silence qui interpelle notre sensibilité à la souffrance des autres ».

    Puis Mgr.Zimowski évoque l'action des agents de la santé, des éducateurs et des volontaires, réclamant un renfort de la recherche médicale et des politiques d'amélioration des diagnostics, des thérapies et de la réhabilitation. « Il faut encourager et soutenir les initiatives solidaires du monde de l'éducation, du volontariat et des associations tendant à sauvegarder la dignité des handicapés qui, si grave soit leur handicap, loin d'être annulée demeure sujet d'espérance ». Le message s'achève par la recommandation de confier les autistes et leurs familles à la miséricorde divine. « Même enveloppés dans le mystère du silence », les autistes « ne sont jamais seuls car aimés de Dieu et d'une communauté que la foi oblige à être signe vivace de la présence dans ce monde du Ressuscité ».
  • Léonard de Vinci, familier de Dieu

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    Nous traduisons ici plusieurs extraits d'une interview réalisée par Antonio Giuliano et publiée sur le site de La Bussola quotidiana ce 31 mars

    Tous fous de Léonard de Vinci. De Berlin à Londres, de Turin à maintenant Paris, le peintre est aujourd’hui l’Italien le plus demandé d’Europe.[ …] Mais qui était vraiment Léonard de Vinci ? Et pourquoi, depuis des siècles, autant de rumeurs invraisemblables courent-elles sur son compte? Rodolfo Papa, peintre, historien de l’art et professeur à la Pontificia Università Urbaniana, qui lui a déjà consacré deux précieux volumes, la “science de la peinture” de Léonard (Medusa) et Léonard théologien (Ancora), démonte légendes et faux mythes à propos d’un homme à l’intelligence supérieure qui est depuis toujours victime de mystères et de soupçons.

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