Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Lettonie : la FAFCE soutient l'amendement de la Constitution en faveur du mariage et de la famille

    IMPRIMER
    Communiqué de presse 

    Lettonie : la FAFCE soutient l'amendement de la Constitution en faveur du mariage et de la famille

     

    Bruxelles, le 13 janvier 2021

    "Nous soutenons les efforts des législateurs lettons en faveur de la reconnaissance du mariage comme l'union stable d'un homme et d'une femme, à la base de la famille, dans sa loi fondamentale" - ce sont les mots du Président de la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe (FAFCE), Vincenzo Bassi, concernant les modifications constitutionnelles soumises dans ce sens à la Saeima (Parlement letton).

    Ce changement serait dans la même ligne que d'autres Constitutions européennes (Bulgarie, Croatie, Hongrie, Pologne et Slovaquie). "Ce type de changements peut être le signe positif de sociétés démocratiques vivantes et matures. Nous espérons réellement que le Parlement letton ira dans cette direction", a déclaré Cornel Barbut, Vice-Président de la FAFCE.

    Le Président d'honneur de la FAFCE, Antoine Renard, a également déclaré : "La reconnaissance de la famille en tant qu'institution de base de la société revient également à reconnaître le rôle crucial qu'un homme et une femme, engagés dans une union stable par le mariage, jouent en étant ouverts à la vie et - en tant que parents - dans l'accueil, la prise en charge et l'éducation de leurs enfants. Leur engagement contribue directement à la croissance économique et sociale et garantit un avenir durable pour l'ensemble de la communauté nationale et humaine".

    Le Président Vincenzo Bassi conclut : "La pandémie actuelle a démontré à tous et de manière claire le rôle génératif de la famille : il s'agit d'un moment favorable pour les législateurs, de tout parti politique, de reconnaître ce simple fait. Il n'est pas question ici d'idéologie. Tous devraient souhaiter ce changement constitutionnel, qui, nous l'espérons, apportera des fruits concrets aux familles lettones grâce à des politiques favorables à la famille".

    Les données publiées le 22 décembre 2020 par le Bureau central de statistiques letton montrent que 21,6 % de la population lettone était menacée de pauvreté en 2019 et que le risque de pauvreté avait augmenté pour les familles avec des enfants. Cette situation ne fera malheureusement que s'empirer après la crise actuelle. L'amendement constitutionnel qui sera discuté par la Saeima souligne également que l'État "fournit une assistance spéciale aux enfants handicapés, aux enfants laissés sans soins parentaux et aux victimes de violence".

    Si la Commission des affaires juridiques décide de poursuivre cette procédure ce jeudi, la proposition devra obtenir une majorité de 2/3 dans les trois lectures pour pouvoir être adoptée.
  • Quand la voiture du Roi se fait caillasser en plein Bruxelles

    IMPRIMER

    Lu et vu sur le site de la Dernière Heure :

    La voiture du Roi prise pour cible après la manifestation en hommage à Ibrahima (VIDEO)

    - Mis à jour le 

    La manifestation a rapidement dégénéré.

    A 15h, près de 500 personnes se sont rassemblées suite au décès tragique d'Ibrahima, un jeune guinéen de 23 ans. Si la plupart des manifestants ont quitté les lieux vers 17h, une centaine de personnes se sont rapidement désolidarisées du reste des manifestants.

    Le ton est rapidement monté et des chants "police, assassins" ont été repris par les fauteurs de troubles. Des fumigènes ont été allumés et des projectiles ont été lancés.... Y compris en direction de la voiture du Roi, dont le convoi passait là par hasard. Comme on peut le voir dans les vidéos qui circulent, la voiture était coincée par le cordon de police, dans la trajectoire des projectiles lancés vers les forces de l'ordre.

    La voiture a été coincée derrière le cordon de police, donc pas du côté des manifestants, mais bien dans la trajectoire des projectiles qu’ils lançaient vers les forces de l’ordre. Le Roi Philippe était probablement à bord, en route vers le château de Laeken.

  • Que penser de l’avis du pape François sur le vaccin ?

    IMPRIMER

    D'Arnaud Dumouch sur sa chaîne youtube :

    Virus : Que penser de l’avis du pape François sur le vaccin ? (10 mn) 

    9 décembre 2021 : Le pape François a annoncé samedi qu'il se ferait vacciner "la semaine prochaine", dans un entretien avec la chaîne italienne de télévision Canale 5, estimant que l'opposition au vaccin contre le Covid traduit un "négationnisme suicidaire". 

    « La semaine prochaine, nous commencerons à le faire ici (au Vatican) et j'ai pris rendez-vous. Quand j'étais enfant, je me souviens qu'il y a eu l'épidémie de poliomyélite, à cause de laquelle beaucoup d'enfants sont restés paralysés et on attendait désespérément un vaccin (...) », se remémore le pape argentin.  

    Il parle de ceux qui refusent les vaccins comme ceci : « il y a un négationnisme suicidaire que je ne saurais pas expliquer, mais aujourd'hui il faut se faire vacciner. » 

    Cette vidéo traite de quatre questions : 

    1° Le pape François engage-t-il l’autorité de l’Eglise ?   

    2° Un principe que rappelle le pape en fin d’entretien : « Ecouter les médecins pour les vaccins. Ecouter le pape pour le salut éternel. » Il faut prendre l’avis de plusieurs médecins, les médecins « politiques » comme les médecins « non politiques » qui ne parlent que de science.  

    3° Que penser des vaccins à cellules d'embryon ? Une note existe dans un document publié en 2005 par l’académie pontificale pour la vie, intitulé : « Réflexion morale sur les vaccins préparés à partir de cellules de fœtus humains avortés. » On peut, en effet, accepter de tels vaccins SI et SEULEMENT S’il n’y a pas d’autres vaccins disponibles et si c’est pour éviter une pandémie mondiale.  

    4° Le problème majeur, c’est que l’essai rapide sur les personnes âgées donne l’impression d’un essai clinique à grande échelle.  

  • Projet de loi bioéthique en France : les évêques invitent à quatre vendredis de jeûne et de prière

    IMPRIMER

    Face à l'horreur bioéthique, l'appel des évêques au jeûne et à la prière

    Communiqué de la Conférence des évêques de France :

    LES ÉVÊQUES DE FRANCE INVITENT À QUATRE VENDREDIS DE JEÛNE ET DE PRIÈRE

    Le projet de loi révisant la loi de bioéthique revient bientôt devant le Sénat, en deuxième lecture. Le Gouvernement voudrait le faire aboutir sans retard. Ce projet de loi entraîne des risques graves pour notre société en bouleversant l’ordre de la filiation humaine, en ouvrant de fait un droit à l’enfant au lieu de défendre les droits de l’enfant, et en organisant sur les embryons humains des recherches qui ne respectent pas leur intégrité et qui n’ont pas pour première visée leur santé, mais plutôt une amélioration des succès de la technique de procréation médicalement assistée. 

    Les évêques de France, réunis en assemblée plénière, ont souhaité appeler tous les catholiques ainsi que les hommes et femmes de bonne volonté à se tourner vers Dieu en priant et en jeûnant pour Lui demander la grâce de nous ouvrir les yeux à tous et d’être ensemble des artisans du respect de tous les êtres humains dès leur conception. N’assistons-nous pas à un aveuglement diffus sur la dignité de tout être humain qui vient gratuitement à l’existence et qui doit être accueilli fraternellement ?

    La Conférence des évêques de France (CEF) publie ce document préparé par son Groupe bioéthique afin d’aider chacun à vivre entre janvier et début février quatre vendredis (15, 22, 29 janvier et 5 février) de jeûne et de prière. Cette démarche spirituelle pourra se vivre chacun chez soi, seul ou en famille, ou, si les normes sanitaires le permettent, en communauté. 

    Avec un cœur paisible mais sans relâche, les catholiques souhaitent aider notre société française à être une société de l’amour et de l’espérance dans la vérité et le respect de la dignité humaine, sans quoi la fraternité prônée dans notre devise républicaine ne serait qu’illusion.

  • Suppression de comptes Twitter et Facebook : les géants du numérique peuvent-ils disposer arbitrairement de la liberté d'expression ?

    IMPRIMER

    De Vatican News :

    La régulation des GAFAM de nouveau d'actualité

    La supression des comptes Twitter et Facebook de Donald Trump au-delà des nombreuses polémiques engendrées relance le débat sur l'encadrement de la liberté d'expression sur les réseaux sociaux. Quel doit être le statut des géants du numériques? Peuvent-il échapper aux règles d'une liberté d'expression sans garde-fous? Analyse du sociologue des médias, Dominique Wolton.
     
    Entretien réalisé par Olivier Bonnel - Cité du Vatican

    La fermeture des comptes personnels Twitter et Facebook de Donald Trump, suite à l’attaque du Capitole la semaine passée, a provoqué de nombreux débats sur la liberté d’expression. Longtemps accusées de laxisme ou de permissivité, les plateformes sur les réseaux sociaux sont aujourd’hui accusées par les supporteurs du président américain, mais aussi bien au-delà de censure.

    Des patrons de géants de la Tech peuvent-ils décider unilatéralement quels propos ils souhaitent lire ou entendre ? Pourquoi d’autres comptes de dirigeants où des propos excessifs sont parfois tenus sont-ils eux toujours actifs ? Donald Trump n’a pas fait mystère de créer sa propre chaîne de télévision et ses soutiens ont migré en masse vers d’autres réseaux comme Parler, même si ce réseau a également été bloqué pour son refus de modérer les messages. 

    Le statut des réseaux sociaux en question

    Cet épisode relance le débat sur la régulation nécessaire des contenus portés par les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft) et donc une volonté politique pour rappeler que la liberté d’expression se doit d’être exprimée dans un cadre. Entreprises privées concentrées dans la Silicon Valley californienne, ces géants n'ont jusqu'ici eu des comptes à rendre qu'à eux eux-mêmes. Par le passé, de nombreux débats ont eu lieu sur cette toute puissance technologique. L'hypocrisie de ces géants du numérique est aussi pointée du doigt: comment le compte du président des États-Unis peut-il être supprimé alors que chaque jour des milliers d'autres comptes relayant des appels à la haine sont encore actifs ? Ceux-ci ne disparaissent qu'après signalement des internautes et le processus est parfois long.

    Ce projet de régulation est pour l'heure porté par l'Union européenne et sera, semble t-il, l'un des grands enjeux des mois à venir. La Comission européenne prépare un texte en ce sens pour contraindre les géants de la Tech à respecter un certain nombre de règles. 

    Quels est l'impact de cette décision de Twitter de couper la parole Donald Trump? Quels sont les questions posées derrière ce coup de force ? L’analyse de Dominique Wolton, spécialiste des médias et Directeur de recherche au CNRS en sciences de la communication.

    Lire aussi la Sélection du Jour : Trump censuré par les GAFAM : deux scenarios pour l'avenir

  • La "logique de Vatican II"

    IMPRIMER

    Du site de l'Homme Nouveau, dans la rubrique "Au quotidien" :

    Au quotidien n° 127 : dans la logique de Vatican II

    Au quotidien n° 127 : dans la logique de Vatican II

    L’Osservatore romano, en langue française (12 janvier) présente (ci-dessous) le motu proprio Spiritus Domini par lequel François ouvre aux femmes les ministères du lectorat et de l’acolytat. On remarquera que l’argument utilisé consiste à rendre légal ce qui était jusqu’ici interdit sous prétexte que cette interdiction n’était pas respectée. Les croyants fidèles sont donc pris au piège d’un droit évolutif déterminé par ceux qui ne le respectent pas. C’est une constante de l’action révolutionnaire, dans la société civile comme dans l’Eglise, que d’obliger le droit à reconnaître la fraude du droit. Pour sa part, François donne des motifs théologiques. Ces motifs s’appuient clairement sur le Concile Vatican II dont il estime que l’une des conséquences logiques est l’ouverture de ces ministères aux femmes.

    Le Pape François a établi avec le Motu Proprio Spiritus Domini, rendu public lundi 11 janvier 202, l’ouverture aux femmes des ministères du lectorat et de l’acolytat sous une forme stable et institutionnalisée, avec un mandat spécifique. Les femmes qui lisent la Parole de Dieu pendant les célébrations liturgiques ou qui accomplissent un service à l'autel, comme servantes d’autel ou dispensatrices de l'Eucharistie, ne sont bien sûr pas une nouveauté : dans de nombreuses communautés à travers le monde, c’est désormais une pratique autorisée par les évêques. Mais jusqu'à présent, tout cela s'est fait sans véritable mandat institutionnel, par dérogation à ce qui avait été établi par saint Paul VI, qui, en 1972, tout en abolissant les « ordres mineurs », avait décidé de maintenir théoriquement réservé aux hommes l'accès à ces ministères, parce qu'il les considérait comme préparatoires à un éventuel accès aux ordres. Dans le sillage du discernement qui s'est dégagé lors des derniers synodes des évêques, le Pape a voulu rendre officielle et institutionnelle cette présence féminine près de l'autel. Ce Motu Proprio modifie donc le premier paragraphe du canon 203 du Code de droit canonique de 1983. Le Pape établit l’accès des femmes à ces ministères, aussi à travers un acte liturgique qui les institutionnalise. Le Motu Proprio est accompagné d'une lettre adressée au préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Luis Ladaria Ferrer, dans laquelle François explique les raisons théologiques de son choix. Le Pape écrit que « dans l'horizon de renouveau tracé par le Concile Vatican II, il y a aujourd'hui un sentiment d'urgence croissant pour redécouvrir la coresponsabilité de tous les baptisés dans l'Eglise, et en particulier la mission des laïcs ». Et citant le Document final du synode pour l'Amazonie, il observe que « pour toute l'Eglise, dans la variété des situations, il est urgent que les ministères soient promus et conférés aux hommes et aux femmes... C'est l'Eglise des baptisés, hommes et femmes, que nous devons consolider en promouvant le ministère et, surtout, la conscience de la dignité du baptême ».

  • La Révolution (Joseph Malègue) (Feuillet pour le temps du confinement)

    IMPRIMER

    2021_01_14_09_57_03_Greenshot.png