Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 1640

  • Intox

    IMPRIMER

    Le site de « France Catholique » publie ce communiqué de l’agence officielle de presse du Vatican relatif à l’enquête sur la publication des documents confidentiels volés au Saint-Père :

    Cité du Vatican, 23 juillet 2012 (VIS). Réagissant à des articles de la presse italienne et allemande, faisant état "d’enquêtes relatives à la fuite de documents, et insinuant la complicité de personnes proches du Pape, la Secrétairerie d’Etat exprime sa vie et totale réprobation. Non fondées sur des faits objectifs, ces indications blessent gravement l’honorabilité de personnes qui sont depuis longtemps au service du Saint-Père". Le Directeur de la Salle de Presse a précisé que, "les résultats de l’enquête des autorités compétentes n’étant pas publiés, nul n’est légitimé à publier de telles interprétations infondées. Ce n’est pas l’information à laquelle l’opinion publique a droit". Par ailleurs, sur les ondes de Radio Vatican, le P.Lombardi a redit une fois de plus que "le fait d’être entendu par une commission d’enquête se signifie aucunement être suspect. Si les trois personnes citées peuvent avoir été entendues cela ne signifie pas pour autant qu’on les suspecte de co-responsabilité ou de complicité... Quant à leur éloignement, le Cardinal Sardi a quitté la Secrétairerie d’Etat à 75 ans passés, Mme Stampa travaille toujours à la Secrétairerie d’Etat, et Mgr.Clemens est toujours Secrétaire du Conseil pontifical pour les laïcs. Il est faux qu’il ait reçu du Pape la lettre dont parle Die Welt, et que La Repubblica cite indirectement".

    Référence : PRECISIONS DU DIRECTEUR DE LA SALLE DE PRESSE

    Le mieux serait de rendre publiques les conclusions du magistrat et de la commission d’enquête qui devaient être ou ont été remises au pape lui-même.

  • La CEDH en route vers la création d'un droit individuel à l'euthanasie ?

    IMPRIMER

    C'est ce qui ressort de l'analyse de Grégor Puppinck, publiée par la France Catholique :

    Affaire Ulrich KOCH contre Allemagne : la Cour franchit une nouvelle étape dans la création d’un droit individuel au suicide assisté.

    par Grégor Puppinck [Directeur du Centre Européen pour le Droit et la Justice, Expert auprès du Conseil de l’Europe, Docteur en Droit.

    Le 19 juillet 2012, la cinquième section de la Cour européenne des droits de l’homme a rendu un arrêt attendu dans l’affaire KOCH contre Allemagne (no 497/09) relative à l’interdiction de l’euthanasie en Allemagne. Dans cet arrêt, la Cour a franchi une nouvelle étape dans la création d’un droit individuel au suicide assisté ou à l’euthanasie. Cet arrêt fait suite, selon la technique des petits pas, aux arrêts Pretty contre le Royaume-Uni (2002) et Haas contre la Suisse (2011) dans lesquels la Cour avait posé deux premiers jalons. Il sera bientôt suivi d’un autre arrêt dans une affaire Alda Gross contre Suisse actuellement en cours d’examen, et dans laquelle l’ECLJ intervient comme amicus curiae. Si l’arrêt Koch ne provoque que peu de réaction, ce qui est prévisible compte-tenu de sa date estivale de publication, la Cour poursuivra sur sa lancée dans la création d’un droit individuel au suicide assisté ou à l’euthanasie.

    Lire la suite

  • Situation en Syrie : les évêques se réunissent à Alep

    IMPRIMER

    ASIE/SYRIE - Crise, situation des chrétiens et perspectives : réunion des Evêques à Alep (source : Agence Fides)

    Alep (Agence Fides) – Les questions urgentes relatives à la crise syrienne en un moment de « forte préoccupation » pour les Eglises et pour l’ensemble de la population, la situation des communautés chrétiennes et la condition des évacués seront traitées dans le cadre de la prochaine réunion des Evêques catholiques qui aura lieu à Alep le 25 juillet. Comme l’a appris l’Agence Fides, la réunion était fixée depuis longtemps mais arrive à un moment où la ville est le théâtre d’âpres combats entre l’armée et des groupes révolutionnaires, ce qui en fait une sorte de « réunion de crise » où l’actualité sera analysée, en sus des questions strictement pastorales.

    Le Père George Abu Hazen, OFM, Pro-vicaire apostolique d’Alep, indique à l’Agence Fides : « On entend des coups de feu. Les rues sont vides et parmi la population de la ville règne une forte préoccupation et une grande tension. Nombreux sont ceux qui ne se sont pas rendus au travail aujourd’hui. Dans les quartiers périphériques, où ont lieu les affrontements, la population s’enfuit, cherchant refuge ailleurs. Nous ne nous trouvons pas encore dans une situation d’urgence mais cela pourrait bientôt être le cas ». « Il s’agit d’un moment de grande souffrance et d’incertitude – poursuit-il – qui se lit sur les visages des personnes. Les chrétiens d’Alep, en ces heures, prient avec plus de dévotion et de foi. Malgré ces moments sombres. Nous, chrétiens, sommes les enfants de la Résurrection, nous sommes enfants de la Lumière et l’espérance ne nous abandonne pas. Jésus Christ est le Seigneur de l’Histoire et Se manifeste dans l’histoire du peuple syrien ». « Notre mission de franciscains – conclut le Père George – est de demeurer proches des gens en cette phase de douleur et de précarité, en consolant, en aidant et en portant un message d’amour et d’espérance ». A Alep, sur une population totale de plus de 2 millions de personnes, vivent environ 180.000 fidèles chrétiens appartenant aux différentes confessions et rites catholiques, orthodoxes et arméniens. (PA) (Agence Fides 24/07/2012)

  • Syrie, l'information manipulée ?

    IMPRIMER

    La façon unilatérale dont nous sommes informés au sujet des évènements de Syrie donne à réfléchir. Même si nous ne sommes pas prêts à suivre la ligne inconditionnellement favorable au régime d'Assad telle qu'elle est défendue par des sites extrêmes, nous sommes interpellés par ces informations parues dans les pages du "Guardian" :

    L’opposition syrienne : qui produit le discours ? (The Guardian) - Charlie SKELTON

    Les médias ont été trop passifs au sujet des sources de l’opposition syrienne, sans s’intéresser à leur nature et à leurs affiliations politiques. Il est temps d’y regarder de plus près…

    C’est un cauchemar qui se déroule en Syrie, dans les maisons d’al-Heffa et dans les rues de Houla. Et nous savons tous comment l’histoire va finir : avec des milliers de soldats et de civils tués, des villes et des familles détruites, et le président Assad battu à mort dans un fossé.

    C’est l’histoire de la guerre en Syrie, mais une autre histoire doit être dite. Une histoire moins sanglante, mais néanmoins importante. C’est une histoire des faiseurs de contes : les portes paroles, les « spécialistes de la Syrie », les « militants démocrates. » Les faiseurs de déclarations. Les gens qui « exhortent, » et « avertissent »et « appellent à l’action. »

    Lire la suite (avec circonspection) ici

  • Remettra-t-on en question la politique de l'enfant unique et des avortements forcés en Chine ?

    IMPRIMER

    C'est ce que laisse entendre un article du New York Times. Il semble que, même à l'intérieur de l'appareil dirigeant de la Chine communiste, la politique de l'enfant unique soit remise en question. Tant pour son impact négatif au niveau démographique que pour l'image extrêmement négative pour le régime qu'occasionne la publication d'informations aussi dramatiques que l'avortement forcé de femmes dans des conditions inacceptables. C'est le cas, notamment, de Pan Chunyan, enceinte d'au moins huit mois, et dont l'enfant est mort-né suite à une injection que cette mère a subie sous la contrainte.

    A lire ici : nytimes

  • Une question mal posée

    IMPRIMER

    Sur le site de l’agence EDA des missions étrangères de Paris :

    « Mis en ligne le 5 juillet 2012, par Chinese Church Voices, blog sur le christianisme en Chine, cet article de Liu Peng, membre éminent de la Chinese Academy of Social Sciences (CASS), considérée comme un think tank du gouvernement, illustre bien l’évolution récente du débat sur la religion en Chine. Celui-ci n’est en effet plus l’apanage des sites et magazines chrétiens, mais se retrouve également sur la toile des universitaires et de la sphère intellectuelle "officielle".

    Depuis 1994 où Liu Peng avait présenté une justification de la politique de Pékin en matière religieuse en tout point conforme au discours officiel, « la Chine a bien changé », comme le constate le chercheur lui-même, une quinzaine d’années plus tard. En 2009, dans un article du China Daily, il appelle en effet l’Etat à établir un nouveau système de gouvernance religieuse, fondé sur la loi et non sur des mesures administratives, proposant également que chaque groupe religieux puisse avoir la possibilité d’être enregistré légalement.

    Dans ce dernier texte, Liu Peng va encore plus loin, avançant le postulat que le développement de la Chine ne se fera qu’au prix d’une redécouverte de la spiritualité."

     Extraits :

    (…). Alors que le cœur des systèmes de valeurs et de croyances sur lequel reposait l’esprit chinois par le passé a été détruit, nous n’avons pas encore opéré les innovations nécessaires pour développer de nouveaux systèmes de valeurs et de croyances pour la Chine d’aujourd’hui. Quand l’ancienne foi est détruite, et la nouvelle pas encore établie, un véritable désert spirituel et moral s’instaure, accentuant un peu plus chaque jour le déséquilibre entre le spirituel et le matériel.

    Bien que la Chine ait fait des progrès visibles en terme de développement matériel, cette prospérité ne peut combler l’absence de spiritualité et de foi. A court de nouveau combustible, la lumière de la flamme spirituelle chinoise s’affaiblit. En réalité, la lumière de cette flamme est même trop faible pour indiquer une direction et fournir la force de cohésion nécessaire à une nation composée d’ethnies différentes, de classes sociales multiples, de groupes aux intérêts divergents ; à elle seule, cette flamme ne peut briller suffisamment pour dissiper l’obscurité et illuminer le moindre recoin du monde. Comment dans cette situation un pays peut-il s’élever au rang de grande puissance ? (…)

    (…) Si la Chine refuse de se confronter à la question de savoir ce en quoi elle croit, elle n’aura jamais le pouvoir d’une grande puissance. De la réponse à cette question dépend l’avenir de la Chine. Quiconque se soucie du devenir de la Chine et désire que celle-ci puisse grandir, doit affronter cette question, y réfléchir, et y répondre. »  

    Voir tout l’article ici : POUR APPROFONDIR- La religion, talon d’Achille du géant chinois ?

    Moins encore que les « valeurs », la foi ne se décrète pas. C’est ne rien comprendre au phénomène religieux que d’inviter l’Etat communiste à instrumentaliser celui-ci  au service de l’identité chinoise et sa volonté de puissance.  Les religions ou philosophies traditionnelles de l’ « Empire du milieu », et a fortiori le marxisme qui s’y est substitué, se font une idée  trop basse et impersonnelle du divin.

  • Quand le président Hollande se gourre

    IMPRIMER

    Rafle du Vél d'Hiv : les sept erreurs de François Hollande (source : Herodote.net)

    Dans son discours de ce dimanche 22 juillet 2012, en commémoration de la rafle du Vél d’Hiv (16 juillet 1942), le président de la République française a commis sept erreurs d'Histoire.

    Les voici dans l’ordre d’apparition, explicitées par l'historien franco-israélien Alain Michel :

    à lire ici

  • Cuba: Le leader catholique de la contestation du régime Castro meurt dans des circonstances mal éclaircies

    IMPRIMER

    Une information publiée sur le site de “La Vie” ce 23 juillet (extraits):

    (…) Dimanche 22 juillet, tard dans la soirée, les autorités cubaines ont annoncé la mort d'Oswaldo Paya par un communiqué officiel qui évoque « un accident regrettable survenu dans la localité de La Gavina, à 22 kilomètres de Bayamo ». Selon plusieurs témoins, cités par le journal Le Monde, le plus célèbre dissident cubain avait pris place dans une voiture de location. Le chauffeur aurait perdu le contrôle de son véhicule qui se serait écrasé contre un arbre, près de Bamayo, à 800 kilomètres de La Havane. Un autre dissident qui se trouvait dans la voiture, Harold Cepero, a également été tué et deux autres passagers, un espagnol et un suédois, ont été blessés. Des blogs de dissidents cubains ont fait état d'une collision avec une autre voiture et il faut donc rester extrêmement prudent sur les circonstances de sa mort.

    Principale figure de la dissidence cubaine, Oswaldo Paya, un ingénieur spécialisé dans les appareils médicaux, avait fondé en 1988 le mouvement chrétien de libération (MCL). Il avait été notamment à l'origine du « projet Varela », une plate forme de revendication de l'ensemble de la dissidence cubaine, qui, au début des années 2000, réclamait la tenue d'un référendum sur l'organisation d'élection libres à Cuba et une amnistie pour les prisonniers politiques. Malgré l'attribution du prix Sakharov des droits de l'homme en 2002, la répression s'était accrue sur Oswaldo Paya et les dissidents cubains. Bien qu'étroitement surveillé, il avait reçu en août 2006 à son domicile à Thomas Cantaloube, alors correspondant de la Vie aux Etats-Unis. Pour une longue interview dans laquelle le dissident cubain nous confiait ses espoirs pour l'après Fidel Castro. Des propos qui gardent, encore aujourd'hui, toute leur pertinence malgré les quelques timides ouvertures de Raul Castro, le frère du leader Maximo.

    Tout l’article ici: Le dissident cubain Oswaldo Paya meurt dans un accident de la route

  • Exactions islamistes à Damas

    IMPRIMER

    ASIE/SYRIE - Groupes islamistes en action à Damas : les victimes sont des civils chrétiens et des réfugiés irakiens (Agence Fides)

    Damas (Agence Fides) - Des groupes islamistes radicaux se trouvant dans les rangs des troupes de l'opposition sèment la terreur parmi les civils à Damas. A en faire les frais, ce sont l'ensemble de ceux qui sont considérés comme « loyalistes », fidèles au régime de Bashar al Assad. Parmi les victimes, indiquent des sources de Fides à Damas, se trouvent également des chrétiens du faubourg de Bab Touma et des réfugiés irakiens qui occupaient les faubourgs d'Oujaira et de Sada Zanaim.

    Le groupe rebelle islamiste Liwa al-Islam (la brigade de l'islam) qui, ces jours derniers, a revendiqué le meurtre de hauts dignitaires du gouvernement syrien a décimé ce matin l'ensemble d'une famille chrétienne à Bab Touma. Parmi les fidèles locaux, raconte une source de Fides, règne la consternation et le mépris pour cette attaque à des civils sans défense. Les militants de Liwa al-Islam ont bloqué le véhicule d'un chrétien, Nabil Zoreb, fonctionnaire public, et l'ont fait descendre, lui, son épouse Violet et ses deux fils, George et Jimmy, les tuant tous à bout portant. Les militants du groupe en question sont très actifs surtout dans la région de Duma et dans d'autres zones de l'est de Damas où ils ont perpétré d'autres actes criminels.

    En outre, dans le sud-est de Damas, des combattants islamistes du groupe Jehad al nosra, proche des Frères Musulmans, ont attaqué les maisons de réfugiés irakiens, les saccageant, les incendiant et contraignant leurs occupants à la fuite. L'assaut a été relaté également par les moyens de communication de masse occidentaux tels que la BBC. Selon les réfugiés irakiens, « des bandes de terroristes musulmans nous ont attaqué et poursuivi ». La majeure partie des bandes qui opèrent dans le sud-est de Damas est considérée comme proches des Frères Musulmans, alors que les membres de Liwa al-Islam sont d'idéologie wahhabite. (PA) (Agence Fides 23/07/2012)

  • Vatileaks : l'instruction a été bouclée et Gabriele sort de prison

    IMPRIMER

    Selon Anita Bourdin, sur le site de l’agence zenit :

    « ROME, dimanche 22 juillet 2012 (ZENIT.org) – Paolo Gabriele, l’ancien majordome de Benoît XVI, soupçonné d’avoir subtilisé des documents réservés des appartements pontificaux a été assigné à résidence chez lui, au Vatican, samedi 21 juillet, annonce le P. Federico Lombardi, S.J., directeur de la salle de presse du Saint-Siège.

    Le juge d’instruction du Tribunal de l’Etat de la Cité du Vatican, le prof. Piero Bonnet, a en effet estimé que l’instruction ne nécessitait plus son incarcération, après l’interrogatoire de ce 21 juillet, indique le P. Lombardi.

    Il précise donc que le suspect a été remis en liberté provisoire, avec les garanties indispensables.

    Il réside désormais avec sa famille, avec les conditions imposées par le juge en ce qui concerne les contacts et les relations avec d’autres personnes.

    Dans les jours qui viennent, le procureur prononcera son réquisitoire sur la responsabilité de Paolo Gabriele pour « vol avec circonstances aggravantes » et le tribunal décidera alors de son inculpation ou du non-lieu.

    Quant à la commission des trois cardinaux instituée par Benoît XVI pour enquêter sur les « fuites » répétées, elle a remis son rapport au pape, annonce également le P. Lombardi ».

    Tout cela ne semble pas voler bien haut. Sans vouloir préjuger des conclusions de la magistrature et de la commission d’enquête : un complot de sacristie, dans l’atmosphère confinée de la "cité interdite",  pas une affaire d’état. A suivre.

  • Culture de la Repentance

    IMPRIMER

    Le récent numéro paru de la revue Catholica  est consacré à la « Culture de la culpabilité » que les multiples « repentances » des autorités religieuses ont instillée dans la mentalité catholique postconciliaire. Extraits de l’éditorial  (les intertitres sont de notre rédaction):

    Stratégie manipulatrice ?

    (…) La so­cié­té post­mo­derne n’est guère ac­cueillante, elle va même au-​de­là de l’in­dif­fé­rence de masse en­vers la re­li­gion, par­ti­cu­liè­re­ment dans les pays d’an­cienne chré­tien­té eu­ro­péenne. Elle est même en pleine guerre cultu­relle, avec pour armes le dis­cours so­phis­tique, la ma­ni­pu­la­tion sé­man­tique, l’in­ti­mi­da­tion, la cor­rup­tion mo­rale, l’ex­clu­sion, sans ce­pen­dant omettre la contrainte lé­gale. Dans toute guerre psy­cho­lo­gique, la culpa­bi­li­sa­tion est une arme pri­vi­lé­giée. Elle tend à miner le moral de l’ad­ver­saire non seule­ment en le fai­sant dou­ter de sa cause mais en in­suf­flant en lui la honte de la dé­fendre, et ainsi ob­te­nir sans ef­fort sa mise hors de com­bat. (…).

    Lire la suite

  • Faut-il intervenir militairement au Nord-Mali?

    IMPRIMER
    D'après Antonin Tisseron (Institut Thomas More), c'est la solution qui s'impose :
    L'intervention militaire | Seule solution au Mali (Jeudi, 19 Juillet, 2012)

    Intervenir au Nord-Mali ou pas ? C’est la question qui se pose actuellement avec acuité aux dirigeants de la CEDEAO ainsi que les pays occidentaux concernés par la zone, à commencer par les États-Unis et la France. Antonin TISSERON, chercheur à l’Institut Thomas More et spécialiste des questions sécuritaires dans la zone Maghreb/Sahel, livre ici son analyse. Selon lui, il n'y a pas de solutions satisfaisante, mais compte tenu de la dégradation dans la zone, il n'y a plus vraiment le choix : l'intervention militaire est le scénario le plus probable. Reste à en décider les modalités | Publié dans Le Soir (Maroc), 19 juillet 2012

    Lire la suite