Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 645

  • Quand, en 1854, Don Bosco mobilisait les jeunes de Turin pour combattre l'épidémie

    IMPRIMER

    Au mois d'août de l'année 1854, le choléra éclata à Turin et répandit la consternation dans la ville. Les quartiers pauvres furent les plus maltraités ; le Valdocco surtout fut cruellement atteint, et l'Oratoire de Don Bosco était environné de malades et de mourants. Les hôpitaux devinrent insuffisants. Il était très difficile de trouver des personnes qui acceptèrent de se consacrer aux soins des malades. (ici)

    BD 00

    planche de l'excellente BD de JIJE consacrée à Don Bosco

    L’épidémie se propage dans toute la population ! Don Bosco eut besoin de l’aide des jeunes pour éradiquer le fléau !

    Avoir sur soi une image de la Vierge Marie et prier régulièrement (ici)

    Ce conseil n’est autre que celui donné par saint Jean Bosco à Turin lors de l’épidémie de choléra qui a frappé la ville en 1854. Le prêtre italien avait alors demandé à des jeunes gens qu’il avait mandatés pour rendre visite aux malades de porter sur eux une image de la Vierge et de prier régulièrement. Aucun d’entre eux n’avait été contaminé. Si les deux épidémies ne sont absolument pas comparables, son conseil est toujours valable : agir humblement avec foi et se confier à la Mère de Dieu.

  • Bergame (nord de l'Italie) est un foyer du coronavirus et les prêtres y meurent en se dévouant à leurs ouailles

    IMPRIMER

    De Zelda Caldwell sur aleteia.org (anglais) :

    Six prêtres dans une ville italienne meurent de coronavirus


    L'église du cimetière de Bergame, remplie de cercueils pour les morts trop nombreux du Coronavirus.

    16 mars 2020

    Les prêtres de la ville de Bergame, dans le nord de l'Italie, s'étaient «exposés [au virus] pour être proches de leur communauté»

    La semaine dernière, six prêtres catholiques de la ville de Bergame, dans le nord de l'Italie, sont morts du coronavirus et plus de 20 ont été hospitalisés, selon un rapport de Crux.

    Le chef du bureau de Crux à Rome, Inéz San Martín, a rapporté que l'évêque de Bergame, Francesco Beschi, a déclaré à la chaîne de télévision italienne Rainews24 que les prêtres qui ont succombé à la maladie l'ont fait tout en servant leur communauté. Bergame est située dans la région de Lombardie, la province la plus durement touchée d'Italie.

    "Nos prêtres sont nombreux, et nombreux sont ceux qui se sont exposés [au virus] pour être proches de leur communauté", a déclaré Mgr Beschi dimanche. «Leur maladie est un signe évident de proximité, un signe douloureux de proximité et de partage de la souffrance.»

    Crux a indiqué que, dimanche, Bergame (120 000 habitants) avait 3 416 cas de coronavirus sur un total de 21 157 cas dans le pays. On estime que 50 personnes meurent chaque jour de la maladie dans la ville.

    Bergame est surtout connue comme le lieu de naissance de saint Jean XXIII qui a servi comme pape de 1958 jusqu'à sa mort en 1963.

    Après que l'Église a décidé de suspendre les messes publiques en Italie pour tenter de freiner la propagation du virus, certains prêtres ont été "capturés" sur les réseaux sociaux se dévouant à leurs troupeaux, transportant le Saint-Sacrement dans les rues et offrant des bénédictions aux passants.

    Vendredi, le Pape François a offert sa prière pour que les prêtres s'occupent de leur troupeau sous la direction du Saint-Esprit.

    "Je voudrais également prier aujourd'hui pour les pasteurs qui ont besoin d'accompagner le peuple de Dieu pendant cette crise", a déclaré le pape. «Que le Seigneur leur accorde la force et la capacité de choisir les meilleures façons d'aider. Les mesures drastiques ne sont pas toujours bonnes. »

    lire aussi :

    ... et plein d'autres informations sur http://www.belgicatho.be/

  • Le coronavirus est un appel à retourner à Dieu

    IMPRIMER

    De John Horvat II* sur LifeSiteNews :

    La crise des coronavirus prouve que nous vivons dans une société sans Dieu et avons plus que jamais besoin de Jésus

    Le coronavirus est un appel à retourner à Dieu

    16 mars 2020
    Featured Image

    la création d'Adam par Michel-Ange (détail -Chapelle Sixtine) 

    Notre réaction au coronavirus reflète la crise de notre société séculière impie.

    Le problème n'est pas le virus - aussi potentiellement mortel qu'il pourrait l'être. Cette épidémie est un fait biologique, comme tant d'autres qui ont tourmenté l'humanité au cours des âges.

    Si un virus est apolitique, il peut cependant avoir des conséquences politiques. La peur en est beaucoup plus volatile que le coronavirus. Une coronaphobie secoue le globe. En ce sens, la réaction au coronavirus est extrêmement politique et laïque. Elle reflète une société qui a tourné le dos à Dieu. Nous sommes confrontés à la crise en ne faisant confiance qu'à nous-mêmes et à nos moyens techniques.

    L'homme seul

    En effet, la gestion de la crise des coronavirus n'accepte aucune aide extérieure. Dieu n'a aucun sens ni fonction dans tous les efforts pour l'éradiquer. À la place de Dieu, il y a les immenses pouvoirs du gouvernement mobilisés pour contrôler tous les aspects de la vie pour empêcher sa propagation. Le puissant bras de la science se démène pour trouver un vaccin. Les mondes de la finance et de la technologie sont mis à contribution pour atténuer les effets désastreux de la crise.

    Bien que tous les efforts humains doivent être utilisés pour résoudre les problèmes, ils n'ont pas produit les résultats escomptés. Les tentatives actuelles ont déçu une société désespérément intempérante accro aux solutions instantanées à bouton-poussoir. Le monde a été contraint de fermer sans calendrier précis quant à la fin de la crise.

    C'est ce qui fait que c'est tellement terrifiant. Il existe peu d'institutions telle que l'Eglise pour atténuer et rendre son traitement humain et supportable. Nous sommes laissés seuls face à ce grand danger. Le petit virus isole et aliène ses victimes, les excluant de la société. Dans bien des cas, c'est l'individu contre l'État. Les techniciens en combinaisons traitent les hommes et les femmes comme s'ils étaient le virus. Dans la Chine totalitaire et dans d'autres endroits, les fonctionnaires utilisent une violence brutale pour forcer le respect des directives drastiques.

    Lire la suite

  • Confinement : des tas de suggestions sur aleteia.org

    IMPRIMER

  • Belgique : les baptêmes et les mariages religieux sont suspendus

    IMPRIMER

    Coronavirus : L’Eglise catholique de Belgique suspend aussi les baptêmes et mariages religieux

    Les autorités civiles ont pris des mesures plus restrictives contre le Covid 19. Seules des funérailles en cercle restreint sont possibles. Ainsi les baptêmes et mariages religieux ne sont plus autorisés, même en cercle restreint. SIPI – Bruxelles, lundi 16 mars 2020

  • Le crucifix miraculeux devant lequel le pape s'est recueilli ce dimanche 15 mars

    IMPRIMER

    Résultat de recherche d'images pour "crocifisso san marcello al corso"

    Le crucifix miraculeux de San Marcello al Corso

    À l'intérieur de l'église de San Marcello al Corso, à Rome, il y a un crucifix en bois ancien et vénéré du XVe siècle, considéré par les savants comme le plus réaliste de Rome, qui a survécu à un incendie, a sauvé Rome de la peste et saint Jean-Paul II l'a embrassé ce qui a marqué le moment le plus fort de la Journée du pardon en 2000.

    En empruntant la via del Corso depuis la Piazza Venezia, sur la petite place qui s'ouvre à droite peu de temps après, se dresse la façade baroque de l'église de San Marcello, dont les origines remontent au IV-V siècle. Elle est mentionnée pour la première fois en 418, après la mort du pape Zosime, dans une lettre du préfet de Rome à l'empereur Honorius.

    En 1368, les servites de Marie s'y installèrent et y officient encore.

    Les nombreuses histoires de miracles attribuées au crucifix sont nées un jour précis: le 23 mai 1519, lorsqu'un incendie a complètement détruit l'église pendant la nuit. Le lendemain matin, aux yeux de la grande foule de Romains qui sont venus sur les lieux, une scène de grande désolation s'est présentée: le temple sacré était réduit en ruines mais parmi les ruines encore fumantes, le crucifix du maître-autel paraissait intact, au pied duquel une petite lampe à huile brûlait encore. Cette image a suffisamment marqué les fidèles pour pousser certains d'entre eux à se rassembler chaque vendredi soir pour réciter des prières et allumer des lumignons.

    Trois ans après l'incendie, Rome a été frappée par ce que les historiens de la ville évoquent sous le vocable de "Grande Peste", un véritable fléau qui a apporté la désolation et la mort. En désespoir de cause, la pensée est allée au miraculeux crucifix de San Marcello qui fut porté en procession dans les rues de la ville jusqu'à la basilique Saint-Pierre pendant plus de deux semaines. La peste a régressé, et chaque district de la Ville a voulu garder le crucifix le plus longtemps possible. À la fin, lors de son retour à San Marcello, la peste s'ést complètement arrêtée: Rome, une fois de plus, était en sécurité.

    À partir de 1600, la procession de l'église de San Marcello à la basilique du Vatican, où le crucifix a été exposé au culte des fidèles, est devenue une tradition pendant l'Année Sainte. (source)

    Voici la prière qui lui est adressée :

    Me voici à genoux, à tes pieds, Jésus crucifié, pour t’adorer et te remercier, parce que tu as donné ta vie pour moi.

    Tu as séché mes larmes, tu es mon soutien aux moments difficiles, tu écoutes mes cris de désespoir et tu accueilles, avec la tienne, ma souffrance.

    Tu connais les pensées de mon cœur fatigué, mais heureux de t’aimer, et tu m’aides à passer au travers des difficultés de la vie.

    Souvent je ne pense pas à ta souffrance et je viens te présenter la mienne;
    tu étends ta main sur moi et tu me consoles,
    tu soignes mes blessures par ton amour;
    tu me prends dans tes bras et tu me fais sentir ton cœur brûlant d’amour pour moi.

    Encore une fois, je viens frapper à la porte de ton cœur et je te demande une grâce…;
    exauce ma prière, Seigneur, si ce que je demande est conforme à ta volonté.

    Jésus crucifié, près de toi il y a aussi ta Mère;
    accueille ceux qui souffrent et soyez pour eux consolation et espérance.

  • Coronavirus : le début d'une ère nouvelle ?

    IMPRIMER

    Du Père Olivier Nguyen (prêtre du diocèse de Fréjus-Toulon) sur le site de La Nef

    11 mars 2020

    L’épreuve mondiale du coronavirus : les débuts d’un temps nouveau ?

    L’épidémie de coronavirus que subissent particulièrement une province de la Chine et différents foyers naissant dans le monde fait réfléchir les chrétiens sur sa cause, sa signification et l’espérance que nous pouvons avoir en ces temps qui sont particuliers. Sans être alarmiste, il est important d’interpréter comme nous invite à le faire le Seigneur les signes des temps. Ce qui frappe immédiatement l’esprit, c’est la révélation de grande faiblesse des structures économiques mondiales et dans le même temps celle de l’illusion d’un monde idéal qui pourrait se faire sans Dieu, fondé sur une économie puissante mondialisée. Tout d’un coup, « en une heure de jugement »[1] l’homme moderne s’aperçoit que la confiance dans les États nations, dans les grandes entreprises, dans le système économique mondial n’est pas assurée. En quinze jours, les ventes de voiture ont baissé de 90 % en Chine, des milliers de chaînes d’approvisionnement ont été rompues et de plus en plus, paraît difficile une reprise économique prochaine de la deuxième puissance mondiale assurant près de 15 % de l’économie planétaire. Comme si le Seigneur disait : « l’activité économique de ce monde moderne repose sur du sable, sur une technique idolâtrée mais qui ne peut pas sauver l’homme ni se sauver elle-même ».

    La propagation de ce virus semble comparable à cette petite pierre dont parle le livre de Daniel qui brise soudainement une statue de bronze et de fer au pied d’argile[2]. Par analogie, elle pourrait aussi exprimer un écroulement de fonctionnements nationaux et de grands dynamismes sociétaux reposant non pas sur le primat de l’homme et de Dieu mais sur le fer et le bronze de la machinerie d’une économie mondialisée. Un monde fondé sur le travail total, le tout économique et le sans-Dieu est-il en train de s’effondrer ? L’avenir le dira, mais plus rien ne sera jamais comme avant : chacun saura qu’il ne peut mettre sa confiance et son espérance dans un monde se fondant sur la recherche d’une croissance économique sans fin.

    Notre propos se veut objectif et en même temps rassurant car comme chrétiens nous savons que nous avons « déjà la victoire »[3] grâce à Celui qui nous a tant aimés. Il possède aussi un certain regard prophétique au sens d’une tentative de lecture dans l’Esprit de l’actualité internationale à partir de la parole de Dieu. Il s’articulera en trois parties : le kairos de cette épidémie, le jugement de la Chine, le jugement des nations. La conclusion donnera l’espérance que nous pouvons avoir.

    Lorsque nous parlons de jugement sur une ou des nations, nous n’entendons pas un châtiment divin, au sens positif que nous pourrions avoir, mais d’abord une certaine intervention de Dieu sur une période donnée et sur un ou des pays donné(s) en vue d’instruire et de corriger. Nous verrons plus loin quel sens plus précis nous pouvons donner à cette notion.

    Lire la suite sur le site de La Nef

  • Vous avez du temps ? Pourquoi ne pas écouter les Confessions de saint Augustin ?

    IMPRIMER

    téléchargement.png

     

     

    contact@librairiedamase.com

    Les Confessions de saint Augustin

    Disque audio – Texte lu par Daniel Mesguich

    Les Confessions de saint Augustin sont tout autre qu’un froid récit de ses frasques de jeunesse :

    « Les treize livres de mes Confessions louent le Dieu juste et bon de mes maux et de mes biens, ils élèvent vers Dieu l’intelligence et le cœur de l’homme. »

    Saint Augustin décrit avec douleur les étapes  de son enfance, de son adolescence et de sa carrière de rhéteur, durant lesquelles il s’est enfoncé de péché en péché. Il observe avec justesse et intelligence les faiblesses de notre nature et s’élève à chaque page vers son Créateur. Un livre qui remplit l’esprit de lumière et le cœur d’espérance.

    Chose remarquable : ces souvenirs n’éveillent pas la moindre complaisance pour le mal ; ils en inspirent, au contraire, un dégoût profond.

    Le présent album ne contient pas la lecture de l’intégrale des Confessions ; mais il en offre de larges extraits qui laissent une idée juste de l’œuvre.

    La voix de Daniel Mesguich rend avec bonheur le sens du texte des Confessions ; il en ressort une vraie joie d’écoute.

    3 CD - 3h30’
  • La cause de la béatification des parents de Jean-Paul II est ouverte

    IMPRIMER

    De Vatican News :

    Résultat de recherche d'images pour "genitori wojtyla"

    Cracovie ouvre la cause de béatification des parents de Jean Paul II

    Le 11 mars 2020, le diocèse de Cracovie a annoncé entamer le procès en béatification d’Emilia et Karol Wojtyla, parents de saint Jean Paul II..

    Après un avis positif émis par l’épiscopat polonais en octobre dernier, et après l’approbation de la Congrégation pour les causes des saints, le diocèse de Cracovie en Pologne a entamé les procédures de béatification des époux Wojtyla. Les fidèles ont jusqu’au 7 mai pour envoyer au diocèse leur lettres ou messages.

    La mémoire des parents du Saint Pape polonais, en particulier à Wadowice et à Cracovie, est toujours vivante et, bien que beaucoup de temps se soit écoulé depuis leur mort, des personnes encore en vie les connaissait personnellement.

    «Nous allons essayer de les contacter et leur demander de témoigner», a déclaré à ce titre, le père Andrzej Scąber, délégué du diocèse de Cracovie pour la béatification.

    Jean Paul II, témoin direct de la sainteté de ses parents

    Le père Scąber a ajouté que les enfants ou petits-enfants des témoins directs de la vie des deux Serviteurs de Dieu seront également entendus, et que «le Pape polonais lui-même, dans un certain sens, sera un témoin direct de la sainteté de ses parents», comme le confirment de nombreux témoignages.

    Deux processus de canonisation distincts seront formellement réalisés, a poursuivi le prêtre, par lesquels il sera démontré qu'Emilia et Karol ont pratiqué les vertus de manière héroïque, qu'ils jouissent de la réputation de sainteté et que, par leur intercession, le peuple a reçu les faveurs de Dieu.

    «Ce processus ne sera pas facile en raison du nombre limité de témoins oculaires, mais nous pouvons déjà dire que la documentation recueillie, en particulier celle qui se réfère à Karol Wojtyła, est très étendue», a ajouté le père Andrzej Scaber.

    Il montre l'évolution de la relation que cet homme, au cours de sa vie, a eu avec Dieu et comment il a pu la transmettre à son fils, le futur pape.

    Modèle de foi, même dans la pauvreté

    Dans une société en crise comme celle d'aujourd'hui, avec «de nombreux divorces, des relations de cohabitation, des enfants abandonnés», la famille Wojtyla, composée de deux personnes ordinaires, a montré à tous que même en vivant dans une situation économique très difficile, même face à la mort de leurs enfants, on peut avoir la foi et rester proche de Dieu.

    Emilia, née Kaczorowska, et Karol Wojtyła père se sont mariés le 10 février 1906 à Cracovie. Le couple a donné naissance à deux enfants: en 1906 Edmund et en 1920 Karol fils, ainsi que leur fille Olga, morte peu après leur naissance. Après la mort de sa femme en 1929, Karol Wojtyła père a élevé seul ses enfants. Il est mort en 1941 à Cracovie.

  • Une Semaine Sainte sans fidèles

    IMPRIMER

    D'Antoine Mekary sur ALETEIA :

    Vatican : une Semaine sainte sans fidèle

    La place et la basilique saint Pierre inhabituellement vides, à cause du Coronavirus.

    I.Media | 15 mars 2020

    Alors que la Semaine sainte débute le dimanche 5 avril prochain avec le dimanche des Rameaux, la Préfecture de la Maison pontificale a d’ores et déjà annoncé que toutes les célébrations se dérouleront sans la présence des fidèles.

    “En raison de l’urgence sanitaire internationale actuelle, toutes les célébrations liturgiques de la Semaine sainte se dérouleront sans la présence physique des fidèles” au Vatican, a annoncé la Préfecture de la Maison pontificale sur son site internet le 14 mars 2020. Cette situation inédite est une première dans l’histoire contemporaine de l’Eglise catholique.

    En outre, en respect des consignes qui interdisent les rassemblements afin de prévenir la propagation du virus, les audiences générales du pape François et les prières de l’Angélus ne seront disponibles qu’en streaming sur le portail officiel Vatican News. Le chef de l’Eglise les prononcera depuis sa bibliothèque privée, au second étage du Palais apostolique du Vatican. De même, la messe que célèbre le pontife argentin tous les matins à la Résidence Sainte-Marthe continuera à être diffusée en direct sur les mêmes canaux.