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Le 1er décembre prochain, messe dominicale du premier dimanche de l’Avent, à 10h00 en l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132, à Liège : chant grégorien de la messe « ad te levavi », orgue et sonate d’Antonio Vivaldi (extraits) pour deux violons interprétée par l’ensemble instrumental Darius :
À Bruxelles, un jeune étudiant en école de commerce court les brocantes pour racheter des crucifix, qu'il rénove avant de les revendre pour leur donner un nouveau foyer.
Un matin d'automne, sur le marché aux puces des Marolles, à Bruxelles. Au milieu des badauds, Amaury Rheinart enjambe les cartons de bric et de broc. Comme tous les dimanches, ce grand gaillard de 20 ans est à la recherche de crucifix sur les stands des exposants. Son but : en récupérer, en réparer et en rénover le plus grand nombre possible et les confier à des foyers, pour aider ces derniers à prier. Il y a quelques mois, Amaury Rheinart a même lancé son site web, Crucifix Constantin, pour mettre en valeur ses créations originales simples et colorées.
Un déclic né chez les scouts
« L'idée m'est venue en plusieurs fois », nous confie l'étudiant en école de commerce. Pendant une veillée scoute, il est d'abord touché par le témoignage d'une dame profondément attachée à la figure du Sacré-Coeur. « Dès qu'elle en voyait une représentation dans une brocante ou chez un antiquaire, elle l'achetait aussitôt. » Deuxième élément déclencheur : en 2017, un responsable des Scouts d'Europe invite ces derniers à être des « garants de notre patrimoine religieux ».« Il nous a exhortés à restaurer les calvaires de campagne, à enlever le lierre qui les recouvre. »
J'ai voulu me positionner en tant que chrétien.
Pour Amaury Rheinart, c'est le déclic. Grand amateur de brocantes, surtout depuis qu'il est en stage dans la ville de Bruxelles, il retrouve sans cesse de vieux crucifix, parfois abîmés, à même le sol. « Pour moi, c'est le symbole du monde d'aujourd'hui, qui délaisse l'image du Christ. J'ai voulu me positionner en tant que chrétien. » Un dimanche d'août 2019, sans aucune formation artistique, Amaury Rheinart se lance : avec 20 € en poche, il part à la pêche aux crucifix dans le bazar à ciel ouvert du marché des Marolles. Après d'âpres négociations, il en achète cinq. La semaine suivante, il profite d'une pause déjeuner pour courir acheter de la peinture (le turquoise, le rouge et le jaune, ses trois couleurs de signature), et emprunte quelques outils. C'est le début du projet Constantin - du nom du premier empereur à avoir autorisé le culte chrétien.
« Volonté missionnaire »
Après avoir poncé, réparé, repeint et verni chaque croix, il propose à ses acheteurs de dédier le crucifix à une intention particulière. « Au début, je leur demandais de prier pour les intentions du brocanteur qui m'a vendu l'objet. Mais c'était difficile, pour certains, de prier pour quelqu'un qu'ils ne connaissent pas. » Désormais, Amaury Rheinart demande à chacun de ses « clients » de choisir lui-même l'intention, et lui propose aussi de prier pour ceux qui délaissent le Christ dans leur grenier ou leur cave.
Je trouve beau que des crucifix qui ont été sauvés de la poubelle puissent encore porter une intention.
Au-delà de la simple acquisition d'un joli objet, « c'est une manière d'engager l'acheteur dans une volonté missionnaire et dans une dynamique plus large de prière ». Luciano Legros, étudiant, a découvert le projet Constantin via les réseaux sociaux. « Je ne voulais pas acheter une croix neuve dans une boutique, j'avais envie de mettre du sens dans ma démarche. » Il a choisi une croix peinte en rouge, et l'a dédiée aux martyrs du XXIe siècle. « Je trouve beau que des crucifix qui ont été sauvés de la poubelle puissent encore porter une intention. » Chaque création Constantin est vendue entre 12 et 33 €. « Mon but n'est pas de gagner de l'argent, explique Amaury Rheinart, mais de rénover le plus d'objets religieux possible. » Tous les bénéfices servent donc à acquérir de nouvelles trouvailles sur les marchés aux puces... pour illuminer le plus grand nombre de maisons.
Quand Bigard a donné 300 000 euros pour sauver un malade du cancer
Vendredi 22 novembre 2019
Invité de la chaîne KTO, l’humoriste a témoigné d’un épisode méconnu de sa vie.
C’est une facette du personnage qu’on ne connaissait pas. Invité de l’émission Une nuit au monastère le 16 novembre dernier, sur la chaîne catholique KTO, l’humoriste Jean-Marie Bigard, surtout réputé pour son langage fleuri et ses blagues en dessous de la ceinture, a livré un témoignage bouleversant au présentateur Charles Mercier.
L’enfant a guéri de son cancer
En effet, celui qui figure sur la liste de Marcel Campion pour les prochaines élections municipales a révélé qu’il avait fait un don de 300 000 euros à un enfant malade afin qu’il puisse guérir. Tout commence lorsqu’il apprend que la concierge portugaise de son immeuble a un fils atteint d’un cancer de la gorge. Ruiné à l’époque, il se tourne vers une connaissance pour lui emprunter de l’argent. « Mais pourquoi tu vas donner de l’argent à cet homme que tu ne connais pas ? », lui demande l’homme. « Parce qu’il a tapé à ma porte », répond l’humoriste. Finalement, cette connaissance lui prête les 300 000 euros nécessaires. Trois mois après ce geste, le fils de la concierge l’appelle et lui dit « J’ai une rémission de mon cancer », raconte Jean-Marie Bigard, les larmes aux yeux.
Coup du destin, une semaine après cette bonne action, l’humoriste signe un contrat publicitaire qui lui rapporte… 400 000 euros. « Toutes mes actions me sont rendues à chaque fois. Je suis riche de ce que je donne. Je suis attentif. Je sais que derrière chaque chaise, chaque buisson, dans ton lit, il y a Dieu. Donc je fais attention », confie-t-il alors à la chaîne.
Quatre fois l’an, l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) ouvre ses portes aux jeunes musiciens professionnels sélectionnés par l’association «Foliamusica » (responsable Cécile Leleux) : chaque concert est suivi d’une rencontre avec les artistes.
Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be.
Faire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement ? Pour aider à la sauvegarde de ce joyau de l’art néo-classique, vous pouvez faire un don fiscalement déductible en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.
Venez nombreux à cet événement exceptionnel : vernissage et exposition de tableaux réalisés à partir de diverses techniques. Les artistes souhaitent mettre généreusement leur talent au profit de KTO en offrant leurs oeuvres moyennant un don à KTO Belgique.
À l'approche de Noël, voici une belle occasion pour vous faire plaisir ou faire plaisir à un proche tout en soutenant KTO Belgique !
Soyez les bienvenus les vendredi 22, samedi 23 et dimanche 24 novembre prochain au Collège Saint Michel (Bruxelles).
KTO vit de votre générosité et ne reçoit aucun subside ni de l’Eglise ni de l’Etat.
IBAN : BE04 7360 3279 2431
Les dons ne sont pas déductibles en Belgique.
KTO Belgique ASBL Avenue de la Belle Alliance, 1 - 1000 Bruxelles belgique@ktotv.com - 02/888.99.79
par l'Ensemble Vocal de l'Abbaye de la Cambre,sous la direction d'Anthony Vigneron Ana Camélia Stefanescu, (soprano), Martina Antognozzi (Harpe) et Alain Carré (récitant) en première partie oeuvres de Jean Sébastien Bach, Johann Krebs, Tomaso Antonio Vitali par Paulina et Kasia Sokolowska ( Violon et Hautbois) et Xavier Deprez organiste titulaire de la cathédrale saint Michel et Gudule.
L'écriture musicale
Voici tout entière décrite l'intensité de l'écriture musicale, toute en sensibilité de Jacques Alphonse De Zeegant que nous retrouvons dans toutes ses oeuvres de l'opéra à la musique de chambre, de la symphonie aux concertos, mais plus encore dans cette merveilleuse composition de Visioni où le compositeur a laissé libre cours à ses émotions les plus profondes.
LE CONCERT
Visioni Si Visioni fut une oeuvre écrite à la demande de moniales Bénédictines du Nord de l’Italie lors d’un séjour dans leur monastère où Jacques Alphonse eut l'occasion d'assister à leurs offices accompagnés à la Harpe par l’une d’entre elles. Si cette première version pour choeur de femmes en alternance avec la voix d’une soprano illustre des versets de l'Apocalypse descriptifs du Christ en Gloire , fut créée en 2011, lors du concert des Grandes heures de la Cambre sur l'Apocalypse de saint Jean. Si une seconde version pour choeur mixte fut créée en 2014 à l'abbaye de la Cambre lors d'un concert des Grandes Heures. C’est aujourd'hui que nous découvrirons une oeuvre amplifiée débordante d'allégresse en forme de triptyque où se répondront en écho les visions du Christ en gloire: celle du prophète Daniel et celle de saint Jean dans l'Apocalypse avec celle culminante de la Jérusalem céleste. Ecrite pour choeur mixte, l’oeuvre sera créée par l'Ensemble Vocal de l'Abbaye de la Cambre sous la direction d'Anthony Vigneron, la soprano Ana Camélia Stefanescu et Martina Antognozzi à la harpe. Pour apprécier tout le suc de la composition, les textes chantés en langue italienne seront introduits dans leur version en langue française par le comédien et récitant Alain Carré...
Le Prélude Quel meilleur prélude que le Prologue de Saint Jean éclairé en première partie par cette oeuvre éclatante pour orgue et violon de Johann Krebs avec à l'orgue Xavier Deprez, organiste titulaire de la cathédrale saint Michel et Gudule, Paulina Sokolowska au violon et celles plus intimistes de Tomasio Antonio Vitali, Jean Sébastien Bach avec Xavier Deprez à l'orgue, Paulina Sokolowska au violon et Kasia Sokolowska au hautbois.
Flèche de Notre-Dame : l'architecte prié de "fermer sa gueule" par le général missionné par Macron
NOTRE-DAME - Le général Jean-Louis Georgelin, nommé par le président de la République pour mener la reconstruction de la cathédrale, a évoqué de manière très crue devant les députés ses désaccords avec l'architecte en chef du monument au sujet de la flèche de l'édifice. Avant de se faire recadrer par le ministre de la Culture.
Le général Jean-Louis Georgelin, missionné par Emmanuel Macron pour piloter la restauration de Notre-Dame de Paris, s'en est pris vertement mercredi 13 novembre à l'architecte en chef du monument en le priant de "fermer sa gueule" au sujet de la flèche de la cathédrale. L'architecte en chef de Notre-Dame, Philippe Villeneuve, s'était prononcé dès le mois de juin pour une restauration à l'identique de la flèche de Viollet-le-Duc, détruite lors de l'incendie qui a ravagé la cathédrale le 15 avril. Le président de la République avait pour sa part exprimé sa volonté d'inscrire un "geste contemporain" sur l'édifice emblématique.
Mercredi, devant la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale, le général Georgelin n'a pas caché son agacement face aux propos de Philippe Villeneuve. "Quant à l'architecte en chef, je lui ai déjà expliqué plusieurs fois, qu'il ferme sa gueule et que nous avancions en sagesse pour que nous puissions sereinement faire le meilleur choix pour Notre-Dame, pour Paris, pour le monde", a lancé le général Georgelin en réponse à la question d'un député. Une séquence relayée sur Twitter :
LCP ✔@LCP
"Qu'il ferme sa gueule !"
Le général Georgelin répond, sans détour, à la prise de position de Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques, qui souhaite reconstruire la flèche à l'identique. >> http://bit.ly/34VUHrg@maxenceka#NotreDameDeParis#DirectAN
Le ministre de la Culture, Franck Riester, a désavoué jeudi les propos de Jean-Louis Georgelin, estimant qu'ils n'étaient "pas acceptables". "Le respect est une valeur cardinale de notre société. En tant que responsables publics, nous devons être exemplaires."
Franck Riester
✔@franckriester
Les propos du Général Georgelin à l'encontre de Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques en charge de #NotreDame, ne sont pas acceptables. Le respect est une valeur cardinale de notre société. En tant que responsables publics, nous devons être exemplaires
Nommé par Emmanuel Macron "préfigurateur de l'établissement public chargé de la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris", Jean-Louis Georgelin avait par ailleurs confirmé l'objectif de cinq ans de travaux fixé par le chef de l'Etat. "Les 5 ans, on les obtiendra par la rigueur du chantier, le choix des bonnes expertises", a-t-il souligné. C'est "début 2021" que sera discutée l'orientation du chantier, notamment pour la flèche détruite. D'ici là, il souhaite "apaiser le tohu-bohu" dans la communication autour des travaux.
Le général Georgelin était devant les députés pour les informer de l'avancée des opérations. "La cathédrale est toujours en état de péril", a-t-il prévenu. "La phase de sécurisation de l'édifice n'est pas terminée. Elle ne sera terminée que quand l'ancien échafaudage de la flèche aura pu être démonté". Avec l'arrivée de l'hiver, "nous ne sommes pas à l'abri d'un fort coup de vent qui pourrait déstabiliser cet échafaudage", a aussi souligné le général Georgelin. Par ailleurs, "la cathédrale ne semble plus être émettrice de plomb vers l'extérieur du chantier", a-t-il assuré. "Je suis dans la restauration de ce qui existe", avait expliqué l'architecte Philippe Villeneuve à la mi-octobre sur RTL. "Le futur c'est soit je restaure à l'identique, ça sera moi, soit on fait une flèche contemporaine et ça sera un autre", avait ajouté l'architecte, au chevet de la cathédrale depuis 2013.
Faire des « sorcières » les icônes du féminisme est absurde
"Maléfique" de Disney, le film préféré de Marlène Schiappa?
Angélina Jolie dans le rôle de Maléfique, 2014. Numéro de reportage : 00673084_000017 Auteurs : LILO/SIPA
A l’heure où Marlène Schiappa signe une tribune visant à réhabiliter les sorcières, Barbara Lefebvre dénonce sur REACnROLL cette glorification de la figure du mal féminin, la réécriture de l’histoire et le brouillage des repères dans les fictions destinées aux enfants, et les conséquences que cela implique.
Causeur vous propose de lire un extrait d’une intervention récente de Barbara Lefabvre sur REACnROLL. La chroniqueuse constate que désormais, dans les films Disney, les méchants ne sont plus vraiment des méchants, mais de pauvres personnages victimes de discrimination…
Verbatim
Faire aujourd’hui des sorcières des icônes de la libération de la femme ou d’un féminisme avant l’heure est complètement absurde, anachronique et faux. Cela me terrifie. On vit à une époque où parce qu’on est ministre ou président de la République, on peut dire n’importe quoi sur des périodes de l’Histoire, et d’ailleurs plus on les prend loin dans le temps mieux ça vaut, pour essayer de construire des récits sur aujourd’hui, pour justifier un discours politique de la bien-pensance, du néo-féminisme, du néo-antiracisme etc…
Ce phénomène-là, je le vois aussi dans la propagande culturelle qui nous vient des Etats-Unis depuis un certain nombre d’années, qui consiste à une inversion complète des valeurs à travers l’inversion des personnages…
Cela porte également préjudice aux études historiques.
Nous avons des jeunes historiens aujourd’hui qui sont aussi dans cette logique du buzz, c’est-à-dire de chercher des sujets de niche qui peuvent les mettre sur le devant de la scène. Aujourd’hui par exemple, quand on est historien et qu’on veut écrire une thèse, on doit trouver un sujet porteur pour se faire remarquer du monde académique où hélas, se développe cette mode des sujets de micro-histoire ou de sujets soit-disant « sulfureux ». En réalité, cela porte préjudice à l’étude historique.
>>> Retrouvez l’intégralité de cette intervention en vous abonnant sur RNR.TV <<<
Ce phénomène-là, je le vois aussi dans la propagande culturelle qui nous vient des Etats-Unis depuis un certain nombre d’années, qui consiste à une inversion complète des valeurs à travers l’inversion des personnages. Ayant une enfant en âge de regarder ces niaiseries que sont les séries Disney notamment, je me rends compte que vous avez toute une réécriture des histoires de Disney, notamment La belle au bois dormant avec le personnage de Maléfique.
Maléfique a fait l’objet d’un film, avec Angelina Jolie, tome 1 et tome 2, puisqu’il y a eu la version numéro 2 qui est assez édifiante aussi et où finalement Maléfique n’est pas la méchante sorcière qu’on imaginait naïvement… En fait, Maléfique se révèle être la mère adoptive d’Aurore, la belle au bois dormant, puisqu’elle va finalement l’accueillir étant donné qu’Aurore décide que c’est sa mère son parent d’intention car son père, le roi, s’avère être un très méchant roi et au final c’est Maléfique qui se trouve être le personnage positif.
Dans Maléfique 2, la suite, c’est carrément le monde de Maléfique qui est un monde de monstres, de trolls etc, qui s’avère être discriminé, dans un état de quasi-apartheid, par le monde des humains, à savoir le royaume du descendant du père d’Aurore ! Aurore fait le go-between entre ces deux mondes, et c’est Michelle Pfeifer qui s’avère être le personnage qui persécute Maléfique… [La sorcière] n’est donc plus une méchante mais une gentille et vous avez toute une série de productions Disney sur ce thème. Vous avez une autre série qui s’appelle Descendants, ils en sont au troisième volet. Dans ces films, tous les enfants des méchants ne sont pas des méchants mais des gentils qui vont réussir à se mêler au monde bien-pensant.
Je vois à travers tout ce récit une façon d’insuffler dans les esprits des nouvelles générations que le méchant n’est jamais méchant et que lorsque le discours général vous dit que c’est un méchant, en réalité c’est sans doute que c’est un gentil.
Je trouve cette incapacité récente à donner aux enfants des repères clairs, qui sont les repères simplistes des contes, problématique. [Autrefois] il y avait le méchant et il y avait le gentil. Et ensuite, quand on commençait à avoir un esprit critique un peu affûté, quand on devenait adulte, on n’était effectivement plus dupe de ce côté binaire des récits des contes et légendes. Mais ces contes et légendes, dans leur récit binaire, nous aident aussi à nous construire dans notre capacité à être dans un discernement moral.
Aujourd’hui, je ne vois pas comment les enfants peuvent avoir ne serait-ce qu’un début de discernement moral puisqu’on leurs explique systématiquement que le méchant n’est pas méchant, que le grand méchant loup, il n’était pas si méchant que ça, et puis après tout « peut-être que la grand-mère elle avait envie de se faire manger par le grand méchant loup. » Je trouve que c’est absolument sidérant et cela nous prépare une génération qui va être incapable d’avoir le moindre discernement moral et ça m’inquiète, c’est pourquoi cette histoire de sorcières [Marlène Schiappa NDLR] n’est pas aussi anecdotique qu’on croit, elle s’insère vraiment dans un discours général qu’on tient… aux enfants.
>>> Retrouvez l’intégralité de cette intervention et les réactions de Régis de Castelnau en vous rendant sur RNR.TV <<<
Quatre fois l’an, l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) ouvre ses portes aux jeunes musiciens professionnels sélectionnés par l’association "Foliamusica " (responsable Cécile Leleux) : chaque concert est suivi d’une rencontre avec les artistes.
Prochaines découvertes pour clore la saison en cours : le samedi 16 novembre 2019 à 15h30 et dimanche 24 novembre 2019 à 15h30 . Venez découvrir les jeunes talents !
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Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be.
Faire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement ? Pour aider à la sauvegarde de ce joyau de l’art néo-classique, vous pouvez faire un don fiscalement déductible en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.
Le Conseil d’Etat turc a décidé que l’ancienne église du Saint Sauveur in Chora à Istanbul devait retourner « à son culte initial », c’est-à-dire… à l’islam.
Cette église fut construite Ve siècle, rebâtie au XIe puis au XIVe. Elle est considérée comme l’une des plus belles églises byzantines, avec de riches mosaïques et fresques du XIVe siècle.
Elle fut transformée en mosquée en 1511, puis en musée en 1948.
Cette décision du Conseil d’Etat pourrait ouvrir la voie à la reconversion de Sainte-Sophie en mosquée, insistante et permanente revendication islamiste.
L’académie de chant grégorien ouvre aujourd’hui, samedi 9 novembre 2019, son cycle 2019-2020 en l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) avec 36 inscriptions enregistrées à ce jour.
Il est encore temps de relayer l’information auprès des personnes de votre connaissance susceptibles d’être intéressées par l’une ou l’autre des formations qu’il propose de la mi-novembre de cette année jusqu’à la fin du mois de mai 2020.
A Liège, de mi-novembre 2019 à fin mai 2020: une offre dédiée au chant grégorien et qui s’élargit à la formation de la voix, à la lecture musicale, à l’initiation à l’orgue et au violon, avec quatre professeurs universitaires ou diplômés des conservatoires tant belges qu’étrangers:
Les formations, ouvertes à un large public, se donnent toutes dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132, 4000 Liège). Elles sont diversifiées et cumulables : chaque élève compose le « menu » de son choix en remplissant le formulaire d’inscription (voir ci-dessous) à faire parvenir sans retard :
→ soit par voie postale (sous pli affranchi) à Jean-Paul Schyns, secrétaire de l’académie de chant grégorien, Quai Churchill, 42, 7e étage, 4020 Liège
Le Choeur Universitaire de Liège fête Noël dans la belle cité de Liège avec deux œuvres majeures de Marc Antoine Charpentier : La Messe de Minuit et le Te Deum, interprétés dans la magnifique Cathédrale Saint-Paul, le samedi 7 décembre à 17h.
Pour ce concert exceptionnel, le Chœur ULiège s’est adjoint la participation du renommé Chœur de chambre Praeludium et de l’Ensemble Darius, un ensemble orchestral professionnel réputé dans la région pour ses nombreuses prestations de qualité.
Le concert sera placé sous la direction de Patrick Wilwerth, directeur artistique du Chœur ULiège.
Places numérotées à 15 et 20€ - étudiants 6€
Réservations : 0471/17 39 76 chœur@ulg.ac.be FNAC place Saint-Lambert.
A l’issue du concert, un bar à champagne accueillera les spectateurs dans les cloîtres de la cathédrale.
En prélude à ce concert, Jean Marc Onkelinx, musicologue, donnera une conférence sur Marc Antoine Charpentier, le vendredi 29 novembre à 20h dans le grand amphi de Zoologie (quai Van Beneden – Aquarium de Liège)