L'Ensemble Benevento vous invite à leur concert de Noël
le 5 janvier à 16H00
Nous voyageons avec vous à travers le temps de Noël, en utilisant des compositions vocales et instrumentales.
Chapelle Royale - Rue du Musée 2, BRUXELLES
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L'Ensemble Benevento vous invite à leur concert de Noël
le 5 janvier à 16H00
Nous voyageons avec vous à travers le temps de Noël, en utilisant des compositions vocales et instrumentales.
Chapelle Royale - Rue du Musée 2, BRUXELLES
De l'excellent site "Pour une école libre au Québec" :
De Claire Lesegretain sur le site du journal La Croix :
Des artistes et intellectuels appellent à « sauver le patrimoine musical » de Notre-Dame de Paris
À la suite de l’annonce du licenciement du chef de chœur grégorien à la Maîtrise de Notre-Dame, près d’une trentaine d’écrivains, de médiévistes, de musiciens et de théologiens, ont publié dans Le Figaro du vendredi 27 décembre une tribune pour éviter cette « catastrophe cultuelle ».
27/12/2019
Depuis l’incendie du 15 avril, l’association Musique sacrée à Notre-Dame de Paris (MSNDP), qui gère la Maîtrise de Notre-Dame, connaît de graves difficultés financières. Le 17 décembre, la MSNDP annonçait le licenciement de cinq enseignants, dont Sylvain Dieudonné, chef de chœur grégorien et chef de département de musique sacrée médiévale.
La MSNDP avait justifié ces licenciements comme des mesures d’assainissement budgétaire indispensables, du fait de « la réduction substantielle » de la saison de concerts et de la perte « d’un quart » de son budget de fonctionnement. Mais l’association avait assuré que ces mesures « n’entraînent nullement l’arrêt de la pratique du chant grégorien et de la musique médiévale, ni de leur enseignement ».
Toutefois, l’annonce de ce licenciement a provoqué une vive émotion, tant parmi les chanteurs de la Maîtrise que dans les cercles universitaires, musicaux et médiévistes.
Ainsi, pour « sauver le patrimoine musical de Notre-Dame », un collectif « d’artistes et d’intellectuels » a publié, vendredi 27 décembre dans Le Figaro, une tribune pour demander le maintien de Sylvain Dieudonné.
Depuis plus de vingt-cinq ans
Le travail de ce « musicien érudit et musicologue » à la MSNDP, depuis plus de vingt-cinq ans, « représente un actif patrimonial, culturel et liturgique incomparable », indiquent les auteurs de cette tribune. « Il a mis à jour le patrimoine musical propre à la cathédrale, révélant une authentique école de Paris qui, du XIIe au XVIe siècles, a produit un répertoire d’une très haute valeur musicale. »
Parmi les signataires de cette tribune collective, on compte une dizaine d’intellectuels - dont Jean-Luc Marion et Michel Zink, de l’Académie française, et Anne-Marie Pelletier, théologienne -, quelques religieux - dont Hervé Courau, abbé de Notre-Dame de Triors, et Daniel Saulnier, moine de Solesmes - et une quinzaine de musiciens - Brigitte Lesne, directrice des ensembles Discantus et Alla Francesca ; Nicolas Bucher et Vincent Warnier, organistes ; Raphaël Picazos, professeur de polyphonies médiévales ; Rachid Safi, chanteur ; Dominique Visse, chef de l’ensemble Clément Janequin…
Tous rappellent qu’outre la messe en grégorien tous les dimanches matin (maintenant à Saint-Germain l’Auxerrois), chacun des concerts proposés par le chef de chœur grégorien de la Maîtrise était « un événement », avec instruments anciens restaurés et mise en scène valorisant la cathédrale. « Ils drainaient un public nombreux et fidèle et magnifiaient l’écrin de Notre-Dame. »
« Une décision aberrante »
« A-t-on besoin d’une énième chorale pour produire un Requiem de Mozart ou a-t-on besoin d’une maîtrise de Notre-Dame de Paris ? », interrogent les signataires qui n’hésitent pas à considérer que ce licenciement de Sylvain Dieudonné est « une décision aberrante d’un point de vue patrimonial, culturel et cultuel ».
Ils soulignent que la Maîtrise Notre-Dame de Paris est « une institution rendue possible par le dévouement des enfants et de leurs parents et une équipe professionnelle aujourd’hui humiliée par des décisions brutales ».
Les signataires souhaitent donc « alerter tous ceux qui sont attachés à la vie de la cathédrale, dans ses murs comme hors des murs et ceux pour qui le patrimoine musical médiéval et Renaissance constitue l’un des autres trésors de Notre-Dame ».
Ils demandent à l’archevêque de Paris et au chapitre cathédral de leur « assurer que le diocèse sait quoi faire de la cathédrale malgré l’incendie et l’incertitude créée ».
Du site Aleteia.org :
« Les Deux Papes » : dans le film comme dans la réalité, « tout oppose les deux hommes »
Agnès Pinard Legry | 22 décembre 2019
Réalisé par Fernando Meirelles, le film « Les Deux Papes », actuellement diffusé sur Netflix, imagine une rencontre entre Benoît XVI et le cardinal Bergoglio à l’été 2012, soit un an avant la renonciation de Benoît XVI. « Dans le film comme dans la réalité tout oppose les deux hommes », explique à Aleteia l’historien et journaliste Christophe Dickès. « Il aurait pu sortir de toutes ces différences une grande richesse intellectuelle dans les échanges. Or, il n’en est rien ».
« Les Deux Papes », le film de Fernando Meirelles actuellement diffusé sur la plateforme Netflix, évoque deux destins qui se croisent : alors que le cardinal Bergoglio (joué par Jonathan Pryce) souhaite poser sa démission et se retirer comme simple prêtre dans une paroisse, le pape Benoît XVI (interprété par Anthony Hopkins) lui fait part de sa volonté de renoncer à sa charge et lui demande de prendre sa place. Le film commence en 2005, année de l’élection de Ratzinger et se termine par l’élection de François, en 2013. Le spectateur est introduit dans l’intimité des papes, entre Castel Gandolfo, la résidence d’été du souverain pontife, et bien sûr le Vatican. Le tout est parsemé d’images sur la vie argentine de Jorge Bergoglio. Si, dans la forme, de nombreux éléments sont saisissants (décors somptueux, déroulement du conclave, jeu des acteurs…), « Benoît XVI est caricaturé, quand le futur pape François bénéficie, lui, d’un portrait quasi hagiographique », regrette l’historien et journaliste Christophe Dickès, auteur de plusieurs ouvrages dont Le Vatican, vérités et légendes et L’héritage de Benoît XVI.
De Sim D'Hertefelt sur Kerknet.be :
Admirez l'agneau mystique avant et après restauration - spectaculaire!
Le 17-12-19, la restauration du panneau central de l'Agneau mystique a été présentée à la presse. A admirer du 24-1-20 dans la cathédrale Saint-Bavon à Gand.
Les panneaux intérieurs inférieurs du tableau "l'Adoration de l'Agneau mystique" des frères Van Eyck ont été restaurés dans leur état d'origine. Une équipe internationale d'experts et de restaurateurs y a travaillé pendant 3 ans.
Ils ont habilement enlevé des couches épaisses de vernis jaune-brun et diverses peintures du XVIe siècle. Les panneaux centraux étaient couverts à 50%. Les panneaux extérieurs même pour 70%.
(...) les restaurateurs ont pu faire réapparaître méticuleusement la vision de Van Eyck. Un travail de bénédictin avec un scalpel chirurgical sous un microscope stéréo. L'équipe a fait preuve d'une patience d'ange, explique Ludo Collin , recteur de la cathédrale Saint-Bavon.
Le plus frappant est bien sûr la restauration du visage de l'Agneau. (...) A présent, on voit à nouveau l'Agneau comme Van Eyck l'avait conçu. Quelle différence!
cliquer sur les images
Que disent les frères Van Eyck dans leur peinture L'Adoration de l'agneau mystique?
Allez voir par vous-même
« A la venue de Noël chacun se doit bien réjouir »
en l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132)
le dimanche 22 décembre 2019 à 10h00
MESSE DE CLÔTURE DE TEMPS DE L’AVENT
avec les polyphonies de l’Ensemble « Gaudete »:
et le plain-chant de la schola :
à l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers:
JPSC
___________
Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89. E-mail : sursumcorda@skynet.be.
Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
Faire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement ? Pour aider à la sauvegarde de ce joyau de l’art néo-classique, vous pouvez faire un don fiscalement déductible en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.
Pour en savoir plus sur les enjeux de cette importante opération, cliquez ici : Restauration de l'église du Saint-Sacrement à Liège . L'évêque s'implique. Et vous?
Tous renseignements : Tel. 04 344 10 89.
Tous renseignements:
portable 0470 94 70 05 ou email abbedor@gmail.com
JPSC
Les amoureux du chant grégorien craignent que derrière le licenciement du professeur de musique sacrée médiévale de Notre-Dame de Paris, justifié par des motifs économiques, se cache une volonté de « moderniser » le répertoire de la Maîtrise. De Paul Sugy sur le site web « Figarovox » :
" C’est un mouvement de grève qui n’a pas fait la Une des journaux - et qui n’a pas grand-chose à voir avec l’âge pivot du départ à la retraite. Pour la simple raison que le «régime spécial» qu’il défend est un peu plus vieux que l’invention de la retraite par répartition… Mardi soir, les élèves de la Maîtrise de Notre-Dame de Paris ont refusé d’assurer le traditionnel concert de Noël qui devait avoir lieu en l’église Saint-Sulpice, pour protester contre le licenciement de cinq membres de l’École de musique sacrée.
La Maîtrise de Notre-Dame de Paris, une école de musique sacrée créée en 1991 à l’initiative du diocèse, de la Mairie et du ministère de la Culture, comprend aujourd’hui 160 chanteurs et une trentaine de professeurs. Elle est la gardienne d’un patrimoine musical vieux de 850 ans. Aux XIIe et XIIIe siècle, l’École de Notre-Dame naît avec les perspectives acoustiques nouvelles offertes par l’architecture extraordinaire de la cathédrale flambant neuve. Entre l’an 1160 et 1250, Notre-Dame de Paris devient ainsi le centre d’un rayonnement musical qui atteint bientôt les confins de l’Europe. «Très vite, les procédés des compositeurs de cette «École» seront imités, copiés, chantés dans les grandes églises de France puis dans toute l’Europe. Cette diffusion exceptionnelle pour l’époque s’explique par le génie des créateurs parisiens, au premier rang desquels figurent les fameux Léonin et Pérotin, mais aussi par la renommée et la prépondérance extraordinaire de Paris au début du XIIIe siècle, ville lumière déjà surnommée Mater artium (Mère des Arts), Secunda Athena (Seconde Athènes), Paris expers Paris (Paris sans égal)» résume Antoine Guerber, directeur d’un ensemble musical de chant médiéval et fin connaisseur de cette période.
À Notre-Dame de Paris, le chant polyphonique connaît un premier apogée: une troisième, puis une quatrième voix sont ajoutées à l’organum, le chant sacré grégorien ; et les grands compositeurs de l’époque introduisent peu à peu des éléments de rythme, posant là certaines bases de l’harmonie occidentale. Le travail de Pérotin, l’un des rares compositeurs de l’époque dont on ait gardé la trace, sera poursuivi par ses élèves qui diviseront en trois la maxime, l’unité de mesure de la note musicale. C’est le règne de l’Ars antiqua, période musicale qui verra également naître le motet, une invention médiévale qu’on verra refleurir sous la période baroque puis dans certaines compositions romantiques…
De nombreux élèves dénoncent une altération de l’identité de la Maîtrise.
Mais voilà: gardien de ce patrimoine pluriséculaire, le professeur de musique médiévale Sylvain Dieudonné, dont la connaissance du chant grégorien lui a valu une renommée internationale, s’est vu signifier son licenciement par la direction de la Maîtrise. Aussitôt de nombreux élèves, anciens élèves et professeurs de Notre-Dame de Paris se sont empressés de lui témoigner leur soutien, devant une décision qu’ils qualifient d’abusive et d’injustifiée. Il faut préciser toutefois que la situation financière de la Maîtrise de Notre-Dame est alarmante: depuis l’incendie de la cathédrale, la direction a lancé un appel au mécénat, indiquant que le quart de ses recettes vient à manquer. Une partie des concerts prévus pour la saison a été annulée ; les autres furent maintenus, mais dans d’autres églises, et force est de constater que lorsqu’elle ne se produit plus sous les voûtes de la cathédrale, la Maîtrise peine à réunir un public aussi nombreux qu’auparavant.
Du site de France Catholique :
Une résurrection de l’âme
par Brigitte Fossey*
mercredi 18 décembre 2019
« Un de mes premiers souvenirs de Noël est lorsqu’à 4 ans, avec ma grand-tante et ma grand-mère, à Tourcoing, dans le nord de la France, nous allions faire la tournée des crèches dans les églises de la ville. J’en garde un souvenir extraordinaire, celui d’un voyage, comme si j’avais été en Chine pour visiter les palais des mandarins. à la maison nous avions aussi une crèche magistrale, à plusieurs étages. Mais à l’époque je me demandais pourquoi il y avait plusieurs petits Enfants Jésus, et qui était le vrai. J’ai compris après…
Aujourd’hui, je suis marqué par le magnifique prologue de saint Jean – « Au commencement était le Verbe… » –, et notamment par ces mots : « Et le Verbe s’est fait chair. » Pendant l’Avent, nous attendons avec espérance que le Verbe de Dieu, Celui qui est le chemin, la vérité et la vie, se fasse chair.
Ce n’est pas l’attente de Pâques, mais il y a déjà presque une résurrection de l’âme, du cœur, dans cette espérance. Noël constitue ainsi un axe central de la vie, où l’on se rassemble et se ressource autour de cette immense espérance de la naissance de l’Enfant. Cette unité retrouvée entre les âmes est un peu pour moi une image du paradis… Voilà l’espérance de Noël ! Comme une petite lumière qui s’allume dans le cœur lorsqu’on ferme les yeux !
La philosophe Hannah Arendt, qui n’avait pas d’enfant et qui n’était pas croyante, a parlé du « génie de la religion chrétienne », religion qui affirme qu’« un enfant nous est né » ! Elle s’est inclinée avec toute son intelligence devant cette espérance, de même que les Rois mages se sont inclinés devant l’Enfant Jésus, après avoir suivi l’étoile.
Et d’une certaine manière, les épreuves sont nécessaires pour aller vers cette lumière qu’on espère tellement. Je vois ainsi la vie comme un travail, dans lequel nous sommes des petites graines semées dans la terre, et nous devons « pousser », dans le quotidien. C’est pourquoi je suis frappée par l’humilité de la mère de famille : c’est pour moi la vocation la plus admirable.
Sainte Thérèse de Lisieux, à qui j’ai beaucoup prêté ma voix, affirmait à la fin de sa vie que la mort était pour elle « comme un Noël », car elle allait ainsi retrouver le Christ. C’est un exemple de la foi la plus absolue, malgré la sécheresse qu’elle avait connue, malgré la souffrance de la maladie. »
—
* Actrice
L'ÉDITO DE MGR BENOIST DE SINETY (prêtre, vicaire général du diocèse de Paris en charge de la solidarité, auteur du livre : 'Il faut que des voix s’élèvent' Flammarion 2018)
JEUDI 19 DÉCEMBRE À 7H55
Un documentaire sorti sur France 2 mercredi soir qui retrace l'histoire de Notre-Dame : une prouesse technique mais une inculture crasse
Il s’agit certainement d’une prouesse technique, où l’image 3D amplement utilisée et soutenue par une bande-son qui n’a rien à envier à celle de la série Game of Thrones, retraçait plus de huit siècles d’histoire.
Tout débutait de manière bien sympathique : la figure du premier évêque fondateur, Maurice de Sully, longuement évoqué, nous rassurait d’emblée sur le sérieux de l’entreprise.
Mais un détail aussitôt inquiétait : à la place de l’habituelle croix pectorale, l’évêque bâtisseur se voyait affublé d’un médaillon rond probablement plus proche de l’ordre du temple solaire (on n’ose pas penser à une Loge !) que de la foi en Jésus Christ.
Les minutes du documentaire s’égrènent, agréables comme un dessin animé, les scènes de construction se veulent pédagogiques. La fiction se mêle à l’histoire sans que jamais le commentaire ne juge utile de le signaler... Les personnages de Victor Hugo sont évoqués sans être nommés, au premier rang desquels un prédicateur au visage de Savonarole, un chanoine violeur, une Esméralda blonde... les églises chrétienne du Moyen Âge semblent par ailleurs ne réunir que des moines et des crânes tonsurées...
Comment dès lors prétendre faire œuvre d’Histoire si la légende et les faits avérés sont traités à parts égales, si le romanesque est mêlé au réel ?
Les bâtisseurs nous sont présentés comme des hommes allant « au bout de leurs rêves », de leurs visions, sans que ne soient mentionnées, en aucune manière, ni les raisons de leur entreprise, ni jamais, ô grand jamais, l’idée même que la foi en Jésus-Christ puisse en être l’inspiration, le ressort, et au final la clé de son succès.
Comment le dire en termes choisis : il y en a marre de voir ce que la sécularisation produit comme inculture crasse. Qu’une chaîne publique ait dépensé autant d’argent pour ce qui n’est au bout du compte qu’un Docufiction en pensant faire œuvre d’Histoire laisse pantois.
Qu’on me comprenne bien : je suis aux antipodes d’un réflexe corporatiste ou d’un discours identitaire qui n’ont à mes yeux aucun sens, car ils sont le contraire de ce qu’est l’Évangile.
Mais je réclame simplement et fermement que la vérité soit dite, qu’elle soit montrée, car elle n’est pas simplement une opinion parmi d’autres. La cathédrale Notre-Dame est un fruit de la foi chrétienne. Elle est cela avant toute autre dimension symbolique. C’est faire œuvre d’Histoire, de bon sens, et de sincérité que de le reconnaître.
Oui, il est vraiment temps que dans notre pays, nous soyons les témoins persévérants et fidèles de cette Lumière qui révèles aux sages leur ignorance et aux puissants leur pauvreté. Joyeux Noël à tous !
La chorale Saint-Irénée animera de ses chants grégoriens les vigiles de Noël de 17h45 le 24 décembre en l'église Saint-Jacques-sur-Coudenberg.
La chorale Saint-Irénée animera de ses chants grégoriens la messe de Noël à 11h le 25 décembre en l'église Saint-Jacques-sur-Coudenberg. Ils assureront également l'animation musicale de la messe le 5 janvier 2020 pour l'Epiphanie.
Unique au Monde ! Les Verviétois ont le privilège de vivre dans la seule ville sur terre où se donne, et ce, exclusivement durant deux semaines en décembre, le célèbre Bethléem verviétois que le monde entier nous envie. Depuis 165 ans, chaque année, les marionnettes de ce théâtre atypique s’animent sous vos yeux pour vous faire découvrir la vie à Verviers au 19e siècle, avec comme toile de fond, la naissance de l’Enfant Jésus. Sous les airs wallons d’antan, faites le voyage dans le temps et réappropriez-vous votre patrimoine !
Dates : du 21/12/2019 au 29/12/2019 - tous les jours y compris le 24/12 et le 25/12
Heures : de 14h à 17h00 (dernière séance 16h30) - sans réservation, les groupes seront constitués au fur et à mesure. Une représentation toutes les 30 minutes
Adresse exacte de la manifestation :
Musée d’Archéologie et de Folklore, rue des Raines 42 à Verviers
Prix : 2 € - gratuit pour les moins de 12 ans