L'Ecran propose cette réflexion intitulée "les cas de morale au cinéma":
Avertissement : pour certains cas de morale « limites » cités dans cet article, les auteurs ont voulu laisser s'exprimer les divergences d'opinion. Il ne s'agit évidemment pas de divergences sur les principes de la morale, mais plutôt sur la morale pratique, c'est-à-dire sur l'appréciation des faits qui asseyent le jugement prudentiel.
Si vous êtes plutôt d'accord avec l'un ou avec l'autre, vous pouvez bien entendu poster votre propre avis sur le site http://www.lecran.fr
Ras-le-bol de la morale !
Dans le dernier épisode de Jason Bourne, L'Héritage de Tony Gilroy (2012), l'un des chefs de l'organisation peu sympathique pour laquelle travaille, pour un temps, le héros, déclare à son agent au cours d'une mission pour le moins « pas très propre » : « Nous sommes les « avaleurs de péchés ». Nous sommes chargés d'absorber tous les déchets moraux de cette équation. Notre tâche est absolument injustifiable… et absolument nécessaire ! ».
Bref... Faire le mal pour atteindre le bien. Toute la saga des Jason Bourne (La Mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman, La Mort dans la peau (2004) de Paul Greengrass, etc..) expose de manière intéressante cette idéologie à travers le programme Treadstone de la CIA qui, au nom de la « bonne cause », du « patriotisme » et de la paix mondiale, justifie en catimini toutes les immoralités pour parvenir à ses fins.
Les Etats membres résistent aux pressions pro-IVG