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Débats - Page 639

  • Morale et cinéma

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    L'Ecran propose cette réflexion intitulée "les cas de morale au cinéma":

    Avertissement : pour certains cas de morale « limites » cités dans cet article, les auteurs ont voulu laisser s'exprimer les divergences d'opinion. Il ne s'agit évidemment pas de divergences sur les principes de la morale, mais plutôt sur la morale pratique, c'est-à-dire sur l'appréciation des faits qui asseyent le jugement prudentiel.

    Si vous êtes plutôt d'accord avec l'un ou avec l'autre, vous pouvez bien entendu poster votre propre avis sur le site http://www.lecran.fr

    Ras-le-bol de la morale !

    Dans le dernier épisode de Jason Bourne, L'Héritage de Tony Gilroy (2012), l'un des chefs de l'organisation peu sympathique pour laquelle travaille, pour un temps, le héros, déclare à son agent au cours d'une mission pour le moins « pas très propre » : « Nous sommes les « avaleurs de péchés ». Nous sommes chargés d'absorber tous les déchets moraux de cette équation. Notre tâche est absolument injustifiable… et absolument nécessaire ! ».

    Bref... Faire le mal pour atteindre le bien. Toute la saga des Jason Bourne (La Mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman, La Mort dans la peau (2004) de Paul Greengrass, etc..) expose de manière intéressante cette idéologie à travers le programme Treadstone de la CIA qui, au nom de la « bonne cause », du « patriotisme » et de la paix mondiale, justifie en catimini toutes les immoralités pour parvenir à ses fins.

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  • Un singulier professeur

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    De Jean-Pierre Snyers :

    Un professeur de géographie enseigne à ses élèves que la terre est plate, que le point culminant du monde se situe à la Baraque de Fraiture et que l'Irlande se trouve en Afrique... Le directeur de l'école l'interpelle : « Qu'est-ce que vous racontez là ? Je vous prie d'arrêter ces bobards et d'être conforme au cours que vous devez donner, sinon, C4 ! » Le professeur persiste. : « Pas question, je dis ce que je veux ! ». Pire : il réclame la démission du directeur ! Eh bien, c'est ce que font certains prêtres (dont un que je n'ai pas besoin de citer). Enfin, presque.  Mon histoire n'est pas tout à fait juste. Pourquoi ? Parce que dans le cas de l'Eglise belge, le directeur laisse faire. Pas la moindre remontrance n'est adressée à cet enseignant singulier !...

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • Curé et franc-maçon ou quand La Libre begaie

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    Ce matin, La Libre remet une fois encore le couvert au sujet d'un curé franc-maçon. Elle y tient et on pourrait se demander quelles sont les véritables raisons de cette insistance; qu'on en juge :

    Ce Monsieur espère à présent rencontrer le pape François censé, d'après lui, lui faire bon accueil. Il risque bien d'être déçu car, là comme ailleurs, les positions du pape sont celles du magistère de l'Eglise (rappelées ici : http://www.belgicatho.be/archive/2013/05/28/pourquoi-on-ne-peut-etre-chretien-et-franc-macon.html).

    Affaire à suivre donc et qui pourrait bien se révéler utilement éclairante...

  • Quand Jean-Pierre Snyers interpelle Gabriel Ringlet

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    Notre ami Jean-Pierre Snyers adresse une lettre à cette personnalité phare du "progressisme" belge. Elle est accessible ici : lettre à l'abbé Ringlet (pdf)

    Un extrait siginificatif :

    "... vos idées sont nuisibles, totalement incompréhensibles dans la bouche d'un prêtre « catholique ».  Vous n'êtes pas d'accord ? Dès lors, permettez-moi de vous citer...

    « Le purgatoire est une invention du Moyen Age ». « Saint Paul est le patron de tous les agités chroniques, de tous les m'as-tu vu, m'as-tu entendu ».  Les catholiques qui croient aux dogmes sont des "encorsetés dogmatiques". « La vie après la mort, une question tout à fait secondaire ». « L'Eglise est une belle-mère en total décalage avec le monde et le pape quelqu'un qui n'empêche pas de dormir » Ça, c'est dans votre livre : « L'Evangile d'un libre penseur ». Maintenant, voici ce que vous dites dans « Le Soir » du 20 avril 2010 : « Je regrette le refus d'un véritable débat de fond sur les questions les plus difficiles à savoir : l'ordination des femmes, l'interprétation des dogmes tels que l'infaillibilité, la virginité de Marie, voire le regard qu'on porte sur la divinité du Christ ». Eh oui, même la divinité du Christ (et donc la Trinité) n'y échappe pas.

    Fini ? Non, pas encore. Au sujet de la mort et de l'au-delà (sur le site « Psychologies.be »), vous affirmez : « Ce qui sépare un croyant d'un non-croyant est infime. Il y a parmi nous, vivant aujourd'hui, des gens qui ont déjà franchi le seuil, dont la générosité est telle que cela n'a plus aucun sens de parler de résurrection ». Donc, selon vous, croire que nous retrouverons un jour nos êtres chers ou croire qu'on ne les retrouvera jamais, c'est du pareil au même. Vous dites cela à des parents qui viennent de perdre leur enfant ?  Avouez une bonne fois pour toutes que votre langage n'est pas chrétien ! Ou bien vous avez raison et le Christ et les apôtres nous ont raconté des bobards, ou c'est vous qui dérapez complètement et dans ce cas-là, il est urgent de vous convertir..."

  • Repentir

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    Un billet proposé par notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Assis en face de moi, un curé. Il me tient un langage qui n'est plus catholique. Il me dit que les anges et le purgatoire, la transsubstantiation et l'assomption, bref que les dogmes de son Eglise, c'est de la foutaise. Tout en buvant mon café, je le laisse s'exprimer, réajuster sa cravate en ayant vis à vis de lui une espèce de pitié : celle qu'on éprouve à l'égard d'une homme qui, tombé dans un puits, refuserait la main qui lui est tendue. Seulement voilà, je sais qu'un jour viendra où il se dira : « J'ai raté ma mission ! J'ai été un mauvais prêtre ! Je devais fortifier la foi et j'ai semé le doute ! Je devais m'agenouiller face au tabernacle et je l'ai fait devant le monde ! Je devais célébrer dignement et j'ai trahi la liturgie ! Je devais...je devais..mais mon évêque ne m'a rien dit ! . Hélas, trop tard à présent ! Ah, si je pouvais recommencer ma vie ! Mais d'où je suis, je ne peux que supplier : « De grâce, ne faites pas comme moi ! ».

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • ONU : les Etats membres résistent aux pressions des militants pro-IVG

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes Etats membres résistent aux pressions pro-IVG

    NEW YORK, 16 août (C-FAM - Rebecca Oas) Les pressions se font de plus en plus ressentir à l'ONU, alors que des dates importantes se rapprochent et que certains objectifs à long terme doivent être bientôt atteints. Pour certains, une des questions les plus importantes est l'avenir des droits et de la santé reproductifs et sexuels. C'est aussi pour ça que de plus en plus d'Etats membres expriment leur frustration face aux militants de l'avortement. A la fin d'une conférence récente, certains diplomates se sont plaints que les droits de l'homme soient de plus en plus réduits à la question des droits sexuels et reproductifs.

    « Tout a été conçu en fonction des termes "droits et santé sexuels et reproductifs", objectait un des représentants gouvernementaux. Ce ne sont même pas les termes [de l'accord du Caire], et on les traite comme s'ils l'étaient.»

    La conférence de trois jours, qui se déroulait en juillet aux Pays-Bas, a été organisée pour travailler à la mise-à-jour du langage officiel de l'ONU forgé lors de la conférence du Caire sur la Population et le Développement (ICPD) en 1994. Beaucoup d'intervenants représentaient des organisations qui cherchaient à convaincre les Etats membres d'insérer au langage officiel un droit international à l'avortement.

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  • Pas dangereux ?

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    « Il ne faut pas trop raisonner. L'essentiel c'est de vivre sa foi et pas de chercher à convaincre. D'ailleurs, pour le monde, l'important est de voir la chaleur de nos assemblées, la fraternité et la charité qui y règnent, afin que l'on puisse dire : voyez comme ils s'aiment... » C'est vrai et c'est faux. Vrai, car effectivement, nous devons témoigner de l'amour de Dieu et cela, à travers celui que nous manifestons à notre prochain. Faux car cet « argument » ne suffit absolument pas. Et si on dit qu'il suffit, alors on peut devenir bouddhiste, témoin de Jéhovah, musulman, ou même athée, car chez eux aussi, il y a des gens qui s'aiment et qui sont fraternels ! Croyez-moi, si vous vous contentez de cela, vous n'êtes pas dangereux. Tous les non-chrétiens peuvent dormir tranquillement. Ca, tous les pères apologètes, saint Anselme, saint Thomas, Blaise Pascal et tant d'autres le savaient. C'est pourquoi, ils n'ont pas hésité à payer de leur personne pour démontrer rationnellement que le christianisme tient la route, quitte à pourfendre les hérésies. « Pourfendre les hérésies ? » Oui, c'est un devoir ; une tâche à accomplir sans aucune charité. Les erreurs et toutes les arguties ne méritent que des paires de claques. Pas ceux qui les disent mais ce qu'ils disent, oui. Là, vous devenez dangereux ! Là, le démon commence à trembler ! Car il n'aime pas, mais alors pas du tout que l'on puisse faire comprendre que le christianisme repose sur des bases solides, qu'il est logique d'être croyant et qu'en entendant des arguments bien ficelés, quelqu'un en arrive à la conclusion que le Christ est la Vérité ! Il n'aime pas, et les anti-catholiques n'aiment pas non plus,  mais de cela, je m'en contrefiche !

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • Rome et les Religieuses américaines : toujours des dissensions mais pas de sanctions.

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    Lu sur le site du journal « La Croix » :

    « La ville d’Orlando, en Floride, accueille du mardi 13 au vendredi 17 août 2013 l’Assemblée annuelle de la Conférence des supérieures religieuses des États-Unis, la LCWR, qui représente 80 % des 57 000 religieuses américaines. La réunion se déroule en présence du délégué du Saint-Siège, Mgr Peter Sartain. L’archevêque de Seattle a été chargé de « l’évaluation doctrinale » de la LCWR, une enquête effectuée de 2009 à 2012 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.

    La Congrégation romaine reproche aux religieuses américaines de s’être éloignées du cœur de la vie consacrée,  de la personne du Christ et d’avoir fait appel publiquement à des intervenants éloignés du magistère de l’Église.

    L’enquête apostolique a abouti à un rapport critique demandant une réforme de la LCWR et invitant les religieuses à coopérer pleinement avec les évêques et à obéir au magistère. Les auteurs de l’enquête saluaient le dévouement des religieuses dans les hôpitaux, écoles et institutions caritatives, mais rappelaient que la LCWR devait rester sous la direction du Saint-Siège et ne pas assumer des positions en désaccord avec le magistère de l’Église.

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  • Un appel de catholiques français homosexuels

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    Des catholiques français homosexuels contre la chape de plomb dans l'Eglise et la société (source)

    Nous publions le texte intégral d’une tribune dite de l’Assomption 2013 signée par plusieurs catholiques homosexuels français.

    Un an après la fameuse prière du 15 août, les catholiques homosexuels engagés contre la loi Taubira dans le mouvement social de préservation de la filiation humaine et du mariage Homme/femme en appellent, à la suite des propos aériens du pape François, aux évêques de France pour que cette année, la prière du 15 août, en reconnaissant leur place indispensable dans l'action citoyenne pour que « les enfants et les jeunes cessent d’être les objets des désirs et des conflits des adultes pour bénéficier pleinement de l’amour d’un père et d’une mère », reconnaissent désormais leur juste place dans l'Eglise et la société.

    Texte intégral :

    Que les derniers soient les premiers au cœur-même de l’Eglise !

    Un an après la formidable prière du 15 août 2012 qui a envoyé tant de catholiques, dont une bonne partie d’homosexuels, défendre pacifiquement le mariage et la filiation humaine, l’Eglise de France, à l’instar du pape François, va-t-elle porter dans sa prière d’aujourd’hui ceux sans qui le mouvement historique de cette année n’aurait jamais existé ?

    Nous, fidèles homosexuels, qui donnons notre réputation, notre famille, nos amis pour sauver le mariage et la filiation humaine, serons-nous remerciés en étant enfin justement reconnus par l’Eglise ?

    Aujourd’hui, en la Fête de la Mère de Dieu, catholiques et homosexuels, nous lançons un cri d’appel à nos pasteurs, car nous ne pouvons continuer plus longtemps à supporter le tabou de plomb qui pèse sur l'homosexualité au sein de notre Sainte Église Catholique, et dont les conséquences sont dramatiques pour toute notre société.

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  • Pour François, la femme, dans l'Eglise, est plus importante que les évêques et les prêtres

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    Approfondir le rôle si important de la femmezenit.org (A. Bourdin)

    Paroles du pape François à l'angélus, en la fête de l'Assomption de la Vierge Marie

    Le pape François souhaite que l'on "approfondisse et comprenne de plus en plus, dans toute l’Église, le rôle si grand et si important de la femme ".

    C'est la seconde fois, après son entretien avec les journalistes lors du vol de retour Rio-Rome (28-29 juillet) que le pape aborde la question de la place de la femme dans la société et dans l'Eglise.

    Le pape a en effet évoqué ce jeudi 15 août, lors de l'angélus à Castelgandolfo, le 25e anniversaire de "Mulieris Dignitatem", la lettre apostolique de Jean-Paul II sur la 

    "Dignité de la femme", publiée le 15 août 1988, en l'année mariale, ce qui est une clef d electure importante por le document (cf. mulieris-dignitatem).

    "Je désire rappeler le 25eme anniversaire de la Lettre apostolique Mulieris dignitatem, du bienheureux pape Jean-Paul II, sur la dignité et la vocation de la femme. Ce document est riche de remarques qui méritent d’être reprises et développées ; et à la base de tout cela, se trouve la figure de Marie ; en effet, ce document est sorti à l’occasion de l’Année mariale. Faisons nôtre la prière rédigée à la fin de cette Lettre apostolique (cf. n. 31), afin que, en méditant le mystère biblique de la femme, condensé en Marie, toutes les femmes s’y retrouvent elles-mêmes et y trouvent la plénitude de leur vocation et que l’on approfondisse et comprenne de plus en plus, dans toute l’Église, le rôle si grand et si important de la femme !", a déclaré le pape François.

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  • Questions absurdes

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    Je me souviens d'un professeur qui nous avait posé la question suivante : « Dieu pourrait-il construire une pierre qui soit si lourde qu'il ne pourrait pas la soulever ? »... Si vous répondez « oui », perdu ! S'il ne peut pas la soulever, c'est qu'il est limité. Si vous répondez « non », encore perdu ! S'il ne peut pas la construire, c'est qu'il est limité... Qu'est-ce à dire ? Dieu serait-il limité ? Non, c'est plutôt la question qui est « limitée ». Pourquoi ? Parce que, comme l'écrit saint Anselme, « Dieu est celui que rien ne dépasse ; celui dont on ne peut concevoir de plus grand ». On attrape le vertige ! Vous pourriez mettre dans votre cervelle un tel Etre ? Pas moi ! Donc, la question de départ est absurde. C'est un peu comme si quelqu'un se demandait : « Rouge, est-ce rond ou carré ? » « Combien y a-t-il de kilos dans une minute ? » Aucun sens ! Pas de rapport entre les deux réalités envisagées. Il en est de même à l'égard de Dieu. Si nous avions la moindre idée de ce qu'il est, nous nous éviterions bon nombre d'interrogations inutiles. Qu'est-ce que l'intelligence humaine par rapport au mystère divin ? Rien d'autre que celle d'une fourmi qui essayerait de comprendre le théorème de Pythagore. « Dieu habite une lumière inaccessible », dit la Bible. Et s'il n'était pas venu en son Fils nous révéler qui il est, nous ne pourrions presque rien savoir de lui.

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • A propos d'un curé franc-maçon qui dérange le Vatican

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    “Pascal Vesin, le curé franc-maçon qui dérange le Vatican”

    C’est sur le site de La Libre qu’on peut lire un entretien avec Pascal Vesin, curé de la paroisse Sainte-Anne d'Arly-Montjoie, à Megève, en Haute-Savoie. Il a été démis de ses fonctions par Mgr Yves Boivineau, évêque d'Annecy, en raison de son appartenance à la loge maçonnique du Grand Orient de France.

    La Libre présente ce prêtre comme “atypique”, dont le tort est “d’être franc-maçon tout en exerçant son rôle de curé”.

    Il est pour le moins facile de présenter la situation sous l’angle d’un “retour à l’obscurantisme”, comme l’a fait le grand maître du Grand Orient, José Gulino, qui poursuit: “On peut être prêtre et franc-maçon ; ne pas comprendre cela relève du Moyen-Age” !

    Le site “Le fait religieux” (cf. http://www.fait-religieux.com/), bien informé, fournit certains détails très pertinents en rapport avec cette affaire : 

    L'évêché d'Annecy s'appuie entre autres sur une note datée du 26 novembre 1983 de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, dont la mission est de promouvoir la doctrine de l'Église catholique, et qui précise que “le jugement de l'Église sur les associations maçonniques demeure inchangé... et l'inscription à ces associations reste interdite par l'Église ceci en raison même de l'incompatibilité entre les principes de la franc-maçonnerie et ceux de la foi chrétienne ”. “ Informé en 2010 par courrier anonyme”, l'évêque a interrogé Pascal Vesin “qui a nié selon le communiqué de presse diocésain. “Confondu en 2011, il lui a été demandé de quitter la franc-maçonnerie pour se consacrer à son ministère de prêtre”. Pascal Vesin a alors affirmé son intention “de vivre la double appartenance”. Selon l'évêché, l'intéressé était informé de la sanction encourue.

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