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Europe - Page 206

  • A ne pas manquer : "Les enfants du Goulag" dimanche 29 mai à 21H31 sur France 5

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    Présentation sur le site de France 5.fr

    "Sous le règne de Staline, des centaines de milliers d'enfants ont été arrêtés et déportés au Goulag. Nés d'"ennemis du peuple", ils étaient condamnés pour les crimes supposés de leurs parents et leur détention durait des années.

    D'autres y sont nés, d'histoires d'amour ou à la suite de viols. Eux aussi y sont restés prisonniers, séparés de force de leur mère.

    Après leur libération, beaucoup, parmi les survivants, sont restés sur place, notamment au Kazakhstan où existait un département du goulag destiné aux femmes et aux enfants.

    Ce documentaire part à la rencontre d'anciens détenus... Tous racontent leur histoire, tous racontent l'enfer du Goulag."

    http://documentaires.france5.fr/documentaires/les-enfants-du-goulag

  • Hongrie : substituer l'adoption à l'avortement

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    IVG-Affiche.jpgNous avons, à plusieurs reprises, souligné le "tournant" opéré par la Hongrie qui a promulgué une nouvelle Constitution renouant avec son passé chrétien et promouvant le respect de la vie et de la famille. Une des préoccupations des législateurs hongrois concerne le déclin démographique. Pour freiner celui-ci, la Hongrie tend la main vers les "Hongrois de l'extérieur" mais tente aussi d'enrayer la pratique de l'avortement, notamment grâce à une campagne suggérant aux femmes qui envisagent de recourir à un avortement de lui préférer le choix de l'adoption.

    "Une campagne publique pro-vie a été lancée en mai en Hongrie pour inciter les femmes souhaitant avorter à préférer la solution de l’accouchement sous X, afin de pouvoir confier leur bébé aux services d’adoption.

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  • Avortement : la Pologne condamnée par la CEDH

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    Ce sera bientôt un honneur pour les pays qui ne s'alignent pas sur notre "culture de mort" d'être condamnés par ces instances internationales dévoyées... En atteste ce nouvel épisode auquel Jeanne Smits fait écho :

    "La Cour européenne des droits de l'homme a rendu ce jeudi un jugement de chambre condamnant la Pologne pour ne pas avoir mis une mère de deux enfants, enceinte, en mesure d'avoir accès, en temps et en heure, aux examens génétiques et plus précisément l'amniocentèse qui lui auraient permis d'avorter légalement de son troisième bébé dont la malformation était soupçonnée avant la naissance. Ce jugement susceptible d'appel devant la Grande chambre de la CEDH a estimé Mme R.R. victime de deux violations de la Convention européenne des droits de l'homme : les « traitements inhumains et dégradants » interdits par l'article 3, et le droit au « respect de la vie privée et familiale » affirmée par l'article 8. La preuve ? La petite fille allait naître avec le syndrome de Turner. Mme R.R. obtient à ce stade des dommages et une compensation pour frais de justice équivalents à 60.000 euros...."

    découvrir la suite sur le blog de Jeanne Smits

  • 150e anniversaire : Benoît XVI confie l'Italie à Marie

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    Salus Populi Romani-a.JPG"A l’occasion du 150e anniversaire de l’Unité politique de l’Italie, Benoît XVI a confié la Nation à la prière de la Vierge Marie,« Mater Unitatis ». Au cœur de son message, son souci pour la vie et pour la famille, un appel pour l’emploi, une invitation à l’engagement des catholiques en politique et la construction du « bien commun », en affirmant aussi que «la foi n’est pas aliénation » et la « légitime laïcité de l’Etat »."

    Le pape s’est en effet rendu ce jeudi après-midi, à 17 h 30, à la basilique Sainte-Marie Majeure, pour prier les mystères lumineux du rosaire avec les évêques italiens – qui tiennent leur assemblée générale à Rome -. Le pape a accueilli favorablement l’invitation du président de la conférence épiscopale italienne (CEI), le cardinalAngelo Bagnasco. Des rencontres semblables ont préparé l’événement dans les diocèses, a souligné le pape. L’icône de Marie « Salut du Peuple Romain »,vénérée en cette basilique, a comme présidé elle-même la prière du chapelet et des litanies, qui ont notamment invoqué la Vierge comme « Reine de la famille ».

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  • Tous, des numéros...

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    1936009-foule-anonyme.jpgL'Espagne est décidément bien mal embarquée. Tout le monde se souvient de ce slogan "Je suis un homme, pas un numéro"; et bien, dans ce pays, on veut bel et bien remplacer l'identité par un numéro qui serait attribué à la naissance et désignerait l'individu jusqu'à sa mort :

    "Au moment de l’inscription à l’état civil, chaque enfin devrait recevoir un « numéro de série » (sic) qui sera le sien dans tous ses rapports avec l’Etat et les instances officielles jusqu’à la fin de sa vie. Pas de document pour nommer ses père et mère – pardon, ses géniteurs, l’Espagne a renoncé depuis un bon moment à la version ringarde du couple formé d’un papa et d’une maman, et il ne faudrait pas que les autres se sentent « discriminés ».

    La réforme d’une législation qui date, en gros, de l’Empire romain et exige de noter la filiation de tout nouveau citoyen en regardant d’abord la filiation paternelle, ne correspond à aucune demande populaire, note HazteOir. Il s’agit tout juste de répondre aux exigences de l’idéologie de genre.

    Un professeur de droit, Domingo Bello Janeiro de l’université de La Corogne, observe que la loi met des potentialités de conflit dans ce qui jusqu’à présent était paisiblement réglé par un droit multi-séculaire. Sans compter la difficulté créée par la loi dans la recherche généalogique.

    Le Sénat espagnol n’a pas encore voté la mesure. Des pétitions contraires se font jour. Les gouvernements européens, de quelque bord qu’ils soient, ne sont décidément pas proches des peuples…"

    source : Jeanne Smits sur Chrétienté Info

  • Les attaques contre la religion se multiplient en Espagne

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    Des organismes espagnols révèlent que les violations de la liberté religieuse sont en augmentation dans le pays, parmi eux l’Association civile des avocats chrétiens (AEAC) qui a dénoncé à l’ONU 153 violations depuis 2004.

    Le président de l’Association, Polonia Castellanos, a présenté le 16 mai aux Haut Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’homme, à Genève, un rapport sur les attaques à la liberté religieuse.

    L'AEAC dénonce le gouvernement Zapatero pour « violations réitérées, persistantes et manifestes des droits humains liés à la liberté de religion ou de croyance en Espagne ».

    Parmi ces violations, figurent des attaques à des prêtres, à des images et des églises catholiques, mais aussi des actions comme la fermeture au culte de la basilique Valle de los Caídos par le gouvernement, le 6 avril 2010, des agressions laïcistes dans diverses chapelles universitaires, l’interdiction de faire des processions. Le document signale aussi des manifestations et des spectacles offensifs.

    L’association fait également état dans son rapport d’insultes et de menaces à l’encontre d’évêques, proférées publiquement par des groupes et entités, et une invitation à mettre le feu à la Conférence épiscopale lancée durant une manifestation pro-avortement en septembre 2009.

    Le rapport signale aussi des déclarations offensives de représentants du gouvernement, de politiciens et de personnes recouvrant de hautes charges.

    L’association a demandé à l’ONU d’enquêter sur ces faits et de sanctionner le gouvernement espagnol en cas de responsabilité prouvée.

    Selon l'AEAC, si l’Espagne ne prend pas des mesures contre les croissantes vagues d’attaques laïcistes ou anti-religieuses, c’est son vote à la Commission des droits de l’homme de l’ONU qui pourrait être compromis, mesure qu’elle exhorte à appliquer.

    Le pape lui-même avait soulevé la question de la liberté religieuse en Espagne dans son discours, le 16 mai, à la nouvelle ambassadrice du pays près le Saint-Siège,María Jesús Figa (cf. ZENIT, 17 avril 2011), exprimantsa préoccupation contre certaines formes d'hostilité contre la foi qui tendent à « marginaliser » la religion, voire à la diffamer ou la discriminer. 

    Patricia Navas - Mercredi 25 mai 2011 (ZENIT.org)

  • Quand "Dimanche" devrait s'abstenir...

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    En prévision de la visite pontificale que Benoît XVI effectuera en Croatie les 4 et 5 juin prochains, Louis Mathoux croit très opportun de nous donner, dans "Dimanche" (!) de cette semaine, un portrait au vitriol de l'Eglise croate coupable de bien des maux.

    Il commence par rappeler le sort pénible de la Croatie devenue un pays satellite de l'Allemagne nazie où les Oustachis de Pavelic menèrent, comme chacun sait une politique de franche collaboration avec le régime de Hitler, et notre journaliste-historien d'ajouter : avec la collaboration du cardinal Stepinac. Or, c'est une allégation injuste et diffamatoire à l'encontre de ce prélat béatifié par Jean-Paul II et que Alain Finkielkraut défendait en ces termes (Le Monde, 7/10/1998) lors de sa béatification :

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  • Le gouvernement italien veut combler le vide juridique sur la fin de vie

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    fin_de_vie_Corbis.jpgCombler un vide juridique oui, mais dans un tout autre sens que la loi belge en la matière. Selon Anne Le Nir, la correspondante à Rome du journal « La Croix » le gouvernement italien veut combler le vide juridique sur la fin de vie. Les députés italiens doivent prochainement étudier un projet de loi interdisant l’euthanasie.

    Le texte permettra aux citoyens de renoncer par avance à des thérapies « disproportionnées » en cas de perte de leur capacité de compréhension.

    En Italie, le cas d’Eluana Englaro, tombée dans le coma en 1992 et décédée en 2009, après l’interruption de l’alimentation et l’hydratation artificielles, demandée par son père, a mis au jour un vide législatif en matière de fin de vie.

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  • Quand l'éducation nationale française organise la perversion dans les écoles

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    L'idéologie du genre que nous avons évoquée à plusieurs reprises et particulièrement ICI prétend nier la différenciation naturelle des sexes et y substituer une liberté de choix par l'individu de son orientation sexuelle, indépendamment de sa nature sexuée. Cette idéologie venue des Etats-Unis se répand en Europe et est promue par les lobbies gays, lesbiens et transexuels; elle est sous-jacente aux prises de positions de nombreux partis politiques et est en train de "subvertir" la philosophie des droits de l'homme. Bientôt, défendre la différence sexuelle naturelle sera assimilé à une atteinte aux droits de l'homme et à de l'homophobie.

    Cette idéologie du genre déjà propagée par des centres d'information sexuelle invités dans les écoles est  à présent inscrite dans les programmes scolaires et dans les manuels de l'Hexagone. Il est évident qu'il en ira de même chez nous où nombre d'enseignants puisent leurs informations dans les manuels français et où l'intelligentzia pédagogiste s'aligne sur ce qui se fait Outre-Quiévrain quand elle ne se croit pas obligée de faire de la surenchère.

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  • La solidité de l'unité des peuples européens dépend de leur enracinement chrétien

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    index.jpgSur Radio Vatican : http://www.oecumene.radiovaticana.org/fr1/Articolo.asp?c=489467

    "L’unité des peuples européens sera plus solide si elle est fondée sur leurs racines chrétiennes communes. Benoît XVI a profité de la visite des délégations bulgare et macédonienne, ce lundi matin, pour revenir sur un thème qui lui est cher.

    Emmenées par le président de l’ex-république Yougoslave de Macédoine et par le président du Parlement Bulgare, les deux délégations effectuent leur pèlerinage annuel à Rome à l’occasion de la fête des Saints Cyrille et Méthode, pionniers de l’évangélisation de l’Europe. Dans l’histoire complexe de l’Europe – leur a dit le Pape – le christianisme représente un élément central et déterminant. La foi chrétienne a façonné la culture du vieux Continent et s’est imbriquée de manière indissoluble avec son histoire.

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  • Retour sur la nouvelle constitution hongroise

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    Hungarian-Flag-21Dec1867-1915.gifSous le titre : "La nouvelle Constitution hongroise: une remodelage national basé sur des valeurs traditionnelles", Gregor Puppinck revient sur la nouvelle constitution hongroise en soulignant sa cohérence avec une large partie de l'héritage constitutionnel européen.

    La nouvelle Constitution, adoptée par le Parlement hongrois à une écrasante majorité et promue par le gouvernement de Viktor Orban, a été signée le 25 avril 2011 par M. Pál Schmitt, le Président de la Hongrie.

    Parce que cette nouvelle Constitution a suscité beaucoup de débats en Europe, le Centre Européen de Droit et Justice (ECLJ) a pris l'initiative de procéder à son analyse à la lumière des normes européennes. (Note en anglais disponible ICI). En particulier, le mémorandum a comparé les dispositions controversées du texte à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme et à d'autres constitutions européennes. Cette analyse suggère que la nouvelle loi fondamentale hongroise pourrait surprendre les tenants d'une vision postmoderne de l'Europe. Cependant, le contenu de la nouvelle constitution ne devrait pas être considéré comme innovant en regard de la pratique constitutionnelle européenne.

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  • Zapatero désavoué par l'électorat espagnol

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    ... aux élections municipales. Et cela nous réjouit parce que les socialistes espagnols mènent une politique laïcarde franchement hostile à l'Eglise et aux valeurs fondamentales de respect de la vie et de la famille. Il reste à espérer que les prochaines élections législatives de mars 2012 confirmeront cette tendance.

    "Les socialistes au pouvoir en Espagne ont subi dimanche une très lourde défaite aux élections municipales, sanctionnés pour leur politique d’austérité contre la crise et un chômage record, qui ont déclenché une rébellion sociale inédite à travers le pays. Le Parti socialiste, avec 27,81 % des voix, arrive très loin derrière les conservateurs du Parti populaire (37,58 %), selon des résultats quasi-définitifs."

    "Les socialistes ont perdu Barcelone, la deuxième ville du pays qu’ils contrôlaient depuis 1979 et les premières élections de l’après-franquisme, où ils sont devancés par la coalition nationaliste conservatrice CiU. Ils sont également battus à Séville, la quatrième ville espagnole. Parmi les régions, les socialistes ont perdu l’un de leurs fiefs historiques, la Castille-la-Manche.

    Après ces élections, ils ne pourraient plus gouverner seuls que dans une seule des 17 régions d’Espagne, l’Andalousie. La droite conserve sans surprise Madrid et Valence, la troisième ville du pays."

    (http://www.lesoir.be/)