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Famille - Page 172

  • Ils se marièrent... et après ?

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    1728_ils-se-marierent--et-apres_129786964712607100_002.jpgIls se marièrent... et après ?

    de Élisabeth Content, Bénédicte Lucereau, Valérie Mathieu, Mame/Édifa, 100 % famille, 190 pages

    Vous êtes déçu(e) par votre couple ? Après plusieurs années de mariage, vous ne vous reconnaissez plus ? Vous ne comprenez pas ce qui vous est arrivé ?

    Face aux « pannes », il est possible de trouver les clés qui libéreront l'espérance du couple.

    S'appuyant sur une solide expérience de thérapeutes de couples et à la lumière de la théologie du corps de Jean-Paul II, les auteurs nous livrent dans cet ouvrage un vade-mecum de la relation.

    (Présentation de l'éditeur)

  • Pauvre enfant...

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    "Laurent et Peter, un couple de gays, n'ont pu récupérer leur enfant, conçu par une mère porteuse en Ukraine, qu'au terme d'un pénible et coûteux combat."

    C'est ce que LeSoir nous convie à découvrir

  • La stabilité du couple et le bien des enfants

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    Le climat de notre société n'est guère favorable à l'engagement et à la fidélité. Les enfants en pâtissent affectivement, c'est sûr, mais cela nuit aussi à leur scolarité. Il ne faut pas avoir participé à des centaines de conseils de classe pour s'en apercevoir. On en trouve la confirmation aujourd'hui dans lalibre.be :

    "La moitié des enfants de parents divorcés ont des difficultés d'apprentissage"

    "64% des jeunes dont les parents forment toujours un couple se lancent dans l'enseignement général, contre 10% de moins pour les enfants issus de familles monoparentales..."

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  • Benoît XVI s'adresse aux membres de l'Académie pontificale pour la Vie

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    Vous trouverez ICI et ICI la traduction du texte intégral de cette communication importante qui réaffirme l'immoralité absolue de l'avortement tout en laissant place à la miséricorde et au pardon. Le pape insiste également sur l'importance du sang du cordon ombilical pour son utilisation clinique et pour la recherche.

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  • Le « droit à l’enfant » devant la Cour européenne des droits de l’homme

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    59eacd90-3a20-11de-9ebc-c7aa600474a2.jpgL’ECLJ (European Centre for Law and Justice) intervient en tant que tierce partie avec 7 ONG et 51 parlementaires

    Ce 23 février, la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme a tenu une audience publique dans une affaire relative à la légitimité de l'interdiction de la fécondation in vitro avec tiers donneur, c'est-à-dire avec don d'ovule ou de sperme par une personne étrangère au couple souhaitant avoir un enfant (FIV hétérologue).

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  • Evangile du jour : ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas !

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    Des pharisiens l'abordèrent et pour le mettre à l'épreuve, ils lui demandaient : « Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? » Jésus dit : « Que vous a prescrit Moïse ? » Ils lui répondirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d'établir un acte de répudiation. » Jésus répliqua : « C'est en raison de votre endurcissement qu'il a formulé cette loi. Mais, au commencement de la création, il les fit homme et femme. A cause de cela, l'homme quittera son père et sa mère, il s'attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu'un. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais ils ne font qu'un. Donc, ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas ! » De retour à la maison, les disciples l'interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur répond : « Celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle. Si une femme a renvoyé son mari et en épouse un autre, elle est coupable d'adultère. »(Marc 10,1-12)

  • Dans les environs de Beauraing : la Marche des Mères

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    Dépêche cathobel 24/2/2011 :

    26-27 mars

    Prendre du temps pour soi, pour prier, pour se recentrer sur sa spiritualité, ... Les mères de famille (souvent nombreuse) attendent avec impatience ce week-end qui les rassemble et les nourrit.

    "Autour de toi il a fait sa demeure", tel est le thème choisi pour cette sixième édition.

    Ces deux journées se déroulent en marchant aux alentours de Beauraing. Des temps de prière, de recueillement, mais aussi de partages et de témoignages sont prévus, en alternance.

    Chacune des mamans (ou mamans en devenir) est accueillie avec son vécu, sans obligation particulière de pratique religieuse.

    Dans l'équipe organisatrice, on retrouve la communauté de l'Emmanuel, l'équipe de Rencontres pour Femmes, des membres de la communauté de Tibériade, ainsi que des mères de famille enthousiastes. C'est à Tibériade qu'aura lieu l'envoi sur les chemins, tandis que le week-end se clôturera à Beauraing même.
    Un trajet en bus est assuré, au départ de Bruxelles et Namur.

    Dates : du 26 au 27 mars 2011

    Informations : fc.decaix@gmail.com ou 02.343 87 00 - 0486. 63 35 10 ou 0494. 33 46 63

  • Du visage du Dieu fait homme au visage de l'autre

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    mEp3bqoTGqs63chjYgkry08vo1_500.jpg"Méditer sur le mystère du visage de Dieu et de l'homme est une voie privilégiée qui conduit à la paix. En effet, celle-ci commence par un regard respectueux, qui reconnaît dans le visage de l'autre une personne, quelle que soit la couleur de sa peau, sa nationalité, sa langue, sa religion. Mais qui, sinon Dieu, peut garantir, pour ainsi dire, la « profondeur » du visage de l'homme? En réalité, ce n'est que si nous possédons Dieu dans notre cœur, que nous sommes en mesure de saisir dans le visage de l'autre un frère en humanité, non pas un moyen mais une fin, non pas un rival ou un ennemi, mais un autre moi-même, une facette du mystère infini de l'être humain. Notre perception du monde et, en particulier, de nos semblables, dépend essentiellement de la présence en nous de l'Esprit de Dieu. C'est une sorte de « résonance »: celui qui a le cœur vide, ne perçoit que des images plates, privées d'épaisseur. En revanche, plus nous sommes habités par Dieu, et plus nous sommes également sensibles à sa présence dans ce qui nous entoure: chez toutes les créatures, et en particulier chez les autres hommes, bien que parfois le visage humain lui-même, marqué par la dureté de la vie et du mal, puisse être difficile à apprécier et à accueillir comme épiphanie de Dieu. C'est donc à plus forte raison que, pour nous reconnaître et nous respecter tels que nous sommes réellement, c'est-à-dire des frères, nous avons besoin de nous référer au visage d'un Père commun, qui nous aime tous, malgré nos limites et nos erreurs.

    Dès l'enfance, il est important d'être éduqués au respect de l'autre, même lorsqu'il est différent de nous. L'expérience est désormais toujours plus fréquente de classes scolaires composées d'enfants de plusieurs nationalités, mais même lorsque ce n'est pas la cas, leurs visages sont une prophétie de l'humanité que nous sommes appelés à former: une famille de familles et de peuples. Plus ces enfants sont petits et plus ils suscitent en nous la tendresse et la joie en raison d'une innocence et d'une fraternité qui nous apparaissent évidentes: malgré leurs différences, ils pleurent et rient de la même façon, ils ont les mêmes besoins, ils communiquent spontanément, ils jouent ensemble... Les visage des enfants sont comme un reflet de la vision de Dieu sur le monde. Pourquoi alors faire disparaître leurs sourires? Pourquoi empoisonner leurs cœurs? Malheureusement, l'icône de la Mère de Dieu de la tendresse trouve une réciproque tragique dans les images douloureuses de tant d'enfants et de leurs mères en proie à la guerre et aux violences: personnes déplacées, réfugiés, migrants forcés. Des visages creusés par la faim et les maladies, des visages défigurés par la douleur et par le désespoir. Les visages des petits innocents sont un appel silencieux à notre responsabilité: face à leur condition sans défense, toutes les fausses justifications de la guerre et de la violence s'effondrent. Nous devons simplement nous convertir à des projets de paix, déposer les armes en tous genres et nous engager tous ensemble à construire un monde plus digne de l'homme."

    Benoît XVI, 1er janvier 2010

  • Quand on réduit les enfants à la condition de "produits"

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    par Carlo Bellieni dans la Bussola Quotidiana du 21-02-2011

    Emma-Marrone-FG.jpgCombien de fois ne répète-t-on pas que, malheureusement, les enfants ne sont plus des enfants mais des « objets », et que l’imaginaire de nos adolescents est traversé par le sentiment d’être le résultat d'un « choix », d'un « droit », un « produit ». Une nouvelle preuve, s’il en était besoin, a été donnée par la jeune chanteuse Emma (lauréate aux Amici et deuxième prix au festival de San Remo) dans une interview accordée à « Anno Zero » du 17 février.

    La jeune fille répond à l’interviewer: “Cela fait trop longtemps que je me sens traitée comme un « produit », un produit de la télévision. Je ne suis le produit de personne, je suis le produit de mes parents.” Certes, la jeune chanteuse a voulu exprimer ainsi son affection à l’égard de ses parents, mais ce lapsus est intéressant, comme les mots dont nous usons spontanément révèlent ce que nous avons assimilé. Dans la jeune génération actuelle court ce concept selon lequel: “l’enfant est en soi une sorte d'investissement. Il se définit aussi comme un "produit (de la conception)", "un droit (du couple)".” (Journal of Medicine and the Person, décembre, 2007).

    Ce n’est pas bon signe
    , parce que cela introduit dans l’idée de ce qu’est un enfant une dimension de production, que nous aurions préféré voir appliquer aux véhicules ou aux ordinateurs. Il est vrai qu’en lisant bien cette interview, elle révèle d’autres traits intéressants, ainsi quand elle explique que sa mère “déambulait avec des chaussures déglinguées plutôt que de me laisser aller avec des manuels usagés ”. Et ceci aussi, loin de formuler un jugement sur cette jeune fille ou sur les jeunes en général, en dit long sur la façon dont a évolué le monde des adolescents: à mon époque, acheter des livres usagés n’était pas un déshonneur mais aujourd’hui, il semble que ça le soit. Aujourd’hui, circuler sans avoir le sac à la mode ou les jeans de marque est inconcevable alors qu’avant celui qui pouvait circuler ainsi était l’exception. (...) Et cela ne pèse pas seulement sur le budget des familles, mais c’est devenu un tel impératif profondément ancré dans les foyers qu’on en arrive à faire des sacrifices pour le superflu des enfants, de façon à ce qu’ils puissent « paraître », et parce qu’il ne conviendrait pas qu’ils aient à rougir de se trimballer avec des livres usagés.


    Comme il est clair que le tort fait à cette génération est l’œuvre de la génération précédente, et encore davantage de la génération antérieure, celle de ‘68 qui leur a fait croire que la vie n’a de valeur qu’à certaines conditions, les convainquant d’être des produits qui faute d'être performants seraient le plus souvent bons à renvoyer à l’expéditeur! Tout le reste, y compris la pornographie dans les rapports, n’en est qu’une conséquence. Les médias sont bien peu crédibles quand ils se font aujourd’hui les nouveaux champions de la pudeur et de la décence, sortant subitement de leur sommeil, et faisant comme si l’outrage à la décence n’était pas évident et manifeste depuis tant d’années! Et qu’il soit bien clair qu'il ne s'agit pas le moins du monde d'excuser de quelque façon que ce soit ceux qui défrayent actuellement la chronique.

  • Sur RCF : Ethique et moi : le divorce des parents

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    RCF logo bleuvertEthique et moi : Le divorce des parents ne laisse pas les enfants intacts. Quelle charge repose alors sur leurs pauvres épaules ? Un entretien avec l’Abbé Olivier Bonnewijn, prêtre du Diocèse de Malines-Bruxelles et professeur à l’Institut d’Etudes Théologiques de Bruxelles (I.E.T.) à propos de son dernier livre « Parents au lendemain du divorce » – Une production de l’Institut européen de bioéthique.

    L’interview d’Olivier Bonnewijn accordée à RCF dans le cadre de l’émission « Ethique et moi » sera diffusée :
    Sur RCF Bruxelles 107.6 à quatre reprises, la semaine du 21 février: le lundi à 9h30, le vendredi à 9h30 et 17h04 et le samedi à 9h30. Cette émission est disponible  à ces mêmes heures par internet : www.rcfbruxelles.be
    Elle sera rediffusée également sur RCF Liège et RCF Namur à une date ultérieure mais assez proche.
    Sur RCF Namur : « Question d’éthique » : Mardi 13h30 -  Jeudi 9h -  Dimanche 16h.
    Sur RCF Liège : « Morale sans histoires » : Semaines impaires : Mardi 11h – Mercredi 2h30 (nuit) – Vendredi 1h  – Lundi 3h (nuit).

    P.S. Il est possible de réécouter les émissions de la semaine qui précède, en podcast,  sur le site de RCF: http://www.rcfbruxelles.be/-Emissions-podcastees-.html ou cette émission à partir de la semaine prochaine. L’émission sur CD audio peut être commandée à RCF au prix de 10 euros.
    Institut Européen de Bioéthique, Bruxelles : www.ieb-eib.org

    Info Catho.be

  • Séparation, divorce, remariage... par Mgr Léonard sur "Exultet"

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    Séparation, divorce, remariage...

    Nul n'est exclu, l'Eglise propose un chemin de sainteté pour chacun. C'est là l'expérience pleine d'amour d'un évêque confronté à des situations diverses et douloureuses.

    Intervenant(s) : Mgr André-Mutien Léonard, Belgique  A télécharger sur EXULTET

    Informations pratiques : Format : MP3 64Kbps Mono Taille : 23Mo Durée : 50:16 mn d'écoute. Par: Mgr André-Mutien Léonard  Réf: E001218  

    Produit original: Maria Multi Média AU00954

    Christianisme, spiritualité, religion catholique, louange en mp3

    Exultet utilise le moyen de communication le plus pratique et le plus polyvalent de tous, pour une diffusion large du Christianisme. Les conférences, les témoignages, les enseignements que nous proposons, la louange et la musique sacrée, se veulent à la fois pratiques à télécharger et économiques. Grâce au format Mp3, elles peuvent profiter au plus grand nombre, qu'ils soient de religion catholique ou d'autres églises chrétiennes, ou tout simplement en quête de ressources de spiritualité.
    Car, "En cette période troublée, permettez-moi de demander, comment pouvons-nous être certains que cet instrument merveilleux, d'abord conçu dans le contexte d'opérations militaires puisse à présent servir la cause de la paix ? Peut-il favoriser la culture du dialogue, de la participation, de la solidarité et de la réconciliation sans laquelle la paix ne peut s'épanouir ? L'Eglise pense que oui; et pour être certaine que c'est bien le cas, elle est déterminée à entrer dans ce nouveau forum, armée de l'Evangile du Christ, le Prince de la Paix." Jean-Paul II, (à propos d'Internet. Extrait de son message pour la 36ème Journée mondiale des communications sociales).
  • La famille biologique et naturelle : voilà l'ennemi !

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    C'est ce qui découle des propos tenus par Najat Vallaut Belkacem, secrétaire nationale du parti socialiste français aux questions de société.

    "Pour elle, le progrès scientifique, comme la contraception ou la procréation assistée, ainsi que l’émancipation des volontés individuelles, ont transformé le modèle familial français.

    Aujourd’hui, "le projet familial résulte d’une volonté. C’est ce projet, cet engagement parental irrévocable, qui doit constituer le fondement du droit de la famille", déclare-t-elle. La filiation sociale doit primer sur la filiation biologique car "le parent est celui qui exprime une volonté de l’être, et de subvenir aux besoins matériels et moraux d’un enfant."

    Elle estime que c’est parce que le modèle traditionnel de la famille fondée sur un couple hétérosexuel est "aveugle" aux autres réalités que la législation a interdit l’AMP pour les couples homosexuels et les femmes seules.

    Ce ne sont pas ces nouveaux modes de parentalité qui créent des obstacles à l’épanouissement des enfants, mais au contraire, les lois fixées sur la "vraisemblance biologique" qui les privent de leurs droits et les isolent "en les stigmatisant".

    "De nouvelle formes de vie se sont banalisées", "il revient, aujourd’hui, au législateur de le traduire dans notre droit", afin de convaincre les députés d’élargir la procréation médicalement assistée aux familles homoparentales et aux femmes seules.
    "Il est temps de s’affranchir de cette vison naturaliste de la famille" déclare-t-elle.

    Dans le Monde du 16 février, analysé par Généthique.org