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Famille - Page 168

  • France : "Liberté Politique" mobilise contre l'introduction de l'idéologie du "gender" dans les écoles

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    La Libre annonçait hier dans ses colonnes que "les élèves de Première (équivalent de la 5e secondaire en Belgique) découvriront un nouveau point au programme: la question du genre. Dans un chapitre intitulé "Devenir homme ou femme", les étudiants seront sensibilisés à la question de l'orientation sexuelle." (L'auteur de l'article a intitulé son article : "L'homosexualité, une nouvelle matière enseignée en classe".)

    Effectivement, cette introduction présentée comme étant celle d'un "acquis scientifique" (?!) suscite des réactions, dont celle de Liberté Politique dont nous nous sentons très proches; cette association invite à réagir :

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  • L'Allemagne se dépeuple...

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    C'est dans LaLibre.be :

    "Dans les rues et sur les places allemandes, les enfants et les jeunes se font de plus en plus rares : seul un Allemand sur six a moins de 18 ans. En France, un ressortissant sur cinq est un mineur; en Irlande, la proportion est de un à quatre. Le pays le plus peuplé de l’Union européenne, comptant près de 82 millions d’habitants, est la lanterne rouge pour les enfants.

    Sur les dix dernières années, l’évolution a été dramatique. Selon l’office statistique fédéral, le nombre de mineurs allemands a diminué de 2,1 millions, reculant de 15,2 millions en 2000 à 13,1 millions l’an dernier. Avec 16,5 %, la part des mineurs est la plus basse de l’Union européenne, à opposer à 22,1 % en France et 25,1 % en Irlande. Les deux autres pays les plus mal placés en Europe sont la Bulgarie (16,7 %) et l’Italie (16,9 %)." ...

    "...alors qu’en Allemagne de l’Ouest, où les convictions religieuses sont encore plus fortes, les parents de 79 % des enfants sont mariés; en ex-RDA, en revanche, cela ne vaut que pour 58 % des mineurs."


    Et Madame Merkel croit qu'elle va résoudre le problème en ouvrant des crèches...

    http://www.lalibre.be/actu/international/article/677965/un-vieillissement-qui-interpelle.html

  • Un enfant à tout prix ?

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    Généthique.org relaie les propos de deux spécialistes à propos de l'assistance médicale à la procréation :

    Dans un article intitulé "Le désir d'enfant peut-il aller trop loin ?", le magazine Marie Claire donne la parole à Elisabeth Belghiti, psychologue et membre du Centre d'éthique clinique de l'hôpital Cochin à Paris et à Sophie Marinopoulos, psychanalyste au CHU de Nantes.

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  • Construire la Fête des Familles à Bruxelles

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    SC_CR_2086931824_255ec314e2.jpgNous avons déjà annoncé la première « Fête des Familles » qui se tiendra, à l’initiative de Monseigneur Léonard, sur le site de la Basilique de Koekelberg à Bruxelles, le dimanche 4 septembre 2011, de 15 à 18 heures. Au programme de cette manifestation : conférences et animations festives. A 16 heures, messe avec renouvellement du « oui » conjugal et bénédiction des enfants nés ou à naître.

    Véronique Hargot, coordinatrice des animations lance  un appel aux bonnes volontés associatives et individuelles pour construire le « Village des Familles » : place à votre générosité créative, à vos carnets d’adresses : avec vos cinq pains et vos deux poissons elle vous invite à revivre une vraie page d’Evangile.

    Voici  quelques projets en voie de  concrétisation (liste non exhaustive) avec mention des services à pourvoir :

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  • Ne pas leur voler leur enfance

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    Agoravox publie opportunément ces réflexions intitulées : "Laissons les enfants être des enfants" :

    "Des incidents mettant en scène des adolescents voire des enfants n’ayant même pas atteint cette tranche de vie font de plus en plus la une de l’actualité. Nos enfants veulent grandir vite poussés par une société qui s’inquiète un peu ? Mais qui laisse faire..."

    Lire la suite ici : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/laissons-les-enfants-etre-des-

  • C'est le moment de se rattraper et de consacrer du temps à ses enfants

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    Selon une enquête publiée il y a quelques mois, "les parents belges passent à peine une heure par jour avec leurs enfants, ce qui place la Belgique sous la moyenne mondiale" (étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

    Espérons que le temps des vacances permette à ces parents de consacrer plus de temps à leur progéniture, à moins que, comme cela arrive de plus en plus souvent, chacun s'en aille vivre de son côté et que les vacances passées en famille soient de plus en plus rares...

  • La Communauté Européenne : une belle-mère qui n'aime pas les enfants

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    Lu sur la synthèse de presse de Genethique.org :

    "Le lancement par le Gouvernement hongrois d'une campagne de publicité favorisant l'adoption comme alternative à l'avortement, étant partiellement financée par des fonds européens (cf. Synthèse de presse du 7 juillet 2011), continue de susciter des discussions.

    En effet, en dépit des critiques formulées par la vice-présidente de la commission européenne Viviane Reding, la population et les institutions hongroises ont exprimé leur volonté de soutenir la campagne. L'Association pour le soutien de l'enfant à naître, de l'enfant et de la famille (ALFA) a exprimé notamment l'inquiétude que génère le nombre croissant d'avortements en Hongrie : 447 pour 1000 naissances, comparé par exemple à la Finlande où l'on en compte 172 pour 1000. De plus, il a été rappelé que seulement 17% des 88 millions de florins hongrois (soit 56.529 euros) ont été fournis par l'Union Européenne, alors que la commission européenne menace de faire payer au pays 100 millions de florins.

    Les affiches ont dues être retirées des rues et des métros, aussi plusieurs citoyens hongrois ont comparé ces menaces à "des impositions soviétiques". De nombreux courriers publiés dans les journaux dénoncent ce non respect de la liberté des femmes de considérer l'adoption comme une alternative à l'avortement."

  • L'hypersexualisation des plus jeunes : le CRIOC s'en inquiète

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    Samedi, nous mettions en ligne une note "De notre mieux" suite aux jeux sexuels qui ont contraint une meute de louveteaux à interrompre son camp. D'aucuns nous taxent très certainement de puritanisme et considèrent notre point de vue comme outrancier.

    Or, la Libre publie aujourd'hui un article relatif à cette question, faisant écho à une mise en garde du CRIOC (Centre de recherche et d’information des organisations de consommateurs) qui vient d'y consacrer une étude :

    "L’hypersexualisation apparaît comme un modèle de sexualité réducteur qui s’inspire de stéréotypes dont la pornographie est friande : homme-dominateur et femme-objet séductrice et soumise.

    Le Crioc s’inquiète de l’impact de ce phénomène sur les enfants et les adolescents, qui adoptent des attitudes et des comportements sexuels qui peuvent être considérés comme (trop) précoces. Sans compter qu’au cours du 20e siècle, les modifications des habitudes alimentaires ont avancé de 2 à 3 ans l’âge de la puberté et, partant, les changements physiologiques et psychologiques qui y sont liés."

    Lire la suite de l'article dans la Libre : enfants-et-adolescents-plus-precoces-dans-une-societe-hypersexualisee

    Cette étude peut être téléchargée ici : www.crioc.be

  • Une ère de reniement sans précédent

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    Les affaires de pédophilie dont on reparle à propos de l'Irlande posent la question de la fidélité des prêtres et des religieux aux engagements qu'ils avaient pris, solennellement, devant Dieu, devant leurs supérieurs, et devant l'Eglise toute entière. Depuis le dernier concile, le nombre de défections et de retours à l'état laïc de gens qui avaient consacré leur vie au Christ et à l'Eglise est proprement hallucinant.

    Et que dire des liens du mariage où les consentements échangés, en prenant Dieu et les communautés à témoin, ne pèsent vraiment plus très lourd, quelles que soient les conséquences pour le (la) partenaire que l'on abandonne et pour les enfants condamnés à faire le deuil d'une relation dans laquelle s'enracine pourtant leur existence.

    On pourrait y ajouter les serments prêtés par les enseignants lors de leur engagement, par les officiers lors de leurs promotions, par les médecins qui ont prononcé le serment d'Hippocrate, par les prêtres qui ont prêté le serment anti-moderniste, par les fonctionnaires et les élus lors de leur accession à des postes à responsabilité, etc. "Verba volant", voilà comment se sont évaporées aussi les formules prononcées avec émotion lors des professions de foi ou à l'occasion des promesses scoutes.

    Paroles, paroles, paroles ? Pourtant, une parole d'engagement n'est pas un simple énoncé, comme le fait de constater qu'il fait beau ou que l'euro est en mauvaise posture; c'est proférer des mots qui ont une dimension "performative", qui équivalent à une véritable action résultant de notre détermination, engageant notre être tout entier, corps, coeur et esprit. Renier ces paroles, c'est se renier soi-même, c'est compromettre la confiance que l'on pourra nous faire désormais, c'est détériorer l'estime que les autres et que nous-mêmes pouvons avoir à notre propre égard.

    Si l'on considère que la fidélité à la parole donnée constitue le ciment d'une société, il n'y a guère lieu de s'étonner du degré de délabrement de la nôtre.

    Heureusement que Dieu, Lui, reste fidèle, et d'une miséricorde infinie...

  • Hongrie : succès de la campagne en faveur de l'adoption malgré les injonctions européennes

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    C'est Zenit qui met cette dépêche en ligne : http://www.zenit.org/article-28496?l=french

    "La population et les institutions hongroises, très inquiètes du nombre élevé des interruptions volontaires de grossesses pratiquées dans le pays, ont décidé de soutenir en masse la campagne en faveur de l’adoption lancée par le gouvernement.

    La Hongrie est l’un des pays européens où les interruptions volontaires de grossesses sont les plus pratiquées.

    « Je comprends bien que tu n’es pas prête pour moi, mais je t’en prie : donne-moi en adoption. Fais-moi vivre ». C'est ce que l’on peut lire, sur les affiches collées aux murs avec la photo d’un enfant à naître, et qu’a déploré publiquement la vice-présidente de la commission européenneViviane Reding, cette dernière déclarant que « les Etats membres ne pouvaient utiliser des fonds européens pour des campagnes contre l’avortement » (cf. ZENIT 6 juillet 2011).

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  • "Sexualité, parlons-en!" : une nouvelle chronique dans Famille Chrétienne

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    L'hebdomadaire familial catholique annonce :

    "La sexualité, sa juste place dans le couple, ce qu’elle exprime de l’amour du couple, de l’amour de Dieu mais aussi de nos faiblesses et de nos fragilités : c’est – en très résumé – le sujet d’une nouvelle chronique bi-mensuelle réalisée par Sophie Lutz, auteure de Philippine, la force d’une vie fragile. Nous l’inaugurons cette semaine, alors même que nous fêtons le n° 100 de notre newsletter."

    C'est ici et l'on y découvrira une réflexion sur "l'amour libre"

  • Éloge de la fidélité

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    imagesCAQY1EUO.jpgAbbaye Sainte Madeleine du Barroux (près de Vaison-la-Romaine, dans le Vaucluse), juin 2011 : lettre du Père Abbé Dom Louis-Marie (photo) aux Amis du Monastère, sur le mariage et la fidélité. Le mariage c’est, peut-être aujourd’hui encore, l’état de vie  le plus commun mais, au fond, la lettre vaut pour la conduite à tenir dans tous les états de vie légitimes :

    « Un journaliste demandait un jour à la bienheureuse Mère Teresa : « Qu’est-ce qui ne va pas dans l’Église, aujourd’hui ? – Vous et moi », répondit celle-ci du tac au tac.

    Une autre fois, un interlocuteur lui posa la question piège : « Le sida est-il une punition de Dieu ? » Elle le regarda bien droit dans les yeux, puis lui dit simplement : « Moi, Mère Teresa, je suis une pécheresse. Nous sommes tous pécheurs. Et tous, nous avons besoin de la miséricorde de Dieu. »

    « Il y a un péché que je n’ai jamais eu à confesser, reconnaissait-elle ailleurs, c’est d’avoir jugé quelqu’un. » Elle avait de qui tenir. Quand sa mère entendait l’un de ses enfants se plaindre d’un professeur, elle éteignait la lumière en disant : « Je ne paie pas l’électricité pour des enfants qui parlent mal des autres. »

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