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Eglise - Page 1305

  • Antoine de Padoue

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    santonioviso.jpgBenoît XVI, le 10 février 2010, a consacré son audience générale à la figure de ce grand saint que l'on fête aujourd'hui :

    Chers frères et sœurs,

    Il y a deux semaines, j'ai présenté la figure de saint François d'Assise. Ce matin, je voudrais parler d'un autre saint, appartenant à la première génération des Frères mineurs: Antoine de Padoue ou, comme il est également appelé, de Lisbonne, en référence à sa ville natale. Il s'agit de l'un des saints les plus populaires de toute l'Eglise catholique, vénéré non seulement à Padoue, où s'élève une splendide basilique qui conserve sa dépouille mortelle, mais dans le monde entier. Les images et les statues qui le représentent avec le lys, symbole de sa pureté, ou avec l'Enfant Jésus dans les bras, en souvenir d'une apparition miraculeuse mentionnée par certaines sources littéraires, sont chères aux fidèles.

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  • Nouvelles spéculations sur le gouvernement de François

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    D'après Sandro Magister (Chiesa.Espresso), François "gouverne l'Église comme un général des jésuites. Il écoute, mais il décide tout seul." Le vaticaniste prend ainsi le contre-pied de rumeurs selon lesquelles le pape préfèrerait encourager la collégialité

    Un homme de McKinsey également appelé à étudier la réforme de la curie, que le pape François veut débarrasser de la corruption et du "lobby gay".  Il ne manquait plus qu’un gourou de McKinsey pour élaborer cette réforme de la curie que tout le monde attend du pape François. Eh bien il est arrivé. Il s’appelle Thomas von Mitschke-Collande, il est allemand et il a dirigé la filiale munichoise de la société de conseil en management la plus connue et la plus mystérieuse du monde. En matière d’Église, il connaît bien son affaire. L'année dernière, il a publié un livre au titre peu rassurant : "L’Église veut-elle se supprimer ? Les faits et les analyses d’un consultant en entreprise". Le diocèse de Berlin s’est adressé à lui pour remettre ses comptes d’aplomb et la conférence des évêques d’Allemagne lui a demandé un plan destiné à réduire les coûts et le nombre de personnes employées. L'idée de le faire également travailler à la réforme de la curie romaine est venue à Reinhard Marx, l’archevêque de Munich, l’un des huit cardinaux auxquels le pape Jorge Mario Bergoglio a fait appel pour lui servir de conseillers. La proposition a été adressée à l’intéressé, qui l’a accueillie avec enthousiasme, par le père Hans Langerdörfer, jésuite, qui est le puissant secrétaire de la conférence des évêques d’Allemagne.

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  • Beati pauperes, sed etiam…

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    dom-louis-marie-copie.jpgExtrait de la dernière Lettre du Père Abbé Dom Louis-Marie aux amis de l'abbaye Sainte-Madeleine du Barroux :

    « (…) Bienheureux les doux ! Oui, bienheureux ceux qui agissent en respectant la nature des choses. Ils cherchent l’harmonie entre le ciel et la terre, entre l’âme et le corps, entre l’homme et la femme. Bienheureux celui qui, respectant l’altérité féconde, participe au mystère de l’unité. Bienheureux sont-ils car ils posséderont la terre de leur corps, de leur famille et de leur cité. Maudits au contraire les dictateurs qui forcent la nature à main levée. Qui sème la violence récoltera le chaos.

    Bienheureux ceux qui pleurent l Oui, bienheureux ceux qui voient le mal en face et qui en sont émus jusqu’au fond de leur conscience. Ils sont capables de dire « non » avec force et sont capables de prendre des coups. Bienheureux ceux qui pleurent à cause des gaz lacrymogènes, car ils seront consolés par la suavité de la mission accomplie et par ces paroles de Dieu : « Entre dans la joie de ton Maître l » Maudits les insensibles au bien et au mal, surtout quand il touche les plus petits, car tous les sophismes ne suffiront pas à calmer le feu éternel de leur conscience.

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  • « Il faut purifier la sphère du débat public »

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    Lu dans « La Libre » de ce jour, sous la signature de Guy Haarscher, professeur de philosophie à l’Université libre de Bruxelles (ULB)

     « Les catholiques français qui refusent le mariage pour tous (lequel n'enlève de droits à personne) cachent leurs préjugés sous des apparences démocratiques et libérales.

    Parfois, votre adversaire - celui qui méprise les valeurs que vous défendez - utilise un langage clair. Il emploie le vocabulaire du fascisme, du racisme, du fanatisme religieux. Généralement, l’individu est dangereux, mais au moins ne contamine-t-il pas votre propre pensée. Vous voyez immédiatement qui il est et ce qu’il veut.

    Mais souvent également, l’adversaire juge plus opportun d’utiliser votre propre langage afin d’introduire la confusion et d’apparaître comme un "ami". C’est ce que l’on peut appeler la stratégie du loup dans la bergerie : le prédateur se déguise en mouton, on le laisse entrer sans crainte, et une fois à l’intérieur il se livre au saccage que chacun peut imaginer.

    Les manifestants contre le "mariage pour tous" ont bien sûr leur frange extrémiste, composée de gens qui parlent clair : les nervis de l’extrême droite et le groupe "Civitas", fer de lance de l’intégrisme catholique. Mais ils parlent aussi le langage de la démocratie, et même de la gauche : ils invoquent la "rue" contre une loi au pedigree démocratique impeccable ; ils parlent de "printemps" en référence aux révolutions égyptienne et tunisienne, ils invoquent un nouveau Mai 68. Ils se muent aussi en anthropologues, parlent de la famille nucléaire comme du socle naturel de notre civilisation, désormais en danger. Ils défendent, disent-ils, les droits de l’enfant, menacés par les couples d’homosexuels. Bref, leur intolérance et leur homophobie se dissimulent derrière un langage d’apparence progressiste.

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  • Quand la déchristianisation progresse en Belgique

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    L'ULB a rendu public son rapport sur les religions et la laïcité en Belgique pour 2012. Si l'analyse et ses conclusions reflètent l'orientation bien connue de cette université, les chiffres disent dans leur froide et assez incontestable objectivité le recul du catholicisme dans notre pays. Est manifeste également l'éloignement de plus en plus grand des jeunes générations à l'égard de l'Eglise et leur méconnaissance de sa doctrine et de ses orientations fondamentales. Le fait que les Belges les plus jeunes, pourtant scolarisés en majorité dans l'enseignement libre dit "catholique", disent, à 70% n'entretenir aucun lien avec l'Eglise interpelle tout particulièrement.

    Pour tâcher d'expliquer tout cela, on peut mettre en avant - et le rapport ulbiste ne s'en prive pas - les questions qui ont détérioré le climat entre l'Eglise, les médias et l'opinion publique, en particulier la pédophilie ecclésiastique ou le caractère "déphasé" des prises de position de Mgr Léonard; quant à nous, nous y voyons surtout le résultat de la décomposition d'une société qui vit un processus de décadence accéléré et où la transmission des valeurs et des croyances qui l'ont caractérisée durant des siècles s'est brutalement enrayée. Cela se vérifie tout particulièrement dans l'éclatement de la famille qui a cessé d'être un lieu d'éducation à la foi. (1)

    Cette situation constitue un défi pour les fidèles qui le restent et qui ne peuvent plus se contenter de vivre sur des acquis ni de se reposer sur de confortables piliers institutionnels. S'engager aujourd'hui à la suite du Christ, c'est accepter de le suivre sur les chemins éprouvants où, parmi les défections et les trahisons, il nous a précédés. Et, comme aux pèlerins d'Emmaüs, il nous explique en chemin qu'il nous faut accepter de passer par là si nous voulons le rejoindre dans la lumière de sa Résurrection. "Courage, j'ai vaincu le monde!"

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    (1) Le mariage lui-même (civil) dégringole à une vitesse accélérée : 14% en moins en 5 ans (voir ICI).

  • Quand le pape François aurait évoqué un « lobby gay » au Vatican

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    Jean-Marie Guénois, rédacteur en chef adjoint du « Figaro » commente en ces termes les propos attribués au pape par un site progressiste d’Amérique du Sud :

    «On parle de “lobby gay”, et c'est vrai, il existe.» C'est une phrase choc parce qu'elle touche le Vatican. Mais son impact est considérable parce qu'elle est attribuée au pape François. Toute la question étant de savoir s'il l'a vraiment prononcée…

    Elle est relatée par le site latino-américain de la Théologie de la libération, Reflexion y Liberacion. Ce site, très militant pour la cause progressiste dans l'Église, est sujet à caution. Mais la phrase est extraite d'un compte rendu très précis réalisé par l'un des membres d'une audience officielle que le pape François a accordée, le 6 juin dernier, à un groupe de six représentants de la Confédération latino-américaine des religieux et religieuses (Clar).

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  • Le pape François : une communication à maîtriser ?

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    De Frédéric Mounier dans « La Croix » de ce 11 juin 2013 :

    Il devient difficile de faire la part des choses, à Rome, par les temps qui courent. Le pape parle beaucoup, à tout le monde, selon des modes divers. Comment s’y reconnaître ?

    Du temps de Benoît XVI, tout était, du moins en apparence, simple : le pape parlait peu mais bien, s’exprimant en intellectuel rigoureux face à des publics rares et soigneusement choisis. Tous les textes passaient par les filtres de la Secrétairerie d’Etat, attentive à tout mettre aux normes vaticanes. Quoique… Le discours de Ratisbonne, les déclarations sur le préservatif, les vols répétés de documents sur le bureau du pape ont laissé des séquelles durables. Le P. Lombardi, directeur de la salle de Presse, a ainsi passé des années à manier l’extincteur ou allumer des contre-feux, s’escrimant à rétablir des vérités qu’il ne maîtrisait pas toujours lui-même.

    Avec le pape François, tout a changé. L’homme communique, téléphone, rencontre à tout va. Et il y tient : cela fait partie de son mode de vie habituel, voire de son mode de gouvernement. En contrepartie, le statut de ses interventions est parfois à géométrie variable. Ses homélies matinales à Sainte-Marthe n’ont pas de statut officiel, et si Radio Vatican et « L’Osservatore Romano » en rendent compte quotidiennement, ce n’est pas toujours dans les mêmes termes..

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  • Nouveau buzz médiatique autour d'hypothétiques propos du pape

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    Le pape "aurait reconnu l'existence d'un lobby gay au Vatican". C'est ce qui apparaît à l'heure qu'il est sur tous les sites des médias. C'est l'agence IMedia, spécialisée auprès du Vatican, qui a propagé la nouvelle, se fondant elle-même sur un site catholique "progressiste" d'Amérique Latine. (traduit et commenté sur "Benoît-et-moi")

    Tout compte fait, c'est l'occasion de suivre une nouvelle rumeur, de voir sur quoi elle se fonde, quels ont été exactement les propos tenus, ce que l'on peut en tirer en toute rigueur...

    A priori, sur le fond, nous ne serions pas vraiment étonnés de découvrir la présence de brebis galeuses dans la bergerie tout en nous demandant pourquoi cette situation n'a pas reçu un traitement approprié.

    Et maintenant ? Affaire à suivre...

    Non, I.Media n'a pas révélé l'existence de lobby gay au Vatican !!! I.Media a traduit un article plus global repris ensuite par d'autres...

  • La parole du pape menacée de banalisation ?

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    C'est le cardinal Tauran qui évoque ce danger (ICI) : 

    Interrogé sur le nouveau pape argentin, le cardinal est "frappé" par son insistance sur la miséricorde. "Ce pape nous donne beaucoup d'espérance, dit des choses magnifiques". "Mais il y a le danger de banaliser sa parole, ajoute-t-il, au sujet de la médiatisation des homélies informelles quotidiennes. Jean-Louis Tauran n'oublie pas "cet intellectuel d'une élégance rare" qu'était Joseph Ratzinger : selon lui, le discours de Benoît XVI en 2011 devant le Bundestag (le Parlement allemand) devrait être enseigné dans toutes les facultés de droit du monde.

  • Tout est grâce. Tout.

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    Le Pape François : « L'Evangile doit être annoncé avec simplicité et gratuité »

    source : Radio Vatican

    « Quand nous voulons faire une Eglise riche, l’Eglise vieillit, il n’y a plus de vie ». La gratuité était au cœur de son homélie quotidienne à la Chapelle Sainte-Marthe mardi matin. « L’Evangile est annoncé avec simplicité et gratuité, le témoignage de pauvreté nous empêche de devenir de simples gestionnaires ». 

    « Ne vous procurez pas de l’or, ni de l’argent, dans votre ceinture » : le Pape François est parti de l’exhortation de Jésus lancée aux apôtres pour annoncer le règne de Dieu. Une annonce que le Seigneur « veut simple ». Une simplicité « qui laisse de la place à la parole de Dieu » car, si les apôtres n’avaient pas « confiance dans la parole de Dieu, ils auraient peut-être fait autre chose ». Pour le Pape François, le mot-clé du conseil de Jésus est la gratuité : « vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement ». Tout est grâce, a souligné le Pape, et quand nous voulons agir en délaissant la grâce, l’Evangile n’est plus efficace. »

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  • L'Eglise de France en point de mire

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    Lu sur Radio Vatican :

    Profanation d'églises en France : une atteinte à la liberté de culte

    Des églises ont été vandalisées et profanées en France. Dans la cathédrale Saint-Pierre de Nantes, une partie du chœur ainsi que l’autel le plus ancien ont été défigurés. Selon le préfet de Loire-Atlantique, il y a des inscriptions obscènes, des dessins sataniques, des évocations à caractère nazi, ainsi que de petits bonshommes, style manif pour tous. Une statue a été cassée et des petites moustaches d’Hitler dessinées sur les portraits des anges. 

    La communauté catholique indignée

    La nuit précédente, c’est la cathédrale de Limoges qui avait été visée, l’inscription « droit canonique = sharia », avait été portée au niveau du portail d’entrée. Le ministre français de l’intérieur Manuel Valls a apporté son soutien entier à la communauté catholique dont il comprend et partage l’émotion et l’indignation devant ces actes intolérables de profanation. Les forces de police sont mobilisées pour que les auteurs de ces faits abjects soient déférés à la justice dans les meilleurs délais. Ces actes soulèvent l’indignation dans la communauté catholique, mais l’Eglise ne souhaite pas jeter de l’huile sur le feu. 

    Un messe de réparation

    Samedi, l’évêque de Nantes, Mgr Jean-Paul James, a présidé une prière de réparation dans la cathédrale tout en invitant à ne pas exacerber les tensions : « la liberté religieuse – écrit-il – est aussi notre bien commun. Dans ce climat, les chrétiens doivent refuser d’entrer dans une spirale de la violence. Dans la foi, ils croient que la haine est vaincue par l’amour ». Les Amis de la cathédrale de Nantes ont exprimé leur tristesse. Lieu de recueillement et de paix ouvert à tous, ce sanctuaire a été récemment rénové. Cet acte porte, selon eux, une atteinte grave à la liberté de culte et au respect des croyances.

    Il semble bien que des éléments de la mouvance la plus extrême en faveur du mariage gay soit décidée à faire payer à l'Eglise de France son engagement au sein du mouvement de la Manif pour Tous...

  • Mgr Léonard pour les unions civiles homosexuelles ? Intox

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    Sur son blog, Jeanne Smits confirme ce que nous avions déjà dit sous le « post » : La prudente imprudence du Cardinal Danneels .

    Extrait de la note de Jeanne Smits :

    "Le blog de Sandro Magister évoquait ce matin le cas des quelque six prélats (comme le cardinal émérite Danneels, le cardinal Schönnborn et le cardinal Ruben Salazar de Bogota) qui ont, de diverses manières, approuvé les unions civiles pour les homosexuels.

    Ces prélats, dans la mesure où ils adhèrent vraiment à cette reconnaissance légale des unions homosexuelles, seraient alors en contradiction totale avec le point de vue de l’Eglise sur l’activité homosexuelle, qui est objectivement un péché grave et qui n’ouvre aucun droit civil en tant que telle.

    Le plus apparemment emblématique, parce que réputé plutôt conservateur, des prélats cités est Mgr André-Joseph Léonard de Bruxelles. En précisant tout de même que le porte-parole de celui-ci avait démenti les propos attribués à cet évêque par un quotidien belge. (…) Jeroen Moens a fait une mise au point le 5 juin dernier auprès de LifeSite en assurant qu’il avait bien affirmé que Mgr Léonard « n’est pas homophobe ». « Il n’a aucun problème par rapport aux homosexuels et il n’est pas opposé à un engagement légal », a-t-il précisé à propos de l’évêque, ajoutant que cela n’impliquait pas d’approbation par rapport au comportement homosexuel ni par rapport à  la loi belge sur le « mariage » des homosexuels, de quelque manière que ce soit.

    L’argumentation de l’évêque telle que rapportée par son porte-parole est intéressante : c’est celle qui aurait pu et dû être mise en avant contre le mariage gay et l’union civile fondée sur un pseudo droit né de l’activité sexuelle (alors que naguère c’est le mariage et lui seul qui ouvrait droit à l’union conjugale).

    « Il n’y a rien à redire par rapport aux arrangements civils entre deux personnes en ce qui concerne leur propriété » : « Il est tout à fait permis d’avoir un accord entre n’importe quelles deux personnes. Il ne s’agit ni d’une union civile ni d’un mariage. Tout le monde est libre de trouver un accord quelconque à propos de sa propriété », a précisé Jeroen Moens, en insistant sur le fait qu’il peut s’agir là d’un « engagement entre n’importe quel type de personnes ; ce n’est pas une “relation” et ce n’est pas le mariage. Une tante peut faire un arrangement avec sa nièce, un prêtre peut le faire avec une personne de confiance » en vue de disposer de leur propriété personnelle et d’en organiser l’usage.

    De fait, si les contrats civils n’ont pas de connotation sexuelle et se bornent à rendre possible une transmission d’héritage plus sûre et moins onéreuse, par exemple pour une personne n’ayant ni descendance ni famille, en vue d’assurer l’avenir d’une personne proche avec qui elle aurait partagé des aspects matériels de la vie, il n’y a là aucun problème moral. Le contrat n’est pas signe d’une union et il s’agirait plutôt de rendre possible une solidarité humaine dans un monde éclaté (…)"

    Tout l’article ici : Mgr Léonard pour l’union civile ? Mise au point

    Et c’est très exactement ce que nous avions entendu de la bouche  même de l’actuel archevêque-primat  répondant à une question qui lui fut posée lors d’une conférence donnée à l’Université de Liège le 24 avril dernier,  et dont nous possédons d’ailleurs l’enregistrement. Aucun rapport avec les propos étranges de son prédécesseur, décidément bien bavard depuis l’élection du nouveau pape