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Eglise - Page 1304

  • "Avorter, c'est possible" ou quand les pouvoirs publics initient une campagne pro-avortement

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    Lu sur le site de la RTBF :

    "Avorter, c'est possible", une campagne pour lutter contre les "anti-choix"

    Le ministre de la Cocof en charge de l'Action sociale et de la Famille, Rachid Madrane (PS), a lancé, lundi, à 11 heures, au Planning Marolles, la campagne "Avorter, c'est possible -Où, quand, comment ? ", initiée par le Gacehpa, groupe d'action des centres extrahospitaliers qui pratiquent l'avortement.

    Cette campagne de sensibilisation vise à orienter les femmes vers les bonnes structures et à dénoncer les menaces actuelles sur la loi de 1990 avec le renouveau des mouvements "anti-choix" en Europe.

    Pour sensibiliser les jeunes praticiens, 40 000 cartes postales seront envoyées aux médecins francophones. "Plus de la moitié des 94 praticiens de notre groupe ont plus de 50 ans, remarque Katinka In 'T Zandt, présidente du Gacehpa. Nous avons un problème de relève."

    La présidente du Gacehpa attire par ailleurs l'attention sur certaines pratiques telles que la falsification des datations par certains centres privés pour favoriser la méthode chirurgicale, plus coûteuse. Elle rappelle également que l'avortement est remboursé par les mutuelles et qu'il peut être fait par voie médicamenteuse sous les 8 semaines. Environ 20 000 avortements sont signalés chaque année en Belgique.

    "Ce droit est régulièrement remis en cause, s'inquiète Rachid Madrane en énumérant l'Irlande, Chypre, Malte, la Pologne et la Hongrie. Il ne faudrait pas que notre pays, l'un des pionniers en la matière, fasse marche arrière." Il avance que l'interdiction ne fait pas baisser le nombre d'avortements, mais augmente le taux de mortalité, la moyenne passant 0,2-1,2 à 330 pour 100 000 avortements.

  • Les 77 ans du pape François

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    Le Pape François fête ce mardi ses 77 ans (Radio Vatican)


    Ce mardi 17 décembre, le Pape François fêtera ses 77 ans. Né en 1936 à Buenos Aires, en Argentine, ce fils d’immigrés italiens a été Provincial des Jésuites d’Argentine, professeur, recteur, curé de paroisse, archevêque de Buenos Aires puis président de la Conférence Episcopale d'Argentine ; il est devenu Pape le 13 mars 2013. Sa fraîcheur dans la simplicité évangélique, ses nombreux gestes inédits et son style de gouvernance inattendus suscitent l’enthousiasme. Sa vision de l’Eglise, il l’a dévoilée au fil des mois, sans rien abandonner de l’Evangile.

    Son 77ème anniversaire, le Saint-Père l’a fêté avec deux jours d’avance samedi avec les bénévoles et des enfants de l'Institut Sainte-Marthe du Vatican qui lui ont réservé un accueil particulièrement chaleureux. Depuis son élection le 13 mars dernier, cet homme simple, joyeux, accessible, fascine le monde entier; son action, guidée par la compassion et par un attachement indéfectible au message du Christ, est depuis toujours entièrement tournée vers les plus pauvres, les blessés sociaux, vers ceux que le monde considère comme insignifiants ou qui sont défigurés par la misère. L’amour de Dieu et du prochain, le don de soi et la prière, la fraternité et la solidarité sont ses maîtres mots. L’exigence évangélique, la justice sociale et la non-violence sont les piliers de sa pastorale. 

    Un homme qui incarne le renouvellement de l'Eglise

    Selon ses biographes et les témoignages de ses proches, cette personnalité plus complexe qu’il n’y paraît, a pourtant connu autant de succès que de traversées du désert : pendant la dictature militaire, en Argentine ; au sein de la Compagnie de Jésus à laquelle il appartient ; dans ses rapports avec le pouvoir politique. Mais depuis des mois, cet homme étonnant, qui a choisi très tôt de devenir médecin des âmes, s’efforce de guider la barque de Pierre dans le monde postmoderne, et de l’assainir sur le chemin de sa renaissance. Ce Pape, qui prend du temps pour discerner, veut renforcer la synodalité d’une Eglise qu’il voudrait plus missionnaire. Il a créé de nombreux groupes et commissions consultatives pour optimiser et moderniser le gouvernement de l’Eglise. Des réformes importantes sont attendues, dont un remodelage de la Curie. Neuf mois après son élection, le pape Bergoglio incarne ainsi le renouvellement et la purification de l’Église. 

    Le pape François a touché les cœurs et les esprits de millions de personnes sur tous les continents et au sein de cultures éloignées du catholicisme. Au fil de ses homélies quotidiennes, il aide les fidèles, avec exigence et tendresse, à suivre Jésus et à porter l’espérance au monde. Il est aujourd’hui considéré comme l'une des personnalités les plus marquantes de la planète. Le vent de réforme qu’il a fait souffler sur l’Eglise enthousiasme les uns ou bouscule les autres mais il ne laisse personne indifférent.

  • Ne désacralisons pas nos églises !

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  • Femmes, divorcés, marxisme, oecuménisme, curie romaine...; le pape se livre dans un nouvel entretien où il évoque des sujets d'actualité

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    Le Pape François se livre dans un nouvel entretien

    2013-12-15 Radio Vatican

    Le Pape François nous a offert ce dimanche un nouvel entretien surprise avec un journaliste, Andrea Tornielli, dans les colonnes du quotidien italien La Stampa. Le Pape y aborde tour à tour le sens de la fête de Noel, le futur voyage en Terre Sainte, les enfants malades et la faim dans le monde, le marxisme, l’unité des chrétiens, la réforme de la papauté et la Curie, le cardinalat des femmes, la transparence financière du Vatican, mais aussi les divorcés remariés.

    « Nous ne pouvons penser à Noel sans penser à la Terre Sainte » , déclare le Pape. « Il y a 50 ans Paul VI a eu le courage de sortir pour se rendre là et c’est ainsi que commença l’époque des voyages des Papes. Moi aussi je désire m’y rendre » Et d’ajouter : « Nous nous y préparons ». Le Pape confirme aussi son « désir de rencontrer mon frère Bartholomée, patriarche de Constantinople, pour commémorer avec lui cet anniversaire en renouvelant l’étreinte entre Paul VI et Athénagoras de 1964 à Jérusalem ». Le Pape précise que « Noël nous fait toujours penser à Bethléem et que Bethléem se trouve à un endroit précis, la Terre Sainte, où a vécu Jésus. » « Durant la nuit de Noel, je pense surtout aux chrétiens qui vivent là, à ceux qui sont dans la difficulté, à tous ceux qui ont été contraints pour divers problèmes à quitter cette terre. Mais Bethléem continue d’être Bethléem : Dieu est venu à un endroit précis, sur une terre précise ; c’est là qu’est apparue la tendresse de Dieu, la grâce de Dieu ».

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  • Eglise des Pays-Bas : quand des laïcs montent au créneau

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    Du site "Benoît-et-moi" :

    Un manifeste inhabituel

    C’est celui de laïcs néerlandais qui s’adressent au pape… mais, pour une fois, pas pour réclamer le sacerdoce féminin, ou le mariage des prêtres, ou la communion aux divorcés remariés. Un article de JL Restàn, traduit par Carlota (15/12/2013)

    A LIRE AUSSI

    http://www.cath.ch  : Le 2 décembre, le pape François recevait les évêques des sept diocèses des Pays-Bas, emmenés par l’archevêque d’Utrecht, le cardinal Willem Jacobus Eijk.

    Le pontife a exprimé, dans un message, sa reconnaissance pour le service du Christ et de l’Evangile qu’ils accomplissent, et cela «dans des circonstances souvent rudes». Le pape a cependant invité les évêques à reconnaître, dans leurs propres diocèses, les «signes de la présence active du Seigneur».

    Le pontife a probablement ainsi répondu aux laïcs hollandais qui lui ont fait parvenir, avant cette visite, un contre-rapport dénonçant le pessimisme de leurs évêques et leur trop grande propension à fermer des paroisses, par dizaines dans le pays. Dans ce manifeste, les signataires indiquent que la foi catholique, la culture, son patrimoine et son héritage «sont menacés d’être perdus pour toujours». Ils reprochent également aux évêques leur réticence à s’exprimer en public.    

    Carlota : Voici un texte de José Luis Restán qui concerne les Pays Bas. Nous sommes évidemment dans la même situation et finalement si le pape parle de dialogue, l’initiative des laïcs hollandais, ne pourrait-il pas, à bon escient, faire école… car nous aussi, malgré nos bonnes volontés et nos veilles et marches sur le terrain, nous avons besoin d’avoir avec nous nos évêques, tous nos évêques, avec leur savoir, leur intelligence, leur spécificité d’évêques, de bergers qui gardent et guident.

    Original ici: www.paginasdigital.es 

    UN MANIFESTE INHABITUEL - José Luis Restán - 12 -12- 2013

    Parmi les tâches qui attendent le pape François se trouve celle de recevoir les évêques du monde entier pour partager leurs problèmes, proposer de nouveaux chemins et rénover la passion missionnaire. En définitive il s’agit de « confirmer dans la foi », comme Jésus a chargé l’apôtre Pierre de le faire. Cette communion avec Pierre est un besoin vital et non une simple question d’organisation et c’est ainsi que s’explique que tout pape doit passer beaucoup de temps, de sagesse et de patience à ces rencontres dénommées du terme technique de « visita ad limina ».

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  • Troisième dimanche de l’Avent : « Gaudete »

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    Chasuble-rose.jpgAntienne ad introïtum missae (phil. 4, 4-6) : Gaudete in Domino semper : iterum dico, gaudete. Modestia vestra nota sit omnibus hominibus : Dominus enim prope est. Nihil solliciti sitis : sed in omni oratione petitiones vestrae innotescant apud Deum (Soyez toujours joyeux dans le Seigneur : je vous le répète, soyez joyeux. Que votre sérénité soit remarquée par tous les hommes, car le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien, mais qu’en toute prière vos besoins se fassent connaître auprès de Dieu)

    Le dimanche rose C’est un dimanche de joie pendant l’Avent. Comme des enfants qui attendent impatiemment l’Enfant-Jésus, nous ne pouvons plus maîtriser la joie que nous cause la venue du Seigneur ; ce sentiment de joie nous domine. Cette joie est comme une joie de Noël anticipée. La couleur liturgique est au lieu de violet, le rose. Le rose est une atténuation du violet, il tient par conséquent le milieu entre la couleur de la pénitence et celle de la joie ; il signifie une joie modérée, une joie anticipée. On peut, aujourd’hui, à la différence des autres dimanches de l’Avent, orner l’autel de fleurs et les orgues se font entendre. A la grand’messe, le diacre et le sous-diacre portent la dalmatique et la tunique.

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  • Mgr Léonard sur KTO

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    LA VIE DES DIOCèSES sur KTO

    Mgr André-Joseph Léonard - Diocèse de Malines-Bruxelles Diffusé le 13/12/2013 / Durée 29 mn

    Hors-série avec Mgr André-Joseph Léonard. L'archevêque de Malines-Bruxelles a repris ses visites pastorales dans les doyennés pour encourager les chrétiens. Dans une Eglise encore forte de ses institutions et de moyens mais grignotée par la perte de la foi, comment raviver la flamme ? Mgr Léonard, souvent contesté, ne perd pas pour autant sa vigueur évangélique. L'un de ses premiers soucis : les prêtres, les vocations sacerdotales et la formation au séminaire. Mais aussi, quel engagement des chrétiens dans la société ? Quelle contribution au débat actuel sur l'élargissement de l'euthanasie aux personnes mineures et déficientes psychiques ? Un entretien réalisé en Belgique.

  • Quand Noël supplante Pâques

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    Une réflexion de Jean-Michel Castaing sur Liberté Politique

    Un signe des temps : Pâques supplanté par Noël

    Noël reste, de très loin, la fête chrétienne la plus populaire, la plus aimée. Qui s'en plaindrait ? Cependant, cette prédilection est-elle un signe de bonne santé spirituelle ? Au risque de  jouer les trouble-fête, il est permis d'en douter.

    EXPLIQUONS-NOUS. En donnant la priorité, dans son affection, à la Nativité au détriment de Pâques, l'opinion la lui accorde également dans sa « théologie », aussi sommaire que soit cette dernière. Si un sondage interrogeait les Français sur l'événement liturgique le plus important du christianisme, il y a de fortes chances en effet que la Nativité soit désignée comme le sommet des célébrations de la religion initiée par le Christ.

    Or, il n'en est rien. C'est Pâques qui constitue le moment décisif de l'année liturgique, le centre autour duquel gravitent toutes les autres fêtes, Noël, l'Assomption ou la Toussaint. Malheureusement, cette donnée fondamentale de la foi n'est plus intégrée par la majorité de la population. Dans son esprit, Noël a pris la place de Pâques. Plusieurs raisons expliquent cette éviction. Je ne m'attarderai pas ici à les énumérer toutes. Je me pencherai plutôt sur ce dont cette éviction de Pâques est le signe en ce qui regarde la compréhension du christianisme par une bonne partie de l'opinion, et ce que nous pouvons en conclure relativement à la santé spirituelle de nos contemporains.

    Une société qui ne marche plus qu’à l'affectif : « je like » ou « je like pas »

    Tout d'abord, en faisant passer Noël avant Pâques dans l'ordre d'importance des célébrations, nos pays sécularisés font déjà l'économie du carême ! Sans doute ignorent-ils que l'Avent reste pour les chrétiens orthodoxes une rude période de jeûne. Mais pourquoi leur demander de connaître la tradition des autres alors qu'ils ignorent la leur ? Toujours est-il que dans l'esprit de beaucoup de personnes, se préparer à Noël est moins ardu que faire place nette dans son esprit à la mort et la résurrection de Jésus.

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  • Liturgie : une valeur refuge

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    Un responsable de  mon « unité pastorale » (c’est comme cela qu’on nomme une nouvelle superstructure chapeautant aujourd’hui les paroisses) cherche à comprendre pourquoi  certains fidèles et,  ajoute-t-il , des prêtres sont ainsi attachés à la célébration des sacrements selon l’ancienne liturgie. Pour répondre (en partie du moins) à sa question, je ne puis mieux faire que reproduire cette citation de Joseph Ratzinger que publie le site « Pro Liturgia » :   

    « (...) Il y a différentes raisons qui peuvent avoir conduit beaucoup de personnes à chercher un refuge dans l’ancienne liturgieUne première, importante, me semble être que dans l’ancienne liturgie ils trouvent conservée la dignité du sacré.  A la suite du Concile, beaucoup ont conçu - presque comme un programme - la « désacralisation », en expliquant que le Nouveau Testament avait aboli le culte du temple : le rideau du temple déchiré au moment de la mort du Christ signifierait, d'après eux, la fin du sacré. La mort de Jésus, hors des murs de la ville, c’est-à-dire dans le domaine public, est dorénavant le culte véritable. Le culte, s’il existe, se réalise dans la non-sacralité de la vie ordinaire, dans l’amour vécu. Portés par ces raisonnements, les ornements liturgiques ont été écartés, les églises ont été dépouillées à l’extrême de la splendeur qui rappelle le sacré. Et la liturgie a été réduite, autant que possible, au langage et aux gestes de la vie ordinaire, par des salutations et des signes d’amitié et des choses semblables.  Cependant, avec ces théories et la praxis qui s’en suit, on méconnaissait complètement l’union entre l’Ancien et le Nouveau Testament : on avait oublié que ce monde n’est pas encore le Royaume de Dieu et que le « Saint de Dieu » (Jn 6, 69) continue d’être en contradiction avec le monde ; que nous avons besoin de la purification pour nous approcher de Lui ; que ce qui est profane, même après la mort et la résurrection du Christ, n’est pas devenu saint. Le Ressuscité est apparu seulement à ceux qui ont laissé leur cœur s’ouvrir à Lui. Lui qui est Saint, Il ne s'est pas manifesté à tout le monde. Ainsi s’est ouvert un nouvel espace pour le culte, auquel nous sommes maintenant rattachés ; c’est le culte qui consiste à s’approcher de la communauté du Ressuscité, aux pieds duquel se sont prosternées les saintes femmes pour l’adorer (Mt 28, 9). Je ne veux pas maintenant développer davantage ce point, mais seulement en tirer une conclusion : nous devons conserver la dimension du sacré dans la liturgie. La liturgie n'est pas une festivité, ce n'est pas une réunion agréable. Cela n'a vraiment aucune importance que le curé réussisse à développer des idées attirantes ou des élucubrations imaginaires.

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  • Liège : un séminaire sur le chant vieux romain avec Marcel Pérès

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    Du vendredi 20 décembre (17h00) au dimanche 22 décembre prochains (même heure), l’abbaye des Bénédictines de Liège (Bd d’Avroy, 54) accueille l’un des meilleurs spécialistes du chant médiéval : Marcel Pérès, directeur de l’Ensemble vocal « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes) fondé en en 2001 à l’abbaye historique de Moissac (Midi-Pyrénées )

    Durant ce week-end, Marcel Pérès animera pour tous les amateurs du répertoire de l’antiquité tardive et du haut moyen âge, une session consacrée à l’une des sources de la composition des mélodies grégoriennes : le chant vieux romain.

    Redécouvert il y a plus d’un siècle, le chant vieux-romain n’a toujours pas reçu toute l’attention qu’il mérite, sa connaissance est pourtant essentielle pour comprendre l’histoire du chant grégorien, de sa notation et de sa pratique.

    Beaucoup de questions sur l’interprétation du chant grégorien trouvent des éléments de réponse dans ce chant de Rome. En dehors de certains cercles  musicologiques extrêmement restreints, ce répertoire est aujourd’hui inconnu des musiciens, des ecclésiastiques et du public. Pourtant il nous livre la plus ancienne version de la musique gréco-latine de l’antiquité tardive et représente le chaînon manquant entre le chant byzantin, le chant copte, le chant syriaque, la musique arabe et la musique occidentale.

    Marcel Pérès

    Cette session n’et pas réservée aux seuls spécialistes : elle est aussi ouverte à tous les amoureux du chant et aux esprits férus d’histoire de la musique ou de culture musicale.

     Renseignements : Académie  de  Chant  grégorien à Liège

    Secrétariat : Jean-Paul Schyns,  Quai Churchill , 42/7  4020  Liège

    E-mail : jpschyns@skynet.be Tél. +32 4.344.10.89 

    Site :    http://www.gregorien.com

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  • La lettre d'information de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon (décembre 2013)

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    Tous les mois, La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon propose un regard d'Eglise sur les grandes questions de société. Faites-la découvrir à vos amis !

    Tous consommateurs ! P. Louis-Marie Guitton

    Plongée en écologie profonde - Falk van Gaver

    Relever le défi éducatif - Pierre-Olivier Arduin

    La baisse du prix de l'eau : une politique démagogique  - Philippe Conte

    Plus forts que Nelson - La Mouche du Coche

    Retrouvez tous les articles de La Lettre de l'Observatoire sociopolitique sur placedeleglise.fr

    Bonne lecture !

    La Lettre de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon (OSP) paraît tous les mois.

    Direction : Père Louis-Marie Guitton - Rédaction : Falk van Gaver

    Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon

    CS 30518 - 68, impasse Beaulieu F-83041 TOULON CEDEX 9

    observatoire@diocese-frejus-toulon.com - 04 94 27 92 60

  • Quand Jorge Mario Bergoglio, un 13 décembre, était ordonné prêtre

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    Lu sur aleteia.org :

    Le 13 décembre de 1969, Jorge Mario Bergoglio, trois jours avant son trente-troisième anniversaire, a été ordonné prêtre. Il fête aujourd’hui ses 44 ans de sacerdoce.

    Quelques jours plus tôt, excité et heureux, il a écrit une prière spéciale, qui reflète son état d’âme ces jours-là:

    Je veux croire en Dieu Père, qui m'aime comme un fils, et en Jésus, le Seigneur, qui a insufflé son esprit dans ma vie pour me faire sourire et me conduire ainsi au royaume  de la Vie éternelle.

    Je crois en mon histoire, traversée  par le regard d'amour de Dieu qui, en cette journée de printemps, le 21 Septembre, est venu à ma rencontre pour m’inviter à le suivre.

    Je crois en ma souffrance, stérile du fait de l'égoïsme, qui est mon refuge.

    Je crois en la petitesse de mon âme, qui cherche à dévorer sans donner ... sans donner. 

    Je crois que les autres sont bons et que je dois les aimer sans crainte et sans jamais les trahir en cherchant une sécurité pour moi.

    Je crois en la vie religieuse.

    Je crois que je veux aimer beaucoup.

    Je crois en la mort quotidienne, brûlante, que je fuis, mais qui me sourit, m’invitant à l’accepter. 

    Je crois dans la patience de Dieu, accueillante, bonne  comme une nuit d'été.

    Je crois que papa est au ciel, avec le Seigneur.

    Je crois que le père Duarte [le prêtre qui l’a confessé le 21 septembre] est là-haut, intercédant pour mon sacerdoce.

    Je crois en Marie, ma Mère, qui m'aime et ne me laissera  jamais seul. 

    Et j’attends la surprise de chaque journée, dans laquelle se manifesteront l’amour, la force, la trahison et le péché, qui m’accompagneront toujours jusqu’à la rencontre finale avec ce visage merveilleux  que je ne sais pas comment il est, que je fuis sans cesse, mais que je veux  connaître et aimer.

    Amen.