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Eglise - Page 1307

  • L'Eglise catholique, un modèle pour échapper aux dérives de la mondialisation

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    L’Eglise catholique un modèle pour éviter une mondialisation qui entend imposer « une pensée unique » économique aux allures de « colonialisme ».

    De RadinRue, par enka

    L’Eglise catholique peut servir de modèle pour éviter une mondialisation qui entend imposer « une pensée unique » économique aux allures de « colonialisme ». C’est ce qu’a affirmé Mgr Pietro Parolin, nouveau secrétaire d’Etat du Saint-Siège, lors de la présentation à Rome d’un ouvrage du cardinal hondurien Oscar Andrés Rodriguez Maradiaga, dans la soirée de mercredi.

    Dans le domaine économique, a soutenu Mgr Parolin, il convient de « mettre la personne au centre », plutôt que de favoriser « la centralité de la loi du gain et du profit ». Intervenant lors de la présentation d’un ouvrage du cardinal Maradiaga « Entre éthique et entreprise, la personne au centre », Mgr Parolin a assuré, comme le pape François, que « c’est le travail qui donne à l’homme sa dignité ».

    « Pour une promotion authentique des personnes, l’entreprise ne doit pas seulement regarder les bénéfices, mais voir de quelle façon et à quel point le travail de l’employé est promu et protégé », a expliqué le secrétaire d’Etat. Le ‘numéro deux’ du Vatican a précisé que l’Eglise avait « la responsabilité de communiquer l’espérance et la joie qui proviennent de l’Evangile », rappelant que « l’Eglise, parce qu’elle est catholique, universelle depuis ses origines, est la plus ancienne des institutions mondialisées » . Et le prélat de préciser qu’y « coexistent diverses traditions liturgiques et de multiples approches pastorales ».

    Contre une visée monolithique

    Mgr Pietro Parolin a assuré que « la mondialisation actuelle pourrait apprendre de la catholicité de l’Eglise le respect des peuples et de leurs différences et ne pas poursuivre une visée monolithique de mise à niveau de tous sur une pensée unique de nature seulement économique, très proche d’un nouveau type de colonialisme ».

     

  • La communion des divorcés remariés

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    De Patrick Kéchichian, écrivain et journaliste, dans le journal « La Croix » (extraits) :

    « La question de l’accès au sacrement de l’Eucharistie pour les divorcés remariés revient régulièrement et bruyamment sur le devant de la scène. La blessure et la frustration subjectivement ressenties par certains fidèles – dont ce n’est évidemment pas la sincérité qui doit être mise en doute – se transforment alors en plainte, et la plainte en revendication. Puis le ton monte. On n’écoute plus, tant il devient urgent de parler soi-même. On oublie de penser sa foi, on se contente de l’éprouver comme un sentiment – un sentiment qui, dès lors, commande la pensée. (…)

    Tout jugement qui veut s’approcher de la vérité doit s’élever de la sphère de l’opinion à celle de la pensée. Or, il faut aller sans attendre au noyau de la question, appeler un chat un chat et un sacrement un sacrement. Que désigne ce mot ? Un rapport étroit, indissoluble justement, entre, d’une part, un geste, une parole liturgiques et, d’autre part, l’économie du salut, contenue et exprimée dans la Révélation biblique. À la lumière de ce rapport, nos vies se déroulent, dans la solitude et le partage, dans les difficultés, les tourments et les joies, les promesses et les ruptures. Les sacrements, ici ceux du Mariage et de l’Eucharistie, n’ont pas vocation à se mettre sous la dépendance de ces difficultés, ou à se définir par rapport à elles.

    En d’autres termes, devant l’autel et devant Dieu, un sacrement reçu l’est absolument. Hors de cette absolue réception, le sens du sacrement tombe, ou au moins s’étiole. À ce sens complexe et dûment réfléchi, on a donc tort d’opposer un droit personnel revendiqué par une conscience propre qui n’est pas juge en la matière, conformément au principe bien connu qui stipule que « personne n’est juge en sa propre cause ». Comme le souligne Mgr Müller, invoquer ici ce droit au nom de la miséricorde divine est une manière de réduire et d’instrumentaliser cet attribut de Dieu, inséparable de sa justice et de sa sainteté. L’expérience vécue n’a pas à entrer en concurrence avec la nature objective de l’acte sacramentaire. Elle n’a pas à lui dicter sa loi.

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  • Plain-chant à Liège: trois séminaires avec Marcel Pérès

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    Le plain chant vous intéresse ? Voici une offre de trois week-ends organisés par l’Académie de Chant grégorien ( http://www.gregorien.be) à l’Abbaye bénédictine de la Paix Notre-Dame à Liège (Bd d’Avroy, 52) :

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    → Avec Marcel PÉRÈS, directeur de l’Ensemble vocal « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes), trois séminaires thématiques : le chant vieux romain, du 20 au 22 décembre 2013 ; la notation neumatique carrée, du 10 au 12 janvier 2014 ; le plain chant médiéval entre Meuse et Rhin, du 7 au 9 mars 2014 .Plus de détails :

     Ici  L’Académie de Chant grégorien rouvre ses portes à Liège

     ou là : Trois séminaires à Liège avec Marcel Pérès. 

     Renseignements et inscriptions : secrétariat de l’académie à Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7, B-4020 Liège. Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence : tél. portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye). Courriel :jpschyns@skynet.be. On peut aussi s’inscrire ici : Inscription en ligne 

  • Ancien rite et nouveaux horaires pour l’abbaye de Wisques (Nord-Pas-de-Calais)

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    L’abbaye bénédictine Saint-Paul de Wisques (près de Saint-Omer, dans le Nord-Pas-de-Calais, a été reprise au mois d’octobre par les moines de l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault.

    L’arrivée de treize frères venus de Fontgombault s’accompagne du départ de huit moines sur quatorze de Saint-Paul de Wisques dans plusieurs monastères de la famille de Solesmes à Ligugé dans la Vienne, Saint-Wandrille et Croixrault en Normandie, La Source à Paris, Keur Moussa au Sénégal ou Solesmes même, dans la Sarthe.

    Quelques informations pratiques pour les visiteurs et retraitants :

    Adresse :

    exergue-abbaye.jpgAbbaye Saint Paul de Wisques
    Rue de l’école
    62219 Wisques
    France 
    Tél. : 03 21 12 28 50

    Hotellerie

    Vous éprouvez le besoin de vous arrêter un peu pour réfléchir, prendre une décision, aller à la rencontre du Seigneur qui vous attend…?

    Vous cherchez un lieu de silence et de recueillement ?
    Vous souhaitez partager, avec la communauté la prière liturgique de l’Église ?

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  • Affichons Noël à nos fenêtres

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    L'affiche "Noël dans la Cité" 2013 est disponible;

    elle peut être commandée GRATUITEMENT et en autant d'exemplaires souhaités

    à l'Aide à l'Eglise en Détresse;

    cliquer sur ce lien

  • Inde : Mobilisation de fidèles après l’homicide d’un enfant chrétien

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    ASIE/INDE - Mobilisation de fidèles après l’homicide d’un enfant chrétien

    New Delhi (Agence Fides) – Présenter à la justice les meurtriers d’Anugrag Gemethi, un enfant chrétien de 7 ans, également connu sous le nom d’Anmol, torturé et tué dans un village du Rajasthan, dans le nord-ouest de l’Inde, tel est le but d’une vaste campagne de mobilisation lancée en Inde par différentes organisations chrétiennes de différentes confessions. Selon la famille, le garçonnet a été tué par des extrémistes hindous afin d’envoyer un message transversal tant à sa famille qu’à la communauté chrétienne. Une note envoyée à Fides par le Catholic Secular Forum, l’une des associations promotrices, affirme que « il est véritablement choquant qu’un garçon de 7 ans n’ait pas été épargné par les fondamentalistes de l’hindustva. Ce qui est pire est que la police n’est pas en mesure d’identifier les meurtriers et de les présenter à la justice ». La campagne, intitulée « Justice pour le martyr Anmol » entend sensibiliser les responsables de l’Eglise et les institutions politiques et judiciaires jusqu’au plus hauts degrés. Elle réclame une punition sévère pour les meurtriers au nom de la légalité, la fin de la « persécution des chrétiens indiens » et un dédommagement pour la famille du garçonnet.

    Anugrag Gemethi a été torturé et tué dans le village de Gamidi, dans le district de Dungerpur de l’Etat du Rajasthan. Le corps du petit garçon a été retrouvé dans un lac le 18 novembre dernier après une journée d’intenses recherches. Son visage était mutilé, privé de ses yeux, du nez et des oreilles et était méconnaissable. Le cadavre portait des signes de brûlures sur l’abdomen, les orteils étaient coupés et des plaies profondes étaient présentes sur une main et un bras. Selon l’autopsie, la mort a eu lieu par noyade et d’autres blessures sont imputables à « des morsures d’animaux ». Cinq témoins à l’hôpital déclarent en revanche que des signes de torture étaient évidents sur le cadavre, signes qui ont été ignorés par le médecin.

    Le père de la victime, Harish Gemethi, a expliqué à la police que, « depuis des années, un certain nombre d’extrémistes hindous locaux menacent de me tuer et ont fait du tort à ma famille un nombre incalculable de fois ». L’homme a indiqué les noms des agresseurs, demandant aux enquêteurs de s’intéresser à eux mais jusqu’ici ses suggestions ont été ignorées. Dans le village se trouve une communauté chrétienne de 45 personnes, née en 2003. En septembre dernier, un groupe d’extrémistes hindous avait interrompu une rencontre de prière menaçant de mort les participants.

    Le pasteur protestant P.S. Jose, secrétaire de l’église des croyants au Rajasthan, dénonce, dans une lettre aux institutions, « le grave retard de la police en ce qui concerne l’enquête », évoquant « de graves brutalités à l’égard des chrétiens » et demandant « justice pour une famille en deuil ». (PA) (Agence Fides 04/12/2013)

  • François : des rumeurs qui font le buzz

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    Le pape est bien au centre de l'intérêt des médias. Ses révélations sur sa jeunesse y contribuent largement. Ainsi apprend-on, entre autres choses, qu'il a été "videur de boite de nuit" lorsqu'il était étudiant (voir ICI). Par ailleurs, des rumeurs font le buzz selon lesquelles il sortirait la nuit pour assister les SDF. Voici ce qu'on peut lire sur Euronews, par exemple : 

    Le pape François sort-il parfois la nuit dans les rues de Rome en toute discrétion pour venir en aide aux sans domicile fixe ? La rumeur se veut insistante, même si le service de presse du Vatican dément. Plusieurs journaux italiens et suisses s’intéressent à cette histoire depuis les récents propos énigmatiques tenus par l’aumônier du souverain pontife. “Si je dis au pape, ce soir je vais sortir pour aider les démunis”, avait confié Mgr Konrad Krajewski, “il y a toujours le risque qu’il vienne avec moi”. Cela n’aurait d’ailleurs rien d‘étonnant puisque François aimait particulièrement ce genre de sorties nocturnes lorsqu’il était archevêque de Buenos Aires. Habillé le plus simplement possible, il apportait de quoi manger aux pauvres dans la capitale argentine, partageant même parfois le repas avec eux.

    Le pape a en tout cas nommé le Polonais Konrad Krajewski – qui se fait appeler plutôt “Don Corrado” car son nom est difficile à prononcer – à la tête d’un service de premier secours pour venir en aide aux plus défavorisés le plus vite et le plus concrètement possible. L’aumônier, un quinquagénaire dynamique, a tout de suite levé une armée de 120 jeunes volontaires qui ne sont autres que les gardes suisses du Vatican. C’est la nuit que ça se passe, quatre gardes embarquent avec “Don Corrado” dans sa petite Fiat blanche et c’est parti pour une virée humanitaire dans différents quartiers de Rome ! Les gardes suisses ont un atout particulier aux yeux de l’aumônier, ils parlent au moins trois langues, le français, l’italien et l’allemand, et peuvent ainsi mieux communiquer avec les SDF étrangers.

    Alors pourquoi ne pas imaginer le pape François assis avec ses gardes dans la Fiat des urgences ? Il y aurait toute sa place. Le Saint-Père ne veut pas dormir dans les appartements luxueux du Vatican qui lui étaient réservés, il s’est installé dans la résidence Sainte-Marthe qui n’est gardée que par un seul Suisse et dont on peut sortir discrètement la nuit. Au journal italien La Repubblica, l’aumônier du pape a donné une réponse toujours à double sens : “On a compris qu’il pourrait y avoir des problèmes de sécurité. C’est une chose compliquée…mais lui, il est fait comme ça, il ne se soucie pas des problèmes !” Mgr Krajewski a toutefois ajouté “Il sort à travers moi”. François lui avait d’ailleurs confié au début de sa mission “Mes bras sont trop courts, prolongeons les miens avec les tiens”.

  • Croyez-vous que le Christ est vivant, qu'Il vit, qu'Il nous ressuscitera tous ?

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    Le pape François amène la foule à proclamer sa foi

    Source : Famille Chrétienne - Sybille d'Oiron

    Le Saint-Père a commenté lors de l’audience générale de ce mercredi la résurrection de la chair. Avec entrain, il a suscité une proclamation de la foi par la foule qu’il venait de longuement visiter, comme chaque semaine.

    Elle ne désemplit pas, cette place Saint-Pierre ! Pour l’audience générale du mercredi 4 décembre, le soleil qui paraît au-dessus de la colonnade y trouve réunie une foule nombreuse, chaque semaine un peu plus emmitouflée.

    C’est en la bénissant que le pape la parcourt, et les gardes du corps ont désormais l’habitude de se voir confier les poupons encapuchonnés. Longuement, lentement, se penchant de sa papamobile pour ici serrer une main, là glisser sur toutes celles tendues par un groupe de jeunes et, fréquemment, s’arrêter pour embrasser un enfant, le pape consacre la majeure partie de ce rendez-vous hebdomadaire à la chaleur de ces échanges incarnés. Avec, visiblement, un plaisir partagé. Puis il rejoint l’estrade centrale qui lui est destinée.

    Dans l’Évangile du jour (Jn 11, 25-26), le Christ dit : « Je suis la Résurrection et la vie. Qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ». Depuis plusieurs semaines, le Saint-Père saisit l’occasion de ces audiences pour délivrer une catéchèse sur le Credo. Ce mercredi sera donc consacré à la résurrection de la chair, commentée brièvement et, selon son usage, en trois points.

    L’espérance, pour illuminer notre histoire

    « Ce n’est pas une vérité simple, commence-t-il par reconnaître. Alors que nous sommes immergés dans ce monde, il n’est facile de comprendre la réalité future. Mais l’Évangile nous illumine : notre résurrection est liée à celle de Jésus. C’est parce que Lui est ressuscité que nous pourrons ressusciter.

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  • Deux réflexions intéressantes sur l’exhortation « Evangelii gaudium » du pape François

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    jpg_1350680.jpgLe vaticaniste Sandro Magister souligne deux points sur lesquels l’enseignement du nouveau pape s’éloigne notablement de celui de ses précédesseurs  (extraits) :

    ROME, le 3 décembre 2013 – Dans la très longue exhortation apostolique "Evangelii gaudium" qui a été rendue publique il y a une semaine, le pape François a fait comprendre que, sur deux points au moins, il voulait se distinguer des papes qui l’ont précédé.

    Le premier de ces points est aussi celui qui a eu le plus d’écho dans les médias. Et il concerne à la fois l'exercice de la primauté du pape et les pouvoirs des conférences épiscopales. Le second point concerne le rapport entre le christianisme et les cultures. 

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  • François : La crise financière a son origine dans une crise anthropologique

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    "Evangelii Gaudium", François et l'économie

    par Jean-Yves Naudet sur Liberté Politique

    Beaucoup attendaient avec impatience, espoir ou inquiétude les premières prises de position du Pape François en matière économique. Allait-il rompre avec ses prédécesseurs ? Condamner l’économie de marché que Jean-Paul II avait défendue ? Certes, chaque jour apportait son lot de petites phrases percutantes (« la mondialisation de l’indifférence »), mais sans constituer une prise de position doctrinale. Avec la parution de l’exhortation apostolique Evangelii Gaudium (la joie de l’Évangile), on y voit plus clair. Le style change, le ton est plus pastoral, mais la doctrine reste la même.

    EN ATTENDANT une encyclique sociale, qu’on annonce pour 2014, et après des prises de parole spontanées, fréquentes et les formules choc, voici déjà de quoi y voir plus clair : une exhortation apostolique.

    « Ceci n’est pas un document social »

    C’est un texte du pape, mais pas une encyclique et son objet principal porte sur « l’annonce de l’Évangile dans le monde d’aujourd’hui ». D’ailleurs elle est adressée aux chrétiens, mais pas, contrairement aux encycliques sociales, « aux hommes de bonne volonté ». Le Pape le dit clairement dès le premier paragraphe : « Je désire m’adresser aux fidèles chrétiens. » C’est donc le langage de la foi qui y est d’abord utilisé.

    Cela n’enlève rien à l’intérêt du texte, mais le Pape François explique :

    « Ce n’est pas le moment ici de développer toutes les graves questions sociales qui marquent le monde actuel [...]. Ceci n’est pas un document social et pour réfléchir sur ces thématiques différentes, nous disposons d’un instrument très adapté dans le Compendium de la Doctrine sociale de l’Église, dont je recommande vivement l’utilisation et l’étude » (n. 184).

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  • Syrie : douze religieuses ont disparu à Maaloula

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    Lors de l'audience générale de ce matin, le pape a invité à prier pour les douze soeurs orthodoxes qui semblent avoir été emmenées par les djihadistes qui ont pris le contrôle de la ville de Maaloula. L'information sur France Info :

    En Syrie, disparition de douze religieuses dans la ville de Maaloula

    En Syrie, des rebelles islamistes ont repris le contrôle de Maaloula, à 50 km au nord de Damas. Cette ville chrétienne est connue pour abriter de nombreuses églises. Douze religieuses ont été contraintes de quitter leur monastère. Depuis, on est sans nouvelle d'elles.

    S'agit-il d'un enlèvement ou d'une évacuation par mesure de sécurité (ce qui est affirmé ICI) ? Les 12 nonnes ont en tous cas été forcées de quitter leur monastère lundi alors que les combats faisaient rage à Maaloula.

    Le nonce apostolique en Syrie, Monseigneur Zenari, témoigne sur radio Vatican : "Des gens armés ont fait irruption dans le monastère où se trouvaient les religieuses. Ils les auraient obligé à quitter leur monastère et à les suivre, semble-t-il, vers Yabroud, une localité à 30 kilomètres au nord de Maaloula, où maintenant il y a un combat acharné entre l'armée et les rebelles."

    L'emplacement du monastère situé sur les hauteurs de Maaloula en fait une position clef. Les rebelles syriens, dont des djihadistes du front Al-Nosra, étaient déjà entrés dans le village en septembre dernier avant d'en être chassés quelques jours plus tard par l'armée syrienne.

    La bataille de Maaloula s'inscrit dans le cadre plus large de la bataille de Kalamoune, cette région stratégique qui permet de contrôler l'axe routier entre Damas et Homs.

    Voir également : http://fr.ria.ru/world/20131204/199937095.html

  • Quand nos ados boudent la foi

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    9782712212742.pngSur "Spiritualité 2000", le père Jacques Sylvestre rend compte du livre de Jean-Marie Petitclerc intitulé "Quand nos ados boudent la foi" :

    « Pour vous, parents, grands-parents, j’ai écrit ces pages ». (Jean-Marie Petitclerc)

    « Parvenu à l’adolescence, votre « jeune » décroche et prend ses distances avec toute pratique religieuse, il ne semble même plus s’intéresser à la question de Dieu. Pourtant nombre d’entre eux, devenus adultes, continuent de vivre des valeurs que vous leur avez transmises: ouverture à l’autre, générosité, solidarité et fraternité. Ce que parents et grands-parents cherchez à transmettre n’est plus évident. » Pour reprendre le mot de François, le pape: « C’est comme si ces adorables ados disaient : « nous sommes progressistes. Nous allons dans le sens du progrès, là où va tout le monde ». (18/11/13)

    Jean-Marie Petitclerc, auteur de «Quand nos ados boudent la foi », partage dans ce livre de quatre-vingt quelques pages, le fruit d’une trentaine d’années d’accompagnement des jeunes. Éducateur, prêtre et salésien, l’auteur a consacré sa vie à l’accompagnement des jeunes. C’est un regard plein d’espérance qu’il porte ici sur les « nouvelles générations ».

    Qui peut encore soutenir : « J’ai La foi ». Expression peu usitée aujourd’hui. La foi n’est pas un objet que l’on pourrait posséder ou perdre. Transmettre la foi à nos adolescents, mission impossible, direz-vous! Comment rejoindre les jeunes dans leur vécu actuel?

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