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Eglise - Page 1390

  • Action des Femen contre Mgr Léonard: l'ULB ne portera pas plainte

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    Lu dans « La Libre » du 24 avril :

    "L'Université libre de Bruxelles (ULB) ne portera pas plainte contre les quatre militantes de Femen qui, mardi soir, ont mené une action seins nus lors d'un débat autour du thème "Blasphème: offense ou liberté de s'exprimer" sur le campus du Solbosch. La conférence réunissait l'archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr André Léonard, et Guy Haarscher, professeur honoraire à l'ULB. Par cette action, les Femen entendaient dénoncer des propos tenus par Mgr Léonard qu'elles estiment être à caractère homophobe. Le parquet de Bruxelles a, de son côté, indiqué n'avoir reçu aucune plainte concernant l'incident. Pour leur part, les évêques de Belgique ont dénoncé l'action des Femen dans un communiqué. Ils ont dit regretter vivement l'incident dont a été victime Mgr André Léonard et expriment leur solidarité avec leur confrère. Ils ont rappelé par ailleurs qu'"un débat démocratique sur des questions de société n'est possible que si on permet à chacun d'exposer ses idées dans le respect mutuel et la liberté d'expression". Pour rappel, c'est aux cris de "Léonard y'en a marre", "Stop Homophobia" ou encore "God saves the gouines", que les quatre femmes ont fait irruption seins nus sur l'estrade où se tenaient Guy Haarscher et Mgr Léonard. Ce dernier a été aspergé de jets d'"eau bénite" contenue dans des petites bouteilles en forme de Vierge Marie. (Belga)"

    Autres lieux, autres mœurs ? Ce mercredi 24 avril à 18 heures, Monseigneur Léonard, dont l’arrivée fut très applaudie,  a fait salle comble à l’Université de Liège pour un débat avec le professeur Gergely, directeur de l’institut d’étude du judaïsme Martin Buber (ULB), sur « Les dix commandements et les droits de l’homme » ».  L’échange, animé par Paul Vaute, chef d’édition de « La Libre Belgique-Gazette de Liège » était organisé par le Groupe Ethique Sociale de l’Union des Etudiants Catholiques de Liège, avec l’aimable coopération des services de l’Alma Mater Liégeoise. Un lunch convivial était aussi offert dans l'espace ouvert devant cette salle qui jouxte le Rectorat. L’évêque de Liège, Mgr Jousten, et le Curé-Doyen de Liège-Centre, le chanoine Eric de Beukelaer, ainsi que plusieurs professeurs et membres des personnels  académique et scientifique assistaient à la manifestation.

    Belgicatho  

  • Les femen ont réussi leur coup

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    Nul ne peut à présent ignorer que les femen ont agressé Mgr Léonard hier soir. Tous les quotidiens, les antennes de radio et de télévision ainsi que les réseaux sociaux ont relayé l'information. Le Soir a mis en ligne une quantité impressionnante de clichés. Il est clair que les journalistes étaient au courant de ce qui allait se passer et qu'ils en ont assuré une large médiatisation. Tel était l'objectif des femen qui disent vouloir attirer l'attention sur les positions de Mgr Léonard à l'égard de l'homosexualité. Elles y sont largement parvenues puisque, avec beaucoup de complaisance, le Soir et la RTBF ont reproduit les propos de l'archevêque (hors contexte). On a le sentiment que ces provocatrices ont agi en toute impunité et qu'elles ne risquent pas d'être inquiétées. On peut donc en conclure qu'on a parfaitement le droit d'agresser des personnes, de les asperger (peu importe avec quoi) ou de les malmener sans avoir à craindre quoi que ce soit, et qu'ainsi on aura les honneurs des médias et tout le loisir d'y exprimer ses positions (voir ICI). A condition toutefois d'aller dans le sens des courants dominants, c'est-à-dire de  militer en faveur des droits individuels, de rejeter les valeurs morales traditionnelles et de manifester son hostilité à l'égard du christianisme. Nous ne tirerons cependant pas notre chapeau devant ces "dames" dont le seul mérite consiste à surfer  de façon outrancière (mais payante) sur la vague libertariste, homosexualiste et antichrétienne qui nous submerge.

    Lire aussi : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/2013/04/24/la-democratie-ne-nous-est-pas-naturelle/

  • Le dialogue islamo-chrétien

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    La Communauté de l'Emmanuel invite ce vendredi soir à une conférence-débat sur un thème vraiment d’actualité, 

    « Vivre Dieu, rencontrer l’autre ». 

    « Chrétiens et musulmans, un appel de Dieu à vivre en frères ? »

    Par Bruno Vermeire, Philosophe et spécialiste du dialogue christiano-musulman.

    vendredi 26 avril à 20h15 au presbytère de St Jacques, place St Jacques, 8, 4000 Liège-Centre.

    Nous conseillons, à ce sujet, la lecture de : Edouard Marie-Gallez, Le malentendu Islamo-chrétien (éd. Salvator). Michel Gitton en rend compte sur France Catholique :

    Le P. Edouard-Marie Gallez n’aborde pas le sujet - ô combien difficile - des relations entre l’Islam et le monde chrétien sans avoir derrière lui de nombreux travaux sur le Coran et divers aspects de l’Islam, ainsi qu’une connaissance des chrétientés orientales et de leur sources écrites. Son principal ouvrage, Le Messie et son prophète (Editions de Paris 2005), en avait surpris plus d’un par l’audace de certaines de ses conclusions qui allaient jusqu’à remettre en cause l’image traditionnelle d’un Mahomet ignorant tout du christianisme et recevant une révélation totalement nouvelle.

    Aujourd’hui il nous invite à sortir du malaise qui est celui de trop de catholiques français, victimes d’une mauvaise conscience lancinante venant des souvenirs de la colonisation, et d’adopter une approche saine à l’égard de l’Islam. Au moment où les musulmans les plus durs trouvent des alliés inattendus dans les mouvements laïcistes pour éradiquer toute influence du christianisme sur la société, il importe que les chrétiens redressent la tête et se rendent compte que ce sont eux qui ont trop souvent ouvert la voie à un Islam qui n’avait plus grand-chose de religieux.

    La mystique du dialogue, inaugurée par celui dont la figure emblématique continue de dominer les relations islamo-chrétiennes, Louis Massignon (1883-1962), amène les catholiques à renoncer non seulement à tout effort pour partager leur foi avec leurs frères musulmans, mais à accueillir sans réaction les fables sur lesquelles est fondé la doctrine de l’Islam. Pour ne faire nulle peine à nos interlocuteurs, nous n’aurions pas le droit de dire que l’histoire a été constamment manipulée pour laisser croire à une génération spontanée, alors que les indices se multiplient qui prouvent que le premier noyau de la communauté du « Prophète » est issue d’un christianisme sans doute déviant, mais représentatif d’un courant messianique attesté par ailleurs.

    Au faux dialogue qui ne débouche que sur un affaiblissement du christianisme, le P. Edouard Marie oppose un « dialogue de salut » où les chrétiens n’ont pas peur d’aborder les questions fondamentales, qui sont celles que pose l’Islam sur le salut, et sur la récompense finale, sur le rôle du Messie et sur son retour à la fin des temps.

    A lire et à faire lire.

    NB : Lire également les réactions sur France Catholique en-dessous du compte-rendu de Michel Gitton.

  • Mgr Léonard agressé à l'ULB

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    2063381342_B97384221Z.1_20130423232220_000_GRFNKR90.2-0.jpgDécidément, le climat se dégrade et il ne fait pas bon être chrétien par les temps qui courent. Alors que la propagande homosexualiste se déchaîne et joue à fond la carte de la victimisation, des extrémistes, dont les fameuses femen, se livrent à des actes d'agression caractérisée contre des personnes et des lieux significatifs du christianisme. C'est ainsi que, mardi soir, l'archevêque de Malines-Bruxelles a été agressé à l'ULB où il participait à un débat avec Guy Haarscher. Le Soir titre hypocritement que le prélat "a été interrompu" alors qu'il a été physiquement agressé par des jets de spray comme on peut le voir sur la photo ci-dessus. Nous sommes scandalisés par cette nouvelle démonstration d'intolérance qui ne nous surprend pas mais nous inquiète; elle illustre la dégradation d'un climat de plus en plus marqué par le rejet du christianisme. Que cet incident ait eu lieu dans une enceinte vouée au libre-examen et censée défendre la liberté d'expression est particulièrement significatif.

    Guy Haarscher dénonce quant à lui la collusion entre les Femen et les journalistes; un vrai "coup monté" : voir http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/811637/haarscher-mgr-leonard-s-est-mis-l-auditoire-de-l-ulb-en-poche.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

  • Deux évêques enlevés en Syrie

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    Le Pape prie pour la libération des deux évêques orthodoxes enlevés en Syrie

    source : Radio Vatican



    Un groupe armé a enlevé lundi deux évêques des Eglises orthodoxes syrienne et grecque dans un village de la province d'Alep au nord de la Syrie. Il s'agit de l'évêque Yohanna Ibrahim, chef de l'Eglise syrienne orthodoxe (à Alep) et l'évêque Boulos Yaziji, chef de l'Eglise grecque orthodoxe (à Alep). Ils ont été enlevés alors qu'ils menaient des opérations humanitaires dans le village de Kafr Dael dans la province d'Alep.

    La voiture du métropolite Ibrahim, conduite par un diacre, était allée chercher l'archevêque el-Yazigi dans le village de Bab al-Hawa, à la frontière turque, rapporte l'agence d'information catholique "AsiaNews". Sur la route du retour, à la périphérie d'Alep, un groupe d'hommes armés ont arrêté le véhicule et obligé les prélats à sortir. Après avoir tué le diacre qui conduisait la voiture, ils ont enlevés les deux évêques.

    L'identité des ravisseurs n'est pas encore claire. La télévision d'Etat syrienne accuse un "groupe terroriste armé" qui aurait agi en raison du travail humanitaire réalisé par les prélats dans les environs d'Alep. Abdulahad Steifo, un représentant de la Coalition nationale syrienne, a déclaré que les deux prélats ont été enlevés près de la localité de Kafr Dael, après avoir traversé le village de Bab al-Hawa, une zone aux mains des rebelles. Il a cependant précisé qu'en ce qui concerne l'identité des rebelles, "toutes les probabilités sont ouvertes". Mgr Boulos el-Yazigi est le frère du patriarche grec-orthodoxe d'Antioche, Youhanna X el-Yazigi.

    Appel de l'Eglise orthodoxe russe à tout faire pour retrouver les deux évêques

    L'Église orthodoxe russe a appelé mardi la communauté mondiale à "s'unir pour retrouver le plus vite possible" les deux évêques. "Nous appelons la communauté mondiale à s'unir pour retrouver les hiérarques et les laisser regagner leurs églises", a écrit le patriarcat dans une déclaration publiée sur son site officiel.

    "Nous appelons les gouvernements des pays occidentaux à arrêter de soutenir les extrémistes qui aspirent au pouvoir, car ce qui se passe en Syrie n'est pas une guerre civile mais une tentative de renverser le régime en place avec l'aide d'une force extérieure", ajoute-t-il par ailleurs.

    "Nous prenons actuellement des mesures pour savoir où ils se trouvent, pour les aider et les libérer le plus vite possible", a pour sa part déclaré le chef du Département des relations extérieures du Patriarcat, le métropolite Ilarion, cité par l'agence Ria-Novosti.
    L'Eglise orthodoxe russe appelle également les autorités de Syrie à faire tout leur possible pour retrouver les évêques.

    Déclaration du Directeur de la Salle de Presse du Vatican

    "Cet enlèvement des deux évêques et l'assassinat de leur chauffeur, alors qu'ils accomplissaient une mission humanitaire, confirme dramatiquement la tragique situation vécue par la population syrienne et ses communautés chrétiennes, écrit le Père Federico Lombardi. " Le Saint-Père François a été informé de ce nouveau fait très grave qui vient s'ajouter à la violence croissante de ces derniers jours et à une urgence humanitaire aux très vastes proportions. Le Pape suit ces évènements avec une attention profonde et prie intensément pour la santé et la libération des deux évêques enlevés et pour, qu'avec le concours de tous, le peuple syrien puisse finalement voir venir des réponses efficaces au drame humanitaire et poindre à l'horizon des espérances réelles de paix et de réconciliation.

  • Goulag roumain : le témoignage inédit d'un évêque martyr

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    Bienheureux les persécutés. Le récit d'un martyr moderne

    Quinze années dans les prisons de Roumanie, où il a subi des souffrances inhumaines. Le témoignage de l'évêque Ioan Ploscaru, porté pour la première fois à la connaissance du grand public 

    par Sandro Magister (source : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350504?fr=y)

    ROME, le 23 avril 2013 – Au cours de ces deux dernières semaines, le pape François a attiré au moins cinq fois l'attention sur "tant de nos frères et sœurs qui témoignent du nom de Jésus en allant jusqu’au martyre".

    Dans les jours mêmes où le pape lançait ces appels, un évêque roumain, Alexandru Mesian, se déplaçait de ville en ville, à travers l’Italie, pour présenter au public le témoignage de l’un de ces martyrs de notre temps, son prédécesseur à la tête du diocèse gréco-catholique de Lugoj.

    Il s’appelait Ioan Ploscaru. Il est mort en 1998 à l’âge de 87 ans, dont 15 qu’il avait passés en prison. Pour avoir commis une seule faute : celle d’être resté fidèle à l’Église de Rome et donc d’avoir refusé de passer à l’Église orthodoxe, comme le lui ordonnait le gouvernement communiste.

    Peu de temps après la fin de la seconde guerre mondiale, le régime roumain voulut, comme en Ukraine, anéantir l’Église gréco-catholique locale, avec ses évêques, ses prêtres et ses millions de fidèles, en la mettant hors la loi et en l’incorporant de force dans l’Église orthodoxe. Tous les évêques ayant refusé, ils furent arrêtés en 1948. Ils moururent en prison. D’autres évêques furent ordonnés clandestinement. Parmi eux figurait Ioan Ploscaru, à qui le nonce apostolique à Bucarest imposa les mains le 30 novembre 1948. Mais il ne résista dans les catacombes que pendant quelques mois. En effet il fut, lui aussi, arrêté au mois d’août 1950.

    C’est à ce moment que son calvaire commença. Il en fit le récit par la suite dans un livre de souvenirs. L’ouvrage avait été publié en Roumanie en 1993. Mais c’est seulement cette année qu’il a franchi les frontières de son pays, sous la forme d’une version italienne très soignée qui a été publiée aux Éditions Dehoniennes, à Bologne.

    C’est un livre qui est extraordinaire pour de multiples raisons. Il fait penser aux "Récits de la Kolyma" de Chalamov lorsqu’il décrit la férocité des bourreaux, impitoyable jusqu’à l’invraisemblance, avec des humiliations consistant, entre autres, à "manger ses propres excréments, se faire uriner dans la bouche par les gardiens, être contraint de déclarer avoir pratiqué des actes sexuels aberrants avec ses propres parents". Mais l’ouvrage rappelle également la sérénité descriptive et l'ironie du Soljenitsyne de "L'archipel du Goulag".

    C’est surtout le récit d’une expérience de foi. Qui éclaire même les nuits les plus obscures. Qui frappe de stupeur même les plus méchants. Qui en arrive à éprouver de la miséricorde même pour les plus terribles persécuteurs.

    Le régime communiste roumain s’écroula en 1989. En 1990 Ioan Ploscaru put reprendre possession de sa cathédrale, qui lui fut restituée par le métropolite orthodoxe de Lugoj.

    On trouvera sur le blog de S. Magiste une petite anthologie de son livre de souvenirs, avec les titres des chapitres dont sont tirés les extraits correspondants : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350504?fr=y

  • De quel sauveur rêvons-nous ?

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    Sur Homelies.fr :

    Evangile du jour : Jean chap. 10, vv. 22-30 

    On célébrait à Jérusalem l'anniversaire de la dédicace du Temple. C'était l'hiver. Jésus allait et venait dans le Temple, sous la colonnade de Salomon. Les Juifs se groupèrent autour de lui ; ils lui disaient : « Combien de temps vas-tu nous laisser dans le doute ? Si tu es le Messie, dis-le nous ouvertement ! » Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les oeuvres que je fais au nom de mon Père, voilà ce qui me rend témoignage. Mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis. Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, personne ne les arrachera de ma main.« Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tout, et personne ne peut rien arracher de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes UN. » 

    Homélie (Archive 2004)

    Nous sommes en hiver ; il fait froid. Jésus se réchauffe en marchant sous la colonnade tout en priant. Les juifs l’observent et profitent de ce (rare) moment où Notre-Seigneur n’est pas accaparé par la foule, pour se grouper autour de lui : « Combien de temps vas-tu nous laisser dans le doute ? » S’ils doutent, c’est donc qu’ils sont encore dans l’incertitude quant à l’identité du Seigneur. Pour eux les faits et gestes de Jésus ne suffisent pas pour conclure le discernement. Aussi se décident-ils à lui poser directement la question : « Si tu es le Messie, dis-le nous ouvertement ! » Cette interrogation traverse tout le quatrième évangile sans jamais recevoir de réponse clairement affirmative ou négative, car tout dépend du sens que l’on met derrière ce terme.

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  • Fragilité et fécondité de nos vies d'hommes

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    "Fragilité et fécondité de nos vies d'hommes" : 2 soirées SOPHIA

    => Mardi 23 avril à 20h : BRUXELLES

    par Monseigneur Jean KOCKEROLS, évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles.

    => Mardi 7 mai à 20h :  BRUXELLES

    Soirée Témoignage par le P. Jean-Philippe - 

    Aumônier du Bois de Boulogne, il vient de publier un livre-témoignage « Que celui qui n’a jamais péché » dans lequel il retrace sa vie dans un style franc et direct ! Touchant, profond plein d'humour, ce frère de Saint-Jean raconte son quotidien de prêtre auprès des prostituées et des transexuels de Paris.
     

    Où ? IET – Institut d’Etudes Théologiques - 24, Bd Saint-Michel – 1040 Bruxelles

    PAF : 3 € par soirée ou 5 € pour 2 soirées

    Renseignements / inscriptions : cycledesoireessophia@gmail.com ou 0477/ 042.367

  • France : la manif pour tous doit-elle craindre les « amalgames » ?

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     Un billet d’humeur de Pasquin sur le site du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    « On se fout complètement des amalgames : nous assumons les faits pas les méfaits ! Il est probable que des gens violents, « extrémistes de tous poils », que sais-je encore, pensent eux aussi que le mariage gay est un non-sens sociétal, c’est un fait ! Leur façon d’agir leur appartient, nous n’avons pas à en répondre. Nous ne sommes responsables que de ce que nous entreprenons.

    On se fout complètement « du risque de radicalisation » : nous étions déjà radicalement opposés dès la première manif ! Nous l’avons dit gentiment, façon « Gangnam style », nous l’avons redit à la deuxième manif, en chantant Piaf dans une chorale de presque deux millions de chanteurs, sans marcher sur les pelouses. Maintenant, c’est la Marseillaise, et les pelouses on s’en fout. J’ai d’abord suivi une blonde sympa qui fait des manifs cools, j’ai fait la « ola ». Mais, depuis le début je suis un père de famille en colère qui défend sa civilisation; les consignes, maintenant je me les donne en conscience pour exprimer ma radicale opposition à cette loi. 

    Nous condamnons absolument la violence : celle du ministère de l’Intérieur qui par mépris a sous-estimé nos manifs et fait gazer femmes et enfants ; celle des journalistes qui ont « cahuzaqué » les chiffres réels de notre opposition pacifique par un mensonge collectif inacceptable. Nous condamnons ces médias qui parlent en boucle d’homophobie, générant une violence verbale et physique de la part des homosexuels à notre encontre, alors que notre propos n’est pas là. Nous condamnons cette violence faite à la démocratie, où les lois se pensent dans les loges, et s’imposent par des lobbies dans le mépris absolu de ce que nous pensons majoritairement.
    Alors! Là où nous sommes, qui que nous soyons, je le dis comme chrétien, comme citoyen, comme père, comme entrepreneur, comme journaliste chroniqueur. :

    Je nous demande très officiellement de considérer la victoire comme nécessaire ! Pour ce que nous sommes, pour ce que nous croyons, pour nous, nos enfants, leurs enfants, nos familles et les familles de France, pour notre pays. Je nous demande de considérer la victoire comme nécessaire, de gagner absolument et maintenant cette bataille. Bravo pour tout ce qui a déjà été réalisé, l’impératif de la victoire s’impose… C’est le printemps pour tous. Go, go, go. »

    Ici : Nécessaire victoire !

     « Pasquino », perché ? Pasquino ou Pasquin (en latin : Pasquillus) est le nom utilisé par les Romains pour désigner une statue de style hellénistique datant du 3e siècle av. J.-C. mise au jour dans le quartier de Rome Parione au 15e siècle.

    La célébrité de la statue date du début du XVIe siècle  lorsque le cardinal Oliviero Carafa drape le torse de marbre de la statue dans une toge décorée d'épigrammes latins, à l'occasion de la saint Marc. De cet incident est dérivé le terme de pasquinade, qui se réfèrent à un pamphlet anonyme en vers ou en prose.

    Cette action du cardinal a conduit à une coutume de critiquer le pape ou son gouvernement par l'écriture de poèmes satiriques en dialecte romain et de les attacher à la statue de Pasquino.

    Ainsi Pasquino est devenu la première « statue parlante » de Rome. Elle « s'est prononcée » sur l'insatisfaction de la population à l’égard du gouvernement pontifical … et aujourd’hui,  par extension, vise tous les actes de mauvaise gouvernance, civile ou religieuse.

  • 17-24 juillet : pèlerinage de la Miséricorde divine en Lituanie

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    Pèlerinage de la Miséricorde divine en Lituanie

    du 17 au 24 juillet 2013

     Sur les traces de Sainte Faustine et du Bienheureux Jean-Paul II

     Au programme

    Visites

    Vilnius (sanctuaires de la Miséricorde Divine et de ND de la Porte de l'Aurore - maisons de Ste Faustine et de l'Abbé Sopocko - musées du KGB et de l'ambre - Université de Vilnius - la cathédrale et de nombreuses églises.) Kaunas (ancienne capitale), Siluva (lieu d'apparition de la Vierge Marie), Siauliai (colline des croix), Palandriai (monastère bénédictin), Pazaislis (monastère du Bel Amour), Trakai (ancienne capitale médiévale).

    Rencontres

    Cardinal Backis, Frères et Sœurs de St Jean, Sœurs du Christ Miséricordieux, amis lituaniens, Frères bénédictins de l'Abbaye de Solesmes, école d'apprentissage pour jeunes (Sodziaus Meistrai).

    Temps de prières

    Eucharistie quotidienne, offices (libres), temps d'adoration, chapelet de la Miséricorde Divine, Heure Sainte, veillée eucharistique et enseignements. 

    Prix:    900€ (pension complète en maison religieuse, transferts, vols et assurances)

    Communauté Saint Jean - Banneux

    Contact: Fr. Alain, 0032.04/360.01.24; frerealaingcs@stjean.com

  • Mariage « pour tous » en France : La Manif du 21 avril fait mentir le procès en radicalisation

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    La C.E.F. a envoyé un signal de « modération » et le marais de l’establisment clérical lancé sa jérémiade classique: « much is to much », il faut que cela cesse. Au risque d'essoufler le mouvement? Réponse très bientôt : le vote de la loi sur le mariage pour tous, c’est pour demain à l'assemblée nationale française.

    Lu aujourd’hui sur le site de « Famille Chrétienne » :Aucun incident, des forces de l’ordre discrètes : malgré les polémiques de ces derniers jours,la Manifpour tous du 21 avril s’est déroulée dans une ambiance paisible. Pas de radicalisation en vue, mais une énorme détermination.

    18 h 30 : l’esplanade des Invalides est remplie, même si tout le monde n’est pas encore arrivé. « 270 000 participants » affirment les haut-parleurs, « contre 45 000 selon la police ». L’annonce fait bondir la foule. « Comme d’hab… », soupire pourtant un jeune en agitant son drapeau.

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  • Benedictus qui venerat in nomine Domini

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    Sur le site « Benoît et moi » :

     

    imagesCAB9PFJO.jpgLa leçon d'humilité de Benoît par Dom Louis-Marie Geyer d'Orth OSB, Père-Abbé de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux (photo)

    "Nous n'étions pas peu fiers du fait que l'élu du conclave ait choisi comme patron de son ministère pétrinien le grand patriarche de l'Occident: Saint-Benoît. Mais nous devons reconnaître que Benoît XVI nous a donné une bonne leçon: celle de la vraie humilité.

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