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Eglise - Page 1643

  • RTBF : "des milliers de pèlerins attendus place Saint-Pierre"

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    C'est ce qu'on appelle une approche peu objective d'un évènement.

    Voici ce qu'il en est d'après une agence de presse (Associated Press) :

    "Benoît XVI célébrait dimanche la messe de Pâques devant des dizaines de milliers de fidèles massés place Saint-Pierre de Rome.

    Sous un ciel alternant nuages et éclaircies, le pape célébrait la cérémonie depuis un autel dressé sur les marches de la basilique Saint-Pierre. La foule des Romains et pèlerins débordait jusque sur le boulevard menant vers le Tibre."

    source : canadianpress

  • Récit de la conversion de Magdi Cristiano Allam baptisé à Pâques 2008

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    C'était il y a trois ans; le jour de Pâques, Magdi Cristiano Allam était baptisé à Rome par Benoît XVI.

    Mais avant, voici la version intégrale de la lettre qu’Allam a adressée au directeur du “Corriere della Sera“ pour raconter sa conversion. Seule une partie de la lettre avait été publiée par le quotidien:

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  • Le moment vraiment opportun ?

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    Demain, jour de Pâques, au JT de 13H00 sur la RTBF, le Primat de Belgique s'exprimera au sujet de questions qui ont fait la une, notamment l'affaire Vangheluwe et la question des abus sexuels.

    Nous regrettons pour notre part que le saint jour de Pâques vibrant des alleluia de la Résurrection soit le moment choisi pour cette intervention. Nous aurions préféré goûter à la joie pascale sans l'assombrir à nouveau par ces questions qui fâchent et qui, n'en doutons pas, prendront le pas, dans les médias belges, sur la plus importante des célébrations de l'année liturgique.

  • Un évêque soucieux de conforter la foi de ses frères

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    Caffarra_Carlo.jpgCarlo Caffarra, archevêque de Bologne, propose cette méditation sur Pâques dans la Bussola Quotidiana (traduction par nos soins) :

    "Pourquoi cherchez-vous parmi les morts Celui qui est vivant? Il n'est pas ici, il est ressuscité."

    L'Église est née de la constatation d'un fait: Jésus crucifié, mort et mis au tombeau, est ressuscité. Et l'existence de la Communauté chrétienne reste fondée sur ce fait. Elle ne résulte pas d'abord de l'enseignement religieux d'un maître, elle n'est pas principalement la communauté de ceux qui acceptent de vivre selon un certain code moral. Mais c'est tout simplement la communauté de ceux qui croient dans la réalité du fait suivant: Jésus est ressuscité.

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  • Samedi-Saint : « Il est descendu aux Enfers »

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    Descente-aux-enfers_Angelico.jpgLors de l’émission religieuse « À son image » réalisée par la télévision italienne, ce vendredi 22 avril, l’une des sept questions (sélectionnées sur deux mille) posées par des internautes du monde entier au pape Benoît XVI concerne spécifiquement le Samedi où le corps du Christ repose au tombeau : « Sainteté, que fait Jésus dans le laps de temps entre sa mort et sa résurrection? Et puisque, dans le Credo, on dit que Jésus, après la mort, est descendu aux Enfers, pouvons-nous penser que cela nous arrivera à nous aussi, après la mort, avant de monter au Ciel?”.

    Benoît XVI y répond avec la pédagogie et la clarté d’expression qui lui sont coutumières :

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  • Pas de confiance, dans l'économie, sans relations de gratuité

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    affiche-fleurs-31def.jpgL’économiste Jean-Yves Naudet, président de l’Association des Economistes Catholiques, présente la problématique du colloque du 30 avril, organisé à Paris par la Fondation de Service Politique et l'AEC, sur "la logique du don dans l'économie", telle qu'en parle Benoît XVI : « On ne peut pas créer de confiance dans l’économie sans relations de gratuité. »

    Interview :

    Liberté politique. — Dans Centesimus annus, Jean-Paul II a identifié la société civile comme le cadre normal de l’économie de la gratuité. Benoît XVI semble aller plus loin en considérant que la logique du don et de la gratuité doit trouver sa place dans « l’activité économique normale ». Pourquoi ?

    Benoît XVI ne contredit évidemment pas Jean-Paul II et il est évident que la société civile au sens où il l’entend regroupant familles, associations, groupes caritatifs, mouvements religieux, paroisses, etc., est le lieu naturel de la gratuité et du don, comme l’économie est le lieu de l’échange (donc du contrat) et la politique celui de lois justes. Mais Benoît XVI s’engouffre dans une brèche ouverte par Jean-Paul II, affirmant que le don pouvait aussi s’appliquer à l’économie (sujet de ce colloque) et à la politique (vue comme le service du bien commun). La suite est à découvrir ICI

  • Plus moderne que la modernité

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    La Tradition est plus moderne que la modernité

    Didoc.be nous propose cette réflexion de Fabrice Hadjadj


    On oppose souvent conservatisme et progressisme, tradition et modernité. Fabrice Hadjadj nous explique qu’on ne peut être vraiment « moderne » qu’en accueillant la tradition.

        "La modernité de l’époque de Péguy avait encore des ambitions humanistes. Or tout cela est fini. Le siècle passé entre le temps de Péguy et notre temps a posé les conditions d’une complète sortie de l’humanisme. Le fait nouveau, c’est notre conscience de la finitude non plus individuelle, mais collective de l’espèce humaine. Le XXe siècle avec Kolyma, Auschwitz et Hiroshima (j’emploie des noms propres parce qu’ici les noms communs sont insuffisants à désigner ces événements), le XXe siècle fut à la fois le temps de l’apothéose puis de la mort des idéologies du progrès. Pourquoi cela ? Parce que le progressisme fut au pouvoir, et, au lieu de faire une société plus juste, il produisit le totalitarisme. Dès lors, comme dit Rimbaud dans Une saison en enfer : « Pourquoi un monde moderne, si de pareils poisons s’inventent ! ». Si vous mettez par-dessus ces catastrophes le darwinisme qui nous explique que l’humanité n’est qu’un bricolage dû au hasard et à la concurrence, il devient difficile de croire en l’avenir, à l’histoire et à la postérité." découvrir la suite ICI

     

  • Dieu est capable de vaincre la mort, le péché, le mal, et de nous donner une vie nouvelle, ressuscitée.

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    ROME, Vendredi 22 avril 2011 (ZENIT.org) - Nous publions ci-dessous le texte intégral de la méditation que le pape Benoît XVI a prononcée à l'issue de la prière du chemin de croix, ce vendredi soir, au Colisée.

    Chers Frères et Sœurs,

    Ce soir, nous avons accompagné dans la foi Jésus qui parcourt la dernière étape de son chemin terrestre, l'étape la plus douloureuse, celle du Calvaire. Nous avons entendu la clameur de la foule, les paroles de la condamnation, la dérision des soldats, les pleurs de la Vierge Marie et des femmes.

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  • Sur la croix, Dieu montre son vrai visage

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    63.jpgEric de Beukelaer publie une note sur le silence de mort du vendredi saint.

    "Sur la croix, Dieu montre son vrai visage : Il est le Dieu qui choisit – viscéralement – le camp des victimes. Il est le Dieu de cette petite Japonaise qui a perdu toute sa famille à Fukushima, de cet homme brisé qui fut jadis abusé sexuellement, de ce Haïtien qui n’a encore rien pu reconstruire, de ce chrétien dont on a brûlé l’église, de ce musulman dont on a souillé la mosquée, de ce sans-diplôme, de ce sans-emploi, de ce sans-abri, de ce sans-papiers, de ce sans-… Aujourd’hui, c’est le temps du silence, car Dieu se fait le porte-parole des sans-voix. Le masque tombe aussi pour notre monde en panne d’aimer. Quand l’Amour se fait homme, ce monde montre son vrai visage en lui dressant une croix. « En Lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue. » (Jn. 1, 4-5) Aujourd’hui est le jour du silence de mort. Et pourtant, au pied de la croix, une lueur veille. Dans son cœur, la « Mater dolorosa » le pressent confusément: ce silence n’est pas le dernier mot de Dieu."

    Nous allons, nous aussi, faire silence sur ce blog; nous reprendrons nos publications demain matin.

    Cliquer sur le lien pour écouter le Chant des Improperes (Comm. de l'Emmanuel)
  • Pour en finir avec "la pastorale de l’enfouissement"

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    697406_ars.jpgLes catholiques sont-ils des chiens muets ? Une certaine «  pastorale » de l’enfouissement répandue dans les milieux cléricaux depuis la fin des années 1960 en donne encore souvent l’image. Dans le cadre d’une enquête sur les catholiques parue dans l’hebdomadaire  français « l’Express » du 20 avril, Claire Chartier a interrogé à ce propos le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon et primat des Gaules. Ses réponses sans équivoque peuvent aussi intéresser la Gaule Belgique…

    « Philippe Barbarin est archevêque de Lyon depuis 2002 et cardinal depuis 2003. Pour lui, l'Eglise catholique doit faire entendre ses opinions sur la société française d'aujourd'hui.

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  • Plus de 50.000 chrétiens croupissent dans les geôles nord-coréennes

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    Selon le Rapport 2011 de l’ONG Open Doors, la Corée du Nord occupe la dernière place en matière de respect de la liberté de conscience et de religion dans le monde. Plus de 50000 chrétiens y sont internés dans des camps de prisonniers en raison de leur foi, a indiqué l’agence missionnaire Fides, le 14 avril 2011.
    En Corée du Nord, la liberté de religion est totalement niée, tout comme celles de conscience, d’opinion, de religion et d’association pacifique. Selon les témoignages de personnes ayant fui le pays, le régime continue à mener une intense propagande anti-religieuse, interdit les activités religieuses et persécute les personnes qui affichent leurs convictions chrétiennes.

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  • Aujourd'hui à Lessines : la procession des pénitents

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    Il existe à Lessines, dans le Hainaut, une tradition qui remonte au Haut Moyen-âge (XIIIè siècle) : la procession des pénitents. Cette étonnante manifestation a lieu chaque Vendredi Saint et évoque l’enterrement du Christ. La ville est alors plongée dans l’obscurité total, comme si elle aussi accompagnait le Christ, porté à bras d’homme, dans cette marche symbolique vers sa dernière demeure. Les pénitents avancent dans les rues éclairés par la seule lueur des torches et sont accompagnés par les tambours sourds et les crécelles. Celles-ci rappellent la peur et l’éloignement de celui qui est rejeté comme un lépreux. Les pénitents sont vétus de la bure, symbole de pénitence et sont coiffé de la cagoule, signifiant l’anonymat. La procession de Lessine est la seule de ce type dans tous le nord de l’Europe, elle s’achève par la mise en terre du Christ dans l’Église Saint-Pierre.

    Office de la Passion à 19h30 à l’Église Saint-Pierre, sortie de la procession à 21h et mise au tombeau à 22h. (www.radinrue.com le XX -IV -MMXI, 11h50)