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Eglise - Page 911

  • Un archevêque lituanien victime des persécutions soviétiques bientôt béatifié

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    De Sylvain Dorient sur aleteia.org :

    Du goulag à l’empoisonnement : Mgr Matulionis va être béatifié

    Le 16 décembre 2016, le pape François a déclaré le lituanien Mgr Teofilius Matulionis « martyr de la foi », ouvrant ainsi la voie à sa béatification. L’archevêque avait été empoisonné en 1962 par la police secrète soviétique, à l’âge de 89 ans. Il sera le premier martyr de l’ère communiste à être béatifié.

    Cette fin brutale est la conclusion d’une vie ponctuée de persécutions. Dès 1909, neuf ans après son ordination, il est condamné pour avoir baptisé un enfant dont un parent était orthodoxe et l’autre catholique. Il est alors reclus dans un couvent dominicain, à la demande du gouvernement tsariste. À cette époque, les pays baltes — à majorité catholique — appartiennent à l’Empire russe et l’Église catholique, considérée comme un facteur de sédition, était placée sous étroite surveillance.

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  • Macron, un émule du pape François ?

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    Le porte-parole de l'Eglise catholique dans le canton de Vaud trouve le nouveau président français fort à son goût et n'hésite pas à voir en lui un émule du pape François :

    La spiritualité de Macron désarçonne les catholiques

    L'invité Jean-Brice Willemin, porte-parole de l’Eglise catholique dans le canton de Vaud, zoome sur la face profonde du président français.

    Emmanuel Macron inspire de la défiance dans les milieux catholiques de France. C’est d’abord la droite identitaire hostile au mariage pour tous et à la procréation médicament assistée (PMA) pour tous les couples. Elle représente les deux tiers des catholiques pratiquants ou proches de l’Eglise. Beaucoup d’entre eux supportent mal que le président français considère les petits-enfants de son épouse comme les siens!

    C’est aussi le courant chrétien social solidaire des personnes fragiles qui est inquiet par son programme économique d’essence libérale. Cet ancien banquier de chez Rothschild ne leur apparaît pas assez social et solidaire.

    Bref, comme en politique, être au centre en religion, entre les progressistes et la droite identitaire catholique, c’est suspect pour une majorité de chrétiens.

    Pourtant, jusqu’à présent, Emmanuel Macron est apparu plus proche des chrétiens sociaux que des catholiques conservateurs. Lorsqu’il visitait un centre d’hébergement parisien du Secours catholique – Caritas en Suisse – il a confié qu’être chrétien, c’est défendre les droits des plus pauvres, et non pas se battre pour retirer des droits à des hommes et des femmes homosexuels.

    Et la hiérarchie de l’Eglise? Elle aussi, ne cache pas sa méfiance. Une grande majorité des évêques français n’ont pas donné de mot d’ordre contre le Front national. Le pape François est lui aussi resté neutre, relate l’hebdomadaire catholique La Vie. Du favori, il a dit «je ne sais pas d’où il vient»; et de sa rivale? Il l’a situé en représentante de «la droite forte».

    Cette distance du pape envers Macron étonne les sociologues de la cathosphère française (!!!). Le président français n’a jamais renié sa foi, lui qui a été baptisé catholique à l’âge de 12 ans de sa propre initiative. Et comme le pape, il a été formé à la discipline jésuite. De celle-ci, il a puisé une spiritualité qui valorise une relation à Dieu plus intérieure qu’institutionnelle. (si on vous le dit !)

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  • Un séminariste de la feue Fraternité des Saints Apôtres sera ordonné à Malines le 2 juillet prochain

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    Ordination sacerdotale de Servaas Bosch le 2/7/17 – faire part (source)

    C’est une très grande joie d’apprendre l’ordination de Servaas Bosch le 2 juillet 2017 à Malines. 

    Les paroissiens de Sainte Catherine seront nombreux pour entourer Servaas à cette occasion. 

    Comme les autres séminaristes de feu la Fraternité des Saints Apôtres, nous l’avons souvent vu dans notre paroisse, nottament pour l’homélie dominicale. 

    Site internet pour les détails : http://wijdingservaas.weebly.com/

  • Faut-il réformer la législation sur les fabriques d'églises à partir d'une logique de radicalisation ?

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    De l'abbé Raphaël Collinet, vicaire épiscopal à Liège :

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  • Bruxelles, 18 et 25 juin : célébrations d'au-revoir des Fraternités Monastiques de Jérusalem

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    agrandir : ICI

  • Le Comité de Soutien aux Chrétiens d’Orient de retour d'Irak

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    CHRÉTIENS D’ORIENT : DE RETOUR D’IRAK (source)

    Le Comité de Soutien aux Chrétiens d’Orient – CSCO – est rentré fin mai de son voyage au Kurdistan Irakien et en Irak.

    En plus d’avoir passé du temps avec des personnes et représentants de nombreuses communautés chrétiennes, ses membres ont pu dialoguer avec des membres de toutes la mosaïque communautaire d’Irak : Kurdes, Yézidis, Sunnites arabes, Chiites….

    La situation précaire des chrétiens s’améliore lentement au fur et à mesure du recul de l’État Islamique ; la majorité des villes et villages chrétiens d’Irak ont été libérés dans l’année écoulée.

    Les villes de Batnaya et Qaraqosh ont été totalement détruites par Daech et sont pratiquement devenues des villes fantômes. D’autres villes comme Telesskeff, moins endommagés, sont en voie d’être réhabitées – 500 familles se sont déjà réinstallées.  La reconstruction commence à s’organiser mais elle est encore quasiment exclusivement le fait d’associations chrétiennes internationales.

    Les chrétiens rencontrés nous demandent de transmettre le message suivant :

    • Les nombreux chrétiens déplacés souhaitent regagner leur territoire mais tant que les accès à l’électricité et l’eau ne seront pas rétablis le retour sera difficile ;
    • Le gouvernement doit prendre ses responsabilités. Les chrétiens sont des citoyens et des contribuables comme les autres. Ils ont le droit aux mêmes infrastructures étatiques. Des fonds internationaux ont été débloqués pour la reconstruction de l’Irak et ceux-ci ne sont, à ce jour, pas du tout investis dans les régions chrétiennes.

    Lors de son voyage, le CSCO s’est aussi inquiété des autres minorités de la région, avec lesquelles les chrétiens essayent de vivre en paix et dans la convivialité depuis deux millénaires :

    • Les Kurdes : qui ont joué un rôle militaire capital dans le combat contre Daech. Ils ont aussi accueilli avec hospitalité les minorités chassées par Daech. Cet accueil, les Chrétiens leur en sont très reconnaissants. Nous espérons, au sein du CSCO, que cette confiance et respect mutuel perdurera et sera la base du ciment de paix dans la région.
    • Les Yézidis : représente la communauté la plus éprouvée depuis la présence de l’islamisme fanatique de Daech dans la région. Considérés comme satanique par la doctrine djihadiste, des milliers de femmes Yézidies ont été capturée et réduites en esclaves sexuelles par les combattants de Daech.

    La relation pacifique et solidaire entre les Chrétiens et les Yézidis trouve une synergie particulière dans le projet de la « maison de la femme irakienne », soutenu par le CSCO. Cette maison pour femmes à Alqosh aura pour but d’aider, éduquer, libérer les femmes traumatisées par la guerre en suivant cette conviction profonde : “Le bien-être d’une société passe par le bien-être et l’émancipation des femmes”.

    • Les Arabes Sunnites ont également beaucoup souffert de cette guerre. Depuis la chute de Saddam Hussein, les arabe Sunnites ont le sentiment d’avoir été victimes d’injustice. Nombreux d’entre eux ont soutenu Daech dans un espoir d’amélioration de leur quotidien. Mais, la dictature sanglante sous laquelle ils ont vécu dans l’État Islamique, a été « une douche froide ».

    Aujourd’hui, la paix ne peut venir que du développement économique et de l’éducation. Le gouvernement irakien doit soutenir toutes les communautés de façon égale, sinon la paix sera toujours menacée.

    LES PROJETS DÉJÀ SOUTENUS PAR LE CSCO EN IRAK ET EN SYRIE

    Le CSCO soutient un dispensaire à Alqosh (Irak), un dispensaire à Quamishli (Syrie), une école à Hassaké (Syrie) ainsi qu’un dispensaire à Telesskeff (Irak). Ces projets sont tous ouverts à toutes les communautés, cette région a besoin de « ponts » entre les communautés religieuses et non de « murs ». Si les communautés chrétiennes apportent aux autres les soins de santé et éducation, elles seront d’autant plus considérées comme une « force positive » pour la région.

    VIDÉOS

    Le père Charbel Eid (maronite, Bois-Seigneur-Isaac) nous parle d’un nouveau projet consacré aux femmes irakiennes

    Un chrétien d’Alqosh nous parle de l’histoire de la région et de son quotidien


    Voir aussi
    : Irak, les chrétiens se relèvent difficilement. Interview de Mgr Petros Mouche, sur Cathobel.

    Pour le CSCO
    Père Charbel Eid

    Marie Thibaut de Maisière

    Pour plus d’informations (et de ressources documentaires, sur demande) : www.csco.be

    Pour plus d’informations sur ce voyage : Simon Najm, Président : Simon Najm csco.simon.najm@gmail.com 0475 54 51 00,
    Marie Thibaut de Maisières, membre de la délégation mariethibautdem@gmail.com, 0477 25 19 51.

  • Dimanche 25 juin : trois ordinations sacerdotales à Bruxelles

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    De catho-Bruxelles.be :

    ORDINATIONS SACERDOTALES À BRUXELLES

    Il s’agit de :
    Antonin le Maire, belge, né le 27/10/1981 et domicilié à Ixelles.
    Bruno Druenne, belge, né le 22/09/1985 et domicilé à Nivelles.
    Cyprien Ntirugirimbabazi, rwandais, né le 28/01/1981 à Cyangugu au Rwanda.

    La célébration aura lieu à la Cathédrale le dimanche 25 juin à 16h, présidée par le cardinal De Kesel.

    Pour l’abbé Olivier Bonnewijn, responsable de la formation des séminaristes et  président du séminaire ND d’Espérance de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles.

    Brigitte de Mahieu, membre de l’équipe de formation du séminaire ND d’Espérance

  • Amoris Laetitia : les cardinaux qui ont fait état de leurs doutes n'ont pas reçu de réponse à leur demande d'audience au pape

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    De Philippe Maxence sur le site de l'Homme Nouveau :

    Dubia : les cardinaux ont demandé audience au pape :
    réaction et analyse du philosophe Thibaud Collin

    Les cardinaux, qui avaient émis des dubia au pape à propos de l'interprétation de l'exhortation post-synodale Amoris laetitia, dubia qui n'ont pas reçu de réponse, viennent de rendre publique la lettre de leur demande d'audience auprès du Saint-Père pour évoquer cette question primordiale pour l'Église. Cette lettre, datée du 25 avril dernier et signée du cardinal Caffarra, n'a toujours pas reçu de réponse. Pourquoi un tel silence ? Dans quel contexte s'inscrit-il ? C'est ce que nous avons demandé au philosophe moraliste Thibaud Collin qui a participé récemment, à Rome, à un colloque pour le premier anniversaire d'Amoris Laetitia.

    Thibaud Collin, vous faites partie des six laïcs, venus du monde entier qui, pour appuyer les démarches des quatre cardinaux concernant Amoris lætitia, ont participé à un séminaire d’études, à Rome, le 22 avril dernier. Le cardinal Caffarra l'évoque justement dans sa lettre. Quel était votre propos ?

    La plupart des commentateurs du chapitre 8 de l'exhortation affirment qu'il est dans la continuité du magistère antérieur. Mais cette unanimité de façade se fissure dès que l'on rentre dans le détail des lectures proposées. Pour certains, Amoris laetitia ne change rien à la discipline sacramentelle concernant les divorcés et remariés civilement. C'est par exemple l'interprétation de l'Institut Jean-Paul II. Pour d'autres, il y a changement entre Amoris laetitia et Familiaris consortio (dans certains cas, les personnes en état d'adultère pourraient communier) mais ce changement serait un développement homogène de la doctrine. Le plus délicat est que de nombreux théologiens et évêques qui tiennent cette ligne utilisent des arguments qui avaient été produits par les théologiens contestataires de l'encyclique Humane vitae sur la régulation des naissances (1968). Rappelons qu'une bonne partie du travail doctrinal et pastoral de saint Jean-Paul II a consisté à réfuter de tels arguments et à donner une assise anthropologique, morale et spirituelle à l'encyclique du Bienheureux Paul VI. Il me semble donc que ceux qui comprennent le changement de la discipline sacramentelle comme étant un développement homogène par rapport à Familiaris consortio se trompent. Un développement homogène ne peut pas entrer en contradiction avec le magistère antérieur (1). S'il y a un développement homogène dans Amoris laetitia, il ne peut s'opposer à la discipline sacramentelle dont les fondements dans le magistère antérieur sont clairs. Il me semble qu'il porterait davantage sur les modalités de l'accueil et de l'accompagnement des fidèles dans des situations objectives de péché grave. Il y a sûrement une inventivité pastorale à mettre en œuvre. Mais la pastorale ne consiste pas à proportionner « un évangile crédible » aux capacités humaines. Dieu donne toujours la grâce de ce qu'Il commande par amour pour nous. Le pasteur a à aider le fidèle à se disposer à recevoir pleinement cette grâce.

    Les cardinaux ont présenté leur dubia le 19 septembre 2016, sans avoir de réponse. Ils ont demandé une audience le 25 avril dernier, sans avoir davantage de réponse. Par cette publication de leur demande d’audience non accordée, les cardinaux préparent-ils d’autres démarches ?

    Il faudrait leur demander directement ! Ce qui est sûr, c'est que le silence du pape que certains trouvent normal apparaît à d'autres de plus en plus étrange. Comment un pasteur qui par définition a charge d'âmes peut-il laisser dans l'incertitude ses brebis sur des points si importants ? Je parle de l'incertitude concernant le sens de certains passages puisque ces mêmes passages ont reçu des interprétations contradictoires. La responsabilité d'un auteur n'est-elle pas de s'assurer que sa pensée a bien été comprise ? Un texte pastoral offrant des lectures contradictoires contribue objectivement à la relativisation de la vérité pratique. Il en va ici du salut des âmes.

    Les cardinaux sont les électeurs du pape, qui semblent lui rappeler qu’ils l’ont élu pour « confirmer ses frères ». Ne vont-ils pas un peu loin ?

    Il me revient en tête ces mots très forts du bienheureux Paul VI dans son homélie prononcée en la fête de saint Pierre et saint Paul (29 juin 1972) :

    «  Nous voudrions, aujourd'hui plus que jamais, être capables d'exercer la fonction, confiée par Dieu à Pierre, de confirmer nos frères dans la foi. Nous voudrions vous communiquer ce charisme de la certitude que le Seigneur donne à celui qui le représente sur cette terre, quelle que soit son indignité. »

    Espérons que notre Saint-Père fasse mémoire des paroles de son prédécesseur, prononcées dans une période elle aussi de grande confusion !

    Beaucoup de bruit se fait actuellement également autour d’une réintéprétation possible, à la lumière d’Amoris laetita, d’Humanae vitae, la célèbre encyclique de Paul VI, préparée en partie par le cardinal Wojtyla, futur Jean-Paul II. Ne serions-nous pas ici dans une logique inverse de l’herméneutique catholique qui implique que le texte plus récent soit conforme ou rendu conforme à la Tradition et non l’inverse ?

    Effectivement une commission aurait été nommée dont le coordinateur serait Mgr Gilfredo Marengo. Certes, Mgr Paglia, président de l’Académie pontificale pour la vie, vient de le démentir, mais ce démenti est lui-même très inquiétant :

    « Il n’y a aucune commission pontificale appelée à relire ou à réinterpréter Humanæ vitæ. Cependant, nous devrions examiner positivement sur l’ensemble de ces initiatives, comme celle du professeur Marengo de l’Institut Jean-Paul II, qui ont pour but d’étudier et d’approfondir ce document en vue du 50e anniversaire de sa publication ».

    Le fait est que Gilfredo Marengo, a lui-même établi un parallèle entre Amoris laetitia et Humane vitae ; il se demande si

    « le jeu polémique “pilule oui/pilule non”, tout comme celui actuel “communion pour les divorcés oui/communion pour les divorcés non”, n'est pas la simple manifestation d'un malaise et d'une difficulté bien plus décisifs dans le tissu de la vie de l'Eglise. » (2)

    On peut s'inquiéter en lisant de tels propos quant à la volonté de cette commission de mettre en lumière la vérité libératrice de l'encyclique de Paul VI. La crise de la théologie morale contemporaine a trouvé son acmé dans la critique d'Humanée vitae. Comme je le disais plus haut les catéchèses sur la théologie du corps, Familiaris consortio et Veritatis splendor sont les jalons essentiels pour servir à la juste réception doctrinale et pastorale de l'encyclique de Paul VI. Il est évident que nous assistons aujourd'hui à un retour du proportionnalisme qui tend à émousser la radicalité de « l'Evangile du mariage », et ce aux plus hauts niveaux de l'Eglise. La pression du monde est si forte pour que l'Eglise obtempère aux nouvelles normes de la morale sexuelle de l'individualisme libéral ! Au nom d'un souci soi-disant pastoral, certains cherchent donc à noyer la radicalité de l'appel à la sainteté (et donc au bonheur) que Dieu adresse à tous, notamment aux époux. La réponse à cet appel ne peut passer que par une vie conjugale fondée sur le vrai bien des époux. « Tout est lié » nous rappelle le pape François. Malgré le travail colossal de saint Jean-Paul II, la confusion morale qui traverse des pans entiers du peuple chrétien depuis plusieurs décennies perdure. Va-t-on assister à une nouvelle étape de cette crise systémique ?

    Lire aussi : Les quatre cardinaux frondeurs réécrivent au pape Francois

  • Bruxelles, 18 juin procession de la Fête-Dieu aux Minimes

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    VENEZ NOMBREUX VOUS Y JOINDRE CONCRETEMENT ET PRIER !

    VOUS DEVEZ TOUS ETRE LA, AVEC VOS CHERS ENFANTS, VOS AMIS.
    DIEU VOUS APPELLE A CET ELAN DE PIETE ET A CE TEMOIGNAGE VITAL ET JOYEUX POUR LUI !


    Rendez-vous à l’église des Saints Jean et Etienne ‘aux Minimes’, dimanche le 18 juin à 16h30.

    (rue des Minimes 62, 1000 Bruxelles; métro arrêt Louise - bus arrêt Sablon - tram arrêt Poelaert)

  • A la rencontre des chrétiens d'Alep

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    Famille Chrétienne s’est rendu à Alep, à la rencontre la communauté chrétienne de cette ville martyre. Petit troupeau affaibli par plus de quatre années de siège qui ont mis à terre l’une des plus antiques cités au monde et par le départ massif de nombre d’entre eux, les chrétiens d’Alep se battent avec courage pour reconstruire. Reconstruire les maisons, mais avant tout les familles, les liens entre les hommes, les cœurs… Cette générosité incroyable et la foi inébranlable des chrétiens d’Alep, artisans de la reconstruction de la ville, sont à découvrir la semaine prochaine dans les colonnes de Famille Chrétienne, dans un reportage sur place du directeur de la Rédaction, Antoine-Marie Izoard. 

    http://www.famillechretienne.fr/eglise/vie-de-l-eglise/video-a-la-rencontre-des-chretiens-d-alep-220195

  • Fête-Dieu 2017 à Liège : une célébration exceptionnelle à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132), le samedi 17 juin à 18h00

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    L’ église du Saint-Sacrement à Liège

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    Succédant à l’ancienne église Sainte-Anne (XVIe s.) des Augustins qui la firent ériger au XVIIIe siècle, l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy présente cette particularité d’être aujourd’hui la seule à être consacrée sous ce vocable à Liège.

    Elle le doit aux Religieuses du même nom qui firent restaurer et re-consacrer en 1866 l’édifice  désaffecté depuis la dispersion (1796) des chanoines augustins, lors la Révolution française. Pendant 127 ans, les religieuses se vouèrent dans cette église à l’adoration perpétuelle de l’Eucharistie. Leur communauté disparut en 1993, faute de vocations mais en 2003 une association de fidèles intitulée « Sursum Corda » prit le relai en rachetant le sanctuaire -alors menacé de sécularisation- afin d’y perpétuer l’œuvre des religieuses disparues. « Sursum Corda », qui projette une réhabilitation intégrale du bâtiment ne vit que de dons.

    Une fête emblématique à Liège

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    Entre autres activités, chaque année depuis 2003, l’église du Saint-Sacrement contribue à solenniser la Fête-Dieu  en ses murs.

    Quatre jours durant (15-18 juin 2017) l’Eglise de Liège commémore cette année le septième centenaire de la constitution (1317) par laquelle le pape Jean XXII inscrivit définitivement cette fête d’origine liégeoise dans le droit  général de l’Eglise.

    C’est dans ce contexte que, le samedi 17 juin à 18h00,  Mgr Jean-Pierre Delville célébrera à l’église du Saint-Sacrement  une messe solennelle selon la forme extraordinaire du rite romain.

    Une célébration de qualité   

    Deux groupes de chanteurs exceptionnels prêteront  leur concours à cette célébration : venue expressément de la capitale espagnole, la Schola Antiqua de Madrid dirigée par Juan Carlos Asensio fera entendre le riche répertoire médiéval de la péninsule ibérique consacré à la fête du « Corpus Christi ».

    Tous les membres de cette schola ont été formés à la manécanterie du célèbre monastère bénédictin de la Vallée de Los caïdos, situé sur la route de Madrid vers l’Escurial.  

    Les Belges ne seront pas en reste avec la participation du Quatuor Genesis constitué par un ensemble de jeunes talents inscrits cette année à l’académie du chœur de l’opéra de la Monnaie. Ils interpréteront la messa a quattro voci de Monteverdi ainsi que des motets d’Oliver Messiaen et Ola Gjeilo. Les couleurs de Liège dans cette prestation seront représentées par Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers et titulaire des orgues de l’église du Saint-Sacrement.

    Plain-chant par la schola antiqua de Madrid:

    La Messa a quattro voci de Claudio Monteverdi:

    A la fin de la cérémonie, le public pourra se partager entre la visite d’une exposition présentant des pièces du patrimoine muséal liégeois sur le thème de la Fête-Dieu et la réception (en libre accès) offerte en présence de l’évêque de Liège.   

    Plus de renseignements : tel 344 10 89  ou email : sursumcorda@skynet.be

    site web :  http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/

    JPSC

  • Une nouvelle configuration de l'Académie pontificale pour la Vie qui interpelle

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    Sur diakonos.be, la traduction de cet article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso.

    Nom par nom, la métamorphose de l’Académie pontificale pour la vie

    Finalement, après une longue attente, la liste des nouveaux membres de l’Académie pontificale pour la vie a été publiée mardi 13 juin, tous nommés par le pape.  Il manque encore la liste du conseil de direction, lui aussi nommé par le pape, ainsi que celle des membres « correspondants » dont la désignation dépend du président de l’Académie, Mgr Vincenzo Paglia.  Mais l’essentiel est fait.

    Par rapport aux 132 membres à divers titres que l’Académie comptait auparavant, tous licenciés le 31 décembre 2016, les membres actuels sont au nombre de 45, plus 5 « ad honorem ». Ceux qui ont été reconduits sont au nombre de 33, il y a 17 nouveaux membres et leurs noms, avec leurs titres respectifs, se trouvent dans cette liste diffusée par la salle de presse du Saint-Siège :

    > Nominations

    De nombreux noms ont été rayés de la liste. Parmi eux, des experts de grande renommée qui ont eu le malheur de critiquer ouvertement les nouveaux paradigmes moraux et pratiques entrés en vigueur avec le pontificat de François.

    Parmi eux, le philosophe allemand Robert Spaemann, ami de longue date de Joseph Ratzinger ; le théologien américain John Finnis, auteur avec Germain Grisez d’une « lettre ouverte » au pape François très critique à l’égard d’Amoris laetitia ; l’anglais Luke Gormally, l’autrichien Josef Maria Seifert.

    Des activistes pro-life de renommée internationale telles que la guatémaltèque Maria Mercedes Arzù de Wilson et la vénézuélienne Christine De Marcellus Vollmer n’ont pas non plus été reconduites. Elles furent parmi les premières à avoir été appelées par Jean-Paul II pour faire partie de l’Académie, aujourd’hui déforcée sur ce front.

    Disparus également trois représentants de l’Europe de l’Est formés à l’école de Karol Wojtyla et qui lui étaient restés particulièrement fidèles comme le polonais Andrzej Szostek, l’ukrainien Mieczyslaw Grzegocki et le tchèque Jaroslav Sturma, un psychologue et psychothérapeute résolument opposé à l’idéologie du « gender ».

    Tout comme on a fait un croix sur le burkinabé Etienne Kaboré, parfaitement en ligne avec les positions de l’Eglise africaine sur le mariage, la famille et la sexualité, que l’on avait vu à l’œuvre durant les deux derniers synodes.

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