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Films - Page 25

  • Ken Loach reçoit le prix Robert Bresson des mains du Patriarche de Venise

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    Ken Loach récompensé par l'Eglise catholique à Venise; source : Radio Vatican

    Le cinéaste britannique Ken Loach et le Patriarche de Venise, Mgr Francesco Moraglia unis au nom des laissés-pour-compte, des ouvriers, des chômeurs, des sans abris : cette rencontre insolite a eu lieu à la Mostra de Venise en présence d’une foule de journalistes et de photographes ; Ken Loach a reçu le prix Robert Bresson des mains du Patriarche.

    Ce prix est décerné tous les ans par les Conseils pontificaux de la Culture et des Communications sociales. Cette 13° édition a donc récompensé le metteur en scène de la « working class » pour ses œuvres « caractérisées par un fort engagement politique et social, attentives au progrès civil et à la solidarité humaine, représentant les conditions de vie de la classe ouvrière, des immigrés, des chômeurs », des catégories exploitées qui aspirent à la justice sociale.

    Des convergences au-delà des différences

    Citant Benoît XVI, Mgr Moraglia a souligné que dans une société qui semble avoir du mal à élargir les espaces de la raison, le cinéma est un outil puissant qui peut favoriser la réflexion. Sans trahir chacun ses propres idéaux, on peut avoir des convergences au-delà des différences. En clair, les films de Ken Loach ne sont pas incompatibles avec l’Evangile.

  • Acharnement anti-religieux à la Mostra

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    Nous lisons dans La Soir, sous la plume de Nicolas Crousse : C’est Jésus qu’on fouette, à la Mostra

    "Flagellation charnelle, masturbation avec un crucifix : « Paradis : Foi », de l’Autrichien Ulrich Seidl, dénonce l’imposture religieuse en flirtant avec le scandale
     
    À ceux qui en doutent encore, le cinéaste autrichien Ulrich Seidl est là pour rappeler, de film en film, sa sombre conviction : le paradis, c’est l’enfer. Seidl révélait en mai dernier à Cannes le premier volet d’une trilogie, Paradis : Amour, centré sur le tourisme sexuel d’une femme cougar au Kenya. Le second volet, Paradis : Foi, est dans la compétition de la Mostra. (...)

    Dans le film de Seidl, nous suivons de près le personnage d’Anna-Maria, catholique dévouée corps et âme au culte de Jésus et de la Vierge Marie. Sa ferveur n’est pas loin d’une forme de dégénérescence. Elle fait du porte à porte, une immense Vierge sous le bras, en tentant de convertir des brebis égarées. Marche à genoux dans son appartement. Chante à tue-tête les louanges de son Dieu. Et se flagelle régulièrement face à un crucifix qui lui tient de compagnon spirituel, amoureux, sinon de fantasme sexuel (une scène de masturbation va faire jaser). Anna-Maria est aussi mariée… à un musulman handicapé, Nabil, qui regagne le domicile conjugal après deux ans d’absence et revendique de pouvoir exercer ses droits conjugaux au lit. Hors de question pour Anna-Maria. Du coup, ce sera la guerre des sexes… teintée de guerre sainte.

    Sympathique, non ?

  • Procédé douteux chez ARTE

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    Natalia Trouiller, dans la Matinale de la Vie, dénonce un buzz malhonnête monté de toutes pièces par Arte :

    BUZZ DE MAUVAIS GOÛT CHEZ ARTE
    C'est dommage, car la série fictionnelle d'Arte "Ainsi soient-ils", qui suit le parcours imaginaire de cinq jeunes séminaristes avait su jusque-là mener un buzz plutôt intelligent, par exemple avec l'excellent compte Tumblr d'un des personnages que nous avions signalé dans la matinale. Arte a-t-elle souhaité devancer d'éventuelles parodies? Toujours est-il que cette fois-ci, c'est d'un goût plus douteux. Le blog consacré aux séries du site de la chaîne publie donc une lettre fictive d'un évêque qui n'existe pas, Mgr Bisetês (anagramme de Bêtises), en la présentant comme vraie, et qui "appelle de ses vœux les catholiques appartenant aux panels Médiamétrie de ne pas regarder cette série". Devant le début de levée de boucliers suscité, l'auteur du blog a dû reconnaître que cette lettre était un faux mis en ligne avec l'accord d'Arte. Truffée de clichés et essayant d'user d'un vocabulaire catholique sans le maîtriser, la lettre ne fait guère illusion, mais permet de s'offrir (peut-être) une occasion royale de faire passer Arte pour une chaîne martyre qui aurait subi des menaces de l'Eglise. Dommage que la production ait si peu confiance en sa propre série qu'elle se croie obligée d'user de moyens aussi limites.

  • La Louvière, 31 août : "Qui a envie d'être aimé ?"

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    qui-a-envie-d-etre-aime-2.jpgSOURCE

    Le film « Qui a envie d’être aimé ? » sera projeté le vendredi 31 août à 20h à l’église Saint-Joseph de La Louvière, dans le cadre d’une soirée de rencontre et de détente des catéchistes du diocèse de Tournai.

    C’est le Service Diocésain de la Catéchèse et de l’Initiation chrétienne qui organise cette soirée à l’aube de la nouvelle année catéchétique.

    « Tous les deux ans, nous proposons une rencontre de catéchèse », rappelle Patrick Mory, responsable adjoint du service. C’est ainsi qu’en septembre 2011, le frère Patrick Prétot était intervenu à la collégiale Ste-Waudru de Mons sur le thème des relations entre catéchèse et liturgie.

    Ici, le contexte est différent : « La soirée du 31 août est une première. Partant du constat qu’il y a différentes façons d’approcher la foi, nous l’avons conçue davantage comme une rencontre de détente, autour du bel outil que constitue le cinéma. Ce film d’Anne Giafferi, tiré du roman Catholique anonyme, de Thierry Bizot, pose la question de la conversion chez les adultes et aborde les interrogations qui tournent autour. On se trouve ici face à la rencontre de Dieu, qui bouleverse celui qui en fait l’expérience. »

    L’invitation à cette soirée est lancée largement à toute personne liée de près ou de loin à la catéchèse : animateur/trice en pastorale, catéchiste, parent accompagnateur, prêtre, diacre… Mgr Harpigny sera présent et la projection sera suivie d’un échange et du verre de l’amitié.

    Rendez-vous le vendredi 31 août à 20h à l’église Saint-Joseph, place Maugrétout à La Louvière. Entrée libre.

    Infos : 069 64 62 49 ou patrick.mory@evechetournai.be

  • La guerre de Vendée accessible sur Gloria TV

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    Cliquer sur le lien suivant : http://es.gloria.tv/?media=322577

  • Savoir pourquoi on croit, et en témoigner

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    La grandeur de croire / source : Osservatore Romano (1/8/2012)

    Benoît XVI est revenu plusieurs fois sur le thème de la foi. Dans ses vœux de Noël à la Curie romaine, il a dit: «Le centre de la crise de l’Eglise en Europe est la crise de la foi. Si nous ne trouvons pas une réponse à celle-ci, si la foi ne retrouve pas une nouvelle vitalité, en devenant une conviction profonde et une force réelle grâce à la rencontre de Jésus Christ, toutes les autres réformes resteront inefficaces».

    Dans la même ligne, il observait pendant son voyage en Allemagne: «Faut-il peut-être céder à la pression de la sécularisation, devenir modernes moyennant une édulcoration de la foi? La foi doit être repensée, naturellement, et surtout elle doit être vécue aujourd’hui d’une manière nouvelle pour devenir quelque chose qui appartient au présent. Mais ce n’est pas l’édulcoration de la foi qui aide, mais seulement le fait de la vivre entièrement dans notre aujourd’hui. Ce ne seront pas les tactiques qui nous sauveront, mais une foi repensée et vécue d’une façon nouvelle».

    Comme on peut l’observer, deux idées reviennent fréquemment: la foi doit être repensée et vécue. L’Année de la foi pourrait être une occasion propice sur ce versant. Un vrai kairos à saisir pour permettre à la grâce d’éclairer l’esprit et au cœur de laisser la place de faire émerger la grandeur de croire.

    Un esprit éclairé devrait être capable, avant tout, de souligner les raisons pour lesquelles on croit. Ces dernières décennies, le thème n’a pas été proposé en théologie, ni par conséquent dans la catéchèse. La chose n’est pas indolore. Sans une solide réflexion théologique qui soit en mesure de produire les raisons de croire, le choix du croyant n’est pas tel. Celle-ci s’arrête à une répétition lasse de formules ou de célébrations, mais ne porte pas en elle la force de la conviction. Ce n’est pas seulement une question de connaissance des contenus, mais de liberté.

    On peut parler de foi comme s’il s’agissait de formules chimiques connues par cœur. Mais si manque la force du choix soutenu par une confrontation avec la vérité sur sa propre vie, tout s’effrite. La force de la foi est la joie d’une rencontre avec la personne vivante de Jésus Christ qui change et transforme la vie. Savoir donner raison de cela permet aux croyants d’être de nouveaux évangélisateurs dans un monde qui change.

    Le second terme utilisé par Benoît XVI est une foi vécue. Celle-ci est d’autant plus nécessaire, que l’on saisit mieux la valeur du témoignage. Par ailleurs, en référence à l’évangélisation, Paul VI affirmait sans hésitations que «L’homme contemporain écoute plus volontiers les témoins que les maîtres ou s’il écoute les maîtres, c’est parce qu’ils sont des témoins» (Evangelii nuntiandi,  n. 41). Plusieurs décennies sont passées et pourtant cette vérité perdure avec une force et une actualité inaltérées. Le monde d’aujourd’hui a faim de témoin. Il en sent le besoin vital, parce qu’il recherche la cohérence et la loyauté.

    Nous sommes face au thème du cor ad cor loquitur, qui a trouvé en Newman un grand maître. Une foi qui porte en soi les raisons du cœur est plus convaincante, parce qu’elle a la force de la crédibilité. Le défi, par conséquent, est de pouvoir conjuguer la foi vécue avec son intelligence et vice-versa.

      Rino Fisichella

    1 août 2012

  • Batman, figure mythologique d'un monde désenchanté

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    Maxime Roffay, sur Itinerarium, consacre une note intéressante à "Batman, mythologie d’un monde désenchanté"

    Après une attente des plus longues arrive enfin la date fatidique du 25 juillet 2012, sortie du troisième et dernier volet de la trilogie Batman de Christopher Nolan, The Dark Knight Rises. Comme de nombreux fans, je fais la queue pendant plus de quarante minutes pour la première séance en version originale au Gaumont Pathé d’Ivry, l’un des deux seuls cinémas équipés d’un écran IMAX en région parisienne (avec celui du Disney Village). Les places sont chères mais le spectacle promet d’être total.

    Tout va s’embraser, annonce l’affiche. Et le spectateur n’est effectivement pas déçu. Pendant près de trois heures, le film de Nolan enchaîne des séquences explosives, au paroxysme de l’action. Les situations sont conduites aux extrémités de l’extrême, la tension plus que palpable, le danger omniprésent. Les fauteuils vibrent au rythme des vrombissements d’une batmobile ultra-technologique et des explosions. Les gadgets et les véhicules renvoient James Bond et consorts à l’âge de pierre. Du début à la fin, le coeur palpite. Le gigantisme du modèle IMAX nous en met vraiment plein la vue. Comme pour le précédent (avec l’inoubliable interprétation de Heath Ledger), le caractère monumental de l’ensemble nous laisse pardonner quelques incongruités du scénario et quelques raccourcis faciles, disséminés ci et là. On sort de la salle avec la gueule de bois.

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  • L’inquisition pour les nuls

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    La saga de l’été télévisuel sur France 2 Inquisitio a débuté mercredi 4 juillet. Des jeunes cathos réagissent. Commentaire d’Anne-Laure Fihol sur le site web de “La Vie” (extrait):

    “Cette série, sorte de thriller médiéval sur fond de Grand Schisme et d'Inquisition sera diffusée tous les mercredis à 20h40, à raison de huit épisodes. Raccourcis historiques, clichés redondants, mise en scène proche de la science-fiction...

    Quelques blogeurs cathos, se sont emparés du web pour s’en moquer gentiment. Leur arme : l’autodérision.

    "Qui a éteint la lumière ? On n’y voit plus rien… Bon. Passez-moi un hérétique, je vais rallumer." "J’aurais bien passé une petite soirée tranquille, mais j’ai encore plein de travail sur le feu…". "Vient de se faire poker par un réformé. Cherche un châtiment à la hauteur de l’outrage".  @SaturniNapator. Plus de 150 tweets depuis dimanche soir, près de 200 abonnés. L'inquisiteur du pape Clément VII a également sa page Facebook, fleurie des mêmes posts empreints de cynisme. Et ça fonctionne : la page de Saturnin a davantage d’amis que celle officielle de la saga de France 2, Inquisitio.

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  • Robert Hossein reçoit un prix au festival du film catholique

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    Zenit.org (Anne Kurian) nous apprend que Robert Hossein sera primé au Vatican pour son film "Une femme nommée Marie".

    Le metteur en scène français Robert Hossein sera primé au cours du 3e Festival international du film catholique qui aura lieu au Vatican, du 2 au 5 juillet 2012.

    Le film de Robert Hossein intitulé "Une femme nommée Marie", qui avait été projeté le 13 août 2011 à Lourdes devant 30.000 personnes et diffusé en direct à la télévision, fera l’ouverture du Festival, le 2 juillet à 21h.

    Robert Hossein recevra également le prix du "Poisson d'Argent" (du nom du Prix du festival, en hommage aux premiers chrétiens dont le poisson était le symbole) à Rome, au cours du dîner de gala et de remise des Prix au Musée du Vatican, le 5 juillet.

    Le Festival international du film catholique « Mirabile Dictu» ("Merveilleux à dire"), est une initiative placée sous l’égide du Conseil pontifical de la culture, qui a pour but de « donner de l’espace aux producteurs et réalisateurs de films, documentaires, docu-fictions, séries télévisées, court-métrages qui promeuvent des valeurs morales universelles et des modèles positifs ».

    Le Festival sera inauguré par le Congrès international “Cinéma et nouvelle évangélisation”, l’après-midi du 2 juillet. Ce Congrès, co-organisé par les Conseils pontificaux de la culture et pour la promotion de la nouvelle évangélisation, sera le premier d’une dizaine de rendez-vous organisés dans différentes villes du monde, - dont Vienne, Los Angeles, Toronto et Rio de Janeiro - en 2012 et 2013.

  • Une ode à l'euthanasie primée à Cannes

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    Extraits de la note consacrée au film qui a reçu la palme d'or à Cannes par Vincent Malausa, chroniqueur cinéma du Nouvel Obs :

    "Avec "Amour", Michael Haneke a frappé très fort. Malgré son indécrottable sens de la manipulation, son film est un des plus sérieux concurrents pour la Palme. Par Vincent Malausa, critique aux "Cahiers du cinéma" et chroniqueur cinéma au Plus, sur place à Cannes.

    "Amour" commence par une très belle scène montrant le couple rentrer d'un spectacle et découvrir que la porte de l'appartement semble avoir été forcée. C'est un simple détail, dont on ne saura rien par la suite, mais qui scelle une fois pour toutes le destin des personnages. A cet instant, la mort est entrée dans l'appartement et tout le film va décrire chaque étape de la longue coulée vers le néant dont le récit se fait le tombeau. Le film bouleverse car la minutie de sa description est portée par un amour indéfectible et non par l'habituel mépris qui mobilise le cinéma d'Haneke.

    On n’est pas passé loin du chef-d’œuvre, malheureusement l’indécrottable sadisme hanekien se révèle sur la fin – au cours d’une insoutenable scène d’euthanasie – et renverse quelque peu le sens de certaines séquences limites du film. Haneke pouvait faire son plus beau film, mais son goût du pensum et son caractère foncièrement antipathique pèsent lourdement sur le résultat final. Mais le lyrisme qui sourd du film, son extraordinaire puissance souterraine ont l'effet d'un uppercut en plein cœur."

    Voir également le commentaire de Jeanne Smits

  • Le Saint Suaire et le cinéma

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    Quel rapport entre le Linceul de Turin et le cinéma ? Telle est la question posée sur Zenit.org et à laquelle répond un Entretien avec un historien (Alberto Di Giglio) du cinéma sacré (ZENIT.org - Maria Chiara Petrosillo - Traduction d’Océane Le Gall)

    – Quel rapport entre le Saint-Suaire et le cinéma ? Alberto Di Giglio, historien du cinéma sacré, répond à cette question en soulignant que le cinéma christologique, à savoir la représentation de la figure du Christ, est un fil rouge dans l'histoire du cinéma.

    Un diplôme de spécialisation en Etudes sur le Suaire de Turin, a été présenté le 16 mai 2012, à Rome, à l’Université pontificale Regina Apostolorum (www.uprait.org). Parmi les intervenants, le professeur Alberto Di Giglio, spécialisé enHistoire du Cinéma sacré et religieux au Centre expérimental de Cinématographie - Siège Lombardie, qui a accordé cet entretien à Zenit sur le rapport entre le Saint-Suaire et le cinéma.

    Depuis 1990, Alberto Giglio est président de l’association culturelle Sindonis Cultores. Egalement fondateur du site web sindonologia.it et auteur du documentaire « Le Saint-Suaire, un Signe de notre temps », il aété de 1999 à 2003 directeur de « La Toile », une revue consacrée au Linceul de Turin qui paraît tous les 4 mois.

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  • L'histoire bouleversante de Gianna, rescapée d'un avortement

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    Sur Benoît-et-moi, notre vaillante amie a traduit ce récit paru  dans Vatican Insider. La bouleversante histoire vraie qui a inspiré un film qu'on ne verra sans doute pas sur nos écrans "October baby". (22/5/2012).

    Elle a survécu à l'avortement, mais ce n'est pas qu'une fiction

    L'histoire de Gianna Jessen, 35 ans; son émouvante histoire est devenu un film intitulé «October Baby» (Domenico Agasso Jr.)

    «Mon nom est Gianna Jessen. J'ai été avortée et je ne suis pas morte. Ma mère biologique était enceinte de sept mois quand elle est allée au Planned Parenthood (ndt: planning familial, chez nous) dans le sud de la Californie, et on lui a conseillé de faire un avortement tardif par solution saline. Un avortement par solution saline consiste en l'injection d'une solution saline dans l'utérus de la mère. Le bébé avale la solution, qui le brûle à l'intérieur et à l'extérieur, puis la mère donne naissance à un enfant qui meurt dans les 24 heures. Cela m'est arrivé! je suis restée dans la solution pendant environ 18 heures et j'ai été accouchée vivante le 6 Avril 1977, à 6 heures du matin dans une clinique d'avortement en Californie».
    Aujourd'hui Gianna Jessen, rescapée de l'avortement, est une femme de 35 ans, et son histoire émouvante est aussi devenue un film intitulé «October Baby», tandis qu'elle continue à parcourir le monde pour répandre son puissant témoignage.

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